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Friday, March 26, 2010

Euro Bounces Back on Greece Bailout Plan

TIMES ONLINE: The euro bounced back from a ten-month low today, after eurozone leaders agreed on a joint bailout package for Greece with the International Monetary Fund (IMF).

The European single currency was up against the dollar by 0.45 per cent to $1.3335 after earlier lows of below $1.3280. The euro has fallen by almost 7 per cent so far this quarter on concerns about the Greek debt crisis.

Yesterday, in a deal driven by Germany and France, EU leaders agreed on sweeping new powers to co-ordinate all EU economies as part of the landmark €30 billion (£27 million) bailout package for Greece.

However, analysts warned that the euro was still at risk of further declines as the Greece plan had not alleviated long-term worries about Portugal and Spain. On Wednesday, Fitch Ratings lowered Portugal's sovereign credit rating to AA-minus from AA.

The Greece bailout plan plan will put Herman Van Rompuy, of Belgium, the new permanent European Council President, in charge of “the economic governance of Europe”.

It will be seen as a direct challenge to Gordon Brown, who will want to make sure that Britain does not surrender any control over its own economy to Brussels. The next government in London may also face a tough fight in Europe because Angela Merkel, the German Chancellor, suggested yesterday that a new treaty would be needed to give the EU extra economic powers — despite the pledge from EU leaders last year that the Lisbon treaty would be good for a decade. >>> David Charter, Rory Watson, Francesca Steele | Friday, March 26, 2010

Union Européenne : «La zone euro ne laissera jamais tomber la Grèce»

LE TEMPS: Un accord a finalement été trouvé tard dans la nuit à Bruxelles. Les pays de la zone euro entérinent la constitution d’un filet de sécurité pour empêcher que la crise grecque ne dégénère. Ils sont prêts à accorder des prêts bilatéraux aux côtés du FMI dans une proportion qui pourrait être de deux tiers, un tiers. L’euro est repassé au-dessus de 1,33 dollar ce matin

L’accord sur un mécanisme d’aide financière à la Grèce sur lequel étaient tombés d’accord jeudi après-midi le président Nicolas Sarkozy et la chancelière Angela Merkel a finalement été entériné jeudi, tard dans la soirée, par les chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro. «La zone euro prend son destin en main et s’est mise d’accord pour gérer les crises [en son sein]» s’est réjoui peu après le président français. Même Jean-Claude Trichet, le responsable de la BCE opposé à tout soutien, s’est dit «très heureux» d’un plan «préservant la responsabilité des pays de la zone». «Ce mécanisme ne se substitue pas à la discipline financière, c’est un filet de sécurité», a précisé plus tard dans la nuit José Manuel Barroso, président de la Commission européenne. Filet de sécurité >>> Pierre-Alexandre Sallier Bruxelles | Vendredi 26 Mars 2010

Thursday, March 25, 2010

Union Européenne : Angela Merkel en «dame de fer»

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Angela Merkel. Photo : Le Temps

LE TEMPS: La crise grecque, devenue celle de la zone euro, a souligné les divergences entre la France et l’Allemagne. Pressée par son opinion, la chancelière allemande durcit le ton

«Madame Merkel, continuez de dire non!», «Les nouvelles règles du jeu de Merkel pour l’Europe»: les titres de la presse allemande à la veille du sommet européen de Bruxelles en disent long sur le glissement du débat suscité par le trou béant du budget grec. Ce n’est plus Athènes qui focalise l’attention, mais Berlin et son intransigeance – critiquée ou admirée.

Dans une de ces cacophonies dont l’Union européenne a le secret, on a entendu ces jours la ministre française de l’Economie Christine Lagarde douter de «la durabilité du modèle allemand» basé sur des exportations compétitives, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso réclamer plus de «solidarité» avec la Grèce, tandis que la chancelière allemande martelait qu’il n’est pas question de ficeler un paquet d’aide cette semaine. Pendant ce temps, les marchés continuaient de jouer l’euro à la baisse.

Au moment où ces lignes étaient écrites, les négociations continuaient entre la France, l’Allemagne et le président du Conseil européen Herman van Rompuy. Une sortie de crise semble se dessiner, tentons d’en décrypter les enjeux. >>> Jean-Claude Péclet | Jeudi 25 Mars 2010

Monday, March 15, 2010

Accord de la zone euro sur les modalités d'un plan d'aide à la Grèce

Le premier ministre grec, Georges Papandréou, entouré de plusieurs dirigeants européens, jeudi 11 février 2010 à Bruxelles. Photo : Le Monde

LE MONDE: Les ministres des finances de la zone euro, réunis lundi soir à Bruxelles, sont tombés d'accord sur les modalités d'un plan d'aide financier à la Grèce qui pourra être mis en place "rapidement", a annoncé leur chef de file, Jean-Claude Juncker. "Les propositions que nous ferons seront totalement en ligne avec les dispositions afférentes du traité et avec les législations nationales", a-t-il ajouté, sans donner de détails sur les mesures contenues dans l'accord. Seule certitude avancée par le président de l'Eurogroupe, le mécanisme retenu ne consistera pas en des prêts garantis.

Le premier ministre luxembourgeois a ensuite précisé que la décision ultime de recourir à cette aide serait prise par les dirigeants de l'Union européenne lors d'un prochain sommet européen, si nécessaire. >>> Le Monde.fr avec AFP et Reuters | Lundi 15 Mars 2010

Sunday, March 07, 2010

Grèce : Une «solution européenne» plutôt qu'un recours au FMI

20MINUTES.ch: La Grèce souhaite trouver une «solution européenne» à ses difficultés financières et n'envisage pas pour l'instant de recours au Fonds monétaire international (FMI).

«Nous voulons une solution européenne, nous ne voulons pas choisir le FMI», a déclaré M. Papandreou à l'issue d'un entretien d'une heure avec son homologue français à l'Elysée.

«La solution européenne jusqu'à hier ou avant-hier restait très théorique. Après les différentes rencontres que j'ai eues cette semaine (...) j'ai entendu que la volonté politique existait, et pas seulement de la part du président Sarkozy», a-t-il poursuivi.

«Notre pays a pris des mesures plus importantes et supplémentaires par rapports à ce que les spécialistes (...) avaient préconisé (...) nous voulons donc pouvoir emprunter comme tout autre pays de la zone euro avec un taux qui est similaire, peut-être pas identique, mais comparable», a ajouté le chef du gouvernement grec. >>> ats | Dimanche 07 Mars 2010

Economie : Ce que Sarkozy va dire à Papandréou

leJDD.fr: Lorsque Nicolas Sarkozy accueillera, ce soir, à 18 heures, le Premier ministre grec Georges Papandréou, son attitude sera scrutée dans toute l’Europe. Le Président français naviguera entre deux écueils. Il ne peut donner l’impression que les gouvernements de "grands" pays imposent une purge à des "petits" alors qu’eux-mêmes ont laissé filer leurs propres dépenses. Et la France ne doit pas accorder un chèque en blanc à la Grèce, comme le craignent les Allemands. Bref, ne pas humilier Athènes, ne pas braquer Berlin.

Le premier objectif des autorités européennes est de stopper la spéculation qui ébranle l’euro. Les taux d’intérêt grecs ont explosé avec d’énormes primes de risque (les fameux "Credit Default Swap" ou CDS). Ils sont retombés depuis jeudi, Athènes a pu lever 5 milliards d’euros.

Deuxième objectif : éviter un effet domino sur d’autres pays européens. En 2008, la faillite de la banque Lehmann Brothers ne faisait peser aucun risque réel mais a pourtant provoqué une panique sur les marchés. Aujourd’hui, la dette grecque pèse moins de 3% du PIB européen mais d’autres pays pourraient payer cher la même crise de confiance (Espagne, Portugal, Royaume-Uni). La Grèce, symbole des futures réformes européennes >>> Olivier Jay, Le Journal du Dimanche | Samedi 06 Mars 2010 | Mise à jour le 07 Mars 2010
Grèce: La colère contre la rigueur

leJDD.fr: Un pays ruiné, un gouvernement socialiste qui met en place un plan d'austérité pour apaiser l'Europe et les marchés. Vendredi, les syndicats manifestaient devant le Parlement.

Des milliers de personnes ont manifesté vendredi devant le Parlement, à Athènes. Photo: leJDD.fr

Jours d’austérité, jours de colère en Grèce. Adonis Davanelos n’a pas de mots assez durs contre le plan draconien annoncé mercredi par le Premier ministre socialiste Papandréou, et voté en urgence, vendredi, par le Parlement grec. Il vise à faire économiser au pays 4,8 milliards d’euros pour apaiser les marchés et forcer l’Europe à la solidarité.

"Jour après jour, les mesures sont plus dures. Ils ont d’abord annoncé que les salaires du secteur public seraient gelés, puis qu’ils seraient diminués, puis que cela toucherait aussi le privé. Ils augmentent les taxes. On va perdre un mois de salaire à cause de la hausse de la TVA et des autres taxes, on supprime notre treizième mois et, en plus, nos salaires seront diminués de 7%. C’est énorme, non?", s’énerve ce syndicaliste, membre de Syriza, la coalition de la gauche radicale. Ils étaient nombreux ceux qui, tel Adonis, faisaient grève, vendredi, contre le plan d’austérité de Papandréou. A côté de lui, son copain, Tassos: "C’est très brutal, les gens sont sous le choc, ils ne croient pas que ce soit possible. Autrefois, on faisait monter l’inflation, mais c’était indirect. Là, c’est terrible, on baisse les salaires, on supprime les primes, les gens vont s’en rendre compte à la fin du mois." "Papandréou n'avait pas le choix" >>> Cécile Amar, envoyée spéciale du Journal du Dimanche à Athènes | Samedi 06 Mars 2010

Saturday, March 06, 2010

German Chancellor Says Greece Doesn't Need Aid



Lien en relation avec cette vidéo:

TRIBUNE DE GENÈVE: La Grèce n'a actuellement pas besoin d'aide financière, selon Angela Merkel >>> AFP | Vendredi 05 Mars 2010

Grèce : manifestation et violences à Athènes

lePARISIEN.fr: La Grèce a adopté vendredi son plan de rigueur alors que le pays était quasiment paralysé par des grèves et des manifestations, dont l'une à Athènes marquée par de violents affrontements entre policiers et jeunes.

Le projet de loi intitulé «Mesures d'urgence pour faire face à la crise financière» a été adopté au cours d'une procédure parlementaire d'urgence.

Visant à rassurer les marchés et stabiliser la zone euro - fragilisée par cette crise exceptionnelle - ce plan d'austérité comprend notamment des coupes salariales pour les fonctionnaires, le gel des retraites du secteur privé et public ainsi qu'une hausse des deux points de la TVA, à 21%. Objectif : 4,8 milliards d'euros d'économie pour réduire le déficit public de 4 points à 8,7% de PIB cette année. >>> Leparisien.fr | Vendredi 05 Mars 2010
La Grèce n'a actuellement pas besoin d'aide financière, selon Angela Merkel

TRIBUNE DE GENÈVE: BERLIN | La chancelière allemande a fait cette déclaration à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre grec Georges Papandréou à Berlin.

La chancelière allemande Angela Merkel et le Premier Ministre grec George Papandreou lors d'une conférence de presse à Berlin, le 5 mars 2010. Photo: Tribune de Genève

La chancelière allemande Angela Merkel a estimé vendredi après une rencontre avec le Premier ministre grec Georges Papandréou à Berlin que la Grèce n'avait actuellement pas besoin d'aide financière et que la stabilité de la zone euro était "assurée". "La Grèce n'a pas demandé d'aide financière", a déclaré la chancelière lors d'une conférence de presse commune.

"La stabilité de la zone euro est assurée. Le résultat est que la question (d'une aide financière à la Grèce) n'est pas posée (....) Je suis même optimiste (et pense ) qu'elle ne sera pas posée." >>> AFP | Vendredi 05 Mars 2010

Thursday, March 04, 2010

Déficit public : Les syndicats grecs se mobilisent

LE TEMPS: Les syndicats se mobilisaient jeudi contre le plan d’économies de 4,8 milliards d’euros décidé par la Grèce pour mettre fin à sa dérive budgétaire qui a placé la population en état de choc et alimente des craintes de récession prolongée

L’annonce des mesures décidées par le gouvernement socialiste a été reçue comme «un choc», «un électrochoc» par l’ensemble de la société, «c’est la fin d’une époque», a affirmé jeudi la presse grecque. Les partis, les syndicats du public et du privé fourbissaient leurs armes pour réagir.

Le Front de lutte syndicale (PAME), proche des communistes, a ouvert la danse des protestations. Il a organisé dès mercredi soir plusieurs manifestations dans le pays, appelé ses membres à une grève vendredi et préparait de grands rassemblements dans une soixantaine de villes du pays, jeudi soir. Dans la matinée, ses militants ont bloqué l’entrée du ministère des Finances, scandant des slogans contre «les mesures anti-populaires». Ils ont déployé une immense banderole sur la façade du ministère, face au Parlement, appelant les Grecs à réagir pour que «les mesures ne passent pas». >>> AFP | Jeudi 04 Mars 2010
Dette de la Grèce: et si elle vendait ses îles?

Quelle folie! – Mark

TRIBUNE DE GENÈVE: PROPOSITION | Des députés allemands ont appelé la Grèce à vendre des îles pour aider à financer sa dette.

Photo: Tribune de Genève

Le quotidien populaire allemand Bild révèle cette information jeudi, qu'il résume l’idée en ces termes: "On vous donne du fric, vous nous donnez Corfou".

"L’Etat grec doit renoncer à sa participation dans des sociétés, et vendre des propriétés foncières, comme par exemple des îles inhabitées", a affirmé au journal le député libéral Frank Schäffler, du parti FDP au pouvoir. >>> AFP | Jeudi 04 Mars 2010

Greece Should Sell Islands to Keep Bankruptcy at Bay, Say German MPs

What a stupid idea! Really dumb! – Mark

THE GUARDIAN: Fire sale of Greek islands, Acropolis and Parthenon suggested / Greek public reacts with outrage and boycotts German goods

Josef Schlarmann told Bild newspaper that Greece should consider selling its uninhabited islands for debt redemption. Photograph: The Guardian

Greece must consider a fire sale of land, historic buildings and art works to cut its debts, two rightwing German politicians said today in a newspaper interview that is bound to exacerbate tensions between Athens and Berlin.

Alongside austerity measures such as cuts to public sector pay and a freeze on state pensions, why not sell a few uninhabited islands or ancient artefacts, asked Josef Schlarmann, a senior member of Angela Merkel's Christian Democrats, and Frank Schaeffler, a finance policy expert in the Free Democrats.

The Acropolis and the Parthenon could also fall under the hammer, along with temptingly idyllic Aegean islands still under state ownership, in a rush to keep bankruptcy at bay.

"Those in insolvency have to sell everything they have to pay their creditors," Schlarmann told Bild newspaper. "Greece owns buildings, companies and uninhabited islands, which could all be used for debt redemption." >>> Phillip Inman and Helena Smith | Thursday, March 04, 2010

Verkauft doch eure Inseln, ihr Pleite-Griechen ... UND DIE AKROPOLIS GLEICH MIT!

Welch eine Dummheit! – Mark

BILD.de: Jetzt machen die Griechen ernst, um ihr Land vor dem Bankrott zu retten, ohne auf EU-Hilfe angewiesen zu sein!

Gestern beschloss die Regierung in Athen: Die Mehrwertsteuer rauf (von 19 auf 21%), Alkohol, Luxusgüter und Tabak teurer, die Bezüge von Staatsdienern, Rentnern, Studenten gekürzt.

4,8 Mrd. Euro soll das Sparprogramm bringen – aber bei Staatsschulden von mehr als 300 Mrd. Euro ist das nicht mal ein Tropfen auf den heißen Stein ...

Was kann die Griechen dann noch retten?

Auch wenn es vielleicht verrückt klingt: Wenn wir den Griechen doch noch mit Milliarden Euro aushelfen müssen, sollten sie dafür auch etwas hergeben – z. B. ein paar ihrer wunderschönen Inseln. Motto: Ihr kriegt Kohle. Wir kriegen Korfu.

Tatsächlich ist es der größte Schatz der Griechen: 3054 Inseln, nur 87 davon bewohnt.

Und einen Markt gibt es! Derzeit bietet z. B. das Hamburger Maklerbüro Vladi Private Islands eine unbewohnte griechische Insel an – Verhandlungsbasis: 45 Mio. Euro.

Ob die Kanzlerin morgen mit ihrem Amtskollegen Papandreou bei dessen Berlin-Besuch die Insel-Frage anschneidet ...?

Der Koalitionspartner rät dazu. FDP-Finanzexperte Frank Schäffler zu BILD: „Die Kanzlerin darf keinen Rechtsbruch begehen, darf Griechenland keine Hilfen versprechen. Der griechische Staat muss sich radikal von Beteiligungen an Firmen trennen und auch Grundbesitz, z. B. unbewohnte Inseln, verkaufen.“

CDU-Mittelstandschef Josef Schlarmann: „Ein Bankrotteur muss alles, was er hat, zu Geld machen – um seine Gläubiger zu bedienen. Griechenland besitzt Gebäude, Firmen und unbewohnte Inseln, die für die Schuldentilgung eingesetzt werden können.“ >>> jan/pro/rok | Donnerstag, 04. März 2010

Tuesday, March 02, 2010

Grèce : Athènes va annoncer de nouvelles économies

LE TEMPS: Le gouvernement de George Papandréou viserait 4,8 milliards d’économies supplémentaires, pour rassurer les marchés obligataires, Bruxelles et surtout l’Allemagne, encore réticente à lui accorder son aide

Face aux pressions de l’Union européenne et des investisseurs, le gouvernement grec s’apprête à annoncer quelque 4,8 milliards d’euros de réduction budgétaire en plus des engagements d’austérité qu’il a déjà pris.

Les nouvelles mesures d’économie influeraient notamment des taxes plus élevées sur le tabac, l’alcool, une augmentation de la TVA, et de nouvelles coupes dans les primes variables des fonctionnaires, a indiqué mardi une source gouvernementale. >>> Le Temps | Mardi 02 Mars 2010

Wednesday, February 24, 2010

Greece Grinds to Halt Amid Strikes



Scharfe Attacke aus Griechenland gegen Deutschland: Streit über EU-Finanzhilfen droht zu eskalieren

NZZ ONLINE: Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos die deutsche Regierung scharf angegriffen und dabei auf Verbrechen während der NS-Zeit verwiesen.

Griechenland und Deutschland liegen sich in den Haaren: Der griechische Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos sagte der BBC laut einem Bericht des britischen Senders, Deutschland stehe Kritik an Griechenland nicht zu, weil die Nationalsozialisten die Wirtschaft Griechenlands ruiniert und überdies tausende Menschen ermordet hätten.

Pangalos sagte laut BBC weiter: «Sie haben das Gold aus der Bank von Griechenland und auch griechisches Geld weggeschafft, und es nie zurückgegeben.» Dieses Thema müsse in baldiger Zukunft behandelt werden. >>> ddp | Mittwoch, 24. Februar 2010

In Krise wollen Griechen deutsches Geld wegen Nazi-Besatzung

TAGES ANZEIGER: Mit einem Generalstreik haben die Griechen gegen die drastischen Sparpläne der Regierung protestiert. Gleichzeitig überrascht der griechische Vize-Premier mit seltsamen Forderungen an Deutschland.

Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos am Mittwoch die deutsche Regierung scharf angegriffen. Griechenland sei nie für die Folgen der nationalsozialistischen Besatzung im Zweiten Weltkrieg entschädigt worden, erklärte Pangalos am Tag des Generalstreiks gemäss Meldungen von Nachrichtenagenturen. >>> vin | Mittwoch, 24. Februar 2010

La Grèce paralysée par la grève générale

Mercredi à Athènes, les forces de l'ordre ont dû charger certains groupes de manifestants en marge de la manifestation contre le plan d'austérité du gouvernement. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Les syndicats se dressent contre le plan d'austérité imposé par l'UE.

Armés de banderoles, de haut-parleurs et de lunettes de soleil, les Grecs ont déclaré la guerre au plan d'austérité annoncé par le gouvernement socialiste. «Ce sont les riches qui doivent payer, et les spéculateurs», scandaient plus de 30 000 personnes dans les trois cortèges qui ont défilé mercredi à Athènes sous un soleil printanier.

L'appel à la grève générale avait été lancé par la Confédération générale des travailleurs et la Fédération des fonctionnaires. Le pays s'est retrouvé presque totalement paralysé : blocage des transports maritimes et aériens, écoles et administrations fermées, hôpitaux et tribunaux en service minimum. Des échauffourées ont éclaté entre la police et quelques centaines de jeunes, provoquant la dispersion des cortèges devant le Parlement sous des nuages de gaz lacrymogènes.

Malgré ces incidents, les syndicats parlent de «succès dans la mobilisation», pour une grève qui se veut «une mise en bouche» avant de prochains mouvements. «Il n'y a pas de justice sociale dans ce pays, s'insurge Makis Karkavela, un fonctionnaire gréviste. Nous ne laisserons pas Bruxelles nous imposer ces mesures.» Le plan d'austérité du gouvernement grec, validé par la Commission européenne en janvier, n'a qu'un seul objectif : réduire le déficit public au plus vite. Celui-ci atteint 12,7 % du PIB, un record en Europe, et doit être réduit de quatre points d'ici à la fin de l'année. Pour rassurer les marchés financiers et les partenaires européens, Bruxelles a mis la Grèce sous tutelle et exige les premiers résultats des réformes d'ici au 16 mars, date du prochain Conseil des ministres de l'Économie de l'UE. Tension avec Berlin >>> Alexia Kefalas , à Athènes | Mercredi 24 Février 2010

Thursday, February 11, 2010

Grèce : Georges Papandréou, l’homme de la rupture

Le premier ministre grec Georges Papandréou. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: Le premier ministre grec a déjeuné mercredi avec Nicolas Sarkozy et a répété sa détermination à réformer son pays. Son style politique tranche avec celui de ses prédécesseurs

Il incarne une nouvelle génération d’hommes politiques. Elu avec une très confortable majorité, il promet, dès le début de son mandat, de changer son pays en lançant des réformes ambitieuses. Aujourd’hui, bien qu’il soit toujours très populaire, des milliers de citoyens descendent dans la rue pour contester déjà sa politique. Son nom: Barack Obama? Non, Georges Papandréou.

Le premier ministre grec est soumis ces jours à une pression extrême de l’Union européenne et des marchés en raison de la grave crise financière que connaît la Grèce et qui secoue la zone euro. Le pays a une dette de 300 milliards d’euros et un déficit public de 12,7% du PIB. Mercredi, pour desserrer l’étau dans lequel son pays est pris, le chef du gouvernement grec a répété au président français Nicolas Sarkozy, lors d’un déjeuner de travail à l’Elysée, sa détermination à «prendre toutes les mesures nécessaires» pour sortir la Grèce de ses lancinants problèmes structurels.

A 57 ans, Georges Papandréou dont le père Andreas et le grand-père Georges furent aussi des premiers ministres, n’est pas de nature à se décourager par les premiers mouvements sociaux dans les rues des villes grecques. Féru de fitness et de vélo, mais aussi soucieux d’une alimentation saine, il a l’énergie de celui qu’une vision titille, pousse à l’action. Il ne craint pas l’adversité. Son frère Nicholas se souvient: «Quand il était ministre des Affaires étrangères, Georges était déjà prêt à dialoguer, mais aussi à durcir le ton quand il le fallait. Un jour, il avait insisté pour continuer à négocier des droits de pêche avec l’Espagne et la Scandinavie jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée. Le calvaire des négociateurs espagnols et suédois dura quarante heures.» >>> Stéphane Bussard | Jeudi 11 Février 2010
UE/Grèce : «L’Allemagne a changé les règles de la zone euro»

La chancelière allemande Angela Merkel, le premier ministre grec, George A. Papandreou et le président français Nicolas Sarkozy lors du sommet extraordinaire de l’Union européenne. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: L’Allemagne est le maître d’œuvre de la mobilisation européenne en faveur de la Grèce. Elle pourrait apparaître comme une nouvelle avancée de l’intégration européenne. C’est du moins l’analyse d’Antonio Missiroli, directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles

Le sommet informel des chefs d’Etat européen s’est transformé en sommet de crise pour aider la Grèce et sauver la zone euro attaquée par les marchés financiers. Ce jeudi, le président de l’Union européenne a annoncé que les pays de la zone euro prendront si nécessaire, des mesures «déterminées et coordonnées» pour préserver leur stabilité financière ébranlée par la crise grecque. Directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles, Antonio Missiroli revient sur cette concertation au sommet. >>> Frédéric Koller | Jeudi 11 Février 2010

Monday, January 25, 2010


La Grèce appelle la Turquie à une relance des efforts de rapprochement

TRIBUNE DE GENÈVE: AVANCÉE | Le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a appelé son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, à une relance des efforts de rapprochement , dans sa réponse à une lettre que lui avait envoyée en novembre le dirigeant turc.

Artisan en 1999 de la normalisation entre les deux pays, à l’époque en tant que chef de la diplomatie, M. Papandréou s’affirme dans ce courrier "encouragé par la volonté commune" des deux dirigeants "d’améliorer les relations bilatérales" qui marquent le pas ces dernières années, a indiqué l’agence de presse grecque Ana.

L’Ana a obtenu copie du courrier, qui a été remis dans la journée par l’ambassadeur grec à Ankara, a-t-on appris auprès des services de M. Papandréou.

M. Papandréou, qui adresse dans ce courrier une invitation à une visite officielle de M. Erdogan, exprime le souhait d’une relance des efforts pour "la mise en place entre les deux pays d’une relation plus viable et productive, et d’une paix durable", selon l’Ana. >>> AFP | Lundi 25 Janvier 2010

Tuesday, July 28, 2009

La bombe grecque de l'immigration

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En Grèce, les immigrés arrivent désormais du monde entier. Photo: L’Express.fr

L’EXPRESS.fr: Avec ses milliers d'îles et ses 16 000 kilomètres de frontières, la Grèce attire chaque année un flot croissant de clandestins. Débordée par l'ampleur du phénomène, Athènes appelle à l'aide l'Union européenne.

Le visage collé aux barreaux de leur dortoir, un groupe de migrants afghans tente de profiter des quelques rayons de soleil. Murs couverts de graffitis, poste de télévision cassé, lits de fortune: le camp de rétention de l'île grecque de Lesbos a tout d'un cachot. Sous le regard vide des détenus, les policiers vont et viennent, cachés derrière des masques de protection. Certains pensionnaires seraient porteurs de maladies comme la tuberculose ou l'hépatite C.

L'été dernier, ils étaient presque un millier à s'entasser dans ces hangars bétonnés, conçus pour abriter 400 personnes. Une surpopulation qui illustre l'incapacité de la Grèce à faire face à l'explosion récente du nombre de sans-papiers arrivant sur son territoire.

Le pays tente tant bien que mal de protéger ses frontières, qui sont aussi celles de l'Europe. Mais, avec ses milliers d'îlots et son littoral de 16 000 kilomètres, la côte grecque est très poreuse et la tâche semble vaine. >>> Par Anne-Laure Buffard, Chine Labbé, Solenn Poullennec | Samedi 11 Juillet, mis à jour Mardi 21 Juillet 2009

Wednesday, February 18, 2009

Autonome attackieren Fernsehsender in Athen: Experten befürchten weitere Verschärfung der Gewalt

NZZ Online: In der griechischen Hauptstadt Athen haben Unbekannte den viertgrössten privaten Fernsehsender Griechenlands angegriffen. Mindestens vier Täter fuhren mit Motorrädern vor das Gebäude des Senders und feuerten danach mehrere Schüsse ab, eine Brandbombe explodierte nicht.

In Griechenland dauert die Serie von Anschlägen an: Unbekannte feuerten am Dienstagabend mehrere Schüsse auf das Gebäude des viertgrössten Fernsehsenders Griechenlands, «Alter», in Athen ab. Verletzt wurde nach übereinstimmenden Berichten griechischer Medien niemand. >>> sda/dpa | Dienstag, Februar 17, 2009

LE FIGARO: Nouvelle vague de violences 
à Athènes

Après une attaque contre une chaîne de télévision et la découverte d'une bombe devant une banque, la police est sur la piste d'un nouveau groupe terroriste.

En à peine vingt-quatre heures, la capitale grecque a semblé retomber dans une série noire. Mardi soir, quatre hommes cagoulés ont tiré à une dizaine de reprises contre les locaux de la chaîne de télévision privée Alter, sans faire de victime.

Mercredi matin, la police a localisé et désamorcé un engin explosif placé dans une voiture garée devant une succursale de la banque américaine Citibank, à Kifissia, banlieue chic d'Athènes. Quelques heures plus tard, un professeur de criminologie, Giannis Panousis, célèbre pour ses analyses dans les médias, a été agressé par quinze inconnus en cagoules, venus interrompre une conférence dans le centre-ville.

Aucune de ces trois actions n'a été revendiquée, mais la police enquête sur la piste de la Secte des révolutionnaires. Ce nouveau groupe terroriste, apparu il y a dix jours lors d'un mini-attentat perpétré contre un commissariat d'Athènes, menace d'exécuter aveuglément des policiers et dénonce la ligne suivie par les médias dans le pays. Dans leur dernier communiqué, envoyé au quotidien Ta Nea, ses membres annonçaient ne pas vouloir «faire de la politique, mais mener une guérilla». Les armes utilisées, un pistolet de 9 mm et un pistolet-mitrailleur de type Skorpion, seraient, selon les premiers éléments de l'enquête, les mêmes que lors d'un précédent attentat contre le commissariat. >>> Alexia Kefalas, Athènes | Mercredi 18 Février 2009

The Dawning of a New Dark Age (Taschenbuch und Gebundene Ausgabe) – Versandkostenfrei innerhalb der Schweiz >>>

Tuesday, December 09, 2008

Les Grecs disent leur colère

leJDD.fr: Trois jours et trois nuits de violences. Et une colère qui ne faiblit pas bien au contraire. Depuis la mort samedi d'un adolescent de 15 ans, abattu par la police, la jeunesse grecque manifeste violemment contre le gouvernement. Contre cette "bavure", bien sûr, mais aussi, voire surtout, contre sa politique générale. Un accident tragique qui a poussé un pays à se révolter.

Mardi matin, les principales villes grecques sont sous les flammes; les magasins pillés et les rues dévastées. Cailloux et cocktails Molotov contre gaz lacrymogènes, la jeunesse grecque et les autorités s'affrontent depuis maintenant trois jours et trois nuits à Athènes, la capitale, mais aussi à Salonique, la grande ville du Nord du pays, Trikala (centre), ou encore Rhodes, principale ville de l'île du même nom, dans l'Est de la Grèce. Les manifestants, qui protestaient initialement contre la mort d'un adolescent de quinze ans, abattu samedi soir par la police, se révoltent désormais contre la politique globale du gouvernement.

La mort d'Alexandros Grigoropoulos, tué par balles par un agent qui répliquait à un groupe de jeunes qui lançait des pierres sur son véhicule de patrouille, restera dorénavant comme l'élément déclencheur d'une vague de protestations comme le pays n'avait plus connu depuis une quinzaine d'années au moins. >>> Par Marie Desnos | Mardi 09 Décembre 2008

WELT ONLINE: Griechenland: Hinter dem Krawall stecken tiefgreifende Probleme

In Griechenland liegen nicht nur Schaufenster in Scherben. Zerstört ist auch das Vertrauen der Bürger in ihren Staat, vor allem in die Polizei. Reformen laufen schleppend, die Korruption blüht. Viele Griechen zieht es in Ausland. Gerade die junge Generation ist in einer Lage, die ihr wenig Hoffnung lässt.

Ada De Giorgi bringt kaum einen Bissen hinunter. Etliche Male presst sie die Zitrone noch über der gegrillten Dorade aus, als schon längst kein Tropfen mehr herauszupressen ist, stochert in den gebackenen Kartoffeln und ist dem Weinen nahe. Doch der Appetit kommt auch davon nicht zurück. Ada De Giorgi und Oronzo, ihr Mann, sind zu einem Freudenfest aus Lecce in Italien nach Thessaloniki gekommen, ihre 37-jährige Tochter hat hier am Vorabend ihren griechischen Freund geheiratet. Aber nun zieht der beißende Gestank von Tränengas durch die Stadt am Meer, vor ihrem Hotel, nur ein paar Meter entfernt an der Egnatiatraße [sic], einem der besseren Häuser der Stadt, brennen Müllcontainer, und auch draußen vor dem kleinen Fischlokal ist die Luft geschwängert vom Rauch der Brandsätze.

Der Schuss eines Polizisten, durch den am Samstag ein 15-Jähriger starb, hat zur Eskalation geführt. Es ist noch nicht geklärt, ob der Beamte auf den Demonstranten zielte oder ein Querschläger ihn getötet hat. Seither findet Griechenland keine Ruhe mehr. Die Nächte gehören den Gewaltbereiten, vermummt mit Motorradhelmen und Mützen. An der Egnatiastraße, Thessalonikis zentraler Durchgangsachse, fliegen auch Montagnacht Steine. Sie treffen eine Starbucks-Filiale, ein Kosmetikgeschäft, Läden von Mobilfunkanbietern.

An jeder einzelnen Bushaltestelle entlang der kilometerlangen Straße ist das Glas zerstört. Eine Postfiliale hat gebrannt, vielleicht ein Kollateralschaden des Anschlags auf die Bank nebenan. Am Morgen danach fährt ein Lastwagen vor, Postbedienstete rollen ihre versengten Bürostuhle und Computer heraus. In Athen, dem Zentrum des Aufruhrs, ging es kaum weniger schlimm zu. Die Wut sucht sich Ventile im ganzen Land. In zehn Städten berichtete die Polizei von Krawallen, auch auf den Ferieninseln Korfu und Kreta.

In Scherben liegt mehr als das Glas der Schaufenster. Zerbrochen ist das Vertrauen der Griechen in ihren Staat, und das nicht erst am Samstag. „Unsere Gesellschaft trägt tiefe Wunden“, sagt der Journalist Grigoris Roubanis von der linken Tageszeitung „Elevtherotypia“. Reformen im maroden Gesundheits- und Bildungssystem haben viele Regierungen versprochen, die Griechen warten aber noch immer darauf. >>> Von Florian Eder | 9. Dezember 2008

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