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Sunday, December 17, 2023

UE : Frieden a fait face au dissident Orban

LE QUOTIDIEN: Quelques heures à peine après la décision «historique» de s’ouvrir à l’Ukraine, prise sans la Hongrie, Viktor Orban est venu bloquer le paquet financier de 50 milliards d’euros destiné à Kiev. Le Premier ministre luxembourgeois connaît désormais l’enfant terrible du Conseil européen, qui agit seul contre tous.

Pour sa grande première au Conseil européen, réunissant les 27 chefs d’État et de gouvernement de l’UE, le nouveau Premier ministre luxembourgeois n’a pas eu le temps de tergiverser. «Ce fut un sommet particulier, parce que l’on était amenés à prendre une décision stratégique très importante, qui va trouver place dans les livres d’histoire», avance Luc Frieden, au bout de deux jours et demi d’intenses tractations à Bruxelles, lancées dès mercredi soir lors du sommet avec les Balkans occidentaux.

La décision «historique» est bien la validation de l’ouverture de négociations d’adhésion avec l’Ukraine, mais aussi avec la Moldavie. Les circonstances dans lesquelles ce feu vert a été accordé vont aussi marquer l’histoire européenne. Sur proposition du chancelier allemand, Olaf Scholz, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a en effet quitté la salle du Conseil pour libérer la voie à un consensus qualifié par Luc Frieden de «leçon pour Poutine» et d’un message «pour montrer que nous ne laissons pas l’Ukraine seule». » | De David Marques | samedi 16 décembre 2023

Wednesday, June 22, 2022

L’Union européenne face au cynisme de Boris Johnson

LE MONDE – ÉDITORIAL : Le premier ministre britannique a présenté, lundi 13 juin, un projet de loi qui remet en cause le « protocole nord-irlandais » contenu dans l’accord sur le Brexit signé avec l’UE. Les Vingt-Sept doivent s’opposer fermement à ces manœuvres destinées avant tout à faire oublier les déboires intérieurs de Boris Johnson.

Habituelle, la manœuvre n’en est pas moins détestable. A chaque déconvenue en politique intérieure, Boris Johnson dégaine son arme ultime, le conflit avec l’Union européenne (UE), destinée à mobiliser ses partisans et à détourner l’opinion britannique de ses propres turpitudes. En témoigne la présentation, lundi 13 juin, au Parlement de Westminster, d’un projet de loi supprimant des pans entiers du « protocole nord-irlandais », une partie sensible de l’accord sur le Brexit de 2019 avec l’UE.

Alors qu’il a lui-même paraphé ce traité international, le premier ministre britannique le remet en cause unilatéralement sur des points cruciaux. Le « protocole » vise en effet à concilier deux objectifs : maintenir une Irlande sans frontière afin de garantir la paix sur l’île, et éviter que l’Irlande du Nord ne devienne un sas d’entrée frauduleux dans le marché unique européen. Pour ce faire, l’Irlande du Nord a été dotée d’un statut mixte : la province a été maintenue à la fois dans la zone douanière britannique et dans le marché unique de l’UE.

Pareil arrangement suppose des contrôles douaniers et sanitaires entre la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord. Une contrainte que rejette le DUP, parti unioniste nord-irlandais allié de Boris Johnson, dont les élus refusent de siéger au gouvernement local de Belfast tant que le « protocole » avec l’UE n’est pas abrogé. » | Éditorial « du Monde » | mercredi 15 juin 2022

Wednesday, May 18, 2022

Irlande du Nord : le gouvernement britannique menace Bruxelles

LE MONDE : Londres remet en cause une partie du traité du Brexit qui instaure une frontière douanière entre l’Irlande du Nord et le reste du Royaume-Uni.

Après des semaines de supputations et de rumeurs, le gouvernement Johnson passe aux menaces explicites. Liz Truss, la ministre britannique des affaires étrangères, a confirmé à la Chambre des communes, mardi 17 mai, qu’elle déposerait formellement « dans les prochaines semaines » un projet de loi remettant en cause unilatéralement des pans entiers du fameux « protocole ». Cette partie cruciale du traité du Brexit avec l’Union européenne (UE) instaure une frontière douanière entre l’Irlande du Nord et le reste du Royaume-Uni, afin de protéger l’intégrité du marché intérieur européen tout en évitant le retour d’une frontière physique sur l’île d’Irlande. » | Par Cécile Ducourtieux (Londres, correspondante) et Virginie Malingre (Bruxelles, bureau européen) | mercredi 18 mai 2022

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Monday, February 28, 2022

Guerre en Ukraine: l'Union européenne annonce de nouvelles sanctions contre la Biélorussie

FIGARO / LIVE : L'Union européenne a décidé ce dimanche 27 février de prendre de nouvelles sanctions contre la Biélorussie en interdisant les exportations des «plus importants secteurs économiques» du régime de Minsk. Regarder la vidéo en anglais » | dimanche 27 février 2022

Tuesday, February 22, 2022

Crise ukrainienne : l'UE propose d'interdire l'accès de Moscou à ses marchés et services financiers

LE FIGARO – EN DIRECT : La Commission et le Conseil européens proposent d'interdire aux autorités russes d'accéder aux marchés et services financiers européens et de cibler les banques finançant les opérations militaires russes dans les régions séparatistes ukrainiennes.

Le point sur la situation

Après une longue allocution télévisée, Vladimir Poutine a reconnu lundi soir, en signant deux décrets, l’indépendance des territoires séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine, faisant entrer la crise avec l’Ukraine dans une nouvelle dimension. Ce mardi, le Parlement russe doit entériner la décision du chef du Kremlin.

Le président russe a ensuite ordonné à son armée d’entrer dans ces territoires pour y assumer «les fonctions de maintien de la paix».

Rapidement, les pays européens, l’ONU, et les États-Unis ont condamné ce qu’ils considèrent comme une violation du droit international. Pour le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, cette décision est «incompatible avec la Charte des Nations Unies». Pour le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, elle contredit «l’engagement de la Russie envers la diplomatie».

Toute la journée de mardi, ils prépareront des sanctions contre la Russie : Les États-Unis ont déjà interdit tout nouvel investissement, échange ou financement par des personnes américaines à destination, en provenance ou dans les régions prorusses de Donetsk et Lougansk. Londres sanctionne trois oligarques et cinq banques russes. L’UE propose également de cibler les banques russes et l'accès aux marchés européens. Les céréales en hausse, sur fond de menace de conflit en Ukraine » | EN COURS : mardi 22 février 2022

Sunday, February 20, 2022

L’UE enfin armée pour défendre l’Etat de droit face à la Hongrie et la Pologne

LE MONDE : La Cour de justice européenne a validé, mercredi, le dispositif soumettant l’octroi de fonds européens au respect des règles de droit. Il faut espérer que la Commission ne tardera pas à mettre en œuvre, à l’encontre des dirigeants récalcitrants, ce mécanisme obtenu de haute lutte.

Editorial du « Monde ».
Dans la saga des défis posés à l’Union européenne (UE) par deux de ses Etats membres, la Pologne et la Hongrie, sur le non-respect de l’Etat de droit, Bruxelles vient de marquer un point important. La décision de la Cour de justice de l’UE, rendue mercredi 16 février, valide on ne peut plus clairement le dispositif adopté en décembre 2020 par les dirigeants de l’Union afin de soumettre l’octroi de fonds européens au respect des règles de droit par les bénéficiaires.

En rejetant le recours de Varsovie et de Budapest, qui estimaient ce dispositif illégal, la Cour de justice a donné un feu vert décisif à la Commission pour faire usage du mécanisme de conditionnalité à l’égard des gouvernements récalcitrants sur l’Etat de droit. C’est un instrument qui faisait cruellement défaut à la Commission dans la bataille qu’elle mène depuis plusieurs années avec les dirigeants nationalistes polonais et hongrois, parce qu’ils se sont affranchis de certaines règles garantissant, notamment, l’indépendance de la justice. » |Éditorial | Samedi 19 février 2022

Tuesday, February 15, 2022

Crise ukrainienne : la fragile unité des Européens face à la Russie

Le Haut représentant de l'Union pour les Affaires étrangères, Josep Borrell, et le secrétaire d'État, Antony Blinken, lors d'une conférence de presse, le 7 février, à Washington. POOL / REUTERS

LE FIGARO : Certains États membres de l'UE redoutent le coût économique des mesures actuellement en discussion entre Bruxelles et Washington.

Correspondante à Bruxelles

Tous unis face à Moscou ? Depuis le début de la crise ukrainienne, les Européens s'en tiennent vaille que vaille à cette ligne. C'est encore le message qu'ils ont souhaité adresser à Sergueï Lavrov. Alors que Moscou s'entête à ne pas vouloir discuter avec l'UE, le ministre russe des Affaires étrangères avait fait le choix d'envoyer des lettres séparées aux États membres pour leur demander de préciser leur position sur l'« indivisibilité de la sécurité » - un concept que Moscou invoque à l'appui de ses revendications. » | Par Anne Rovan | lundi 14 février 2022

Monday, February 07, 2022

La Suisse appelle au «calme et à la créativité» pour de meilleures relations avec l'UE

LE FIGARO : Le président suisse Ignazio Cassis a appelé dimanche au «calme» et à la «créativité» pour améliorer les relations de la Suisse avec l'Union européenne. Les liens entre Bruxelles et Berne sont tendus depuis que la Suisse, non membre de l'UE, a soudainement décidé, en mai 2021, de mettre fin à des années de discussions en vue d'un vaste accord de coopération avec ce bloc d'Etats. » | Par Le Figaro avec AFP | dimanche 6 février 2022

Tuesday, November 09, 2021

Crise des migrants : Bruxelles durcit l’octroi de visas pour les officiels biélorusses

LE MONDE : Cette décision des Vingt-Sept entérine une proposition soumise par la Commission européenne à la fin de septembre.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé les Etats membres à approuver de nouvelles sanctions contre les autorités biélorusses, le 8 novembre 2021. ALBERTO PEZZALI / AP

En réaction à « l’attaque hybride » lancée par Minsk, accusé d’organiser un afflux de migrants aux frontières de l’Union européenne (UE), celle-ci a suspendu, mardi 9 novembre, des dispositions visant à faciliter la délivrance de visas pour les fonctionnaires du régime biélorusse.

Cette décision des Vingt-Sept entérine une proposition soumise par la Commission européenne à la fin de septembre. Elle intervient au moment où la tension monte à la frontière avec la Pologne, qui bloque le passage de groupes de migrants venus de Biélorussie et a déployé des milliers de soldats, et alors que l’UE envisage de nouvelles sanctions à l’égard du régime d’Alexandre Loukachenko. » | Le Monde avec AFP | mardi 9 novembre 2021crise des migrants,UE,

Monday, August 23, 2021

«C’est notre responsabilité morale d’aider les Afghans», souligne Ursula von der Leyen

LE FIGARO : En déplacement dans une base militaire du nord-est de l’Espagne, qui servira de centre d'accueil pour les Afghans arrivant de Kaboul et ayant travaillé pour l'UE, Ursula von der Leyen déplore «la tragédie» que traverse actuellement l’Afghanistan. La présidente de la Commission européenne souligne qu’en plus de l’aide apportée par les différents États, «l’Union européenne est engagée à continuer à soutenir les ONG» au sein du pays. Vidéo : Ursula von der Leyen en parle en anglais » | Dimanche 22 août 2021

Saturday, August 14, 2021

Loi LGBT en Hongrie : un «scandale», selon Clément Beaune

LE FIGARO : Pour le secrétaire d'État français aux Affaires européennes, les gouvernants qui discriminent les personnes LGBT «n'ont plus rien à faire dans l'Union européenne».

Clément Beaune, secrétaire d'État français aux Affaires européennes. Jean-Christophe Marmara / Le Figaro

La lutte contre les discriminations est un «combat culturel» que l'Europe se doit de mener, a estimé jeudi 8 juillet le secrétaire d'État français aux Affaires européennes, qualifiant de «scandale» la loi accusée de discriminer les personnes LGBT, qui entre en vigueur en Hongrie.

«C'est une loi scélérate qui assimile pédophilie et homosexualité. C'est un scandale aujourd'hui en Europe», a estimé Clément Beaune sur France 2, dénonçant ceux qui «considèrent que discriminer, ne pas respecter l'égalité des droits les plus élémentaires, c'est possible». La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a menacé mercredi 7 juillet de lancer une procédure d'infraction contre la Hongrie si elle ne revenait pas sur cette loi. » | Par Le Figaro avec AFP | jeudi 8 juillet 2021

Thursday, July 22, 2021

Hongrie : l’Union européenne doit en finir avec la naïveté

LE MONDE : Mis en cause dans la cadre du « Projet Pegasus », le pouvoir hongrois et Viktor Orban créent de nouveaux remous en organisant un référendum stigmatisant la communauté LGBT. L’UE doit se donner les moyens de sanctionner clairement le pays.

Editorial du « Monde ».
Trois jours après avoir été mis en cause dans le scandale mondial de surveillance Pegasus, vingt-quatre heures après avoir été de nouveau pointé du doigt par la Commission européenne pour ses dérives en matière d’Etat de droit, Viktor Orban a annoncé, mercredi 21 juillet, la convocation d’un référendum sur sa très contestée loi sur les contenus LGBT, qui ne cesse de faire scandale depuis son adoption en juin. Accusant « Bruxelles » d’avoir « clairement attaqué la Hongrie », le premier ministre nationaliste a lancé une de ses mises en scène favorites destinées à souder ses électeurs contre une prétendue menace venue « d’Europe de l’Ouest ».

Les questions soumises aux Hongrois, totalement biaisées, sont faites pour tenter d’obtenir un plébiscite face à la procédure de sanction lancée par la Commission contre sa loi interdisant de « montrer l’homosexualité ou le changement de genre » aux mineurs. L’annonce du référendum sert aussi à faire diversion après les révélations, dimanche 18 juillet, du «Projet Pegasus », auquel Le Monde participe.

Ces dernières années, à l’aide d’un logiciel espion israélien, la Hongrie a mis sous surveillance plusieurs journalistes d’investigation, des hommes d’affaires et des opposants, tous réputés critiques de Viktor Orban. » | Editorial du « Monde » | jeudi 22 juillet 2021

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Wednesday, July 21, 2021

«Hongrexit, Polexit, etc.»


LE FIGARO : L’éditorial du Figaro, par Philippe Gélie.

L’Europe souffre d’un point de côté qui l’empêche d’avancer. C’est à l’Est qu’«une dictature lui pousse à l’intérieur» telle une tumeur, s’enflamme l’eurodéputé belge Guy Verhofstadt à propos de la Hongrie, où Viktor Orban est accusé de traquer des citoyens grâce au logiciel espion Pegasus. Contrôle des juges et des médias, corruption: la commission de Bruxelles, dans son rapport annuel sur l’état de droit dans l’UE, cloue aussi au pilori la Pologne du parti Droit et Justice (PiS). Le dernier méfait de Budapest tient à une loi contre «la promotion de l’homosexualité», celui de Varsovie au rejet par la Cour constitutionnelle de la prééminence du droit européen. Bataille des «valeurs» qui creuse le fossé entre l’Ouest «libéral» du continent et l’Est socialement plus conservateur, voire «illibéral».

Les dix pays auxquels l’Union européenne a ouvert ses portes en 2004 ont signé en connaissance de cause: ils ont rejoint un grand marché doté de règles communes, un espace de droit voué à réduire » | Par Philippe Gélie | mardi 20 juillet 2021

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Tuesday, July 20, 2021

L’Etat de droit, meilleure protection pour les droits LGBT en Europe

LE MONDE : Editorial. L’adoption, le 15 juin par le Parlement hongrois, d’un projet de loi assimilant de fait homosexualité, pornographie et pédophilie, et le refus de l’UEFA d’illuminer le stade de Munich aux couleurs arc-en-ciel ont mis en évidence une fracture entre les membres de l’UE.

Editorial du « Monde ».
L’arc-en-ciel est dans toutes les têtes, mais l’orage n’est pas près de se dissiper. Les foudres que se sont attirées, depuis mardi 22 juin, le premier ministre hongrois, Viktor Orban, puis, par ricochet, l’UEFA, l’organisation qui supervise le championnat de football Euro 2021, à propos des droits des communautés LGBT, montrent à quel point ce sujet cristallise les fractures sociétales intra-européennes.

Le projet de loi adopté le 15 juin par le Parlement hongrois, contrôlé par le parti nationaliste de M. Orban, a provoqué un profond malaise au sein de l’Union européenne. Ce texte, qui prévoit de rendre inaccessibles aux moins de 18 ans les « contenus qui montrent ou encouragent la sexualité en elle-même, le changement de genre ou l’homosexualité », assimile de fait homosexualité, pornographie et pédophilie. » | Éditorial du « Monde » | jeudi 24 juin 2021

Friday, July 16, 2021

La Hongrie d’Orban attaquée.

Inverti actu : La Hongrie est officiellement menacée d’une procédure d’infraction.

Youpi !

Calmos
a Tutti… Cette action peut mener à une saisine de la Cour Européenne pour une procédure entraînant des sanctions à l’encontre de ce pays. Car la loi anti LGBTIQ+ ou pour le moins discriminatrice contrevient aux règles de l’UE. » | lemarquis | samedi 10 juilet 2021

Friday, June 25, 2021

L’Etat de droit, meilleure protection pour les droits LGBT en Europe

LE MONDE : Editorial. L’adoption, le 15 juin par le Parlement hongrois, d’un projet de loi assimilant de fait homosexualité, pornographie et pédophilie, et le refus de l’UEFA d’illuminer le stade de Munich aux couleurs arc-en-ciel ont mis en évidence une fracture entre les membres de l’UE.

Editorial du « Monde ».
L’arc-en-ciel est dans toutes les têtes, mais l’orage n’est pas près de se dissiper. Les foudres que se sont attirées, depuis mardi 22 juin, le premier ministre hongrois, Viktor Orban, puis, par ricochet, l’UEFA, l’organisation qui supervise le championnat de football Euro 2021, à propos des droits des communautés LGBT, montrent à quel point ce sujet cristallise les fractures sociétales intra-européennes.

Le projet de loi adopté le 15 juin par le Parlement hongrois, contrôlé par le parti nationaliste de M. Orban, a provoqué un profond malaise au sein de l’Union européenne. Ce texte, qui prévoit de rendre inaccessibles aux moins de 18 ans les « contenus qui montrent ou encouragent la sexualité en elle-même, le changement de genre ou l’homosexualité », assimile de fait homosexualité, pornographie et pédophilie. » | Éditorial | jeudi 24 juin 2021

Thursday, September 09, 2010

Le Parlement européen demande à Paris de suspendre les expulsions de Roms

TRIBUNE DE GENÈVE: STRASBOURG | Le Parlement européen a adopté jeudi une résolution demandant à la France et aux autres Etats de l'UE de "suspendre immédiatement" les expulsions de Roms, qui ont suscité une vive controverse ces dernières semaines.

Cette résolution présentée par les socialistes, les libéraux, les verts et les communistes a obtenu 337 voix contre 245. >>> AFP | Jeudi 09 Septembre 2010

Monday, July 26, 2010


L'UE ouvre les négociations d'adhésion avec l'Islande

TRIBUNE DE GENÈVE: BRUXELLES | L'Union européenne a décidé lundi d'ouvrir dès mardi des négociations en vue de l'adhésion de l'Islande, mais nombre de gouvernements doutent de la volonté réelle d'intégration de l'île et les obstacles restent multiples.

La décision a été prise lors d'une réunion des secrétaires d'Etat chargés des Affaires européennes à Bruxelles.

Ils ont adopté un "cadre de négociation en vue de l'ouverture des négociations d’adhésion avec l’Islande" et décidé "de la tenue de la séance d'ouverture" mardi, selon un communiqué de l'UE.

L'Islande a déposé sa candidature pour l'entrée dans l'UE le 16 juilllet 2009, dans le sillage d'une crise financière qui avait poussé son opinion à souhaiter bénéficier du parapluie de l'euro. Depuis, l'enthousiasme de la population a nettement reculé.

"Il faut avoir envie d'entrer en Europe", a souligné lundi devant la presse le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes Pierre Lellouche.

"Je n'ai pas tout à fait l'impression au niveau des sondages que les Islandais eux mêmes soient très favorables. C'est tout le problème", a-t-il commenté.

"Nous sommes très favorables à l'adhésion de l'Islande, naturellement. Mais au même niveau que les autres, sans raccourci, et à la condition que les Islandais soient interressés. On ne va forcer personne", a conclu M. Lellouche. >>> AFP | Lundi 26 Juillet 2010

Sunday, May 09, 2010

Londres refuse de participer au Fonds d'urgence européen

LE FIGARO: La Grande-Bretagne a indiqué dimanche ne pas vouloir participer au Fonds d'urgence envisagé pour aider les pays de la zone euro en difficulté.

La Grande-Bretagne refuse de participer, en y apportant sa garantie, au Fonds d'urgence envisagé pour aider les pays de la zone euro en difficulté, a indiqué dimanche le ministre des Finances britanniques. «Je pense qu'il est important que nous fassions tout ce que nous pouvons faire pour stabiliser les marchés... Soyons très, très clairs: s'il y a une proposition afin de créer un fonds de stabilisation pour l'euro, cela doit être du ressort des pays de l'Eurogroupe», a déclaré le ministre, interrogé depuis Bruxelles par la chaîne d'information continue britannique Sky News.

L'idée de départ était que la Commission européenne puisse emprunter en bénéficiant de la garantie de tous les pays de l'Union européenne, y compris ceux comme la Grande-Bretagne qui n'utilisent pas l'euro, puisqu'il s'agit d'un mécanisme de l'UE, selon des sources diplomatiques. Dans cette perspective, la Suède s'est dite prête à participer au Fonds, même si elle ne fait pas partie de la zone euro, a déclaré en début d'après-midi son ministre des Finances. >>> Par lefigaro.fr | Dimanche 09 Mai 2010

THE GUARDIAN: Alistair Darling rules out British support for euro: Chancellor says that responsibility for propping up single currency must be limited to eurozone countries >>> Zoe Wood | Sunday, May 09, 2010

Sunday, May 02, 2010

Une députée veut interdire la burqa au sein de l’UE

20MINUTES.ch: Une vice-présidente du Parlement européen, chef de file des libéraux (FDP) allemands, a appelé dimanche à l'interdiction du port du voile islamique intégral dans l'Union européenne.

«J'aimerais que l'Allemagne -- et toute l'Europe -- interdisent le port de la burqa sous toutes ses formes», a affirmé Silvana Koch-Mehrin dans une tribune libre publiée par le journal Bild am Sonntag.

En Belgique, les députés ont déjà entrepris d'interdire le port du voile intégral islamique dans les lieux publics, mais l'adoption définitive du projet de loi risque d'être remise en cause par la chute du gouvernement. 


En France, le gouvernement entend lui aussi bientôt présenter un projet de loi en ce sens. >>> afp | Dimanche 02 Mai 2010

Die Burka gehört in Europa verboten

BILD am SONNTAG: Als erste Volksvertretung hat das belgische Parlament ein Vermummungsverbot und damit auch ein Verbot der Vollverschleierung muslimischer Frauen beschlossen – und zwar ohne eine einzige Gegenstimme. Auch andere EU-Länder denken darüber ernsthaft nach.

Ich begrüße diesen Beschluss ganz ausdrücklich.

Ich wünsche mir, dass auch in Deutschland – und in ganz Europa – das Tragen aller Formen der Burka verboten wird.

Wer Frauen verhüllt, nimmt ihnen das Gesicht und damit ihre Persönlichkeit. Die Burka ist ein massiver Angriff auf die Rechte der Frau, sie ist ein mobiles Gefängnis. >>> Von Silvana Koch-Mehrin | Sonntag, 02. Mai 2010