LE MONDE : Alors que la monnaie unique est passée sous la parité avec le dollar, le 22 août, pour la première fois depuis 2002, une récession apparaît probable.
Pour la troisième journée consécutive, l’euro est resté sous la parité avec le dollar, mercredi 24 août. A 99 centimes de dollar pour 1 euro, la monnaie unique est à son plus bas niveau depuis 2002. Au-delà du symbole, il s’agit d’un recul de 13 % depuis le début de l’année. Cela tombe au plus mauvais moment. La majorité du pétrole et du gaz s’échange en dollars. Le recul de l’euro renchérit d’autant les importations d’énergie, dont les prix flambent depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février.
Comme toujours, la reculade de la monnaie unique est largement une histoire de banques centrales. La Banque centrale européenne (BCE) vient seulement de commencer à relever son taux d’intérêt, alors que la Fed américaine a débuté dès mars. L’écart entre le taux directeur des deux régions est passé d’un demi-point au début de l’année à deux points au 25 août. » | Par Eric Albert(Londres, correspondance) | jeudi 25 août 2022
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Thursday, August 25, 2022
Tuesday, October 04, 2011
LE FIGARO: Le ministre des Finances s'exprimait à l'occasion du 21e anniversaire de la réunification.
Le clin d'œil paraissait un juste retour de l'histoire au moment où l'Europe est secouée par la crise de la monnaie commune. Encore fallait-il l'oser alors que l'euroscepticisme gagne du terrain outre-Rhin. Lundi, alors que l'Allemagne célébrait le 21e anniversaire de sa réunification, le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, a lancé un vibrant plaidoyer pour davantage d'Europe et une plus grande unité sur le continent face à la crise.
Face aux hésitations d'Angela Merkel, Berlin est régulièrement taxé de manquer de solidarité par ses voisins européens depuis le début de la tempête dans la zone euro au printemps 2010. Il n'empêche. Pour le très europhile ministre chrétien-démocrate, pilier du gouvernement d'Angela Merkel et dernier dinosaure de l'ère Helmut Kohl, la réponse à la crise actuelle «ne peut être que plus d'Europe». «Sans notre ancrage dans l'Union européenne, la réunification pacifique de l'Allemagne aurait été rendue infiniment plus compliquée, sinon impossible», écrit Schäuble dans une tribune au quotidien Die Welt. » | Par Patrick Saint-Paul | Correspondant du Figaro à Berlin | Lundi 03 Octobre 2011
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Tuesday, September 20, 2011
LE FIGARO: Le gouvernement grec envisagerait la tenue d'un référendum sur le maintien de la Grèce dans la zone euro pour raffermir sa légitimité dans sa gestion de la crise de la dette, rapporte mardi le quotidien grec Kathimerini sur son site internet. » | Lefigaro.fr | Mardi 20 Septembre 2011
Friday, December 31, 2010
LE FIGARO: «La fin de l'euro serait la fin de l'Europe», a expliqué le président lors de ses vœux aux Français. Il souhaite que l'année 2011 soit «utile», la France ne pouvant pas «se payer le luxe d'une année d'immobilisme pré-électoral».
Il avait préparé son texte plusieurs jours à l'avance. Nicolas Sarkozy a apporté un soin particulier au rituel des vœux de la Saint-Sylvestre, après une année 2010 difficile, marquée par la défaite de la droite aux régionales, l'affaire Woerth-Bettencourt, ou encore la delicate réforme des retraites, sur fond de morosité économique.
Se posant en président «protecteur», comme son entourage l'avait pressenti, il a mis l'accent sur l'importance de l'Europe pendant la crise. Le président a mis en garde contre ceux qui proposent de sortir de l'euro. «L'isolement de la France serait une folie. La fin de l'euro serait la fin de l'Europe», a déclaré le chef de l'Etat. Or «dans la tempête, (elle) a su faire face, certes pas assez complètement et souvent pas assez rapidement, mais l'Europe a tenu et l'Europe nous a protégés», a-t-il affirmé.«Je m'opposerai de toutes mes forces à un retour en arrière qui ferait fi de 60 ans de construction européenne», a-t-il appuyé dans cette déclaration radio-télédiffusée qui était également retransmise par Dailymotion. >>> Par lefigaro.fr | Vendredi 31 Décembre 2010
Voeux du Président Nicolas Sarkozy aux Français pour 2011
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Friday, December 03, 2010
LE MONDE: Le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, affirme, vendredi 3 décembre, sur RTL, que l'euro est "crédible" et n'est pas "en crise en tant que monnaie", au lendemain du conseil des gouverneurs de la BCE qui a prolongé ses mesures exceptionnelles.
"On a des problèmes d'instabilité financière qui sont dus à une crise budgétaire dans certains pays européens", a-t-il ajouté, en expliquant que la BCE avait décidé jeudi de "continuer à alimenter en liquidités, sur des durées d'une semaine, un mois et trois mois, de manière illimitée, l'économie européenne". >>> LEMONDE.FR avec AFP | Vendredi 03 Décembre 2010
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Tuesday, November 16, 2010
LE POINT: La zone euro et l'Union européenne tout entière avec elle ne "survivront pas" si les problèmes budgétaires actuels de certains pays ne sont pas résolus, a mis en garde mardi le président de l'UE, Herman Van Rompuy. "Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie", a-t-il déclaré lors d'une intervention devant un centre de réflexion bruxellois, l'European Policy Center. "Nous devons tous travailler de concert afin de permettre à la zone euro de survivre. Car si la zone euro ne survit pas, l'Union européenne ne survivra pas non plus", a-t-il ajouté. "Mais j'ai confiance dans le fait que nous allons surmonter cela", a-t-il ajouté. >>> Source AFP | Mardi 16 Novembre 2010
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Saturday, May 22, 2010
LE MONDE: Joseph Stiglitz, 67 ans, Prix Nobel d'économie en 2001, ex-conseiller économique du président Bill Clinton (1995-1997) et ex-chef économiste de la Banque mondiale (1997-2000), est connu pour ses positions critiques sur les grandes institutions financières internationales, la pensée unique sur la mondialisation et le monétarisme. Il livre au Monde son analyse de la crise de l'euro.
Vous avez récemment dit que l'euro n'avait pas d'avenir sans réforme majeure. Qu'entendez-vous par là ?
L'Europe va dans la mauvaise direction. En adoptant la monnaie unique, les pays membres de la zone euro ont renoncé à deux instruments de politique économique : le taux de change et les taux d'intérêt. Il fallait donc trouver autre chose qui leur permette de s'adapter à la conjoncture si nécessaire. D'autant que Bruxelles n'a pas été assez loin en matière de régulation des marchés, jugeant que ces derniers étaient omnipotents. Mais l'Union européenne (UE) n'a rien prévu dans ce sens.
Et aujourd'hui, elle veut un plan coordonné d'austérité. Si elle continue dans cette voie-là, elle court au désastre. Nous savons, depuis la Grande Dépression des années 1930, que ce n'est pas ce qu'il faut faire. >>> Propos recueillis par Virginie Malingre, Londres Correspondante | Samedi 22 Mai 2010
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Sunday, May 09, 2010
LE FIGARO: La Grande-Bretagne a indiqué dimanche ne pas vouloir participer au Fonds d'urgence envisagé pour aider les pays de la zone euro en difficulté.
La Grande-Bretagne refuse de participer, en y apportant sa garantie, au Fonds d'urgence envisagé pour aider les pays de la zone euro en difficulté, a indiqué dimanche le ministre des Finances britanniques. «Je pense qu'il est important que nous fassions tout ce que nous pouvons faire pour stabiliser les marchés... Soyons très, très clairs: s'il y a une proposition afin de créer un fonds de stabilisation pour l'euro, cela doit être du ressort des pays de l'Eurogroupe», a déclaré le ministre, interrogé depuis Bruxelles par la chaîne d'information continue britannique Sky News.
L'idée de départ était que la Commission européenne puisse emprunter en bénéficiant de la garantie de tous les pays de l'Union européenne, y compris ceux comme la Grande-Bretagne qui n'utilisent pas l'euro, puisqu'il s'agit d'un mécanisme de l'UE, selon des sources diplomatiques. Dans cette perspective, la Suède s'est dite prête à participer au Fonds, même si elle ne fait pas partie de la zone euro, a déclaré en début d'après-midi son ministre des Finances. >>> Par lefigaro.fr | Dimanche 09 Mai 2010
THE GUARDIAN: Alistair Darling rules out British support for euro: Chancellor says that responsibility for propping up single currency must be limited to eurozone countries >>> Zoe Wood | Sunday, May 09, 2010
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Thursday, May 06, 2010
LE FIGARO: Dans une lettre commune adressée aux présidents de la Commission européenne et de l'Union européenne, la chancelière allemande et le chef de l'Etat souhaitent «renforcer la surveillance budgétaire».
Angela Merkel et Nicolas Sarkozy reprennent l'initiative à la veille du Conseil européen des chefs d'Etat et de gouvernement. La chancelière allemande et le chef de l'Etat français ont appelé jeudi dans une lettre commune à «aller plus loin» et à «tirer les leçons de la crise» grecque afin «d'éviter qu'une crise de cette nature ne se reproduise».
Dans ce texte adressé à Herman Van Rompuy, président de l'Union européenne, et à Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne, ils détaillent comment «renforcer la gouvernance économique». L'enjeu ? «Préserver les acquis de la création de l'euro».
Les deux dirigeants réclament une véritable remise à plat du fonctionnement de la zone euro. D'abord sur la réforme du pacte de stabilité et de croissance qui a fait la preuve de son inefficacité : «Renforcement de la surveillance budgétaire», «élargissement» des critères de Maastricht «aux questions structurelles et de compétitivité» mais aussi «un cadre robuste pour la résolution des crises». >>> Par Guillaume Guichard | Jeudi 06 Mai 2010
WELT ONLINE: In einem gemeinsam Brief an EU-Kommissionschef Barroso, der WELT ONLINE vorliegt, drängen Kanzlerin Merkel und Frankreichs Präsident Sarkozy auf radikale Maßnahmen zum Schutz der Eurozone. Helfen soll dabei der von Frankreich lange geforderte Ausbau einer europäischen Wirtschaftsregierung.
Unmittelbar vor dem EU-Gipfel am Freitag in Brüssel haben Kanzlerin Angela Merkel und Frankreichs Staatspräsident Nicolas Sarkozy die Initiative an sich gerissen: Nach dem Griechenland-Desaster wollen sie die Eurozone stabiler und krisenfester machen. >>> Von Christoph B. Schilz | Donnerstag, 06. Mai 2010
Tuesday, May 04, 2010
LE POINT: Le plan d'aide à la Grèce à peine bouclé, la crainte d'une contagion de cette crise de la dette au reste de l'Europe, et particulièrement à l'Espagne, a entraîné un mardi noir sur les Bourses européennes et fait rechuter l'euro. Des rumeurs selon lesquelles d'autres agences de notation allaient dégrader la note de l'Espagne et selon lesquelles Madrid pourrait demander une aide financière colossale au FMI ont fait plonger les places européennes. À la clôture, la Bourse de Madrid a lâché 5,41 %, Lisbonne 4,21 %, Milan 4,70 %, Dublin 3,97 %, Amsterdam 3,19 %, Paris 3,64 %, Londres 2,56 % et Francfort 2,6 %. La Bourse d'Athènes a, elle, cédé 6,68 %. Avec le Portugal, l'Espagne est l'un des pays de la zone euro qui inquiète le plus les marchés. >>> AFP | Mardi 04 Mai 2010
NZZ ONLINE: Griechenland-Krise belastet die Börsen weltweit: Bankentitel stark unter Druck - Unsicherheit um Spanien >>> chs./(sda/Reuters/afp/dpa) | Dienstag, 04. Mai 2010
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LE FIGARO: Angela Merkel veut modifier les traités pour imposer plus de discipline financière. Et imposer une agence de notation européenne. La France est d'accord sur les principes, mais pas sur le détail des mesures.
Prêts à tirer au plus vite les «leçons» de la crise, Paris et Berlin ont manifesté, dès lundi, leur intention de réformer le «Pacte de stabilité», qui a prouvé sa totale inefficacité dans la crise grecque. Ce texte impose aux états membres une limite de déficit à 3 % du PIB et de dettes à 60 % du PIB. Aujourd'hui, la Grèce affiche un déficit de 14 % du PIB et une dette supérieure à 130 % du PIB. «Il faut transformer le Pacte de manière à ce qu'il ne puisse pas être contourné», a plaidé lundi Angela Merkel, après avoir obtenu le feu vert de son gouvernement au plan d'aide à la Grèce, qui s'élèvera pour Berlin, à 22,4 milliards d'euros sur trois ans. >>> Par Alexandrine Bouilhet | Lundi 03 Mai 2010
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Thursday, March 25, 2010
LE TEMPS: La crise grecque, devenue celle de la zone euro, a souligné les divergences entre la France et l’Allemagne. Pressée par son opinion, la chancelière allemande durcit le ton
«Madame Merkel, continuez de dire non!», «Les nouvelles règles du jeu de Merkel pour l’Europe»: les titres de la presse allemande à la veille du sommet européen de Bruxelles en disent long sur le glissement du débat suscité par le trou béant du budget grec. Ce n’est plus Athènes qui focalise l’attention, mais Berlin et son intransigeance – critiquée ou admirée.
Dans une de ces cacophonies dont l’Union européenne a le secret, on a entendu ces jours la ministre française de l’Economie Christine Lagarde douter de «la durabilité du modèle allemand» basé sur des exportations compétitives, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso réclamer plus de «solidarité» avec la Grèce, tandis que la chancelière allemande martelait qu’il n’est pas question de ficeler un paquet d’aide cette semaine. Pendant ce temps, les marchés continuaient de jouer l’euro à la baisse.
Au moment où ces lignes étaient écrites, les négociations continuaient entre la France, l’Allemagne et le président du Conseil européen Herman van Rompuy. Une sortie de crise semble se dessiner, tentons d’en décrypter les enjeux. >>> Jean-Claude Péclet | Jeudi 25 Mars 2010
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Sunday, March 07, 2010
20MINUTES.ch: La Grèce souhaite trouver une «solution européenne» à ses difficultés financières et n'envisage pas pour l'instant de recours au Fonds monétaire international (FMI).
«Nous voulons une solution européenne, nous ne voulons pas choisir le FMI», a déclaré M. Papandreou à l'issue d'un entretien d'une heure avec son homologue français à l'Elysée.
«La solution européenne jusqu'à hier ou avant-hier restait très théorique. Après les différentes rencontres que j'ai eues cette semaine (...) j'ai entendu que la volonté politique existait, et pas seulement de la part du président Sarkozy», a-t-il poursuivi.
«Notre pays a pris des mesures plus importantes et supplémentaires par rapports à ce que les spécialistes (...) avaient préconisé (...) nous voulons donc pouvoir emprunter comme tout autre pays de la zone euro avec un taux qui est similaire, peut-être pas identique, mais comparable», a ajouté le chef du gouvernement grec. >>> ats | Dimanche 07 Mars 2010
Thursday, March 04, 2010
LE TEMPS: Les syndicats se mobilisaient jeudi contre le plan d’économies de 4,8 milliards d’euros décidé par la Grèce pour mettre fin à sa dérive budgétaire qui a placé la population en état de choc et alimente des craintes de récession prolongée
L’annonce des mesures décidées par le gouvernement socialiste a été reçue comme «un choc», «un électrochoc» par l’ensemble de la société, «c’est la fin d’une époque», a affirmé jeudi la presse grecque. Les partis, les syndicats du public et du privé fourbissaient leurs armes pour réagir.
Le Front de lutte syndicale (PAME), proche des communistes, a ouvert la danse des protestations. Il a organisé dès mercredi soir plusieurs manifestations dans le pays, appelé ses membres à une grève vendredi et préparait de grands rassemblements dans une soixantaine de villes du pays, jeudi soir. Dans la matinée, ses militants ont bloqué l’entrée du ministère des Finances, scandant des slogans contre «les mesures anti-populaires». Ils ont déployé une immense banderole sur la façade du ministère, face au Parlement, appelant les Grecs à réagir pour que «les mesures ne passent pas». >>> AFP | Jeudi 04 Mars 2010
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Thursday, February 11, 2010
LE TEMPS: L’Allemagne est le maître d’œuvre de la mobilisation européenne en faveur de la Grèce. Elle pourrait apparaître comme une nouvelle avancée de l’intégration européenne. C’est du moins l’analyse d’Antonio Missiroli, directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles
Le sommet informel des chefs d’Etat européen s’est transformé en sommet de crise pour aider la Grèce et sauver la zone euro attaquée par les marchés financiers. Ce jeudi, le président de l’Union européenne a annoncé que les pays de la zone euro prendront si nécessaire, des mesures «déterminées et coordonnées» pour préserver leur stabilité financière ébranlée par la crise grecque. Directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles, Antonio Missiroli revient sur cette concertation au sommet. >>> Frédéric Koller | Jeudi 11 Février 2010
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Friday, February 05, 2010
MAIL ONLINE: The euro fell for a second straight day today amid fears that economies of Portugal, Greece and Spain could collapse in a sea of debt.
In Europe, the FTSE 100 index of leading British shares was down 1.6 per cent, while Germany's DAX fell 1.3 per cent and the CAC-40 in France was 2.1 per cent lower.
The euro tumbled below $1.37, its lowest level since May 2009.
It also slumped against other safe-haven currencies like the Swiss franc, forcing the Swiss National Bank to take the unusual step of intervening in the market.
But the currency remained steady against sterling, reflecting the weakness of the British economy. >>> Lucy Farndon and Heath Aston | Friday, February 05, 2010
LE FIGARO: Face aux détériorations des finances publiques de plusieurs états de la zone euro, la monnaie européenne est passée à 1,3648 dollar ce vendredi matin.
L'euro est tombé vendredi à son niveau le plus bas depuis mai 2009. Ce matin, la monnaie unique enchaîne sa troisième séance de repli et est passé sous les 1,37 dollar, après avoir franchi en baisse le seuil des 1,38 dollar la veille (jeudi soir vers 22 heures). Il a atteint 1,3648 dollar vers 9 heures 30. C'est un niveau inédit pour la monnaie unique depuis le 9 mai.
Depuis le début de l'année, l'euro a cédé 2,5%.
Cette chute s'explique en particulier par l'inquiétude des cambistes due aux difficultés budgétaires de plusieurs pays de la zone euro. Beaucoup s'attendent à une intervention musclée de l'Europe, voire à un appel auprès du Fonds monétaire international (FMI), pour aider la Grèce à se sortir d'une crise budgétaire sans précédent.
Un autre sujet vient inquiéter l'euro sur le marché des devises, le cas de l'Espagne qui a très mal digéré la crise avec notamment un taux de chômage atteignant près de 20%. D'ailleurs Dominique Strauss-Kahn, le patron du FMI, a parlé ce jeudi sur RTL d'une crise «très forte en Espagne» et que le pays devait faire «un effort considérable» pour réduire les déficits publics. La dette publique espagnole s'est envolée un peu au-dessus des 60% du PIB en 2010 alors qu'en 2007 elle ne représentait que 36,2% du PIB. >>> Jean-Guillaume Brasseur (lefigaro.fr) | Vendredi 05 Février 2010
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Tuesday, September 22, 2009
LE FIGARO: La monnaie unique européenne a touché un nouveau plus haut d'un an face au billet vert, ce matin vers 08H00 GMT, se rapprochant de 1,48 dollar, niveau plus atteint depuis le 23 septembre 2008, profitant de l'optimisme persistant des cambistes sur la reprise. [Source: LeFigaro.fr] AFP | Mardi 22 Septembre 2009
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Monday, September 21, 2009
leJDD.fr: L'Iran a abandonné le dollar et est passé à l'euro pour estimer la valeur de son Fonds de stabilisation pétrolière (OSF), rapportent lundi les médias iraniens. La décision, prise par le président Mahmoud Ahmadinejad, vise à protéger la république islamique de la fragilité de l'économie américaine et de la faiblesse du dollar, précise la radio publique. [Source: leJDD.fr] | Lundi 21 Septembre 2009
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