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Sunday, December 24, 2023

L'Elysée, plus qu'une maison politique, un temple de la gastronomie française

Apr 16, 2023 | Le succès de l'Elysée ne se limite pas à la politique et à la diplomatie, mais s'étend également à sa cuisine et à son chef renommé : Bernard Vaussion. Ayant travaillé à l'Elysée pendant 40 ans, Vaussion a servi six présidents différents et a préparé des plats pour de nombreuses personnalités internationales, telles qu'Elizabeth II d'Angleterre, Barack Obama, Angela Merkel et Muhamar Khadafi. En tant qu'ambassadeur de l'excellence culinaire française, Vaussion dirigeait une brigade de 20 personnes et travaillait dans un musée vivant comprenant des ustensiles et de la vaisselle historique. Sa cuisine reflétait la tradition des arts de la table à la française et contribuait à la renommée de l'Elysée. Bien qu'il soit maintenant à la retraite, son héritage culinaire et son influence sur la cuisine française continuent de se faire sentir.

Thursday, June 05, 2014

La reine Elizabeth II, méga-star

La reine déchaîne toujours les passions. " Ce que je ressens ? De la joie et un
peu de stress", résume Mathilde, une étudiante, âgée de 17 ans.

LE POINT: Véritable "queen star" à 88 ans, elle sera la seule dirigeante présente aux commémorations du 6 juin 1944 à avoir connu la Seconde Guerre mondiale.

D'un pas sûr malgré ses 88 ans, un bouquet de fleurs à la main, Elizabeth II, souriante et vêtue de blanc, quitte la gare du Nord à Paris. La reine entame en "guest star" une visite d'État qui va la conduire des plages du Débarquement aux ors républicains de l'Élysée. Arrivée en Eurostar accompagnée de son mari le prince Philip, la souveraine britannique, vêtue d'une robe crème et d'une veste blanche à liséré noir, coiffée d'un chapeau de la même couleur et portant des gants noirs, est accueillie par une foule de quelque 300 personnes, avant de s'engouffrer dans une Bentley noire. "C'est merveilleux qu'elle soit là !" dit, un drapeau canadien à la main, Margaret Kittle, visiblement émue, dont le mari a pris part à la Seconde Guerre mondiale au sein de la Royal Air Force. "Parmi tous les dirigeants qui seront demain sur les plages, c'est la seule à avoir connu la guerre", fait-elle valoir. (+ vidéo) » | Source AFP | jeudi 05 juin 2014

Tuesday, September 27, 2011

Une candidate en niqab à l'Elysée en 2012

SAPHIR NEWS: Une femme intégralement voilée en niqab à l’Elysée ? Une idée qui a de quoi surprendre mais qui ne peut pas plaire à tout le monde. Pourtant, Kenza Drider vient de présenter sa candidature à l'élection présidentielle de 2012. Devenue en quelques mois la coqueluche des médias, la candidate en niqab veut défendre la liberté de conscience.

Une audace à peine voilée. La candidature de Kenza Drider à l’élection présidentielle en 2012 fait grand bruit en France. Cette Française de 32 ans d’origine marocaine qui habite Avignon, a publiquement annoncé, jeudi 22 septembre à Meaux (Seine-et-Marne), son intention de briguer la présidence de la République en 2012.

Cette jeune femme, qui porte le voile intégral depuis 13 ans, n’est pas complètement inconnue du grand public. Elle a été la seule femme en niqab à avoir été entendue par la mission parlementaire sur le port du voile intégrale en décembre 2009.

Devenue depuis une figure médiatique et une porte-parole des femmes dans sa condition, Kenza souhaite mettre à profit sa petite notoriété pour se faire entendre. Choquée par la loi interdisant le port du niqab dans les lieux publics en vigueur depuis le 11 avril dernier, elle souhaite l’abroger au nom de la liberté de culte et de la liberté de conscience.

Son engagement, dit-elle, n’est pas uniquement réservé aux femmes en niqab. Elle déclare vouloir défendre toutes les femmes [i][« victimes de stigmatisation ou de discriminations sociales, économiques ou politiques. »] et compare volontiers son combat à Rosa Parks, icône de la lutte contre la ségrégation raciale aux Etats-Unis. » | Hanan Ben Rhouma | Vendredi 23 Septembre 2011

Sunday, January 09, 2011

France : Voeux du Président aux autorités religieuses pour l'année 2011

Friday, December 31, 2010

Nicolas Sarkozy s'engage à protéger l'euro

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Les voeux du président de la République ont été enregistrés pendant la journée dans la salle des fêtes de l'Elysée. Ils ont été diffusés en différé à 20 heures simultanément sur Dailymotion, sur les principales chaînes de télévision et stations de radio. Photo : Le Figaro


LE FIGARO: «La fin de l'euro serait la fin de l'Europe», a expliqué le président lors de ses vœux aux Français. Il souhaite que l'année 2011 soit «utile», la France ne pouvant pas «se payer le luxe d'une année d'immobilisme pré-électoral».

Il avait préparé son texte plusieurs jours à l'avance. Nicolas Sarkozy a apporté un soin particulier au rituel des vœux de la Saint-Sylvestre, après une année 2010 difficile, marquée par la défaite de la droite aux régionales, l'affaire Woerth-Bettencourt, ou encore la delicate réforme des retraites, sur fond de morosité économique.

Se posant en président «protecteur», comme son entourage l'avait pressenti, il a mis l'accent sur l'importance de l'Europe pendant la crise. Le président a mis en garde contre ceux qui proposent de sortir de l'euro. «L'isolement de la France serait une folie. La fin de l'euro serait la fin de l'Europe», a déclaré le chef de l'Etat. Or «dans la tempête, (elle) a su faire face, certes pas assez complètement et souvent pas assez rapidement, mais l'Europe a tenu et l'Europe nous a protégés», a-t-il affirmé.«Je m'opposerai de toutes mes forces à un retour en arrière qui ferait fi de 60 ans de construction européenne», a-t-il appuyé dans cette déclaration radio-télédiffusée qui était également retransmise par Dailymotion. >>> Par lefigaro.fr | Vendredi 31 Décembre 2010


Voeux du Président Nicolas Sarkozy aux Français pour 2011
Uploaded by elysee. - Up-to-the minute news videos.

Monday, August 02, 2010

Le président pakistanais : "La France considère le Pakistan comme un partenaire responsable"

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Nicolas Sarkozy serre la main à son homologue pakistanais sur le perron de l'Élysée. Photo: Le Point

LE POINT: Le président pakistanais Asif Ali Zardari a estimé lundi que la France considérait le Pakistan comme "un partenaire responsable", à l'issue d'un entretien avec son homologue Nicolas Sarkozy. "La France considère le Pakistan comme un partenaire responsable", a assuré Asif Ali Zardari, s'exprimant devant des journalistes au palais de l'Élysée. >>> AFP | Lundi 02 Août 2010

Thursday, April 15, 2010

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Les drapeaux grâce aux Google Images.

Rencontre Israël – Paris : Sarkozy et Peres créent une nouvelle maison de l'amitié Europe-Israël

LE POINT: Le président Nicolas Sarkozy et son homologue israélien Shimon Peres ont lancé jeudi à l'Élysée une "maison commune Europe-Israël" qui réunit des fondations et associations d'amitié de l'État hébreu et dix pays européens afin de "rapprocher leurs sociétés civiles". Lancée à l'initiative de la fondation France-Israël, cette "maison commune" a pour vocation de "rapprocher nos envies, nos moyens, nos ressources et de réaliser ensemble un certain nombre de projets", selon la présidente de la fondation, l'ex-ministre Nicole Guedj. >>> AFP | Jeudi 15 Avril 2010

YNET NEWS: Sarkozy to Peres: What's your secret? : Israeli president meets French counterpart; two leaders discuss Iran, peace process >>> Gilad Halpern | Thursday, April 15, 2010

Thursday, April 08, 2010

Erdogan : «Israël menace la paix régionale»

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Poignée de main entre Nicolas Sarkozy et Recep Tayyip Erdogan reçu mercredi à l'Élysée pour un déjeuner de travail. Photo : Le Figaro

LE FIGARO: Le premier ministre turc hausse le ton contre « les provocations » de l'État hébreu.

Le ton monte entre la Turquie et Israël. Alors que la visite à Paris du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, devait replacer sous les projecteurs les tensions entre Paris et Ankara à propos de l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne (UE), celles-ci ont été éclipsées par des échanges très vifs entre les gouvernements turc et israélien, qui ponctuent des mois de détérioration des relations entre les deux pays.

Face à la presse, avant un déjeuner de travail avec Nicolas Sarkozy à l'Élysée, M. Erdogan a accusé Israël d'être «la principale menace contre la paix» au Proche-Orient. «Si un pays fait usage d'une force disproportionnée en Palestine, utilise des bombes au phosphore à Gaza, nous n'allons pas lui dire: «Vous avez bien fait, bravo», a déclaré le chef du gouvernement turc. Il y a eu une attaque à Gaza qui a fait 1 500 morts (fin 2008, NDLR) et les motifs invoqués sont des mensonges. Lisez le rapport Goldstone. Goldstone est juif et son rapport est clair, a poursuivi M. Erdogan, chef du parti islamo-conservateur AKP. S'il dérange Israël, c'est parce qu'il décrit des réalités. Israël mène une politique d'invasion et de provocations permanentes. Ce n'est pas parce que nous sommes musulmans que nous le disons : notre approche est humanitaire.» Il a également justifié son opposition à des sanctions contre l'Iran par le fait qu'Israël, réputé posséder l'arme nucléaire, ne subit aucune pression. >>> Par Philippe Gelie | Jeudi 08 Avril 2010

Monday, February 22, 2010

Diplomatie : Nicolas Sarkozy veut une reprise des discussions pour "un État palestinien réel"

Le président français Nicolas Sarkozy a reçu lundi à l'Élysée le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Crédits photo : Le Point

LE POINT: Un État palestinien dans les frontières de 1967, avec un échange de territoire : telle est la volonté de Nicolas Sarkozy, qui ne reprend donc pas à son compte l'idée évoquée par Bernard Kouchner ce week-end de reconnaître un État palestinien avant même le règlement de la question des frontières avec Israël. 



"Ce que nous voulons (...) c'est un État (palestinien) réel, qui puisse donner une espérance, un avenir aux millions de Palestiniens, [ce n'est] pas simplement une idée", a déclaré lundi le chef de l'État, lors d'une conférence de presse commune avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à l'Élysée. "Dans la déclaration de Bernard (Kouchner), il y avait de la prospective en disant : Si on n'arrive pas à ça, on peut marquer politiquement, le moment venu, en accord avec nos amis palestiniens, l'idée de cet État , donner un cran de plus en quelque sorte", a-t-il poursuivi. "Mais le point d'arrivée, c'est un État palestinien dans les frontières de 1967, avec un échange de territoire comme ça a toujours été dit", a insisté le président français. >>> Le Point avec AFP | Lundi 22 Février 2010

Point de vue : A quand l'Etat palestinien ?, par Bernard Kouchner et Miguel Angel Moratinos

LE MONDE: Le 17 décembre 2007, la Conférence internationale des donateurs pour l'Etat palestinien permettait de collecter 7,7 milliards de dollars pour l'Autorité palestinienne jusqu'en 2010. Il s'agissait de jeter les bases économiques, financières, institutionnelles du futur Etat palestinien et d'appuyer la démarche de paix du président Abbas au moment même où s'ouvrait la conférence d'Annapolis.

Deux ans après, le processus d'Annapolis a déçu, mais la construction des bases de l'Etat palestinien a nettement progressé, constituant aujourd'hui une base solide pour une reprise des négociations israélo-palestiniennes en vue d'un accord de paix. >>> Le Monde | Lundi 22 Février 2010

Saturday, September 05, 2009

Sarkozy et Abbas dénoncent la colonisation israélienne

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Nicolas Sarkozy, qui considère une relance rapide des pourparlers de paix comme l'une de ses priorités diplomatiques, s'est entretenu avec son homologue palestinien, vendredi à l'Élysée. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Le rendez-vous entre le président de l'Autorité palestinienne et Nicolas Sarkozy, vendredi à l'Élysée, s'est déroulé sous la pression des dernières déclarations israéliennes.

C'est peu dire que la rencontre entre Mahmoud Abbas et Nicolas Sarkozy, vendredi à l'Élysée, s'est déroulée dans un contexte de pessimisme. L'annonce, le jour même, par les Israéliens de leur intention de donner un coup d'accélérateur à la colonisation en Cisjordanie avant tout gel partiel touche en effet le problème crucial sur la route d'une improbable relance de pourparlers de paix israélo-palestiniens. «Ce n'est pas acceptable. Nous voulons un gel de la colonisation et également le lancement des négociations de la phase finale», a réagi Mahmoud Abbas à l'issue de sa discussion d'environ une heure avec le président de la République. Cette étape parisienne, souhaitée par le président palestinien, s'inscrivait dans les préparatifs de l'Assemblée générale de l'ONU qui débutera dans quelques jours. À cette occasion, il serait question d'une rencontre organisée à New York entre le dirigeant palestinien et le premier ministre israélien. Mais vendredi, Mahmoud Abbas a été clair en indiquant qu'une éventuelle rencontre «dépendra des pas, des mesures qui l'auront précédée concernant le gel de la colonisation». Le principal négociateur palestinien Saëb Erakat a, pour sa part, jugé «totalement inacceptable» le projet israélien d'extension des colonies juives. «La seule chose qui sera suspendue après ces annonces, c'est le processus de paix», a-t-il ajouté.

Paris a également condamné «sans aucune ambiguïté» l'accélération de la colonisation israélienne. Lors de l'entretien avec son homologue palestinien, Nicolas Sarkozy a «souligné qu'il était déterminant, pour permettre la reprise du processus de paix, que cessent les activités de colonisation ainsi que le demande l'ensemble de la communauté internationale», selon un communiqué de l'Élysée. Obama attendu à l'ONU >>> Alain Barluet | Vendredi 04 Septembre 2009