THE DAILY TELEGRAPH: Mahmoud Ahmadinejad, Iran's president, suffered a further blow on Thursday after one of his closest aides was arrested, in an escalation of a feud with the Islamic state's Supreme Leader.
Mohammad Sharif Malekzadeh who was forced to resign as deputy foreign minister on Tuesday just days after his appointment after a backlash from mainstream conservatives loyal to Ayatollah Ali Khamenei, was arrested on Thursday on corruption charges.
Mr Malekzadeh was a senior official in the high council of Iranian foreign affairs, run by Mr Ahmadinejad's chief of staff Esfandiar Rahim Mashaie, whom conservatives accuse of disloyalty.
Western officials based in Tehran said Mr Ahmadinejad was under pressure after an unsuccessful power grab in which he had tried to install loyalists in the powerful intelligence and oil ministries. » | Damien McElroy, Foreign Affairs Correspondent | Thursday, June 23, 2011
Wednesday, February 24, 2010
Greece Grinds to Halt Amid Strikes
Scharfe Attacke aus Griechenland gegen Deutschland: Streit über EU-Finanzhilfen droht zu eskalieren
NZZ ONLINE: Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos die deutsche Regierung scharf angegriffen und dabei auf Verbrechen während der NS-Zeit verwiesen.
Griechenland und Deutschland liegen sich in den Haaren: Der griechische Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos sagte der BBC laut einem Bericht des britischen Senders, Deutschland stehe Kritik an Griechenland nicht zu, weil die Nationalsozialisten die Wirtschaft Griechenlands ruiniert und überdies tausende Menschen ermordet hätten.
Pangalos sagte laut BBC weiter: «Sie haben das Gold aus der Bank von Griechenland und auch griechisches Geld weggeschafft, und es nie zurückgegeben.» Dieses Thema müsse in baldiger Zukunft behandelt werden. >>> ddp | Mittwoch, 24. Februar 2010
In Krise wollen Griechen deutsches Geld wegen Nazi-Besatzung
TAGES ANZEIGER: Mit einem Generalstreik haben die Griechen gegen die drastischen Sparpläne der Regierung protestiert. Gleichzeitig überrascht der griechische Vize-Premier mit seltsamen Forderungen an Deutschland.
Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos am Mittwoch die deutsche Regierung scharf angegriffen. Griechenland sei nie für die Folgen der nationalsozialistischen Besatzung im Zweiten Weltkrieg entschädigt worden, erklärte Pangalos am Tag des Generalstreiks gemäss Meldungen von Nachrichtenagenturen. >>> vin | Mittwoch, 24. Februar 2010
La Grèce paralysée par la grève générale
Mercredi à Athènes, les forces de l'ordre ont dû charger certains groupes de manifestants en marge de la manifestation contre le plan d'austérité du gouvernement. Crédits photo : Le Figaro
LE FIGARO: Les syndicats se dressent contre le plan d'austérité imposé par l'UE.
Armés de banderoles, de haut-parleurs et de lunettes de soleil, les Grecs ont déclaré la guerre au plan d'austérité annoncé par le gouvernement socialiste. «Ce sont les riches qui doivent payer, et les spéculateurs», scandaient plus de 30 000 personnes dans les trois cortèges qui ont défilé mercredi à Athènes sous un soleil printanier.
L'appel à la grève générale avait été lancé par la Confédération générale des travailleurs et la Fédération des fonctionnaires. Le pays s'est retrouvé presque totalement paralysé : blocage des transports maritimes et aériens, écoles et administrations fermées, hôpitaux et tribunaux en service minimum. Des échauffourées ont éclaté entre la police et quelques centaines de jeunes, provoquant la dispersion des cortèges devant le Parlement sous des nuages de gaz lacrymogènes.
Malgré ces incidents, les syndicats parlent de «succès dans la mobilisation», pour une grève qui se veut «une mise en bouche» avant de prochains mouvements. «Il n'y a pas de justice sociale dans ce pays, s'insurge Makis Karkavela, un fonctionnaire gréviste. Nous ne laisserons pas Bruxelles nous imposer ces mesures.» Le plan d'austérité du gouvernement grec, validé par la Commission européenne en janvier, n'a qu'un seul objectif : réduire le déficit public au plus vite. Celui-ci atteint 12,7 % du PIB, un record en Europe, et doit être réduit de quatre points d'ici à la fin de l'année. Pour rassurer les marchés financiers et les partenaires européens, Bruxelles a mis la Grèce sous tutelle et exige les premiers résultats des réformes d'ici au 16 mars, date du prochain Conseil des ministres de l'Économie de l'UE. Tension avec Berlin >>> Alexia Kefalas , à Athènes | Mercredi 24 Février 2010
Thursday, November 12, 2009
Iran Issues Tacit Warning to Saudi Arabia Over Attacks on Rebels
TIMES ONLINE: Iran warned Saudi Arabia yesterday not to become further entangled in supporting the Yemen Government’s drive to put down Shia Muslim rebels.
After a week of Saudi air raids and the imposition of a naval blockade by Riyadh to prevent weapons from reaching the insurgents, Iran issued comments that are certain to escalate tensions between the regional powers.
“Those who pour oil on the fire must know that they will not be spared from the smoke that billows,” said Manouchehr Mottaki, the Iranian Foreign Minister, in a clear warning to Saudi Arabia — which attacked Huthi rebels after they took control of a Saudi border town last week.
Iran is a majority Shia Muslim country and supports Shia groups across the region, particularly in Lebanon and Iraq, while Saudi Arabia is a Sunni Muslim state. >>> James Hider, Middle East Correspondent | Thursday, November 12, 2009
Wednesday, June 24, 2009
La tension monte entre l'Iran et le Royaume-Uni
Un manifestant brandit une pancarte anti-britannique, devant l'ambassade du Royaume-Uni à Téhéran, le 15 juin. Photo : L’Express
L’EXPRESS.fr: Après avoir dénoncé l'ingérence occidentale dans le mouvement anti-Ahmadinejad, Téhéran cible Londres, promu ennemi numéro un du régime.
Aux grandes heures de la Révolution islamique, en 1979, l'ayatollah Khomeini dénonçait le "Grand Satan" américain. Si la rhétorique n'a pas évolué, la cible est mouvante. Désormais, son successeur Ali Khamenei s'emporte contre l'"Angleterre diabolique". Dans son prêche à l'Université de Téhéran, le 19 juin, le Guide suprême s'en est ouvertement pris au gouvernement britannique, qu'il accuse de téléguider les manifestations.
"Ils montrent leur vraie hostilité envers l'Etat islamique iranien, et le plus mauvais d'eux est le gouvernement britannique", s'est-il offusqué. Dans l'assistance, les "Marg bar Ingles" [mort à l'Angleterre, ndlr] ont vite résonné dans une clameur. Dans un élan de conspirationnisme décati, il a renchéri: "[Ce sont] des loups affamés en embuscade, prêts à retirer le masque diplomatique de leur visage. Ne négligez pas ces gens-là!".
Talion diplomatique
Loin d'être une surprise, cette escalade verbale ne fait que raviver des plaies toujours ouvertes entre les deux pays. Depuis plus de 50 ans, l'Iran et le Royaume-Uni nourrissent un ressentiment partagé. De la lutte pour le contrôle du pétrole à la fatwa lancée par Khomeini contre Salman Rushdie, leurs relations bilatérales sont au mieux exécrables, au pire inexistantes.
Comme un écho à la "chasse aux bouc-émissaires étrangers" que déplore le Guardian, le régime a commencé à expulser en début de semaine les sujets de sa Majesté un peu trop entreprenants à son goût. >>> Par Olivier Tesquet | Mardi 23 Juin 2009
Sunday, May 17, 2009
Netanyahu’s Meeting with Obama Is Expected to Be Tense
Saturday, September 06, 2008
Tensions High in Caucasus
TIMESONLINE: A US Navy flagship carrying humanitarian aid yesterday steamed into a Georgian port where Russian troops are still stationed, stoking tensions once again in the tinderbox Caucasus region.
A previous trip by US warships was cancelled at the last minute a week ago amid fears that an armed stand-off could intensify in the Black Sea port of Poti.
The arrival of the USS Mount Whitney, flagship of the 6th Fleet in the Mediterranean, came as Moscow accused Dick Cheney, the hawkish US Vice-President, of stoking tensions during a visit to Tbilisi this week. After meeting President Saakashvili, Mr Cheney vowed to bring Georgia into the Nato alliance. Russia sees such moves as Western encroachment on its traditional sphere of influence.
Russia’s leaders have accused previous US warships that docked at the port of Batumi, to the south, of delivering weapons to re-arm the smashed Georgian military — charges that Washington denied. US Warship Confronts Russian Military in ‘Tinderbox’ Port >>> By James Hider in Tbilisi and Tony Halpin in Moscow | September 6, 2008
DIE PRESSE: Der russische Präsident beschwört auf dem "Shanghaier Gipfel" die Freundschaft zu Staaten wie China, Tadschikistan und Kirgistan. Die umstritten Anerkennung von Südossetien und Abchasien kam allerdings nicht zur Sprache.
In seinem Konflikt mit Georgien sieht Russland China und die Ex-Sowjetrepubliken Zentralasiens auf seiner Seite. Beim Gipfeltreffen der "Shanghaier Organisation für Zusammenarbeit" (SCO) in Tadschikistan dankte Präsident Dmitrij Medwedjew am Donnerstag den Partnerstaaten für "ihr Verständnis und die objektive Bewertung des von Russland unternommenen Friedenseinsatzes" im Südkaukasus. Von der am Dienstag erfolgten Anerkennung der Unabhängigkeit Abchasiens und Südossetiens durch Moskau war in der gemeinsamen Erklärung der Gipfelteilnehmer allerdings nicht die Rede. Medwedjews neue Freunde: China und Zentralasien >>>