The EU should be stronger and more united. Great Britain should belong to the Union.
Die EU sollte stärker und geeinter sein. Großbritannien sollte der Union angehören.
L'UE devrait être plus forte et plus unie. La Grande-Bretagne devrait appartenir à l'Union.
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Wednesday, April 14, 2010
Grèce : Nouvelle série de grèves contre la rigueur et l'austérité
La Grèce est confrontée à une quatrième vague de grèves depuis le début de l'année, en réaction aux mesures draconiennes prises par le gouvernement pour réduire le déficit. Photo : Le Point
LE POINT: Une nouvelle série de grèves et d'arrêts de travail a débuté mercredi en Grèce avec des mouvements de chauffeurs de taxi et d'avocats contre un projet de réforme fiscale qui doit être voté jeudi par le parlement. "Notre revendication reste la même : la non-inclusion de notre secteur dans la logique du projet fiscal", souligne un communiqué de la Fédération nationale des taxis et voitures de location (POE.IATA, 30.000 adhérents) qui a déjà organisé deux grèves, en février et mars, pour les mêmes raisons.
Les grévistes de la région d'Athènes, qui regroupent quelque 15.000 taxis, devaient manifester en début d'après-midi dans le centre de la capitale. Les avocats ont eux aussi lancé une grève de trois jours, la deuxième en un mois, contre la loi qui réforme l'imposition des professions libérales. Les vendeurs des marchés populaires ont de leur côté observé une grève de 24 heures pour protester contre l'obligation d'utiliser des caisses enregistreuses prévue par le gouvernement. >>> AFP | Mercredi 14 Avril 2010
Wednesday, February 24, 2010
Greece Grinds to Halt Amid Strikes
Scharfe Attacke aus Griechenland gegen Deutschland: Streit über EU-Finanzhilfen droht zu eskalieren
NZZ ONLINE: Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos die deutsche Regierung scharf angegriffen und dabei auf Verbrechen während der NS-Zeit verwiesen.
Griechenland und Deutschland liegen sich in den Haaren: Der griechische Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos sagte der BBC laut einem Bericht des britischen Senders, Deutschland stehe Kritik an Griechenland nicht zu, weil die Nationalsozialisten die Wirtschaft Griechenlands ruiniert und überdies tausende Menschen ermordet hätten.
Pangalos sagte laut BBC weiter: «Sie haben das Gold aus der Bank von Griechenland und auch griechisches Geld weggeschafft, und es nie zurückgegeben.» Dieses Thema müsse in baldiger Zukunft behandelt werden. >>> ddp | Mittwoch, 24. Februar 2010
In Krise wollen Griechen deutsches Geld wegen Nazi-Besatzung
TAGES ANZEIGER: Mit einem Generalstreik haben die Griechen gegen die drastischen Sparpläne der Regierung protestiert. Gleichzeitig überrascht der griechische Vize-Premier mit seltsamen Forderungen an Deutschland.
Im Streit über EU-Finanzhilfen für das hochverschuldete Griechenland hat Vize-Ministerpräsident Theodoros Pangalos am Mittwoch die deutsche Regierung scharf angegriffen. Griechenland sei nie für die Folgen der nationalsozialistischen Besatzung im Zweiten Weltkrieg entschädigt worden, erklärte Pangalos am Tag des Generalstreiks gemäss Meldungen von Nachrichtenagenturen. >>> vin | Mittwoch, 24. Februar 2010
La Grèce paralysée par la grève générale
Mercredi à Athènes, les forces de l'ordre ont dû charger certains groupes de manifestants en marge de la manifestation contre le plan d'austérité du gouvernement. Crédits photo : Le Figaro
LE FIGARO: Les syndicats se dressent contre le plan d'austérité imposé par l'UE.
Armés de banderoles, de haut-parleurs et de lunettes de soleil, les Grecs ont déclaré la guerre au plan d'austérité annoncé par le gouvernement socialiste. «Ce sont les riches qui doivent payer, et les spéculateurs», scandaient plus de 30 000 personnes dans les trois cortèges qui ont défilé mercredi à Athènes sous un soleil printanier.
L'appel à la grève générale avait été lancé par la Confédération générale des travailleurs et la Fédération des fonctionnaires. Le pays s'est retrouvé presque totalement paralysé : blocage des transports maritimes et aériens, écoles et administrations fermées, hôpitaux et tribunaux en service minimum. Des échauffourées ont éclaté entre la police et quelques centaines de jeunes, provoquant la dispersion des cortèges devant le Parlement sous des nuages de gaz lacrymogènes.
Malgré ces incidents, les syndicats parlent de «succès dans la mobilisation», pour une grève qui se veut «une mise en bouche» avant de prochains mouvements. «Il n'y a pas de justice sociale dans ce pays, s'insurge Makis Karkavela, un fonctionnaire gréviste. Nous ne laisserons pas Bruxelles nous imposer ces mesures.» Le plan d'austérité du gouvernement grec, validé par la Commission européenne en janvier, n'a qu'un seul objectif : réduire le déficit public au plus vite. Celui-ci atteint 12,7 % du PIB, un record en Europe, et doit être réduit de quatre points d'ici à la fin de l'année. Pour rassurer les marchés financiers et les partenaires européens, Bruxelles a mis la Grèce sous tutelle et exige les premiers résultats des réformes d'ici au 16 mars, date du prochain Conseil des ministres de l'Économie de l'UE. Tension avec Berlin >>> Alexia Kefalas , à Athènes | Mercredi 24 Février 2010
Thursday, January 29, 2009
Generalstreik gegen Sarkozys Krisenpolitik: Erhebliche Verkehrsbehinderungen am «schwarzen Donnerstag»
NZZ Online: In Frankreich ist der erste Generalstreik gegen die Krisenpolitik von Staatspräsident Nicolas Sarkozy angelaufen. Am Morgen kam es bereits zu erheblichen Behinderungen im Nahverkehr von Paris und Marseille. Zu rund hundert Demonstrationen im ganzen Land werden Millionen Menschen erwartet. >>> ap | Donnerstag, 29. Januar 2009
THE TELEGRAPH: France Hit by National Strike on 'Black Thursday'
France woke up to a day of nationwide strikes in both the public and private sector on what has been billed as 'Black Thursday'.
However, disruption to transport networks appeared to less than expected.
Hundreds of thousands of workers are expected at more than 200 rallies to call on President Nicolas Sarkozy to do more to protect jobs and wages.
Three-quarters of people and all the main trade unions support the day of industrial action.
The protesters are demonstrating against the worsening economic climate and rising unemployment in France and at what they believe to be the government's poor handling of the crisis.
The main bulk of protesters will come from across the public sector, from postal workers to court officials and a huge contingent of teachers marching against Mr Sarkozy's plan not to replace 13,500 jobs in education this year when staff retire or quit the profession.
But employees from the private sector, from car plant workers but also helicopter pilots, supermarket cashiers and even ski lift operators, will also take part.
All major cities were experiencing transport delays, but slightly less than expected, particularly in Paris. >>> By Henry Samuel in Paris | Thursday, January 29, 2009
leJDD.fr: Grève: Le point à la mi-journée
Annoncée dans la perspective d'un "jeudi noir", la mobilisation sociale à travers tout le pays à l'appel de huit syndicats semble moins massivement suivie que prévue. Si le débrayage est bien réel et concerne de nombreux secteurs de la fonction publique et du secteur privé, les perturbations et le nombre de grévistes sont pour l'heure relativement limités. >>> Par le service Société, leJDD.fr | Jeudi 29 Janvier 2009
LE FIGARO: Une journée de grève coûte 300 à 400 millions d'euros
En Ile-de-France, une journée de grève équivaudrait à 50 millions de perte de chiffre d'affaires.
Transports paralysés, salariés coincés, journées de RTT posées, production qui prend du retard, livraisons non acheminées… La facture d'une journée de grève comme celle de jeudi peut potentiellement coûter cher aux entreprises. >>> M. Vt | Jeudi 29 Janvier 2009
leJDD.fr: A Athènes et Salonique, des groupes de jeunes ont défilé mercredi en mémoire du jeune homme tué dimanche par un policier, inculpé pour homicide volontaire et incarcéré avec son collègue. Ils ont manifesté en marge des travailleurs, qui répondaient eux à l'appel à la grève générale lancé par les syndicats. Des affrontements avec les forces de l'ordre ont émaillé les cortèges.
Costas Caramanlis tient bon. Alors que des milliers de personnes hostiles à son gouvernement ont défilé dans plusieurs grandes villes du pays, le Premier ministre grec n'entend pas céder à la pression. Mercredi, les travailleurs ont rejoint dans les rues d'Athènes et de Salonique les jeunes qui manifestent depuis la mort d'un jeune de 15 ans, tombé samedi dernier sous les balles d'une patrouille de police. Pour le cinquième jour consécutif, des groupes de manifestants armés de pierres et de cocktails Molotov ont affronté les forces de l'ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes.
Le succès est total pour les syndicats. L'appel à la grève générale, lancé il y a plusieurs semaines par les deux principaux syndicats pour protester contre la politique sociale du gouvernement, a été largement suivi. Les transports ont été fortement perturbés voire paralysés, les universités et les commerces sont restés fermés. Les militants de la Confédération générale des travailleurs grecs et de la Fédération des fonctionnaires formaient le gros des manifestants regroupés sur la place Syntagma, en face du parlement. >>> Par Christophe Israël | Mercredi 10 Décembre 2008