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Saturday, November 23, 2013

Obama : «Michelle et moi sommes impatients d'accueillir le président Hollande»

LePARISIEN: François Hollande se rendra aux Etats-Unis le 11 février 2014 pour une visite d'Etat à l'invitation de Barack Obama, ont annoncé à la fois vendredi l'Elysée et la Maison Blanche.

«Michelle et moi sommes impatients d'accueillir le président Hollande et Valérie Trierweiler pour une visite d'Etat avec un dîner d'Etat à la Maison blanche le 11 février», annonce le président américain dans son communiqué.

«Durant cette visite, nous discuterons des possibilités de renforcer davantage la coopération franco-américaine en matière d'économie et de sécurité», précise-t-il. » | LeParisien.fr | vendredi 22 novembre 2013

Wednesday, April 28, 2010

Une tempête de neige balaie le nord-est des Etats-Unis

TRIBUNE DE GENÈVE: PRINTEMPS | Soixante centimètres de neige fraîche sont tombés, provoquant des coupures d'électricité.

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Le Vermont sous la neige. Photo : Tribune de Genève

Une tempête de neige toute printanière a balayé plusieurs régions du nord-est des Etats-Unis, déposant un manteau blanc de 60cm d’épaisseur par endroits. Ces intempéries ont provoqué des coupures de courant dans des milliers de foyers et entraîné la fermeture d’établissements scolaires. >>> AP | Mercredi 28 Avril 2010

Tuesday, October 13, 2009


États-Unis : Obama face à la colère des homosexuels

LE TEMPS: La nébuleuse qui milite en faveur des droits des gays est aujourd’hui déçue par le président démocrate. Une manifestation a réuni dimanche des milliers de personnes à Washington

Ambiance festive, musique et drapeaux multicolores. A première vue, la manifestation qui réunissait dimanche à Washington des dizaines de milliers de défenseurs des droits des homosexuels avait la partie facile. La veille, invité par le plus grand lobby homosexuel du pays, Human Rights Campaign, Barack Obama avait répété qu’il entendait mettre fin à la discrimination dont sont victimes les gays et les lesbiennes enrôlés dans l’armée américaine. Pourtant, la colère gronde. Plus que nulle autre, la nébuleuse qui milite en faveur des droits des homosexuels est aujourd’hui déçue par le président. De mauvais augure, alors que ses membres, par leur profil politique, leur âge et leurs méthodes d’action, ont été à la pointe de la «révolution» qui a amené Obama au pouvoir.

Don’t ask, don’t tell: c’est la politique grâce à laquelle les homosexuels sont en droit de combattre sous le drapeau américain depuis 1993. Personne, à l’armée, ne leur demandera leur orientation sexuelle. Mais ils n’ont pas le droit de l’afficher publiquement ou de la revendiquer. Une présence en catimini jugée humiliante et injuste par les militants. Lors de la campagne présidentielle, Barack Obama avait déjà promis qu’il combattrait cette politique. Un sondage vient de montrer que la longue campagne entreprise notamment par Human Rights Campaign a porté ses fruits. …>>> Luis Lema | Mardi 13 Octobre 2009

Monday, October 12, 2009


Etats-Unis : Manifestation pour les droits des homosexuels

LE TEMPS: Des dizaines de milliers de manifestants ont défilé dimanche dans le centre de Washington pour défendre les droits des homosexuels. Ils ont notamment souhaité la levée de l’interdiction de travailler dans l’armée, ce à quoi s’est engagé Barack Obama samedi.

Rassemblés à l’appel de la Campagne pour les droits de l’homme (HRC), principale association américaine de défense des homosexuels, les manifestants sont partis à 12h00 (heure locale) derrière une banderole affirmant: «Egalité des droits dans tous les Etats-Unis».

Le cortège, joyeux et aux slogans énergiques, s’est ensuite rassemblé dans le Mall, l’esplanade du centre de Washington, près de la Maison Blanche et du Capitole, siège du Congrès américain, pour des prises de parole.

Les organisateurs ont estimé à 150 000 le nombre de participants à cette marche. La police a elle refusé de donner une estimation. «Ne rien demander, ne rien dire» >>> ATS | Lundi 12 Octobre 2009

Sunday, October 04, 2009

États-Unis : Le grand complot de Glenn Beck

LE TEMPS: La vedette de la chaîne de télévision conservatrice Fox News est devenue la personnalité la plus médiatique et la plus controversée du pays. Sa cible de choix: le président Barack Obama et sa «haine profonde des Blancs»

Sur un tableau, Glenn Beck a placé des photos: celle de Barack Obama et de sa femme Michelle. Puis de l’une des proches collaboratrices du président, Valerie Jarrett. D’autres membres encore de l’administration Obama et des personnalités de la gauche américaine. Dans le diagramme figure aussi le révolutionnaire Che Guevara et le marteau et la faucille communistes. «Il faudrait s’intéresser à tout cela, explique l’animateur à ses 3 millions de téléspectateurs. Nous devons prendre de la distance. Regarder l’image dans son ensemble.»

Le communisme a fait son irruption à la Maison-Blanche. Le «racisme anti-Blanc» également. Voire le nazisme, avec l’armée de volontaires qui se réunissent derrière le président démocrate et qui ressemblent «aux SS d’Adolf Hitler». Mais Glenn Beck est là pour veiller. En quelques mois, l’homme est devenu la personnalité la plus médiatique et la plus controversée des Etats-Unis. L’une des plus écoutées aussi. La chaîne de télévision Fox News n’en finit pas de se frotter les mains d’avoir dégotté pareil phénomène qui, chaque jour, tisse la grande toile des dangers et des conspirations qui menacent le citoyen américain moyen. >>> Luis Lema | Samedi 03 Octobre 2009

THE GUARDIAN: Waitrose dumps Fox News in protest over remarks about Barack Obama >>> Sam Jones | Sunday, October 04, 2009

Tuesday, September 29, 2009

Les Etats-Unis coopèrent avec l’Egypte pour défendre la liberté d’expression

LE TEMPS: Après avoir boycotté le Conseil des droits de l’homme depuis sa création en 2006 sous George W. Bush, l’administration américaine d’Obama propose une résolution conjointe avec Le Caire. Un acte qui rompt avec la logique des groupes régionaux

«Nous avons des principes et des espoirs.» Figure de proue des questions de droit international au Département d’Etat américain, Harold Koh, que certains verraient bien un jour à la Cour suprême des Etats-Unis, est convaincu que son pays avait un devoir de rallier le Conseil des droits de l’homme des Nations unies basé à Genève. Après avoir boycotté l’institution onusienne depuis sa création au printemps 2006, Washington n’a manifestement pas attendu longtemps avant de concrétiser son nouvel engagement avec l’arrivée de Barack Obama. De concert avec le gouvernement égyptien, il a élaboré un projet de résolution visant à renforcer la liberté d’expression. L’initiative est non seulement audacieuse, elle rompt de façon radicale avec le passé. Voici peu, le Conseil des droits de l’homme s’était déchiré dans un combat fratricide entre les tenants de la liberté d’expression plutôt rangés dans le camp occidental et les tenants du concept de diffamation des religions promu notamment par l’Organisation de la conférence islamique (OCI). >>> Stéphane Bussard | Mardi 29 Septembre 2009

Tuesday, September 22, 2009


Etats-Unis : Semaine aussi chargée que risquée pour Barack Obama

LE TEMPS: Discours à la tribune des Nations unies, réunion du G20, dossier proche-oriental, sans oublier l’Afghanistan et le réchauffement climatique: le président des Etats-Unis risque d’engendrer des déceptions

Une fois de plus, Barack Obama jouera le rôle de protagoniste incontesté! Dans son agenda, Barack Obama a réservé cette semaine à l’avenir de la planète. De la lutte contre le réchauffement climatique à la suite des réformes du système économique mondial, de l’Afghanistan au conflit israélo-palestinien, des relations commerciales avec la Chine à la place à donner aux maîtres de l’Iran sur la carte mondiale…

Quelque 120 chefs d’Etat et de gouvernement attendus par ici. Les dossiers les plus incandescents du moment. Le chassé-croisé des enjeux politiques et économiques. Entre l’Assemblée générale de l’ONU qui vient de commencer à New York et la réunion du G20 qui se tiendra en Pennsylvanie à la fin de la semaine, la côte Est des Etats-Unis va devenir pour quelques jours le centre du monde. Avec une multitude de casquettes différentes, le président des Etats-Unis en sera chaque fois le capitaine.

Pour la première fois, le président s’adressera mercredi aux dirigeants de la planète de la tribune des Nations unies, chargé de donner un nouveau ton aux Etats-Unis dans un exercice que son prédécesseur, George Bush, avait transformé en un mélange de réticence et d’arrogance. Le lendemain, Barack Obama sera à la tête d’une réunion du Conseil de sécurité, actuellement présidé par les Etats-Unis, pour expliciter sa vision d’ancien étudiant d’un monde débarrassé à terme de toutes ses armes nucléaires. Au cours de la semaine, il croisera sans doute le Guide libyen Mouammar Kadhafi et, de loin, l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad, ces parias internationaux auquel il a promis que les Etats-Unis étaient prêts à tendre la main, pour autant qu’eux-mêmes «desserrent le poing». Il aura réuni auparavant l’Israélien Benyamin Netanyahou et le Palestinien Mahmoud Abbas pour tenter de les faire avancer, ne fût-ce que de quelques mètres, sur le chemin tortueux de la paix au Proche-Orient. Puis le président américain s’envolera pour Pittsburgh afin d’assister à la réunion du G20, cette enceinte qui a pris le rôle inofficiel de directoire du monde et dont on attend qu’il s’entende pour faire en sorte que la récession économique actuelle ne soit pas la répétition générale d’autres crises à venir. >>> Luis Lema | Mardi 22 Septembre 2009

Wednesday, August 12, 2009

Obama attaque les adversaires de sa réforme de la couverture santé

MÉTRO MONTRÉAL: PORTSMOUTH, New Hampshire - Le président Barack Obama s'est fait offensif pour soutenir son projet de réforme de la protection sociale mardi, priant une foule de citoyens acquis à sa cause de ne pas écouter ceux qui cherchent à "effrayer et égarer le peuple américain".



"Parmi toutes les techniques visant à vous effrayer, il y en a une vraiment effrayante, c'est de ne rien faire" a argumenté le président devant des partisans réunis dans un lycée du New Hampshire.
>>> The Associated Press | Mardi 11 Août 2009

US-Gesundheitssystem: Obama wirft Reformgegnern "Angstmacherei" vor

WELT ONLINE: Barack Obama ist empört über die Art und Weise, wie seine geplante Gesundheitsreform teilweise kritisiert wird. Gegner der Reform würden suggerieren, er wolle bei älteren kranken Menschen "den Stecker rausziehen" lassen, so Obama. Solche Gerüchte dienten lediglich dazu, den Menschen Angst zu machen.

Wegen des wachsenden Widerstands gegen die geplante Gesundheitsreform hat US-Präsident Barack Obama seinen politischen Gegnern unfaire Methoden vorgeworfen.

Die Reformgegner setzten bewusst auf „Angstmacherei“ und versuchten, die Bürger durch die gezielte Irreführung zu verunsichern, sagte Obama auf einem Bürgerforum in Portsmouth im Bundesstaat New Hampshire: „Sie schaffen ein Gespenst, das es in Wirklichkeit nicht gibt.“ >>> AFP/cn | Dienstag, 11. August 2009

Wednesday, July 29, 2009

Sotomayor, «la voix de la diversité à la Cour suprême»

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Sonia Sotomayor devient la première hispanique à siéger à la Cour suprême des Etats-Unis. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: INTERVIEW - Pour la première fois, une femme hispanique va devenir juge à la plus haute juridiction américaine. Le choix de Barack Obama ne remettra toutefois pas en cause l'équilibre de cette institution, comme l'explique Vincent Michelot, spécialiste de la Cour suprême.

Comme prévu, la commission judiciaire du Sénat américain a approuvé mardi la nomination de Sonia Sotomayor comme juge à la Cour suprême pour remplacer David Souter qui avait démissionné au printemps. Ce oui devrait être confirmé par le Sénat en séance plénière la semaine prochaine.

Sonia Sotomayor, dont les parents sont portoricains, sera la première juge d'origine hispanique à siéger à la Cour. Toutefois sa nomination, voulue par Barack Obama, ne bouleversera pas l'équilibre politique et idéologique de l'institution, comme l'explique Vincent Michelot, professeur à l'IEP de Lyon et auteur d'une thèse de doctorat intitulée «Les nominations à la Cour suprême des États-Unis (1937-1987) : aspects politiques»

LEFIGARO.FR - Est-ce que la nomination de Sonia Sotomayor va modifier l'équilibre politique au sein de la Cour suprême ?

VINCENT MICHELOT -
Elle ne va en rien modifier l'équilibre idéologique de la Cour. Elle va remplacer David Souter, considéré comme le juge le plus progressiste et à gauche de l'institution. Il avait voté notamment en 1992 pour le maintien du droit des femmes à l'avortement. Le rapport de force au sein de la Cour va donc rester inchangé. A la veille de la démission de Souter, la composition de la Cour était la suivante (1) : quatre juges «libéraux», quatre magistrats conservateurs voire très conservateurs, ainsi qu'un conservateur modéré centriste «pivot» qui vote parfois avec les progressistes. La voix de ce dernier est décisive lorsque les décisions sont prises à cinq voix contre quatre. Des mauvaises langues disent même que Sonia Sotomayor serait moins progressiste que David Souter sur la question de l'équilibre des pouvoirs et devrait se montrer plus déférente vis-à-vis de l'exécutif. Or un des grands débats que va avoir à trancher la Cour suprême dans les années à venir va être la délimitation du pouvoir de l'exécutif, qui a beaucoup grandi sous George Bush après le 11 septembre. >>> Propos recueillis par Constance Jamet (lefigaro.fr) | Mercredi 29 Juillet 2009

Tuesday, July 07, 2009

Obama Urges End to U.S.-Russia Strains

REUTERS: NOVO OGARYOVO, Russia - Visiting U.S. President Barack Obama on Tuesday praised Russia's most powerful politician, Prime Minister Vladimir Putin, as the two leaders met for the first time, saying there was an excellent opportunity to improve U.S.-Russia relations.

Visibly awkward, the two men exchanged pleasantries at the start of a meeting at Putin's forest residence outside Moscow overshadowed by Obama's criticism of Putin last week in a pre-trip interview as a man with one foot stuck in the past.

"I am aware of not only the extraordinary work that you've done on behalf of the Russian people in your previous role as prime minis-, uh, as president, but in your current role as prime minister," Obama said.

Putin, looking down and mostly avoiding eye contact with Obama, said there had been periods of greyish mood and confrontation in U.S.-Russia relations but added:

"We link hopes for development of our relationship with your name." >>> Jeff Mason, (Writing by Michael Stott; editing by Jon Boyle) | Tuesday, July 07, 2009

LE MONDE: Barack Obama appelle à la fin de l'antagonisme entre les Etats-Unis et la Russie

Dans un grand discours devant les étudiants de la Nouvelle Ecole économique de Moscou sur les relations américano-russes, le président Barack Obama affirme, mardi 7 juillet, que les Etats-Unis veulent une Russie "forte, pacifique et prospère".

Dans ce discours présentant sa vision des futures relations entre les deux pays aux relations compliquées, M. Obama a exposé la multitude des intérêts communs et des domaines de coopération possible."Ces défis réclament un partenariat mondial, et ce partenariat sera plus fort si la Russie occupe le rang de grande puissance qui doit être le sien", a-t-il dit. Il a opposé cette vision à celle du vingtième siècle, dans laquelle "les Etats-Unis et la Russie [étaient] voués à être des antagonistes", ou celle du dix-neuvième siècle, dans laquelle ils étaient condamnés "à rivaliser pour des sphères d'influence et où les grandes puissances [devaient] forger des blocs concurrents pour se contre-balancer l'un l'autre". "Malheureusement, on a parfois l'impression que les vieux présupposés doivent prévaloir, une conception de l'exercice du pouvoir enracinée dans le passé plutôt que le présent", a-t-il déploré. Mais "le temps où des empires pouvaient manipuler des Etats souverains comme les pièces d'un jeu d'échec sont révolus", a-t-il dit. >>> LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | Mardi 07 Juillet 2009

WELT ONLINE: Ende des Misstrauens: Obama will von Putin Abschied von Kaltem Krieg

Barack Obama hat am zweiten Tag seines Russland-Besuchs in einer Grundsatzrede zur Überwindung des gegenseitigen Misstrauens beider Länder aufgerufen. „Amerika wünscht sich ein starkes, friedliches und wohlhabendes Russland", sagte der US-Präsident. Trotzdem stellte Obama auch klare Forderungen an Premier Putin.

Wenn die alten Klassenfeinde Amerika und Russland aufeinandertreffen, ist viel von Ideologie die Rede. So auch beim ersten Besuch von US-Präsident Barack Obama beim russischen Premierminister Wladimir Putin.

Allein versuchte Obama von den alten Streitereien der Vergangenheit Abstand zu nehmen. Stattdessen sprach er Russland indirekt eine größere Rolle in der internationalen Gemeinschaft zu. Er forderte das Land auf, gemeinsam mit den USA Verantwortung im Kampf gegen die Ausbreitung nuklearer Waffen und bei der Lösung der Weltwirtschaftskrise zu übernehmen. Die Welt brauche Russland als eine moderne Großmacht, die vom Denken in alten Kategorien des Kalten Krieges Abschied nehme, betonte Obama in seiner mit Spannung erwarteten Grundsatzrede vor der „Neuen Ökonomischen Schule“ in Moskau. „Amerika wünscht sich ein starkes, friedliches und wohlhabendes Russland“, sagte Obama. >>> AP/dpa/AFP/Reuters/cn | Dienstag, 07. Juli 2009

Friday, June 26, 2009

Proche-Orient: Le Hamas prêt à dialoguer avec Washington

LePARISIEN.fr: Le chef en exil du Hamas palestinien, Khaled Mechaal, s'est déclaré jeudi favorable à un «dialogue direct et sans condition» avec les Etats-Unis. Il a annoncé la reprise «dans deux jours» des discussions interpalestiniennes au Caire.

«Nous saluons le nouveau discours de Barack Obama à l'égard du Hamas, il s'agit d'un premier pas vers un dialogue direct et sans condition» entre Washington et le mouvement palestinien, a déclaré Khaled Mechaal lors d'un discours attendu à Damas, où il réside.

«Le Hamas ne se fait pas d'illusions face aux discours», a-t-il toutefois ajouté, tout en précisant: «Nous aspirons à un changement sur le terrain qui mette fin à l'occupation» israélienne.

Dans un discours au Caire le 4 juin, le président américain a pressé l'Etat hébreu de cesser la colonisation dans les territoires palestiniens et exprimé son engagement en faveur d'un Etat palestinien aux côtés d'Israël. >>> Leparisien.fr | Jeudi 25 Juin 2009

Wednesday, June 03, 2009

Barack Obama on Landmark Mission to Rebuild Ties with Muslim World

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A T-shirt on sale in Cairo to mark Mr Obama's Middle East visit. Photo courtesy of TimesOnline

This headline could read: Obama Goes a-Brown-nosing in the Muslim World. – ©Mark

President Obama’s arrival in Saudi Arabia today marks the first leg of a landmark Middle East visit to reach Muslims and mend ties damaged under the eight-year Administration of his predecessor, George Bush.

The three-day visit, including an address to the Muslim world at Cairo University tomorrow, is seen as a vital step in his efforts to relaunch peace efforts between Israel and the Palestinians.

Mr Obama has signalled that he will take a more even-handed approach than Mr Bush, who gave Israel a free hand to expand the growth of Jewish settlements in the occupied West Bank.

Israel has bridled at US demands that it should freeze all construction in the settlements and East Jerusalem. Ehud Barak, the Israeli Defence Minister, flew to Washington last night to lobby the US President one more time. Israel says that the half million Jews who live in the territories cannot be prevented from having children, marrying or building houses.At the outset of his trip Mr Obama issued his sternest warning yet to Binyamin Netanyahu, the Israeli Prime Minister. “I believe that strategically the status quo is unsustainable when it comes to Israel’s security,” Mr Obama said in an interview with the US broadcaster NPR.

“Over time, in the absence of peace with Palestinians, Israel will continue to be threatened militarily and will have enormous problems on its borders.”

He said that the sobering message to Israel was meant as a friendly warning. “Part of being a good friend is being honest,” said the President, who held talks with Mr Netanyahu last month at the White House. Mr Netanyahu has refused to accept the idea of an independent Palestinian state, which Washington sees as a cornerstone of Middle East peace. >>> James Hider in Cairo | Wednesday, June 03, 2009

THE NEW YORK TIMES BLOGS – THE CAUCUS: Obama Says U.S. Could Be Seen as a Muslim Country, Too

HAHN, Germany — As President Obama prepared to leave Washington to fly to the Middle East, he conducted several television and radio interviews at the White House to frame the goals for a five-day trip, including the highly-anticipated speech Thursday at Cairo University in Egypt.

In an interview with Laura Haim on Canal Plus, a French television station, Mr. Obama noted that the United States also could be considered as “one of the largest Muslim countries in the world.” He sought to downplay the expectations of the speech, but he said he hoped the address would raise awareness about Muslims.

“Now, I think it’s very important to understand that one speech is not going to solve all the problems in the Middle East,” Mr. Obama said. “And so I think expectations should be somewhat modest.”

He previewed several themes and objectives for the speech, which aides said the president intended to tinker with — and rewrite — aboard Air Force One during his 12-hour flight to Riyadh, Saudi Arabia.

“What I want to do is to create a better dialogue so that the Muslim world understands more effectively how the United States, but also how the West thinks about many of these difficult issues like terrorism, like democracy, to discuss the framework for what’s happened in Iraq and Afghanistan and our outreach to Iran, and also how we view the prospects for peace between the Israelis and the Palestinians,” Mr. Obama said.

The president said the United States and other parts of the Western world “have to educate ourselves more effectively on Islam.”

“And one of the points I want to make is, is that if you actually took the number of Muslim Americans, we’d be one of the largest Muslim countries in the world,” Mr. Obama said. “And so there’s got to be a better dialogue and a better understanding between the two peoples.” >>> By Jeff Zeleny | Tuesday, June 02, 2009

LE FIGARO: Obama en campagne
dans le monde arabe

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Un commerçant du Caire a présenté lundi une plaque souvenir qualifiant Barack Obama de «nouveau Toutankhamon du monde». Crédits photo : Le Figaro

Le président américain amorce mercredi soir en Arabie saoudite une tournée qui sera marquée par un grand discours, jeudi au Caire, en direction des musulmans.

C'est une «conversation» peu ordinaire qui va s'engager cette semaine entre l'homme le plus puissant de la planète et plus d'un milliard de musulmans. Depuis l'époque de sa campagne électorale, Barack Hussein Obama, chrétien, métis, mais fils d'un musulman du Kenya, a lentement mûri le projet de s'adresser aux peuples d'islam pour regagner leur cœur et entreprendre de tisser une nouvelle relation entre eux et l'Amérique, après des années de frustrations et d'incompréhension.

L'heure est venue. Jeudi, entre les murs accablés de chaleur de l'université du Caire, qui le reçoit avec la participation de l'université islamique al-Azhar, puissance co-invitante, le président Obama prononcera un discours très attendu à l'attention des opinions publiques musulmanes, avant de gagner l'Europe pour des visites du souvenir hautement symboliques au camp de Buchenwald en Allemagne, puis au cimetière de Colleville en Normandie. Il veut effacer le grand malentendu de l'époque de l'administration précédente qui en était venue à confondre trop souvent islam et terrorisme islamiste. Il a toujours pensé que le choc des civilisations n'est pas inéluctable. Il l'a déjà dit lors de son discours d'investiture, puis dans une interview à la chaîne al-Arabya et dans son adresse devant le Parlement turc en avril. Il va le répéter haut et fort pour tenter d'apaiser cette haine de l'Occident qui agite le Moyen-Orient, notamment sa jeunesse, cible privilégiée de son appel au dialogue. «Obama veut convaincre la rue musulmane que l'Amérique a changé, il estime que le terrorisme islamique est une question cruciale pour la sécurité nationale, qui va bien au-delà de la question du conflit israélo-palestinien», décrypte un diplomate français. >>> Laure Mandeville, Envoyé spéciale du Figaro à Riyad | Mardi 02 Juin 2009

LE FIGARO:
«Les Etats-Unis, un des plus grands pays musulmans» >>> lefigaro.fr | Mardi 02 Juin 2009

Obama interviewé sur Canal + - Le Figaro
Le président des Etats-Unis a notamment évoqué la politique américaine au Moyen-Orient.

Friday, May 29, 2009

Obama: «je crois fermement
à une solution à deux Etats»

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Mahmoud Abbas avec Barack Obama. Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: Le président américain, qui reçevait jeudi soir le leader palestinien Mahmoud Abbas, a répété qu'il exigeait l'arrêt de la colonisation israélienne en Cisjordanie.

Barack Obama maintient le cap de la fermeté dans la relation entre Etats-Unis et Israël. Le président américain reçevait jeudi soir le leader de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à la Maison-Blanche. Une visite qui prend un ton tout particulier, alors que la nouvelle administration israélienne fait la sourde oreille à l'injonction de Washington, mercredi, de geler les constructions de colonies en Cisjordanie et refuse d'envisager la solution à deux Etats séparés préconisée par les Etats-Unis.

Mahmoud Abbas, qui ne contrôle concrètement que la Cisjordanie, le Hamas tenant d'une main de fer la Bande de Gaza, est venu à Washington pour rappeler l'urgence de relancer le processus de paix israélo-palestinien. Pour lui, «le temps est un facteur essentiel» dans l'affaire.

Le dirigeant palestinien a d'ailleurs remis à Barack Obama un document contenant des propositions pour sortir de l'impasse. «Ce document ne sort pas du cadre de la Feuille de route et de l'Initiative de paix arabe. Il contient des idées pour la mise en place de mécanismes d'application de ces deux plans», précise-t-il, assurant qu'Obama a promis de l'étudier.

Rappelant une nouvelle fois que les Etats-Unis sont «un allié inconditionnel» d'Israël, le président américain a adopté un ton optimiste sur la perspective d'un apaisement des tensions au Proche-Orient. «Je pense qu'il est important de ne pas s'attendre au pire, mais d'espérer le meilleur», a-t-il lancé, demandant à nouveau l'arrêt de la colonisation israélienne. >>> Samuel Laurent (lefigaro.fr) avec agences | Vendredi 29 Mai 2009

LOS ANGELES TIMES: U.S.-Israel Rift Becomes an Unusually Public One

President Barack Obama meets with Palestinian Authority President Mahmoud Abbas and repeats his tough stance on Jewish settlements. Obama is to deliver a speech to the Muslim world next week from Cairo.

Reporting from Jerusalem and Washington Richard Boudreaux -- President Obama and top Israeli officials staked out sharply opposing positions over the explosive issue of Jewish settlements Thursday, propelling a rare dispute between the two close allies into full public view just days before the U.S. leader is due to deliver a long-awaited address in Egypt to the world's Muslims.

Speaking after a White House meeting with Palestinian Authority President Mahmoud Abbas, Obama reiterated that he had been "very clear about the need to stop building settlements, to stop building outposts" on Palestinian territory.

Only hours earlier, the Israeli government said it would continue to allow some growth in the settler communities in the West Bank.

The exchange underscored the unusually hard-line position Obama has taken publicly with Israel early in his administration. Most U.S. presidents, aware of the political sensitivity, have worked hard to keep disagreements out of sight, when they existed.

The back and forth also added a contentious note to the start of a grueling period of Middle East peace talks that the White House has pledged to aggressively pursue. And it comes as Obama prepares his speech scheduled for next week that is aimed at repairing U.S. ties with the Muslim world.

The verbal disagreement with Israel defied expectations of U.S. and Israeli officials, as well as many analysts, who had predicted that the new American president and the newer conservative Israeli prime minister would seek a pragmatic way to avoid public clashes.

But since Obama met with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu at the White House 11 days ago, the contrasts have steadily risen in public view.

Obama believes an Israeli settlement freeze would elicit concessions from moderate Arab states, reinvigorating peace negotiations.

In staff-level talks that continue almost daily, Israeli officials have balked. >>> By Paul Richter and Christi Parsons and Richard Boudreaux | Friday, May 29, 2009

Friday, May 15, 2009

Roxana Saberi est arrivée à Vienne

L’EXPRESS.fr: La journaliste avait été condamnée le 13 avril par l'Iran à huit ans de prison pour espionnage au profit des Etats-Unis. Après des protrestations émanant du monde entier, elle avait finalement été libérée en début de semaine.

La journaliste irano-américaine Roxana Saberi, libérée d'une prison iranienne le 11 mai, est arrivée par avion tôt vendredi matin à l'aéroport de Vienne, en provenance de Téhéran, a constaté une journaliste de l'AFP.

"Je vais passer quelques jours à Vienne, car c'est un lieu calme et relaxant", a-t-elle déclaré à l'AFP juste après son arrivée, sans donner de précision sur la durée de son séjour viennois, ni sur la date de son retour aux Etats-Unis.

Elle était accompagnée de son père, de sa mère et de son frère.

Peu après sa libération, son père, Reza Saberi, avait indiqué que sa famille préparait son retour aux Etats-Unis. >>> Par LEXPRESS.fr avec AFP | Vendredi 15 Mai 2009

VOA: Journalist Roxana Saberi Not Ready to Tell Her Story Yet

American journalist Roxana Saberi has arrived in Austria to recuperate after spending four months in an Iranian prison.



The newly-freed journalist arrived in the Austrian capital, Vienna, early Friday on a flight from Tehran. She was accompanied by her parents.



Saberi told reporters at the airport that she plans to spend several days in Austria and then go to the United States. She said she is not yet ready to talk about her experience, but will do so in the near future, recounting her time in jail, and the events leading up to her detention. 



The 32-year-old journalist, a dual American-Iranian citizen, was arrested in January while buying a bottle of wine, which is illegal in Iran. She was convicted last month of espionage. 



After Saberi's lawyer appealed the court's decision, a judge reduced her sentence and freed her from prison on Monday.



Speaking to reporters Tuesday, Saberi said she had no immediate plans and just wants to relax with her family. >>> By VOA News | Friday, May 15, 2009

Friday, March 27, 2009

Les Etats-Unis et l’Iran pourraient coopérer sur l’Afghanistan

TRIBUNE DE GENÈVE: MOSCOU | Un haut responsable américain à Moscou l'a affirmé, sous couvert de l’anonymat.

Les Etats-Unis et l'Iran pourraient coopérer sur l'Afghanistan, a déclaré vendredi un haut responsable américain en marge d'une conférence internationale sur l'Afghanistan à Moscou.

"L'Iran est un acteur important en ce qui concerne l'Afghanistan. C'est à nos yeux une aire très productive pour un engagement futur avec l'Iran", a noté ce haut responsable sous couvert de l'anonymat.

L'Iran et les Etats-Unis ont envoyé des représentants à la conférence de Moscou, organisée sous l'égide de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS - Russie, Chine et quatre pays d'Asie centrale). Aucune rencontre bilatérale n'était toutefois prévue entre les deux délégations. >>> AFP | Vendredi 27 Mars 2009

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Washington s'inquiète de la puissance militaire chinoise

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Les 14,9 % d'augmentation du budget de la défense sont destinés, officiellement, à améliorer les conditions de vie des soldats chinois. Crédits photo : AP et Le Figaro

LE FIGARO: Le Pentagone estime dans son rapport annuel sur le développement militaire chinois que l'armée populaire menace l'équilibre régional. Pékin déplore une «mentalité de guerre froide».

Pour Pékin, les jumelles américaines braquées sur l'armée chinoise seraient en fait de grosses loupes, agrandissant une «menace» qui n'existe pas. La Chine a réagi de manière virulente jeudi au rapport publié la veille par le Pentagone sur la puissance militaire chinoise, le qualifiant de «grossière déformation de la réalité» et dénonçant une mentalité de «guerre froide».

Washington estime que le développement militaire chinois dans les domaines nucléaire, spatial et cybernétique est une menace pour l'équilibre régional en Asie, voire au-delà. Et dénonce une fois de plus le manque de «transparence» chinois en matière de défense.

Le budget de défense chinois affiche depuis deux décennies une belle croissance à deux chiffres. Pékin vient d'annoncer qu'il augmenterait de 14,9 % cette année, contre 17,6 % en 2008. Tout en précisant que la posture restait purement défensive. Les militaires chinois expliquent depuis longtemps que ces sommes sont surtout destinées à améliorer les conditions de vie dans l'armée, avec des soldes augmentées et des uniformes renouvelés. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si ces derniers jours, des «sources militaires chinoises» ont laissé filtrer que les soldes de l'Armée populaire de libération (APL) allaient être augmentées, jusqu'à 50 % pour les grades les plus bas.

De l'avis de bien des experts, le rapport annuel du Pentagone a tendance à exagérer la réalité de la menace militaire chinoise et il faut le passer «à la râpe», comme dit un diplomate. >>> Arnaud de La Grange, correspondant du Figaro à Pékin | Vendredi 27 Mars 2009

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Tuesday, March 24, 2009

Obama et Sarkozy engagent le dialogue avant le G20

LE FIGARO: Les deux présidents s'entretiendront mercredi, par téléphone, des enjeux du sommet international sur la finance mondiale qui se tiendra le 2 avril à Londres.

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Nicolas Sarkozy devrait avoir une conversation par visioconférence mercredi avec Barack Obama (ici, les deux hommes à Paris en juillet 2008) (Crédits photo : Le Figaro)

Rencontres au sommet entre responsables américains et français. Après un entretien lundi soir à la Maison-Blanche entre François Fillon et le vice-président Joe Biden, Nicolas Sarkozy devrait avoir une conversation par visioconférence mercredi avec Barack Obama. À dix jours du sommet des principales puissances économiques mondiales, la France s'active pour défendre ses propositions en vue d'une réforme de la finance mondiale.

En visite aux États-Unis depuis dimanche soir, le premier ministre a enchaîné rencontres et entretiens avec des responsables politiques, économiques et bancaires. Son objectif est de confronter les réponses américaine et européenne à la crise, avec l'espoir de rallier l'Administration d'Obama à l'urgence d'une réforme de la régulation finan­cière. À New York et Washington, François Fillon a solennisé l'enjeu de la réunion de Londres. «Le rendez-vous du G20 est très important pour la résolution de la crise, car c'est d'abord une crise de confiance. L'absence d'accord, un accord a minima ou bien des divisions constitueraient un signal extrêmement négatif envoyé aux peuples et aux marchés» , a confié le premier ministre lors d'une rencontre infor­melle avec la presse après sa rencontre avec des acteurs de la régulation financière. À l'heure du petit déjeuner, François Fillon a pris le pouls de plusieurs banquiers et décideurs économiques américains, dont Éric Dinallo, directeur de la régulation des assureurs de New York, William Dudley, président de la Réserve fédérale de New York, ou encore Tim Ryan, président de l'association des grandes banques de Wall Street. Il est reparti avec le sentiment que la majorité est consciente, selon lui, de l'impact qu'un «mauvais accord» à Londres aurait sur le redressement des économies. >>> Bruno Jeudy | Mardi 24 Mars 2009

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Monday, March 23, 2009

L'Iran défiant face à la main tendue d'Obama

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Le changement n'est qu'un «slogan» dans la bouche d'Obama, a insisté l'ayatollah Ali Khamenei. Crédits photo : AP

LE FIGARO: Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a indiqué que Téhéran était prêt à changer de politique si les Etats-Unis modifiaient dans les faits et non seulement en paroles leur attitude à l'égard de la République islamiste.

La main tendue de Barack Obama qui a offert, vendredi, dans un message vidéo inédit de surmonter trente années de relations américano-iraniennes hostiles, a été accueillie avec sceptissisme par Téhéran. Le guide suprême du pays, l'ayatollah Ali Khamenei, a indiqué que l'Iran changera de politique si les Etats-Unis modifient dans les faits et non seulement en paroles leur attitude à l'égard de la République islamiste. « Nous n'avons aucune expérience du nouveau président américain. Nous observerons et jugerons. Changez, et notre attitude changera. Si vous ne changez pas d'attitude, sachez que notre peuple s'est renforcé et continuera de résister», a mis en garde le numéro un iranien.

Le changement n'est qu'un «slogan» dans la bouche d'Obama, a insisté le dirigeant religieux, devant des dizaines de milliers de personnes rassemblées dans la ville sainte de Mashhad. Khamenei a reproché aux dirigeants américains de continuer à accuser son pays de soutenir le terrorisme. Le président américain a en effet affirmé dans son adresse que l'Iran ne pouvait obtenir la place qui lui revient dans le concert des nations en utilisant «la terreur et les armes» et avait demandé à Téhéran d'opter pour «des agissements pacifiques». Ali Khamenei estime donc que la rhétorique de Barack Obama ne varie en rien de celle de son prédécesseur George W. Bush. «Obama a insulté la République islamique d'Iran dès le premier jour», a-t-il déploré. «Les responsables américains et les autres doivent savoir qu'on ne peut pas tromper le peuple iranien et lui faire peur». >>> lefigaro.fr avec AP et AFP | Dimanche 22 Mars 2009

Thursday, March 19, 2009

Pakistan : les USA envisagent de nouveaux bombardements

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Des soldats pakistanais patrouillent près de la frontière afghane, une zone devenue un sanctuaire pour les talibans. Contrairement à Washington, Islamabad considère que la stabilité du Pakistan est une affire intérieure. Photo (AP) grâce au Figaro

LE FIGARO: Washington s'inquiète de la montée en puissance des talibans près de la frontière afghane. La nouvelle stratégie américaine pourrait toutefois se heurter à l'opposition de la population pakistanaise.

La timide victoire remportée lundi par les démocrates pakistanais pourrait, paradoxalement, contrecarrer les plans de Washington dans la région. La société civile, qui a soutenu la longue marche des juristes emmenée par le principal parti d'opposition, est profondément hostile aux opérations militaires menées en territoire pakistanais contre les talibans et al-Qaida. Or, affaibli, le très pro-américain président Asif Ali Zardari pourra difficilement ignorer son opinion publique. Résultat, la nouvelle stratégie américaine, visant à étendre les frappes de missiles à l'aide de drones (avions sans pilotes) au-delà des zones tribales pakistanaises, risque de réveiller une fois de plus la colère de la population au Pakistan.

Selon le New York Times, Washington envisagerait de bombarder la région de Quetta (Sud-Ouest), là où Mollah Omar, le chef spirituel des talibans, est suspecté de diriger en toute impunité un gouvernement taliban en exil. Et pas des plus modérés. Le quotidien américain rapporte également que nombre d'insurgés auraient fui les zones tribales, régulièrement pilonnées par les missiles américains, pour se réfugier à Quetta. D'où les recommandations de deux rapports sur le Pakistan et l'Afghanistan, remis récemment à la Maison-Blanche. Ils pressent Washington de ne pas laisser aux rebelles islamistes le temps de consolider leur nouveau sanctuaire. >>> Marie-France Calle, envoyée spéciale à Lahore | Jeudi 19 Mars 2009

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Sunday, December 07, 2008

Les Etats-Unis trinquent à la fin de la prohibition

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Agents de police dans la prohibition faisant une razzia de la salle à manger de 922 Pa. Ave, Washington, DC. Photo grâce aux Google Images

TRIBUNE DE GENÈVE: ANNIVERSAIRE | Il y a 75 ans tout juste, les Etats-Unis mettaient fin à la prohibition, une période où l’alcool était strictement interdit dans tout le pays, mais qui a vu les bars clandestins fleurir et le crime organisé exploser.

En 1920, un amendement constitutionnel, à l’initiative de conservateurs brandissant des arguments moraux et de santé publique, interdisait la fabrication, la vente, le transport, l’importation et l’exportation de boissons alcoolisées.

Le 5 décembre 1933, l’interdiction était levée pour des raisons économiques. Septante-cinq ans plus tard, les bars de Washington vont être autorisés à servir de l’alcool jusqu’à 5 heures du matin, mais seulement du 17 au 20 janvier… à l’occasion de l’investiture du président Barack Obama. Les bars ferment normalement à 2 heures en semaine et à 3 heures le week-end dans la capitale américaine.

«Le mouvement en faveur de l’interdiction de l’alcool s’est imposé au lendemain de la Première Guerre mondiale», rappelle l’économiste Mark Thornton, de l’Institut Ludwig von Mises, en Alabama. «L’impôt sur le revenu a été instauré en 1913, et une fois que la guerre a été terminée et que les revenus ont augmenté, le secteur des boissons alcoolisées a perdu l’argument selon lequel il représentait une grosse source de revenus pour le gouvernement fédéral.»

En 1920, les Etats-Unis se lancent donc dans ce qui sera surnommé la «Noble expérience». Certains estiment qu’elle a été positive, du moins en partie. «Pendant une longue période après la fin de la prohibition, le niveau de consommation d’alcool est resté bas, souligne l’historienne Amy Mittelman, auteur d’un livre sur la bière. Si le but de la prohibition était de freiner la consommation d’alcool ou de limiter ses abus, alors elle y a réussi dans une certaine mesure. >>> AFP | Samedi 06 Décembre 2008

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