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Thursday, November 26, 2009

Climat : Barack Obama ira à Copenhague

Obama avec un air d'arrogance. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: La Maison-Blanche présente des objectifs chiffrés de réduction de leurs émissions polluantes. Mais des éléments relativisent cet engagement du plus grand pollueur par habitant de la planète

Barack Obama pouvait difficilement faire autrement. Mercredi, la Maison-Blanche a confirmé que le président se rendrait bien aux discussions de Copenhague sur le climat qui, à partir du 7 décembre, doivent réunir la planète entière en vue de négocier un traité qui fera suite au Protocole de Kyoto de 1997. Barack Obama y sera le 9 décembre, y apportera des engagements américains, mais devrait déjà être reparti lorsque les délégations entreront dans le vif de la négociation.

La Maison-Blanche explique que le président est prêt «à mettre sur la table» des propositions chiffrées de réduction des émissions américaines de gaz à effet de serre: 17% en 2020, par rapport aux niveaux de 2005, 30% en 2025 et 42% en 2030. Cet engagement, note le communiqué, est conforme à la volonté des Etats-Unis de réduire le niveau d’émissions de 83% d’ici à 2050. Il démontre leur souhait de contribuer à résoudre ce problème «que les Etats-Unis ont trop longtemps négligé». Engagement hypothétique >>> Luis Lema | Jeudi 26 Novembre 2009

NZZ ONLINE: China will Anstieg von Treibhausgasen bremsen: Peking nennt erstmals konkrete Ziele vor Weltklimagipfel in Kopenhagen >>> sda/dpa | Donnerstag, 26. November 2009

Wednesday, November 25, 2009

États-Unis : Barack Obama offre à l’Inde la reconnaissance qu’elle attendait

Le premier ministre indien, Manmohan Singh, et le président Barack Obama. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: Le président démocrate a reçu à la Maison-Blanche le premier ministre indien, Manmohan Singh, en visite d’Etat. Il a insisté sur le fait que l’Inde était «une démocratie multiethnique comme les Etats-Unis»

L’Inde ou la Chine? Entre ces deux grandes puissances émergentes, en partie rivales, les Etats-Unis donnaient l’impression d’avoir choisi. C’est en Chine que vient de se rendre Barack Obama, multipliant les révérences et évitant de hausser le ton sur les sujets qui fâchent. «Je vous présente Barack Obama, l’administrateur de nos compagnies de l’Ouest», disait un responsable chinois devant un Obama courbé jusqu’au sol, dans un dessin paru dans un journal de Pittsburgh et aussitôt reproduit dans la presse nationale.

Ce ne sont pas seulement les Américains qui ont pris ombrage de la «servilité» de leur président à l’égard d’une Chine qui tient les Etats-Unis par les cordons de la bourse. A travers toutes sortes de canaux, les Indiens, eux aussi, ont fait connaître leur embarras. L’Inde a vécu une lune de miel avec le prédécesseur d’Obama, George Bush, qui a atteint son apogée peu avant la passation de pouvoir, avec la signature d’un accord entre les deux pays en matière de technologie nucléaire. >>> Luis Lema | Mercredi 25 Novembre 2009

A Place at the State Dinner Table

ADVOCATE.COM: Several prominent gay men and lesbians were among those at the White House Tuesday night for President and Mrs. Obama’s first state dinner, held in honor of India Prime Minister Manmohan Singh and his wife, Gursharan Kaur. Among those on the 338-person guest list were movie producer David Geffen and his partner, Jeremy Lingvall; longtime activist Urvashi Vaid and her partner, comedian Kate Clinton; Facebook co-founder Chris Hughes and his partner, Sean Eldridge; and chair of the U.S. Export-Import Bank Fred Hochberg and his partner, Thomas Healy.
 


State dinners are traditionally held in the state White House’s State Dining Room, but this one was held in a tent outside the White House, complete with chandeliers and views of both the Washington Monument and the Lincoln Memorial. Because Manmohan Singh and his wife are vegetarians, the menu was completely meat free. >>> Advocate.com Editors | Tuesday, November 24, 2009

Obama State Dinner: A Sampling of Guests



President Obama Toasts the Future at White House State Dinner

Sunday, October 04, 2009

États-Unis : Le grand complot de Glenn Beck

LE TEMPS: La vedette de la chaîne de télévision conservatrice Fox News est devenue la personnalité la plus médiatique et la plus controversée du pays. Sa cible de choix: le président Barack Obama et sa «haine profonde des Blancs»

Sur un tableau, Glenn Beck a placé des photos: celle de Barack Obama et de sa femme Michelle. Puis de l’une des proches collaboratrices du président, Valerie Jarrett. D’autres membres encore de l’administration Obama et des personnalités de la gauche américaine. Dans le diagramme figure aussi le révolutionnaire Che Guevara et le marteau et la faucille communistes. «Il faudrait s’intéresser à tout cela, explique l’animateur à ses 3 millions de téléspectateurs. Nous devons prendre de la distance. Regarder l’image dans son ensemble.»

Le communisme a fait son irruption à la Maison-Blanche. Le «racisme anti-Blanc» également. Voire le nazisme, avec l’armée de volontaires qui se réunissent derrière le président démocrate et qui ressemblent «aux SS d’Adolf Hitler». Mais Glenn Beck est là pour veiller. En quelques mois, l’homme est devenu la personnalité la plus médiatique et la plus controversée des Etats-Unis. L’une des plus écoutées aussi. La chaîne de télévision Fox News n’en finit pas de se frotter les mains d’avoir dégotté pareil phénomène qui, chaque jour, tisse la grande toile des dangers et des conspirations qui menacent le citoyen américain moyen. >>> Luis Lema | Samedi 03 Octobre 2009

THE GUARDIAN: Waitrose dumps Fox News in protest over remarks about Barack Obama >>> Sam Jones | Sunday, October 04, 2009

Thursday, September 17, 2009

L'Iran et le G20 au cœur d'un entretien Obama-Sarkozy

Nicolas Sarkozy s'est entretenu pendant 30 minutes avec son homologue américain. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Pendant une demi-heure, les deux chefs d'Etat ont discuté des moyens d'amener la République islamique à «se conformer» aux résolutions de l'ONU sur le nucléaire.

Deux semaines après avoir mis en garde Téhéran contre des «sanctions renforcées», Nicolas Sarkozy s'est entretenu pendant une demi-heure, mardi, avec Barack Obama «du niveau des efforts diplomatiques pour amener l'Iran à se conformer à ses obligations internationales sur son programme nucléaire», a fait savoir la Maison-Blanche.

Cet épineux dossier devrait être au cœur de la rencontre qui se tiendra le 1er octobre prochain, probablement en Turquie, entre les représentants des six grandes puissances qui négocient depuis des années sur le nucléaire iranien (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) et la République islamique, soupçonnée de vouloir se doter de l'arme atomique sous le couvert d'un programme nucléaire civil. Cette rencontre marquera «l'accomplissement» de la promesse du président Obama de tendre la main à l'Iran malgré trois décennies d'hostilité entre Washington et Téhéran, a estimé mardi sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton. «Nous avons clairement signifié aux Iraniens que toutes les discussions auxquelles nous participerions devaient aborder de front la question nucléaire. C'est incontournable», a-t-elle ajouté. Mettre en œuvre les décisions du G20 de Londres >>> lefigaro.fr (avec AFP) | Mercredi 16 Septembre 2009

Friday, June 26, 2009

Obama maintient son offre de dialogue à l'Iran

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Barack Obama s'est dit « choqué » par la répression brutale des manifestations en Iran, mardi, pendant une conférence de presse à la Maison-Blanche. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Zbigniew Brzezinski, ancienne personnalité du parti démocrate américain, assure au Figaro qu'il n'y a pas d'alternative à la main tendue par le président américain.

«Nous devons à la fois montrer de la sympathie pour les aspirations du peuple iranien à la démocratie, tout en affichant notre volonté de négocier avec Téhéran, quels que soient ceux qui sont au pouvoir.» Pour Zbigniew Brzezinski, ex-conseiller à la sécurité nationale de Jimmy Carter entre 1977 et 1981, et qui a aujourd'hui l'oreille de Barack Obama, la politique d'engagement tracée par le nouveau chef de la Maison-Blanche est appelée à se poursuivre, en dépit des dramatiques événements en Iran.

«La ligne a été tracée de façon très claire et très intelligente», estime ce mentor démocrate en géopolitique, âgé aujourd'hui de 81 ans. Il a toujours son bureau au Centre pour les études internationales et stratégiques (CSIS), l'un des principaux think-tanks de Washington. «L'important, insiste-t-il, c'est de ne pas interférer dans la politique intérieure iranienne car cela donnerait aux dirigeants conservateurs de Téhéran des arguments pour accroître la répression contre le mouvement démocratique.» >>> Alain Barluet, envoyé spécial du Figaro à Washington | Jeudi 25 Juin 2009

Wednesday, April 01, 2009

Quand la Maison-Blanche voyage

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Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: C'est une formidable armada qui est mobilisée pour accompagner le couple présidentiel dans ses déplacements.

«Sommes-nous Rome ?» se demandait l'écrivain américain à succès Cullen Murphy, dans un livre récent sur l'Amérique contemporaine, se livrant à une comparaison aussi brillante qu'osée sur les États-Unis des années 2000 et l'Empire romain finissant.

En ouverture de ce livre, il évoquait un voyage officiel en Irlande de dix-huit heures qu'il avait effectué avec l'ancien président George W. Bush. Il y décrivait les légions d'hommes des services et de l'armée déployés sur l'aéroport pour accueillir et protéger l'homme le plus puissant du monde, véritable empereur des temps modernes. Le déploiement des ­avions de surveillance tournant dans le ciel. Les rangées de ministres et de conseillers sherpas. Mais aussi l'intendance, les cuisiniers et les journalistes qui l'accompagnaient.

De ce point de vue, l'Amérique d'Obama ressemblera beaucoup à celle de son prédécesseur, La tournée d'un président américain est un événement qui mobilise une organisation gigantesque. Et des semaines de préparation. « Ce n'est pas le président qui voyage, c'est la Maison-Blanche » , résume l'un de ses conseillers. >>> Laure Mandeville, envoyée spéciale du Figaro à Londres | Mercredi 01 Avril 2009

Saturday, November 22, 2008

Obama nomme le prochain porte-parole de la Maison-Blanche

LE FIGARO: Pour ce poste sensible et très exposé, le président élu a choisi un fidèle qui l'accompagne depuis 2004.

Le président élu américain Barack Obama a nommé Robert Gibbs, son ancien directeur de communication pendant la campagne, porte-parole de la Maison Blanche, a annoncé samedi l'équipe de transition dans un communiqué.

Brillant tacticien, M. Gibbs, 37 ans, a été pendant la longue et rude campagne présidentielle le directeur de la communication et le porte-parole de Barack Obama, qu'il a accompagné dans tous ses déplacements, mettant au point les stratégies de communication du candidat démocrate.

Originaire de l'Arkansas (sud), Robert Gibbs avait rejoint l'équipe Obama pendant sa course au Sénat en 2004 et avait été la même année le porte-parole de John Kerry pendant sa campagne présidentielle malheureuse. >>> lefigaro.fr avec AFP | 22.11.2008

The Dawning of a New Dark Age – Paperback (US) Barnes & Noble >>>
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Friday, February 01, 2008

John McCain, soldat républicain pour la Maison-Blanche

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Photo de John McCain grâce à la Tribune de Genève

TRIBUNE DE GENÈVE: ÉTATS-UNIS | 00H00 A 71 ans, John McCain fait figure de favori pour décrocher l'investiture républicaine à l'élection présidentielle de novembre et tenter de succéder à son ancien rival de parti, George Bush.

John McCain célèbre ses victoires électorales à angle droit. Le sénateur républicain de l'Arizona, favori à l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine de novembre, ne peut pas lever les bras plus haut que ses épaules, séquelle de la guerre du Viêt Nam. En 1967, il s'est cassé les deux bras et une jambe après s'être éjecté de son avion, qui avait été abattu au-dessus de Hanoi. McCain a passé cinq ans et demi dans un camp de prisonniers au Viêt Nam et a connu la torture.

Cet épisode de sa vie marque aujourd'hui encore les Américains. Dans sa campagne pour la Maison-Blanche, McCain utilise constamment son expérience militaire pour mettre sur la défensive son principal rival, Mitt Romney.

Ce dernier, un homme d'affaires mormon et ancien gouverneur du Massachusetts, n'a pas fait l'armée. «J'ai eu l'honneur de porter l'uniforme pendant 22 ans», a lancé McCain, lors d'un débat républicain mercredi soir en Californie. «Je ne l'ai pas fait par profit, mais par patriotisme.» A 71 ans, l'aîné des candidats à
la présidentielle incarne le paradoxe républicain cette année. Les conservateurs se méfient de ce politicien qui n'hésite pas à collaborer au Congrès avec l'«ennemi démocrate». Mais alors que les Américains répètent leur envie de changement après sept ans de gouvernement Bush, les républicains voient apparemment en McCain leur meilleure chance de conserver la Maison-Blanche. John McCain, soldat républicain pour la Maison-Blanche >>>

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