LE POINT: Les États-Unis, l'Europe, la Russie, la Chine et l'Inde ont reconnu le gouvernement d'union nationale palestinien. Un camouflet pour Netanyahou.
Un mardi noir. C'est probablement ainsi que Benyamin Netanyahou se souviendra de ce 3 juin. En l'espace de quelques heures, et quasiment les unes après les autres, les grandes puissances ont annoncé soutenir le gouvernement palestinien d'unité nationale qui avait prêté serment la veille devant le président Abbas. Les premiers à ouvrir le bal de cette reconnaissance internationale furent les États-Unis. Vinrent ensuite l'Union européenne, les chefs de diplomatie de la France et de la Grande-Bretagne, le secrétaire général de l'ONU puis la Russie. Mais aussi la Chine et l'Inde. Deux pays qui n'ont posé aucune condition à leur soutien. Tandis que les gouvernements américain et européens fondent leur coopération avec le nouveau cabinet palestinien sur l'adhésion de ce dernier à trois principes : renoncement à la violence, respect des accords déjà signés et reconnaissance d'Israël. Des principes que Mahmoud Abbas et son Premier ministre, Rami Hamdallah, se sont engagés à respecter. » | Danièle Kriegel, corresponndante du Point à Jérusalem | vendredi 06 juin 2014
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Friday, June 06, 2014
Tuesday, November 23, 2010
LE TEMPS: Le récent soutien du président Barack Obama à une entrée de l’Inde lors de sa visite à New Delhi relance le débat
Barack Obama ou Joseph Deiss? Chacun à sa manière, l’Américain et le Suisse sont appelés à inscrire quelques notes supplémentaires dans l’une des plus longues et des plus complexes partitions diplomatiques qui soient: la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies. Tout le monde, ou peu s’en faut, considère cette réforme inévitable, depuis des années. Plusieurs fois, elle a même donné le sentiment d’être à deux doigts de se réaliser. Aujourd’hui, plusieurs éléments pourraient jouer à nouveau en sa faveur. Ce sera peut-être à quitte ou double.
La liste fait rêver: aux côtés des cinq «Grands» (Etats-unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne), voici réunis l’Inde, le Brésil, l’Allemagne, l’Afrique du Sud, le Nigeria. Telle sera la composition du Conseil de sécurité l’année prochaine. Mais ce n’est là qu’un simple hasard. Et les nouveaux Etats, qui ne feront leur apparition qu’en tant que membres non permanents, repartiront une fois passée leur présence de deux années. A moins que… >>> Luis Lema | Lundi 22 Novembre 2010
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Thursday, February 25, 2010
LE FIGARO: Les deux frères ennemis essayent jeudi de remettre sur les rails leurs discussions bilatérales, interrompues après les attentats de Bombay, en novembre 2008. Mais le terrorisme et le dossier du Cachemire continuent de miner leurs relations.
Voilà plus d'un an que l'Inde et le Pakistan ne s'étaient pas officiellement assis à la même table. La faute aux attentats de Bombay de novembre 2008, qui avaient fait 166 morts et avaient été attribués par l'Inde au groupe islamiste pakistanais Lashkar-e-Taiba. Depuis, les relations indo-pakistanaises s'étaient réduites au strict minimum diplomatique. La rencontre, jeudi à New Delhi, entre la secrétaire indienne aux Affaires étrangères Nirupama Rao et son homologue pakistanais Salman Bashir avait donc valeur de symbole.
Dans les gestes, d'abord : les deux diplomates se sont serrés la main devant un ancien palais royal, Hyderabad House, dans le centre de la capitale fédérale. Dans les mots, ensuite : «J'accueille le secrétaire aux Affaires Etrangères du Pakistan, M. Salman Bashir, ce matin et j'attends les discussions avec impatience», a déclaré Nirupama Rao. Les deux hauts fonctionnaires se sont entretenus durant une vingtaine de minutes avant d'être rejoints par leurs délégations respectives. L'Inde veut endiguer le terrorisme >>> Jim Jarrassé | Jeudi 25 Février 2010
THE TELEGRAPH: India-Pakistan talks end in acrimony: India and Pakistan's first talks since the 2008 Mumbai terror attacks ended in acrimony as each accused the other of harbouring terrorists and tolerating human rights abuses. >>> Dean Nelson in New Delhi | Thursday, February 25, 2010
Wednesday, November 25, 2009
LE TEMPS: Le président démocrate a reçu à la Maison-Blanche le premier ministre indien, Manmohan Singh, en visite d’Etat. Il a insisté sur le fait que l’Inde était «une démocratie multiethnique comme les Etats-Unis»
L’Inde ou la Chine? Entre ces deux grandes puissances émergentes, en partie rivales, les Etats-Unis donnaient l’impression d’avoir choisi. C’est en Chine que vient de se rendre Barack Obama, multipliant les révérences et évitant de hausser le ton sur les sujets qui fâchent. «Je vous présente Barack Obama, l’administrateur de nos compagnies de l’Ouest», disait un responsable chinois devant un Obama courbé jusqu’au sol, dans un dessin paru dans un journal de Pittsburgh et aussitôt reproduit dans la presse nationale.
Ce ne sont pas seulement les Américains qui ont pris ombrage de la «servilité» de leur président à l’égard d’une Chine qui tient les Etats-Unis par les cordons de la bourse. A travers toutes sortes de canaux, les Indiens, eux aussi, ont fait connaître leur embarras. L’Inde a vécu une lune de miel avec le prédécesseur d’Obama, George Bush, qui a atteint son apogée peu avant la passation de pouvoir, avec la signature d’un accord entre les deux pays en matière de technologie nucléaire. >>> Luis Lema | Mercredi 25 Novembre 2009
ADVOCATE.COM: Several prominent gay men and lesbians were among those at the White House Tuesday night for President and Mrs. Obama’s first state dinner, held in honor of India Prime Minister Manmohan Singh and his wife, Gursharan Kaur. Among those on the 338-person guest list were movie producer David Geffen and his partner, Jeremy Lingvall; longtime activist Urvashi Vaid and her partner, comedian Kate Clinton; Facebook co-founder Chris Hughes and his partner, Sean Eldridge; and chair of the U.S. Export-Import Bank Fred Hochberg and his partner, Thomas Healy.
State dinners are traditionally held in the state White House’s State Dining Room, but this one was held in a tent outside the White House, complete with chandeliers and views of both the Washington Monument and the Lincoln Memorial. Because Manmohan Singh and his wife are vegetarians, the menu was completely meat free. >>> Advocate.com Editors | Tuesday, November 24, 2009
Thursday, January 29, 2009
leJDD.fr: Exclusif. Stockholm, Berlin, New York, Calcutta... Depuis 1994, Taslima Nasreen mène une vie d'exil. Ses prises de position en faveur de l'émancipation des femmes lui ont valu une fatwa dans son pays, le Bangladesh. Ces dernières années, l'écrivaine avait finalement trouvé refuge en Inde. Mais ce "pays frère" l'a à son tour chassée. A partir du 1er février, c'est à Paris qu'elle s'installe.
Etes-vous heureuse de venir vivre en France?
J'ai toujours aimé Paris. J'ai toujours aimé vivre en France. Paris est d'ailleurs le meilleur endroit pour vivre, après le Bangladesh et l'Inde. Mais je ne peux plus vivre dans ces pays. Les portes du Bangladesh et de l'Inde me sont fermées. Je suis donc très contente de pouvoir vivre en France.
La mairie de Paris met un studio à votre disposition, dans une résidence d'artistes. Le loyer est pris en charge par la ville pendant une durée déterminée. Qu'en est-il?
C'est juste pour six mois. J'apprécie l'aide de la Ville de Paris. Mais je suis à la recherche d'un endroit permanent. Un endroit où je pourrais vraiment m'installer, rapporter mes affaires qui sont restées en Inde. Un endroit où je pourrais commencer à vivre ma nouvelle vie. Je n'ai pas besoin d'un lieu temporaire mais permanent. Si après ces six mois, je ne peux pas me le permettre à Paris, je chercherai un endroit moins cher dans un autre pays.
Après de violentes manifestations communautaires à Hyderabad en 2007, le gouvernement indien a décidé de vous placer en résidence surveillée...
J'ai vécu en Inde durant les quatre dernières années. Puis des fondamentalistes m'ont attaqué. Ils ont émis une fatwa et demandé ma tête. Ils n'aimaient pas mes idées. Au lieu de prendre des sanctions contre ces musulmans fondamentalistes, le gouvernement indien s'en est pris à moi. J'ai vécu en résidence surveillée pendant sept mois et demi. Puis le gouvernement indien m'a demandé de partir (en mars 2008, ndlr). Depuis, mon existence est modeste. Je n'ai plus d'endroit où aller. >>> Propos recueillis par Marianne ENAULT, leJDD.fr | Jeudi 29 Janvier 2009
The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
The Dawning of a New Dark Age (Relié) >>>
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