Rumaysah et ses amis islamistes patrouillent dans les rues de East London, pour rappeler à l’ordre les citoyens qui ne respectent pas la loi islamique. Dans une série de vidéos, ces islamistes peuvent être vus en train de harceler des femmes pour leur robe jugée inappropriée, de tenter de convaincre des hommes de cesser de boire de l’alcool, etc. » | Par Léo Kersauzie | lundi 10 novembre 2014
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Monday, November 10, 2014
A Londres, la patrouille de la charia voudrait pouvoir trancher la main des voleurs et lapider les femmes adultères
Rumaysah et ses amis islamistes patrouillent dans les rues de East London, pour rappeler à l’ordre les citoyens qui ne respectent pas la loi islamique. Dans une série de vidéos, ces islamistes peuvent être vus en train de harceler des femmes pour leur robe jugée inappropriée, de tenter de convaincre des hommes de cesser de boire de l’alcool, etc. » | Par Léo Kersauzie | lundi 10 novembre 2014
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Saturday, June 28, 2014
La Grande-Bretagne pourrait-elle sortir de l'UE ?
LE POINT: Après la bataille perdue par Cameron contre Juncker, les risques que les Britanniques décident de sortir de l'Union européenne sont accrus.
Pour les experts, la bataille perdue de David Cameron contre Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne accroît les risques que les Britanniques décident de sortir de l'UE, si leur Premier ministre ne remporte pas de succès dans sa quête d'une Union réformée. Le dirigeant conservateur, qui s'est engagé s'il était réélu en 2015 à organiser un référendum sur l'appartenance de son pays à l'UE en 2017 après avoir obtenu de Bruxelles des compétences rapatriées et des réformes, a reconnu lui-même que la tâche de maintenir son pays dans l'UE était désormais plus compliquée.
Ses opposants politiques se sont empressés de souligner l'"humiliation" subie et son "isolement". Mais au Royaume-Uni, pays dont le traditionnel euroscepticisme a atteint de nouveaux sommets avec la victoire de l'Ukip europhobe aux élections européennes de mai, les principaux partis étaient unanimes dans leur opposition à Juncker, vu comme trop fédéraliste. Et quelque 43 % des électeurs estimaient que David Cameron avait raison d'essayer de bloquer la nomination de l'ex-Premier ministre luxembourgeois, seuls 13 % le désavouant, selon un sondage Financial Times/Populus publié cette semaine. » | Source AFP | samedi 28 juin 2014
Pour les experts, la bataille perdue de David Cameron contre Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne accroît les risques que les Britanniques décident de sortir de l'UE, si leur Premier ministre ne remporte pas de succès dans sa quête d'une Union réformée. Le dirigeant conservateur, qui s'est engagé s'il était réélu en 2015 à organiser un référendum sur l'appartenance de son pays à l'UE en 2017 après avoir obtenu de Bruxelles des compétences rapatriées et des réformes, a reconnu lui-même que la tâche de maintenir son pays dans l'UE était désormais plus compliquée.
Ses opposants politiques se sont empressés de souligner l'"humiliation" subie et son "isolement". Mais au Royaume-Uni, pays dont le traditionnel euroscepticisme a atteint de nouveaux sommets avec la victoire de l'Ukip europhobe aux élections européennes de mai, les principaux partis étaient unanimes dans leur opposition à Juncker, vu comme trop fédéraliste. Et quelque 43 % des électeurs estimaient que David Cameron avait raison d'essayer de bloquer la nomination de l'ex-Premier ministre luxembourgeois, seuls 13 % le désavouant, selon un sondage Financial Times/Populus publié cette semaine. » | Source AFP | samedi 28 juin 2014
Friday, June 06, 2014
Israël lâché par ses alliés
LE POINT: Les États-Unis, l'Europe, la Russie, la Chine et l'Inde ont reconnu le gouvernement d'union nationale palestinien. Un camouflet pour Netanyahou.
Un mardi noir. C'est probablement ainsi que Benyamin Netanyahou se souviendra de ce 3 juin. En l'espace de quelques heures, et quasiment les unes après les autres, les grandes puissances ont annoncé soutenir le gouvernement palestinien d'unité nationale qui avait prêté serment la veille devant le président Abbas. Les premiers à ouvrir le bal de cette reconnaissance internationale furent les États-Unis. Vinrent ensuite l'Union européenne, les chefs de diplomatie de la France et de la Grande-Bretagne, le secrétaire général de l'ONU puis la Russie. Mais aussi la Chine et l'Inde. Deux pays qui n'ont posé aucune condition à leur soutien. Tandis que les gouvernements américain et européens fondent leur coopération avec le nouveau cabinet palestinien sur l'adhésion de ce dernier à trois principes : renoncement à la violence, respect des accords déjà signés et reconnaissance d'Israël. Des principes que Mahmoud Abbas et son Premier ministre, Rami Hamdallah, se sont engagés à respecter. » | Danièle Kriegel, corresponndante du Point à Jérusalem | vendredi 06 juin 2014
Un mardi noir. C'est probablement ainsi que Benyamin Netanyahou se souviendra de ce 3 juin. En l'espace de quelques heures, et quasiment les unes après les autres, les grandes puissances ont annoncé soutenir le gouvernement palestinien d'unité nationale qui avait prêté serment la veille devant le président Abbas. Les premiers à ouvrir le bal de cette reconnaissance internationale furent les États-Unis. Vinrent ensuite l'Union européenne, les chefs de diplomatie de la France et de la Grande-Bretagne, le secrétaire général de l'ONU puis la Russie. Mais aussi la Chine et l'Inde. Deux pays qui n'ont posé aucune condition à leur soutien. Tandis que les gouvernements américain et européens fondent leur coopération avec le nouveau cabinet palestinien sur l'adhésion de ce dernier à trois principes : renoncement à la violence, respect des accords déjà signés et reconnaissance d'Israël. Des principes que Mahmoud Abbas et son Premier ministre, Rami Hamdallah, se sont engagés à respecter. » | Danièle Kriegel, corresponndante du Point à Jérusalem | vendredi 06 juin 2014
Tuesday, May 27, 2014
Le leader de l'Ukip lance la bataille pour sortir de l'UE
TRIBUNE DE GENÈVE: Le chef de l'Ukip Nigel Farage, féru d'histoire militaire, a la métaphore guerrière pour célébrer son assaut victorieux aux Européennes et son projet de conquête du parlement de Westminster.
«Vous n'en avez pas fini avec nous», a lancé, triomphant au cœur de la nuit de dimanche à lundi, le chef de l'Ukip Nigel Farage, généralissime d'un parti considéré hier encore comme marginal, avec ses 36'000 adhérents. Les médias britanniques généralement hostiles évoquent des troupes «aux tempes grises», constituées majoritairement de quinquagénaires.
Mais le but de guerre ultime de l'«armée populaire» constituée par Nigel Farage est de sortir le Royaume-Uni de l'Union européenne. » | mardi 27 mai 2014
«Vous n'en avez pas fini avec nous», a lancé, triomphant au cœur de la nuit de dimanche à lundi, le chef de l'Ukip Nigel Farage, généralissime d'un parti considéré hier encore comme marginal, avec ses 36'000 adhérents. Les médias britanniques généralement hostiles évoquent des troupes «aux tempes grises», constituées majoritairement de quinquagénaires.
Mais le but de guerre ultime de l'«armée populaire» constituée par Nigel Farage est de sortir le Royaume-Uni de l'Union européenne. » | mardi 27 mai 2014
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Monday, October 28, 2013
La Grande-Bretagne et la France attendent la tempête
La perturbation devrait aussi affecter le Nord-Ouest de la France, où Météo-France prévoit des rafales atteignant 120-130 km/h sur le littoral dans la nuit de dimanche à lundi. Dans la soirée une forte houle s'abattait déjà sur les côtes de Bretagne et de Normandie.
Au Royaume-Uni, le Met Office a prévenu que les vents violents risquaient d'entraîner des chutes d'arbres, des dégâts sur les bâtiments, des coupures d'électricité et des perturbations dans les transports. De fortes pluies (20-40 mm) devraient s'abattre à partir de dimanche soir, pendant six à neuf heures, risquant de causer des inondations localisées.
Ces précipitations s'accompagneront lundi de rafales entre 100 et 130 km/h sur le sud de l'Angleterre et le Pays de Galles, voire plus en certains endroits.
Le Met Office a émis une alerte orange (avant-dernier niveau) pour le sud du pays, appelant la population à reporter ses déplacements dans la matinée pour éviter le gros de la tourmente. » | Agence France-Presse | Londres | dimanche 27 octobre 2013
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Wednesday, October 23, 2013
Royal baby : baptême royal en Grande-Bretagne !
LE POINT: Elizabeth II et 22 autres invités triés sur le volet assistent mercredi au baptême du prince George, troisième dans l'ordre d'accession au trône britannique.
La reine Elizabeth II et 22 autres invités triés sur le volet devraient assister mercredi au baptême du prince George, troisième dans l'ordre d'accession au trône britannique, selon la liste des invités annoncée par les parents, William et Kate. La reine, 87 ans, et son mari, le prince Philip, 92 ans, arrière-grands-parents de George, seront présents à cette cérémonie intime, de même que le prince Charles, grand-père paternel, sa femme Camilla, et le prince Harry. Les grands-parents maternels, Carole et Michael Middleton, sont aussi parmi les invités, de même que le frère et la soeur de Kate, James et Pippa. » | Source AFP | mercredi 23 octobre 2013
La reine Elizabeth II et 22 autres invités triés sur le volet devraient assister mercredi au baptême du prince George, troisième dans l'ordre d'accession au trône britannique, selon la liste des invités annoncée par les parents, William et Kate. La reine, 87 ans, et son mari, le prince Philip, 92 ans, arrière-grands-parents de George, seront présents à cette cérémonie intime, de même que le prince Charles, grand-père paternel, sa femme Camilla, et le prince Harry. Les grands-parents maternels, Carole et Michael Middleton, sont aussi parmi les invités, de même que le frère et la soeur de Kate, James et Pippa. » | Source AFP | mercredi 23 octobre 2013
Saturday, December 10, 2011
LE FIGARO: Le veto historique de David Cameron au nouvel accord européen lance une nouvelle ère d'isolement pour le Royaume-Uni en Europe.
En choisissant la fermeté face à ses alliés européens, David Cameron a pris le parti d'un isolement de la Grande-Bretagne en Europe. Pour la première fois, les Britanniques ont utilisé leur veto pour s'opposer à leurs alliés traditionnels français et allemands. Poussé par sa majorité eurosceptique, le premier ministre a donc décidé d'aller au clash et de bloquer un projet de changement de traité, faute d'avoir obtenu les garanties souhaitées sur la City de Londres.
«J'ai dû poursuivre obstinément ce qui était de l'intérêt national britannique, a-t-il déclaré vendredi matin à Bruxelles, visiblement très remonté. Ce n'est pas facile d'être dans une pièce où des gens vous pressent de signer quelque chose en vous disant que c'est dans votre intérêt. Il est parfois juste de dire : “Je ne peux pas faire ça, ce n'est pas dans notre intérêt. Je ne veux pas présenter cela à mon Parlement parce que je ne peux pas le recommander en toute conscience, donc je vais dire non et exercer mon veto”.» » | Par Florentin Collomp | vendredi 09 décembre 2011
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Wednesday, February 16, 2011
LE FIGARO: Les étrangers venant travailler au Royaume-Uni avec un salaire annuel de plus de 150.000 livres (près de 180.000 euros) seront exclus des nouveaux quotas migratoires afin de ne pas priver le pays des "meilleurs talents", a annoncé mercredi le gouvernement.
La mesure, qui répond à une demande pressante du monde économique, s'appliquera aux immigrants pouvant justifier d'un contrat de travail, a précisé le secrétaire d'Etat chargé de l'immigration Damian Green. Elle permettra aux avocats, banquiers ou chercheurs étrangers de haut niveau d'échapper aux règles mises en place à compter d'avril pour juguler l'immigration, à condition toutefois que leur casier judicaire dans leur pays d'origine soit vierge. La Grande-Bretagne doit attirer pour son économie "les meilleurs talents et les professionnels les plus brillants", a expliqué M. Green, tout en estimant que "cela ne doit pas se faire au détriment des travailleurs déjà présents". >>> AFP | Mercredi 16 Février 2011
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Monday, December 20, 2010
LE TEMPS: Avions cloués au sol, passagers qui dorment dans les aérogares, routes et voies ferrées gelées: le chaos dans les transports se poursuivait ce lundi en Grande-Bretagne, où les températures restaient exceptionnellement basses
Bien qu’ouvert, l’aéroport de Heathrow près de Londres, un des premiers du monde pour le trafic voyageurs, opérait «un nombre limité de vols», selon son site internet. British Airways a annoncé qu’une soixantaine de vols seraient maintenus lundi matin à partir de Heathrow, soit environ la moitié. Des dizaines d’autres vols ont donc été annulés, et les perturbations devraient se prolonger au-delà de Noël du fait des reports et annulations. >>> AFP | Lundi 20 Décembre 2010
LE TEMPS: L’Europe est paralysée par les intempéries: Des milliers de passagers, en Belgique et en Angleterre, ont été bloqués dans les aéroports >>> AFP/LT | Lundi 20 Décembre 2010
Saturday, July 17, 2010
TRIBUNE DE GENÈVE: GRANDE-BRETAGNE | Un député britannique du parti conservateur au pouvoir a déposé un projet de loi limitant le port du voile intégral islamique dans les lieux publics.
Philip Hollobone a déposé à la chambre des Communes un texte visant à "réglementer le port de certains voiles" dans le but assumé de provoquer un débat entre les députés qu’il juge "déconnectés de l’opinion publique".
Le texte doit être examiné en décembre mais n’a quasiment aucune chance d’être adopté en raison de la réticence d’une majorité de parlementaires à légiférer sur le voile.
Le député a par ailleurs affirmé samedi dans un entretien au journal The Independent qu’il exigerait des femmes voilées qu’elles se découvrent si elles souhaitent le rencontrer à sa permanence de Kettering (centre de l’Angleterre). >>> AFP | Samedi 17 Juillet 2010
Tuesday, June 29, 2010
LE FIGARO: Le plan d'austérité présenté par le chef du gouvernement britannique fragilise sa coalition.
La politique de rigueur mise en place par le gouvernement de David Cameron provoque déjà des tensions au sein de la coalition organisée avec les libéraux-démocrates de Nick Clegg. Plusieurs députés LibDems protestent ouvertement contre les hausses d'impôts annoncées la semaine dernière par le ministre des Finances conservateur, George Osborne. Quatre d'entre eux sont même allés à l'encontre des consignes de leur parti, en proposant un amendement au budget qui rendrait inapplicable la hausse de la TVA de 17,5 % à 20 %, qui devrait avoir lieu en début d'année prochaine. Ces élus s'inquiètent de l'impact de la hausse de la TVA sur les foyers les plus modestes, et auraient préféré que les nouveaux impôts soient plus «progressistes », en faisant porter la facture sur les plus riches.
Le petit parti libéral-démocrate n'a décroché que 55 députés sur 650 sièges lors des dernières législatives, mais il est devenu un partenaire indispensable pour les conservateurs de David Cameron qui, avec 306 élus, étaient restés en deçà du seuil de la majorité absolue. Pendant toute la campagne, et lors des négociations de coalition avec les tories, le groupe de Nick Clegg a avancé un programme fiscal progressiste, insistant sur la nécessité de rendre les impôts «plus justes », en allégeant le fardeau des revenus modestes. La semaine dernière, le groupe d'analyse Institute for Fiscal Studies a commenté que la hausse de la TVA allait avoir un impact plus sensible pour les plus pauvres et a qualifié le budget de «plutôt réactionnaire ». >>> Par Cyrille Vanlerberghe | Mardi 29 Juin 2010
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Wednesday, June 09, 2010
SAPHIR NEWS: « Inspiré par Muhammad ». C’est la nouvelle campagne de publicité lancée depuis lundi 7 juin à Londres, visant à améliorer l’image de l’islam et des musulmans aux yeux des Britanniques par le biais de photos de musulmans et des musulmanes, voilées ou non, placardés dans les rues et les métros de la capitale. Cette campagne coïncide avec la publication d’un sondage portant sur la perception de l'islam en Grande-Bretagne. Ce qui en ressort est inquiétant : plus d’un Britannique sur deux associe l’islam à l’intégrisme et au terrorisme.
Quoi de mieux qu’une campagne de pub de grande échelle pour balayer les préjugés qu’une partie de la population a envers l’islam… ou du moins améliorer leur perception négative de la religion musulmane ? Ce rêve est devenu réalité en Grande-Bretagne, où l'on peut apercevoir, depuis lundi 7 juin, des photos de musulmans et de musulmanes, voilées ou non, placardés dans les stations de métro, de bus et sur les taxis de la capitale britannique et de ses environs.
Ces affiches sont accompagnées de messages courts tels que « Je crois en les droits de la femme », « Je crois en la justice sociale » et « Je crois en la protection de l’environnement », toutes suivies de « Muhammad aussi ». On l’a tous compris, c’est bien du Prophète Muhammad dont il s’agit.
Ce Prophète continue d’inspirer la vie de millions de personnes à travers le monde. Quoi de plus évident pour Exploring Islam Foundation (EIF), initiatrice du projet, de centrer cette campagne publicitaire autour de celui qui est considéré comme le Sceau des Prophètes, le dernier des messagers pour 1,5 milliard de musulmans sur la planète. Muhammad, un modèle qui fascine >>> Hanan Ben Rhouma | Mercredi 09 Juin 2010
Check out the video! It’s unbelievable. Really unbelievable! Talk about a whitewash… this is it! What a load of BS! Inspired by Muhammad >>>
Saturday, May 15, 2010
LE MONDE: Pour les médias britanniques, cela ne fait pas de doute : en nommant David Lidington, un modéré, au poste de secrétaire d'Etat à l'Europe, le nouveau premier ministre David Cameron a montré sa volonté d'apaiser les relations tendues entre son Parti conservateur et l'Union européenne (UE). Cette nomination est aussi interprétée par les médias comme une concession au Parti libéral-démocrate très européen du vice-premier ministre Nick Clegg, avec lequel M. Cameron vient de former un gouvernement de coalition. M. Lidington, 53 ans, devrait "contrebalancer la rhétorique très eurosceptique" du ministre des affaires étrangères William Hague, note le Financial Times. >>> LeMonde.fr avec AFP et Reuters | Vendredi 14 Mai 2010
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Tuesday, April 20, 2010
LE TEMPS: Depuis la bonne prestation, lors du premier débat télévisé, de son leader Nick Clegg que certains comparent déjà à Barack Obama, le troisième parti britannique brouille les cartes électorales
C’est un véritable tremblement de terre électoral qui est en train de se produire en Grande-Bretagne. Le traditionnel Petit Poucet de la politique britannique, le Parti libéral-démocrate, connaît un bond phénoménal dans les sondages. Deux d’entre eux le mettent même en tête (autour de 33%), devant les conservateurs (32%), reléguant les travaillistes en troisième position (26%).
Cet incroyable rebondissement s’est joué en tout juste 90 minutes. Jeudi soir, lors du premier débat télévisé électoral de l’histoire britannique, Nick Clegg, le leader des «lib-dems», a pris tout le monde par surprise. Inconnu d’une bonne partie des 10 millions de téléspectateurs, il a fait souffler un vent frais sur l’échiquier politique du Royaume-Uni, face au premier ministre travailliste Gordon Brown et au leader conservateur David Cameron. Son argument clé? Renvoyer les deux vieux partis dos à dos, promettant «un vrai changement». Très implantés localement >>> Eric Albert | Lundi 19 Avril 2010
Thursday, February 04, 2010
leJDD.fr: Benoît XVI a annoncé mardi son voyage en Grande-Bretagne en septembre prochain. Mais le pape a soulevé la polémique en s'opposant à un projet de loi en cours d'examen, qui entend lutter contre la discrimination basée sur l'orientation sexuelle.
Benoît XVI est le pape de la polémique. Ces voyages génèrent souvent des remous, comme en Israël, en Afrique ou aux Etats-Unis. L'annonce de sa visite en Grande-Bretagne a aussi soulevé une vague de protestation. Le souverain pontife s'est en effet adressé aux évêques gallois et anglais et leur a confirmé sa venue à l'automne prochain, en septembre. Certes les visites papales sont très rares dans le pays, ce sera la deuxième en cinq siècles, après celle de Jean Paul II en 1982. Certes l'Eglise anglicane s'est construite par opposition à Rome. Mais la visite ne devait pas susciter une telle polémique.
La levée de bouclier est venue du contenu de l'intervention papale devant les 35 évêques. Benoît XVI a en effet critiqué un projet de loi sur l'égalité des sexes. Le texte, actuellement examiné par la chambre des Lords, interdirait la discrimination basée sur l'orientation sexuelle. "Votre pays est bien connu pour son engagement ferme dans l'égalité des chances pour tous les membres de la société. Cependant, la législation ayant pour objet de parvenir à ce but a eu pour effet d'imposer des limites injustes à la liberté des communautés religieuses d'agir conformément à leur croyance", a-t-il dénoncé. Les catholiques comme les anglicans redoutent notamment de ne plus pouvoir choisir les professeurs sur la base de leur foi dans leurs établissements scolaires. Ils ont aussi exprimé leur préoccupation face à une possible obligation de célébrer le mariage d'un transsexuel. "Par certains aspects, elle (la législation, ndlr) viole en fait la loi naturelle sur laquelle est fondée l'égalité de tous les êtres humains et par laquelle elle est garantie", a ajouté le pape. >>> M.V., leJDD.fr | Mercredi 03 Février 2010
Wednesday, January 27, 2010
LE TEMPS: Une étude révèle l’hostilité de la population à l’égard des musulmans. Le modèle multiculturel chancelle
Longtemps admiré pour ses capacités d’intégration de différentes communautés ethniques, culturelles et religieuses, le modèle multiculturel britannique est en train de chanceler. Selon l’enquête annuelle British Social Attitudes Survey, publiée mardi par le National Centre for Social Research, un centre de recherche indépendant, près de la moitié des Britanniques estiment qu’il a échoué. En effet, pour 45% d’entre eux, le pluralisme religieux a causé du tort au pays; 52% pensent que la religion est un facteur de division majeur dans le pays. L’islam est la religion qui suscite le plus de préoccupations. Seuls 23% des Britanniques ont des sentiments positifs à l’égard des musulmans, alors que 34% expriment une opinion hostile; 55% s’opposeraient à la construction d’une grande mosquée dans leur voisinage.
Selon David Voas, professeur spécialisé dans l’étude des populations à l’Université de Manchester, et coauteur du chapitre de l’enquête consacré à la religion, l’islam est perçu comme une «menace pour la cohésion sociale» et «l’identité nationale». Dans l’analyse des résultats de l’enquête qu’il a livrée pour le DailyTelegraph, il cite la «taille et la visibilité» des communautés islamiques comme des facteurs de préoccupation pour la société britannique. En conséquent, une majorité de la population se dit favorable à une limitation de la liberté d’expression. L’enquête constate une grande suspicion à l’égard des personnes qui expriment des points de vue très religieux et une large réticence envers l’intrusion des questions de religion dans la sphère publique.
Ces inquiétudes commencent à être prises au sérieux par les autorités britanniques. A la mi-janvier, le gouvernement a interdit un groupe islamiste radical, Islam4UK. Celui-ci projetait d’organiser une manifestation à Wootton Bassett, une ville située non loin de Londres, où sont rendus les hommages aux soldats tués en Afghanistan. >>> Patricia Briel | Mercredi 27 Janvier 2010
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Wednesday, January 06, 2010
LE FIGARO: Des extrémistes musulmans menacent de défiler dans le village symbole des soldats tués en Afghanistan, à l'ouest de Londres.
Il est 13 h 55. Les cloches de l'église Saint Bartholomew sonnent le glas, un silence étrange tombe sur la rue principale de Wootton Bassett. Les commerçants ferment leurs boutiques et rejoignent les quelques centaines de personnes qui se sont rassemblées dans le froid glacial le long de la grand-rue du village. Comme à plus de 100 reprises depuis trois ans, les habitants de cette petite agglomération située dans la campagne du Wiltshire, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Londres, viennent saluer le passage des corps de deux soldats britanniques morts en Afghanistan.
Mais cette fois-ci, la courte cérémonie se déroule dans un contexte très particulier : le groupuscule radical islamiste Islam4UK a prévu de venir manifester à Wootton Bassett avec de faux cercueils, pour protester contre «l'assassinat sans pitié» de milliers de civils musulmans afghans par les troupes britanniques et leurs alliés américains. Cette annonce faite par l'imam Anjem Choudary, ancien responsable du groupe musulman extrémiste al-Mujahiroon, dissous par les autorités britanniques, a provoqué une très vive émotion au Royaume-Uni, même si aucune date n'a encore été donné pour la manifestation. Une pétition lancée vendredi dernier sur le site Internet Facebook par une mère de famille anglaise a déjà recueilli plus de 350.000 signatures pour s'opposer à la venue des manifestants islamistes dans ce tranquille village qui est devenu le symbole du respect porté par la population aux soldats morts pour leur patrie. Le premier ministre, Gordon Brown, et le chef des conservateurs, David Cameron, ont dénoncé en des termes très sévères cette récupération d'un lieu cher aux familles des victimes. Le ministre de l'Intérieur, Alan Johnson, a expliqué qu'il envisageait d'interdire la manifestation si les autorités locales du Wiltshire lui en faisaient la demande. Réaction de dégoût >>> Cyrille Vanlerberghe, envoyé spécial du Figaro à Wootton Bassett | Mercredi 06 Janvier 2010
LE FIGARO: Pour ces associations, le but est d'empêcher l'islam radical de devenir «une force politique en Europe» et de «récupérer» leurs centres-villes.
Stop à l'islamisation de l'Europe, Ligue de défense anglaise et galloise, Casuals United : ces organisations, aux noms souvent évocateurs, sont particulièrement actives. Créée en mars dernier, la Ligue de défense anglaise (EDL) est déjà à l'origine d'une dizaine de manifestations à Birmingham, Londres, Manchester ou Leeds contre «l'extrémisme et le terrorisme islamique». «Nous ne sommes pas des nazis ou des racistes, explique Tommy, un porte-parole du mouvement. Plusieurs centres-villes sont infestés d'extrémistes. Certaines femmes ne veulent plus aller faire leurs courses par peur de cette vingtaine d'hommes habillés en robes islamiques qui crient des slogans antibritanniques et qui appellent au djihad et à la haine raciale. Ce sont nos centres-villes et nous voulons les récupérer.» Même son de cloche du côté du groupe Stop à l'islamisation de l'Europe (SIOE), crée au Danemark en 2007 et qui est apparu cette année en Grande-Bretagne. «Notre but est d'empêcher l'islam radical de devenir une force politique en Europe», peut-on lire sur leur site Internet.
Pourtant, plusieurs organisations de lutte contre le racisme dénoncent les liens de ces groupuscules avec les partis d'extrême droite et le hooliganisme. «EDL et les autres sont des groupes racistes, un club d'alcooliques, qui n'a qu'un but : attaquer les Asiatiques», explique Unis contre le racisme. >>> Valentine Piedelièvre, à Londres | Mercredi 06 Janvier 2010
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Monday, October 05, 2009
LE POINT: Les Conservateurs britanniques, favoris des prochaines législatives, ont ouvert leur congrès annuel lundi à Manchester (nord-ouest de l'Angleterre) sans parvenir à étouffer la polémique sur leur position sur l'Europe et le traité de Lisbonne. S'exprimant devant les délégués à l'ouverture des débats, David Cameron, que les sondages donnent bien placé pour devenir le prochain Premier ministre, a souligné que pour la première fois depuis 12 ans, les Tories ont "une vraie chance de changer les choses".
Plusieurs responsables conservateurs ont présenté les premières mesures sociales qu'ils entendent mettre en oeuvre à leur arrivée au pouvoir. Mais le chef du principal parti d'opposition n'est pas revenu sur le sujet qui fâche, le traité de Lisbonne, ratifié par l'Irlande lors d'un second référendum vendredi. À sa place, ses lieutenants tentaient d'expliciter la position du parti, perçue comme confuse. Cameron a réaffirmé vouloir un référendum sur ce traité, déjà ratifié par le parlement britannique. "Je veux un référendum. Je ne pense pas que ce soit un bon traité", a déclaré Cameron dimanche sur la BBC, ajoutant que les Tories feraient campagne pour le non. >>> AFP | Lundi 05 Octobre 2009
Saturday, September 19, 2009
LE MONDE: Les Anglais ne veulent pas entendre parler de l'euro. Pas question d'abandonner cette livre sterling si chère à leur coeur et qu'ils jugent si fondamentale pour leur identité. Mais l'on dirait qu'elle ne leur suffit plus totalement. En moins d'une semaine, deux nouvelles devises sont apparues outre-Manche. Le "Brixton pound" (B£) verra officiellement le jour jeudi 17 septembre au soir. La "Stroud pound" est née le 12 septembre.
Dans les deux cas, il s'agit d'une monnaie purement locale, que les consommateurs ne peuvent utiliser que dans un périmètre réduit, le quartier de Brixton au sud de Londres pour la première, la ville de Stroud dans le Gloucestershire pour l'autre. En 2007, Totnes dans le Devon avait ouvert la voie, suivie, en septembre 2008, de Lewes dans l'est de l'Essex.
La Banque d'Angleterre regarde sans doute avec un certain mépris ces expériences qui fleurissent ici ou là. Car ces "devises locales", comme les appellent les économistes, ne font que cohabiter avec l'indétrônable sterling. Elles n'ont rien d'une monnaie au sens traditionnel du terme. Elles en ont l'apparence - elles se présentent sous la forme de billets - mais la comparaison s'arrête là. Elles n'ont aucune valeur sur le marché des changes, et n'existent pas à l'extérieur des frontières dans lesquelles elles ont vu le jour. Elles sont un simple instrument d'échange au sein d'une communauté, qui permet une sorte de troc version papier. Et personne n'est obligé de les adopter.
"Nous avons imprimé 40 000 billets, de un, cinq, dix et vingt B£", ce qui représente plus de 100 000 livres (112 000 euros), explique Tim Nichols, qui a géré l'affaire à Brixton pour le compte de l'association environnementale Transition Town, à l'origine du projet. >>> Reportage LeMonde.fr | Jeudi 17 Septembre 2009
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Tuesday, September 15, 2009
LE FIGARO – BLOG: Au pays des mollahs, tout finit par arriver ! Après cinq longs mois d’attente, le nouvel ambassadeur britannique en Iran vient de présenter ses lettres de créances à Mahmoud Ahmadinejad, le président de la République islamique.
« Nous regardons vers l’avenir, a déclaré ce dernier en recevant Simon Gass. Nous espérons que le gouvernement britannique a tiré les leçons et corrigera son comportement passé », a ajouté Ahmadinejad.
Déjà passablement mauvaises, les relations entre Téhéran et Londres se sont encore dégradées, après l’élection présidentielle de juin, remportée – grâce à des fraudes – par Mahmoud Ahmadinejad. Le guide suprême, Ali Khameneï, accusa ouvertement les médias britanniques d’avoir soutenu les manifestants. Et une dizaine d'employés locaux de l’ambassade de Grande-Bretagne furent même arrêtés pendant quelques jours.
Jusqu’à très récemment, la Grande-Bretagne était considérée comme le « petit Satan » par l’Iran. Le prédécesseur de Simon Gass, Jeffery Adams, subissait – certes, avec un flegme tout britannique - les petites vexations que lui infligeaient ses homologues iraniens, quand ces derniers le convoquaient au ministère des Affaires étrangères, pour lui rappeler les déclarations « hostiles » de son patron à Londres. Avec les commentaires >>> Par Georges Malbrunot | Lundi 14 Septembre 2009
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