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Sunday, November 21, 2010

Abbas exclut un gel qui n'inclut pas Jérusalem

leJDD.fr: L'Autorité palestinienne ne retournera à la table des négociations que si un gel de la construction de colonies, y compris à Jérusalem-Est, est prononcé, a déclaré dimanche Mahmoud Abbas. "S'il n'y a pas un arrêt total de la colonisation dans l'ensemble des territoires palestiniens, y compris à Jérusalem, nous n'accepterons pas" de reprendre les négociations, a indiqué le président de l'Autorité palestinienne, à l'issue d'une rencontre avec le président égyptien, Hosni Moubarak, au Caire. Abbas a par ailleurs déclaré n'avoir reçu aucune demande de reprise des pourparlers de la part des Etats-Unis qui mettent en oeuvre un plan destiné à relancer les négociations entre les deux parties. [Source: leJDD.fr] | Dimanche 21 Novembre 2010

LE POINT: Colonisation: Abbas exige le gel total pour reprendre les négociations: Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a affirmé dimanche au Caire qu'il n'accepterait pas une reprise des négociations de paix avec Israël sans un gel de la colonisation à Jérusalem-Est. >>> AFP | Dimanche 21 Novembre 2010

Tuesday, November 17, 2009

Proche-Orient : Indépendance de la Palestine: l’appel à l’UE

LE TEMPS: L’Autorité palestinienne demande aux Vingt-Sept de soutenir sa démarche en vue d’une reconnaissance par le Conseil de sécurité d’un Etat palestinien indépendant. Les autorités israéliennes de leur côté mettent en garde contre tout «geste unilatéral»

Par la voie de son ministre des Négociations, Saëb Erekat, l’Autorité palestinienne (AP) a officiellement demandé lundi aux représentants diplomatiques européens en poste dans la région de soutenir son plan visant à proclamer unilatéralement l’indépendance d’un Etat palestinien «dans les frontières de 1967 et avec Jérusalem-Est (la partie arabe de la ville) pour capitale». Dans la foulée, le président du comité exécutif de l’OLP, Yasser Abed Rabo (un proche conseiller du président Mahmoud Abbas), a entamé des démarches auprès des instances des Nations unies afin de présenter le projet au Conseil de sécurité.

Malgré l’enthousiasme de façade de l’entourage de Mahmoud Abbas, la proclamation éventuelle de l’indépendance de la Palestine sur quelques parcelles de Cisjordanie suscite le plus souvent des réactions mitigées. Au sein même de l’AP, le colonel Jibril Rajoub, un responsable du Fatah qui passe pour un successeur potentiel du président palestinien, a estimé que des négociations directes avec Israël sont à ses yeux «préférables a tout geste unilatéral». Une position identique à celle de la diplomatie égyptienne ainsi qu’aux vues de l’émissaire de l’Union européenne, Marc Hotte.

Quant au Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, il a d’ores et déjà fait savoir qu’il ne participerait pas au processus initié par l’AP. «Il faut d’abord libérer les territoires occupés avant de proclamer l’indépendance», a déclaré l’un des porte-parole du mouvement islamiste. >>> Serge Dumont | Mardi 17 Novembre 2009

Friday, May 29, 2009

Obama: «je crois fermement
à une solution à deux Etats»

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Mahmoud Abbas avec Barack Obama. Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: Le président américain, qui reçevait jeudi soir le leader palestinien Mahmoud Abbas, a répété qu'il exigeait l'arrêt de la colonisation israélienne en Cisjordanie.

Barack Obama maintient le cap de la fermeté dans la relation entre Etats-Unis et Israël. Le président américain reçevait jeudi soir le leader de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à la Maison-Blanche. Une visite qui prend un ton tout particulier, alors que la nouvelle administration israélienne fait la sourde oreille à l'injonction de Washington, mercredi, de geler les constructions de colonies en Cisjordanie et refuse d'envisager la solution à deux Etats séparés préconisée par les Etats-Unis.

Mahmoud Abbas, qui ne contrôle concrètement que la Cisjordanie, le Hamas tenant d'une main de fer la Bande de Gaza, est venu à Washington pour rappeler l'urgence de relancer le processus de paix israélo-palestinien. Pour lui, «le temps est un facteur essentiel» dans l'affaire.

Le dirigeant palestinien a d'ailleurs remis à Barack Obama un document contenant des propositions pour sortir de l'impasse. «Ce document ne sort pas du cadre de la Feuille de route et de l'Initiative de paix arabe. Il contient des idées pour la mise en place de mécanismes d'application de ces deux plans», précise-t-il, assurant qu'Obama a promis de l'étudier.

Rappelant une nouvelle fois que les Etats-Unis sont «un allié inconditionnel» d'Israël, le président américain a adopté un ton optimiste sur la perspective d'un apaisement des tensions au Proche-Orient. «Je pense qu'il est important de ne pas s'attendre au pire, mais d'espérer le meilleur», a-t-il lancé, demandant à nouveau l'arrêt de la colonisation israélienne. >>> Samuel Laurent (lefigaro.fr) avec agences | Vendredi 29 Mai 2009

LOS ANGELES TIMES: U.S.-Israel Rift Becomes an Unusually Public One

President Barack Obama meets with Palestinian Authority President Mahmoud Abbas and repeats his tough stance on Jewish settlements. Obama is to deliver a speech to the Muslim world next week from Cairo.

Reporting from Jerusalem and Washington Richard Boudreaux -- President Obama and top Israeli officials staked out sharply opposing positions over the explosive issue of Jewish settlements Thursday, propelling a rare dispute between the two close allies into full public view just days before the U.S. leader is due to deliver a long-awaited address in Egypt to the world's Muslims.

Speaking after a White House meeting with Palestinian Authority President Mahmoud Abbas, Obama reiterated that he had been "very clear about the need to stop building settlements, to stop building outposts" on Palestinian territory.

Only hours earlier, the Israeli government said it would continue to allow some growth in the settler communities in the West Bank.

The exchange underscored the unusually hard-line position Obama has taken publicly with Israel early in his administration. Most U.S. presidents, aware of the political sensitivity, have worked hard to keep disagreements out of sight, when they existed.

The back and forth also added a contentious note to the start of a grueling period of Middle East peace talks that the White House has pledged to aggressively pursue. And it comes as Obama prepares his speech scheduled for next week that is aimed at repairing U.S. ties with the Muslim world.

The verbal disagreement with Israel defied expectations of U.S. and Israeli officials, as well as many analysts, who had predicted that the new American president and the newer conservative Israeli prime minister would seek a pragmatic way to avoid public clashes.

But since Obama met with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu at the White House 11 days ago, the contrasts have steadily risen in public view.

Obama believes an Israeli settlement freeze would elicit concessions from moderate Arab states, reinvigorating peace negotiations.

In staff-level talks that continue almost daily, Israeli officials have balked. >>> By Paul Richter and Christi Parsons and Richard Boudreaux | Friday, May 29, 2009