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Monday, November 01, 2021

Le Liban puni par l’Arabie saoudite

Des taxis bloquent des rues de Beyrouth, le 21 octobre, pour protester contre la flambée du prix de l’essence. ISSAM ABDALLAH/REUTERS

LE FIGARO : Riyad a décidé de couper les ponts avec Beyrouth, au prétexte qu’un ministre libanais avait critiqué son intervention militaire au Yémen, ce qui fragilise un peu plus le gouvernement de Mikati et un pays exsangue.

À Beyrouth

La stabilisation politique relative du Liban aura été de courte durée. Un peu plus d’un mois après son entrée en fonction, qui a mis fin à treize mois de vacance à la tête de l’exécutif, le gouvernement de Najib Mikati est déjà en crise et fait face à une nouvelle tempête, laquelle ne fait qu’aggraver l’effondrement en cours de ce pays depuis deux ans. Le coup est venu d’Arabie saoudite, qui a annoncé l’arrêt de toutes ses importations en provenance du pays du Cèdre, le rappel de son ambassadeur à Beyrouth, et a donné quarante-huit heures à l’ambassadeur du Liban à Riyad pour quitter le royaume. Bahrein lui a emboîté le pas, puis le Koweit, suivis des Émirats arabes unis, mais Oman et le Qatar sont restés sur la réserve.

Une sanction justifiée officiellement par les propos critiques sur l’intervention saoudienne au Yémen, tenus par le ministre libanais de l’Information, Georges Cordahi, avant la formation du gouvernement, dans une émission de la chaîne qatarie al-Jazeera et reprise il y a quelques jours sur les réseaux sociaux. Cordahi, une vedette qui a fait notamment carrière sur la chaîne saoudienne MBC, avait jugé «absurde» la guerre du Yémen, estimant que les houtistes «se défend(ai)ent» contre des puissances étrangères, à savoir la coalition menée par l’Arabie saoudite. Les houtistes étant soutenus par Téhéran et le Hezbollah, son allié chiite au Liban, la position du ministre a immédiatement déclenché des campagnes partisanes et communautaires, selon les lignes de clivages régionales qui se répercutent directement sur la scène politique libanaise. » | Par Sibylle Rizk | dimanche 31 octobre 2021

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À LIRE AUSSI : Liban: le crépuscule d'une nation : GRAND REPORTAGE - Le pays du cèdre traverse depuis deux ans une crise économique sans précédent. Aucun espoir d'amélioration ne pointe à l'horizon et pourtant chacun tente de garder son rang, au prix d'immenses sacrifices et avec les moyens du bord. »

Tuesday, February 04, 2020

Comprendre la colonisation israélienne en cinq minutes


Le 14 mai 1948, selon le calendrier grégorien, Israël proclamait sa naissance. 70 ans plus tard, la région reste l’un des points les plus sensibles du Proche-Orient. Une solution pacifique entre Israéliens et Palestiniens est-elle encore possible ? Le point, en cartes et en images. – Par Véronique Malécot , Francesca Fattori , Charles-Henry Groult et Xemartin Laborde Publié le 05 juin 2017 à 15h38 - Mis à jour le 29 janvier 2020

Monday, June 07, 2010

Proche-Orient : Israël entend mener sa propre enquête sur l'assaut de la flottille

LE POINT: Le gouvernement israélien annonce qu'il mènera sa propre enquête sur l'abordage sanglant par la marine israélienne d'une flottille turque qui transportait une aide humanitaire destinée à Gaza. Il va également examiner comment maintenir avec des moyens différents son blocus de l'enclave palestinienne. Ces annonces ont été faites par le ministre de la Défense, Ehoud Barak, lors d'un débat à la Knesset sur une motion de censure déposée par l'opposition à propos de l'opération du 31 mai, qui a coûté la vie à neuf militants pro-palestiniens. >>> Le Point.fr | Lundi 07 Juin 2010

Monday, May 31, 2010

L’ONU veut un Proche-Orient sans armes nucléaires

LE TEMPS: La conférence du TNP a adopté un texte par consensus. Les Etats-Unis ainsi que la France émettent des réserves. L’UE, par la voix de Catherine Ashton se dit «enthousiaste» alors qu’Israël dénonce cette nouvelle «hypocrisie» de l’ONU.

La conférence de suivi du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) est parvenue vendredi à un accord, le premier depuis 10 ans, portant notamment sur le désarmement et sur la création d’une zone exempte d’armes nucléaires au Proche-Orient.

La conférence a adopté par consensus une déclaration finale de 28 pages qui prévoit quatre plans d’action sur chacun des trois piliers du Traité - désarmement, vérification des programmes nucléaires nationaux pour assurer qu’ils sont pacifiques et usage pacifique de l’énergie atomique- ainsi que sur le Proche-Orient dénucléarisé. >>> LT/AFP | Samedi 29 Mai 2010

Saturday, May 29, 2010

Israël refuse de participer à l'accord de la conférence du TNP

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Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyaou et son directeur de cabinet Gabi Ashkenazi, le 11 mai. Photo : Le Monde

LE MONDE: Au lendemain de la signature d'un accord prévoyant de débattre sur l'interdiction totale des armes de destruction massive dans le Moyen-Orient, Israël a indiqué, samedi 29 mai, qu'il refusait de participer à sa mise en oeuvre, le qualifiant de "biaisé". Le gouvernement du premier ministre Benyamin Nétanyahou a qualifié la résolution signée par les 189 pays membres du traité de non-prolifération nucléaire (TNP) de "profondément hypocrite et défaillante" car elle "ignore les réalités du Proche-Orient et les vraies menaces auxquelles la région et le monde tout entier sont confrontés".

Le document final, le premier accord de révision du TNP en dix ans, propose d'organiser en 2012 une conférence internationale dont le but sera d'établir une zone dénucléarisée dans l'ensemble du Proche-Orient. Il obligerait notamment Israël à signer le TNP, qui date de 1970, à renoncer à son arsenal atomique, dont il n'a jamais reconnu ni démenti l'existence, et à placer ses installations nucléaires sous surveillance de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). >>> LeMonde.fr avec AFP, Reuters | Samedi 29 Mai 2010

Monday, May 03, 2010

Proche-Orient : Arrivée de Benyamin Netanyahou en Egypte

LE TEMPS: Le Premier ministre israélien est arrivé ce lundi en Egypte pour discuter d’une relance informelle des négociations entre Israéliens et Palestiniens

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est arrivé ce lundi à Charm el-Cheikh, en Egypte, afin d’évoquer avec le président Hosni Moubarak le lancement attendu de pourparlers indirects entre Israéliens et Palestiniens. >>> AFP | Lundi 03 Mai 2010

Tuesday, November 17, 2009

Le roi Abdallah invite Sarkozy à la ferme

LE FIGARO: Le président traite ce mardi avec le monarque saoudien des dossiers du Proche-Orient.

Nicolas Sarkozy se familiarise avec les mœurs bédouines. Pour sa troisième visite en Arabie saoudite, le président de la République va passer presque vingt-quatre heures, à partir de mardi après-midi, dans la ferme du roi Abdallah, à 70 km au sud de Riyad, la capitale. Sans ministre. Sans Carla. Et très peu de journalistes pour l'accompagner. Ses deux précédents séjours, menés au pas de charge, avaient irrité les Saoudiens, qui préfèrent disposer d'un peu de temps pour parler affaires ou politique, et si possible dans la discrétion. Or sur les dossiers chauds du moment, Paris et Riyad convergent le plus souvent. Mieux valait donc, cette fois, se conformer aux usages locaux.

À l'instar de Nicolas Sarkozy, le roi Abdallah est inquiet de la menace nucléaire iranienne. Les relations sont mauvaises entre les deux pôles de l'islam - Téhéran pour les chiites et Riyad pour les sunnites. Le monarque saoudien approuve la fermeté de ton française contre l'Iran. Mais il ne veut pas d'une attaque israélienne, qui déstabiliserait la région et risquerait de compromettre son programme de réformes dans le royaume. «Comment mettre sur pied une politique de sanctions qui tienne la route pour éviter la confrontation ?», se demande-t-on côté français. >>> | Mardi 17 Novembre 2009
Proche-Orient : Indépendance de la Palestine: l’appel à l’UE

LE TEMPS: L’Autorité palestinienne demande aux Vingt-Sept de soutenir sa démarche en vue d’une reconnaissance par le Conseil de sécurité d’un Etat palestinien indépendant. Les autorités israéliennes de leur côté mettent en garde contre tout «geste unilatéral»

Par la voie de son ministre des Négociations, Saëb Erekat, l’Autorité palestinienne (AP) a officiellement demandé lundi aux représentants diplomatiques européens en poste dans la région de soutenir son plan visant à proclamer unilatéralement l’indépendance d’un Etat palestinien «dans les frontières de 1967 et avec Jérusalem-Est (la partie arabe de la ville) pour capitale». Dans la foulée, le président du comité exécutif de l’OLP, Yasser Abed Rabo (un proche conseiller du président Mahmoud Abbas), a entamé des démarches auprès des instances des Nations unies afin de présenter le projet au Conseil de sécurité.

Malgré l’enthousiasme de façade de l’entourage de Mahmoud Abbas, la proclamation éventuelle de l’indépendance de la Palestine sur quelques parcelles de Cisjordanie suscite le plus souvent des réactions mitigées. Au sein même de l’AP, le colonel Jibril Rajoub, un responsable du Fatah qui passe pour un successeur potentiel du président palestinien, a estimé que des négociations directes avec Israël sont à ses yeux «préférables a tout geste unilatéral». Une position identique à celle de la diplomatie égyptienne ainsi qu’aux vues de l’émissaire de l’Union européenne, Marc Hotte.

Quant au Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, il a d’ores et déjà fait savoir qu’il ne participerait pas au processus initié par l’AP. «Il faut d’abord libérer les territoires occupés avant de proclamer l’indépendance», a déclaré l’un des porte-parole du mouvement islamiste. >>> Serge Dumont | Mardi 17 Novembre 2009

Monday, November 02, 2009

Proche-Orient : La gifle américaine aux Palestiniens

LE TEMPS: Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a obtenu le soutien de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton pour une reprise des négociations de paix sans gel préalable de la colonisation, comme l’exige l’Autorité palestinienne

«Nous sommes déçus et inquiets pour l’avenir.» Porte-parole du président de l’Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas, Nabil Abou Rodeineh n’a pas caché sa mauvaise humeur après la volte-face de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton selon laquelle le gel des constructions dans les colonies de Cisjordanie «n’est pas une condition préalable» à la reprise des pourparlers de paix entre Israéliens et Palestiniens.

Pendant près de dix mois, l’administration américaine avait en effet exercé des pressions sur l’Etat hébreu afin qu’il interrompe les projets immobiliers en cours dans les implantations. Washington présentait d’ailleurs ce gel comme «un pas essentiel pour la reprise du processus de paix». Mais l’entourage de Barack Obama a subitement changé de ligne. Pour quelle raison? Mystère. En tout cas, au lendemain de sa rencontre avec Mahmoud Abbas, vendredi à Abu Dhabi, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton, qui faisait étape à Jérusalem pour une série d’entretiens avec les principaux dirigeants israéliens, a infligé un camouflet au président palestinien. Cela alors que celui-ci venait de lui confirmer qu’il «ne négociera pas avec Israël tant que le développement des colonies n’aura pas été interrompu». >>> Serge Dumont | Lundi 02 Novembre 2009

Clinton für Nahost-Gespräche ohne Bedingungen: Amerikanische Aussenministerin fordert Wiederaufnahme der Verhandlungen

Bild: Neue Zürcher Zeitung

NZZ ONLINE: Die amerikanische Aussenministerin Hillary Clinton hat sich für eine möglichst schnelle Wiederaufnahme der Friedensverhandlungen im Nahen Osten ausgesprochen.

Forderungen der Palästinenser nach einem vollständigen Stop des israelischen Siedlungsbaus wies Clinton zurück.

«Ich will beide Seiten möglichst bald bei der Wiederaufnahme ihrer Verhandlungen sehen», sagte Clinton am Samstag in Jerusalem bei einer gemeinsamen Pressekonferenz mit Israels Ministerpräsidenten Benjamin Netanjahu. Von den Palästinensern forderte sie, ohne Vorbedingungen in die Friedensgespräche zu gehen.

Netanjahu versprach, keine neuen Siedlungen im Westjordanland bauen zu wollen. «Ich habe gesagt, dass wir keine neuen Ansiedlungen bauen werden und dass wir kein Land für bestehende oder weitere Siedlungen enteignen werden», sagte Netanjahu. Die israelische Siedlungspolitik werde den Bewohnern der Siedlungen aber ein «normales Leben» ermöglichen. >>> sda/afp | Sonntag, 01. November 2009

Tuesday, September 22, 2009


Etats-Unis : Semaine aussi chargée que risquée pour Barack Obama

LE TEMPS: Discours à la tribune des Nations unies, réunion du G20, dossier proche-oriental, sans oublier l’Afghanistan et le réchauffement climatique: le président des Etats-Unis risque d’engendrer des déceptions

Une fois de plus, Barack Obama jouera le rôle de protagoniste incontesté! Dans son agenda, Barack Obama a réservé cette semaine à l’avenir de la planète. De la lutte contre le réchauffement climatique à la suite des réformes du système économique mondial, de l’Afghanistan au conflit israélo-palestinien, des relations commerciales avec la Chine à la place à donner aux maîtres de l’Iran sur la carte mondiale…

Quelque 120 chefs d’Etat et de gouvernement attendus par ici. Les dossiers les plus incandescents du moment. Le chassé-croisé des enjeux politiques et économiques. Entre l’Assemblée générale de l’ONU qui vient de commencer à New York et la réunion du G20 qui se tiendra en Pennsylvanie à la fin de la semaine, la côte Est des Etats-Unis va devenir pour quelques jours le centre du monde. Avec une multitude de casquettes différentes, le président des Etats-Unis en sera chaque fois le capitaine.

Pour la première fois, le président s’adressera mercredi aux dirigeants de la planète de la tribune des Nations unies, chargé de donner un nouveau ton aux Etats-Unis dans un exercice que son prédécesseur, George Bush, avait transformé en un mélange de réticence et d’arrogance. Le lendemain, Barack Obama sera à la tête d’une réunion du Conseil de sécurité, actuellement présidé par les Etats-Unis, pour expliciter sa vision d’ancien étudiant d’un monde débarrassé à terme de toutes ses armes nucléaires. Au cours de la semaine, il croisera sans doute le Guide libyen Mouammar Kadhafi et, de loin, l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad, ces parias internationaux auquel il a promis que les Etats-Unis étaient prêts à tendre la main, pour autant qu’eux-mêmes «desserrent le poing». Il aura réuni auparavant l’Israélien Benyamin Netanyahou et le Palestinien Mahmoud Abbas pour tenter de les faire avancer, ne fût-ce que de quelques mètres, sur le chemin tortueux de la paix au Proche-Orient. Puis le président américain s’envolera pour Pittsburgh afin d’assister à la réunion du G20, cette enceinte qui a pris le rôle inofficiel de directoire du monde et dont on attend qu’il s’entende pour faire en sorte que la récession économique actuelle ne soit pas la répétition générale d’autres crises à venir. >>> Luis Lema | Mardi 22 Septembre 2009

Sunday, September 20, 2009

Proche-Orient : Barack Obama relance les négociations

LE TEMPS: Le président américain rencontrera le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le dirigeant palestinien, Mahmoud Abbas, mardi à New York pour «préparer le terrain à une relance des négociations» au Proche-Orient. La rencontre suit de près l’échec d’une mission de l’emissaire américain dans la région

Le président américain, Barack Obama, rencontrera le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le dirigeant palestinien, Mahmoud Abbas, mardi à New York pour «préparer le terrain à une relance des négociations» au Proche-Orient, a annoncé samedi la Maison Blanche.

Ce sommet tripartite sera «immédiatement précédé» de rencontres bilatérales entre M. Obama et chacun des deux responsables avant l’Assemblée générale des Nations Unies, a précisé la présidence américaine dans un communiqué.

Les trois dirigeants tenteront de «préparer le terrain pour une reprise des négociations et créer un contexte favorable qui permette le succès de ces négociations», indique le communiqué, alors que l’émissaire spécial américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, est rentré bredouille vendredi d’une mission de quatre jours dans la région. >>> AFP | Dimanche 20 Septembre 2009

Saturday, September 19, 2009

Proche-Orient : Colonies: Mitchell échoue

leJDD.fr: L'émissaire américain au Proche-Orient, George Mitchell, n'est pas parvenu à rapprocher les points de vues israélien et palestinien sur le dossier des colonies juives de Cisjordanie, en dépit de multiples navettes diplomatiques.

L'émissaire de Barack Obama, George Mitchell, et Benjamin Netanyahou vendredi à Jérusalem. Crédits photo : leJDD.fr

A l'issue de son dernier entretien avec le Premier ministre Benjamin Netanyahou, à Jérusalem, un membre du gouvernement israélien a jugé possible de geler les constructions dans les implantations juives plus de six mois mais pas pendant un an comme souhaité par l'administration américaine. "Israël acceptera d'étendre ce gel au-delà de six mois, peut-être neuf mois, mais moins d'un an", a déclaré à la presse ce responsable ayant requis l'anonymat.

"La visite de Mitchell s'est achevée sans accord", a quant à lui conclu Saëb Erekat, principal négociateur palestinien, après une nouvelle visite de l'ancien sénateur américain à Ramallah, où il a rencontré le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. George Mitchell a ensuite repris la route de Jérusalem pour une dernière entrevue avec le chef du gouvernement israélien, avant de regagner Washington au terme d'une semaine de tractations. Contre la montre >>> Alain Kuras-Armand (avec Reuters), leJDD.fr | Vendredi 18 Septembre 2009

Saturday, May 09, 2009

Voyage en Jordanie: Au Mont Nebo, Benoît XVI veut réconcilier chrétiens et juifs

L’EXPRESS.fr: A l'endroit où, selon les écritures, Dieu a montré la Terre promise à Moïse, le Pape Benoît XVI a rappelé samedi 9 mai "le lien inséparable" qui unit l'Eglise et le peuple juif. Le voyage papal se poursuit en Jordanie.

Le pape Benoît XVI a appelé samedi à la "réconciliation" entre chrétiens et juifs lors d'un déplacement au Mont Nebo, le lieu où, selon les écritures, Dieu a montré à Moïse la Terre promise.

Le pape s'est rendu sur cette montagne de 840 mètres à 40 km au sud-ouest d'Amman, au deuxième jour de sa visite en Jordanie, dans le cadre de son premier séjour dans un pays arabe.

Benoît XVI, qui veut faire de son voyage d'une semaine au Proche-Orient un pèlerinage pour la paix, s'est lui-même présenté en pèlerin.

"Ici, sur les pas des innombrables pèlerins qui nous ont précédés au cours des siècles, nous sommes provoqués à mesurer plus pleinement le don de notre foi et à grandir dans cette communion qui transcende toute frontière de langue, de race et de culture", a-t-il dit. >>> Par LEXPRESS.fr avec AFP | Samedi 09 Mai 2009

Tuesday, March 03, 2009

Hillary Clinton en mission impossible au Proche-Orient

TRIBUNE DE GENÈVE: ANALYSE | Hier en Egypte pour financer la reconstruction de Gaza sans favoriser le Hamas. Aujourd’hui à Jérusalem pour faire plier Netanyahou. Demain à Ramallah pour tenter de sauver le président palestinien. La cheffe de la diplomatie américaine ne fait pas sa première visite sous les meilleurs auspices.

La bonne nouvelle, c’est que la communauté internationale a promis hier à Charm el-Cheikh, en Egypte, une aide de 4,5 milliards de dollars pour la reconstruction de Gaza et la relance de l’économie palestinienne, six semaines après la guerre. De quoi réjouir le président Mahmoud Abbas, qui en réclamait 2,8 milliards.

La mauvaise nouvelle, c’est qu’il va falloir distribuer ces fonds sans passer par le Hamas, qui contrôle l’étroite bande de terre depuis son coup de force du 15 juin 2007. Et parvenir à surmonter le blocus israélien (même des cargaisons de macaronis et de lentilles ont buté contre la frontière!). Le tout doit être réalisé alors qu’Israël est à la recherche d’une coalition et que l’Autorité palestinienne ne préside plus grand-chose.

Qui réussira ce prodige? Les yeux se tournent forcément vers Hillary Clinton, nouvelle secrétaire d’Etat américaine, qui tente un pari en trois volets. >>> Andrés Allemand | Mardi 03 Mars 2009

leJDD.fr: Gaza: Des dollars pour quoi faire?

Près de 4,5 milliards de dollars ont été promis aux Palestiniens lors de la conférence sur la reconstruction de Gaza, qui s'est tenue lundi à Charm el Cheikh, en Egypte. Une somme colossale, qui vient s'ajouter aux 7 milliards déjà débloqués en décembre 2007 à Paris. D'où vient cet argent? A qui profite-t-il vraiment? Focus sur les mécanismes de l'aide internationale.

Comment sont chiffrés les besoins?

En amont de la conférence, le chiffrage a été réalisé par le Conseil économique palestinien pour le développement et la reconstruction (Pedcar). L'estimation proposée par les Palestiniens se montait à 2,8 milliards de dollars. Pour sa part, le Fonds monétaire international (FMI) a lui estimé à 2,25 milliards de dollars -dont 600 millions de dollars jugés nécessaires pour reconstruire et réhabiliter Gaza- les besoins d'aide internationale pour l'Autorité Palestinienne en 2009.

Qui sont les donateurs et combien donnent-ils?

Des Etats et les grandes organisations internationales sont les principaux contributeurs de l'aide: pays arabes et du Moyen-Orient, G8, les 27 Etats membres de l'UE, les grands pays émergents, mais aussi la Commission européenne, les institutions financières internationales et régionales (FMI, Banque mondiale, BEI, fonds arabes, etc.) ainsi que les Nations Unies. A Charm el Cheikh, les Etats-Unis ont promis 900 millions de dollars, la Commission européenne 554 milliards et les monarchies du Golfe 1,65 milliard sur trois ans. La Banque mondiale et les Nations Unies (par l'intermédiaire de leurs programmes d'aide comme le Pnud ou l'Unrwa), ont eux aussi déboursé plusieurs milliards de dollars.

A qui est versé l'argent?

Les fonds sont versés exclusivement à l'Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas, seul exécutif politique palestinien reconnu par la communauté internationale. C'est donc le gouvernement de Salam Fayyad qui gère l'argent reçu et décide de sa répartition. >>> Par Christophe ISRAËL, leJDD.fr | Mardi, 03 Mars 2009

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Wednesday, February 25, 2009

Proche-Orient: L'Europe met la pression sur Netanyahou

LE PARISIEN: Les ministres européens des Affaires étrangères ont appelé lundi le nouveau gouvernement israélien à relancer le processus de paix avec les Palestiniens. Le vice-Premier ministre tchèque Alexandr Vondra, dont le pays préside l'UE, a estimé qu'il fallait «aller de l'avant avec le processus de paix», même s'il a reconnu qu'un gouvernement mené par Benjamin Netanyahou pourrait signifier «un début un peu secoué», à son arrivée à une réunion avec ses homologues européens à Bruxelles.

Le ministre suédois Carl Bildt a, lui, dénoncé «certaines conditions posées par des partis» lors des contacts pris par le chef du Likoud (droite) pour former un gouvernement d'union avec le parti Kadima (centre-droit) de Tzipi Livni, le parti travailliste d'Ehoud Barak et l'extrême-droite nationaliste d'Avigdor Lieberman. Certaines conditions «sont clairement incompatibles avec des engagements» déjà pris dans le cadre du processus de paix, a-t-il déclaré aux journalistes. «Il est très important d'envoyer un signal fort que cela n'est pas acceptable». >>> Leparisien.fr avec AFP | Lundi 23 Février 2009

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Friday, December 19, 2008

Le plan français pour la paix au Proche-Orient

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Nicolas Sarkozy et son épouse en Israël, en juin dernier. Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: Paris propose la création d'une agence internationale pour dédommager les réfugiés, ainsi qu'une police touristique internationale pour garantir l'accès aux lieux saints de Jérusalem.

Le 2 décembre, la France a présenté à ses partenaires européens ses «idées créatives» pour accompagner un traité de paix israélo-palestinien. Les 27 ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont discuté du plan français, sans l'endosser, en raison, notamment, de réserves allemandes. Paris compte remettre cette feuille de route aux Tchèques, qui vont lui succéder à la tête de l'UE. «Obama ne sera pas seul, si les Américains décident de se réengager», affirme une source diplomatique à Bruxelles, qui a révélé au Figaro la teneur de ce plan. Paris a volontairement laissé Israéliens et Palestiniens négocier la délimitation du futur État palestinien, préférant concentrer ses efforts sur les autres litiges de leur vieux contentieux. >>> Georges Malbrunot | Vendredi 19 Décembre 2008

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Wednesday, January 09, 2008

Al-Qaida veut accueillir Bush avec des bombes

LE FIGARO: A quelques jours de la venue de George Bush au Proche-Orient, un militant américain d'al-Qaida a appelé les islamistes à l'accueillir «avec des bombes et des voitures piégées».

Pour sa première vidéo de 2008, al-Qaida a adressé un message très personnel à George W. Bush qui entame mercredi sa première tournée au Proche-Orient. Adam Yahiye Gadahn, un militant américain considéré comme le porte-parole anglophone du réseau d'Oussama Ben Laden, appelle les islamistes à recevoir le président américain «non pas avec des fleurs et des applaudissements, mais avec des bombes et des voitures piégées».

Dans son enregistrement diffusé sur un site radical qu'il emaille de versets coraniques et de psalmodies du Coran , celui que l'on surnomme «Azzam l'Américain » dresse également un bilan des «victoires» sur les Etats-Unis des moudjahidines en Afghanistan, en Irak et au Maghreb. Lors de cette allocution de 50 minutes enregistrée en décembre, il s'en prend particulièrement aux alliés traditionnels de Washington, les présidents pakistanais Pervez Musharraf, égyptien Hosni Moubarak et au roi Abdallah d'Arabie saoudite qui recevront George Bush. Al-Qaida veut accueillir Bush avec des bombes >>>

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