Showing posts with label Liban. Show all posts
Showing posts with label Liban. Show all posts

Saturday, April 15, 2023

Lebanon Without Cedars | ARTE.tv Documentary

Apr 15, 2023 | The cedar forests in the mountains of Lebanon are both a symbol of the nation and an important natural environment. But the ancient forests are threatened by climate change as well as illegal logging, in a country that is experiencing and unprecedented crisis.

Lebanon Without Cedars | ARTE.tv Documentary
Available until the 06/02/2026


Wednesday, February 02, 2022

Liban: le pays du Cèdre brûle ses bois pour se chauffer

Une femme ramasse du bois de chauffage et le stocke devant sa maison, dans le gouvernorat d’Akkar, au Liban, le 8 décembre 2021. Xinhua/ABACA

LE FIGARO : RÉCIT - Le ministre de l’Agriculture a récemment déploré un «véritable crime environnemental».

Il n’y a pas de route pour monter au sommet du Chambouk, une forêt domaniale, à quelque 2400 mètres d’altitude. Personne ne vit ici, sauf quelques bergers et leurs brebis. Aux confins de l’Akkar, dans le nord du Liban, près de la frontière syrienne, on grimpe d’un rocher à l’autre, pour rejoindre les bosquets de vieux cèdres et de genévriers. Réservoir de biodiversité incomparable, ces forêts anciennes seraient un petit coin de paradis si le staccato des tronçonneuses ne venait rappeler la triste réalité: en montagne, une majorité des habitants délaisse le poêle à mazout, combustible désormais trop cher, pour se tourner vers le chauffage au bois. Avec le risque que la déforestation n’atteigne un point de non-retour. » | Par Muriel Rozelier | lundi 1 février 2022

Réservé aux abonnés

Friday, December 10, 2021

Les hôpitaux libanais déstabilisés par l’exode de leurs médecins

Une infirmière circule dans le couloir d’un hôpital, le 31 mai, à Beyrouth. MOHAMED AZAKIR/REUTERS

LE FIGARO : REPORTAGE - L’Organisation mondiale de la santé estime que 30 à 40 % du personnel a démissionné à cause de la crise.

Un hall d’entrée quasi désert, personne ou presque dans les couloirs: difficile de croire qu’on est en milieu de journée, en pleine semaine, au cœur d’un des plus grands hôpitaux du Liban à 30 kilomètres de Beyrouth. «Quelle misère, mais quelle misère…», se lamente sœur Élisabeth Noirot alors qu’elle traverse au pas de charge l’aile fermée de l’hôpital général de Bhannes, dans le Metn. À l’âge où d’autres partent à la retraite, elle dirige ce centre hospitalier qui dépend des Filles de la charité, une congrégation catholique fondée en France au XVIIIe siècle sous l’autorité de l’Ordre de Saint-Vincent de Paul. «À ce rythme-là, on en a pour trois, quatre mois tout au plus.» Après? «Khalasse», dit-elle en arabe, comme si la fatalité trouvait plus facilement à s’exprimer dans la langue d’Avicenne. Si rien n’est fait, ce centre niché dans un parc immense, où cèdres et pins parasols se disputent les cimaises, fermera ses 250 lits au printemps prochain. «On ne veut pas perdre l’espoir, mais, en l’état, on n’a pas le budget pour survivre et notre ordre n’a pas les moyens de nous soutenir.» » | Par Cyrille Louis | vendredi 10 décembre 2021

Réservé aux abonnés

À LIRE AUSSI :

La France et l’Arabie saoudite au chevet du Liban : DÉCRYPTAGE - Riyad, qui a coupé les ponts avec Beyrouth, ne s’est engagé que sur de l’aide humanitaire. »

Monday, November 01, 2021

Le Liban puni par l’Arabie saoudite

Des taxis bloquent des rues de Beyrouth, le 21 octobre, pour protester contre la flambée du prix de l’essence. ISSAM ABDALLAH/REUTERS

LE FIGARO : Riyad a décidé de couper les ponts avec Beyrouth, au prétexte qu’un ministre libanais avait critiqué son intervention militaire au Yémen, ce qui fragilise un peu plus le gouvernement de Mikati et un pays exsangue.

À Beyrouth

La stabilisation politique relative du Liban aura été de courte durée. Un peu plus d’un mois après son entrée en fonction, qui a mis fin à treize mois de vacance à la tête de l’exécutif, le gouvernement de Najib Mikati est déjà en crise et fait face à une nouvelle tempête, laquelle ne fait qu’aggraver l’effondrement en cours de ce pays depuis deux ans. Le coup est venu d’Arabie saoudite, qui a annoncé l’arrêt de toutes ses importations en provenance du pays du Cèdre, le rappel de son ambassadeur à Beyrouth, et a donné quarante-huit heures à l’ambassadeur du Liban à Riyad pour quitter le royaume. Bahrein lui a emboîté le pas, puis le Koweit, suivis des Émirats arabes unis, mais Oman et le Qatar sont restés sur la réserve.

Une sanction justifiée officiellement par les propos critiques sur l’intervention saoudienne au Yémen, tenus par le ministre libanais de l’Information, Georges Cordahi, avant la formation du gouvernement, dans une émission de la chaîne qatarie al-Jazeera et reprise il y a quelques jours sur les réseaux sociaux. Cordahi, une vedette qui a fait notamment carrière sur la chaîne saoudienne MBC, avait jugé «absurde» la guerre du Yémen, estimant que les houtistes «se défend(ai)ent» contre des puissances étrangères, à savoir la coalition menée par l’Arabie saoudite. Les houtistes étant soutenus par Téhéran et le Hezbollah, son allié chiite au Liban, la position du ministre a immédiatement déclenché des campagnes partisanes et communautaires, selon les lignes de clivages régionales qui se répercutent directement sur la scène politique libanaise. » | Par Sibylle Rizk | dimanche 31 octobre 2021

Réservé aux abonnés

À LIRE AUSSI : Liban: le crépuscule d'une nation : GRAND REPORTAGE - Le pays du cèdre traverse depuis deux ans une crise économique sans précédent. Aucun espoir d'amélioration ne pointe à l'horizon et pourtant chacun tente de garder son rang, au prix d'immenses sacrifices et avec les moyens du bord. »

Thursday, August 05, 2021

Emmanuel Macron dénonce le «pari du pourrissement» des dirigeants libanais

Emmanuel Macron, mercredi au fort de Brégançon, pendant la conférence internationale d’aide au Liban, qui marque le premier anniversaire de l’explosion du port de Beyrouth. POOL/via REUTERS

LE FIGARO : RÉCIT - Depuis un an, malgré une crise qui n’en finit pas de s’aggraver, les leaders libanais ont été sourds à tous les appels du chef de l’État français, en pointe sur ce dossier, et d’autres responsables internationaux.

Depuis sa résidence d’été au fort de Brégançon, Emmanuel Macron a, une nouvelle fois, tancé les dirigeants libanais à l’occasion de la troisième conférence internationale d’aide à la population d’un pays, qui marquait le premier anniversaire de l’explosion au port de Beyrouth (200 morts).

«Les dirigeants libanais semblent faire le pari du pourrissement (….). Je pense que c’est une faute historique et morale», a lancé le chef de l’État à l’ouverture de cette visioconférence internationale qui a permis de rassembler environ 370 millions de dollars, c’est-à-dire un peu plus que l’objectif initial.

«Les dirigeants libanais semblent faire le pari du pourrissement (….). Je pense que c’est une faute historique et morale», a lancé le chef de l’État à l’ouverture de cette visioconférence internationale qui a permis de rassembler environ 370 millions de dollars, c’est-à-dire un peu plus que l’objectif initial.

Depuis un an, malgré une crise qui n’en finit pas de s’aggraver, les leaders libanais ont été sourds à tous les appels, pressions et menaces proférés par Emmanuel Macron, en pointe sur ce dossier, et d’autres responsables internationaux. «Tous les rendez-vous ont été manqués, aucun engagement n’a été tenu, a regretté le président de la République. Le Liban mérite définitivement mieux que de vivre de… » | Par Georges Malbrunot | mercredi 4 août 2021

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 79% à découvrir. Vous pouvez choisir votre abonnement numérique Le Figaro ici.

Collapse: Inside Lebanon’s Worst Economic Meltdown in More Than a Century »

Tuesday, October 29, 2019

Liban : Saad Hariri, le premier ministre du Liban, annonce sa démission au treizième jour de la contestation


LE MONDE: Cette décision n’implique pas des élections anticipées. Le président de la République peut désigner une autre personnalité sunnite pour constituer un nouveau gouvernement.

Le premier ministre libanais, Saad Hariri, a annoncé mardi 29 octobre qu’il allait présenter la démission de son gouvernement, au 13e jour d’un soulèvement populaire marqué par de nouveaux heurts dans les rues de Beyrouth.

Son intervention a été accueillie par les vivats de la foule qui l’écoutait en direct dans plusieurs lieux de rassemblement, avant que ne retentisse l’hymne national – An-nasid al-wataniyy al-lubnani – repris à pleins poumons par les manifestants. Des feux d’artifice ont été aussitôt tirés dans Beyrouth tandis que des voitures sillonnaient la ville klaxons hurlants en signe de victoire. » | Le Monde avec AFP | mardi 29. Octobre 2019

Friday, September 06, 2013

Au Liban, la population s'inquiète des répercussions du conflit syrien


L’EXPRESS: Avec la perspective d'une intervention occidentale en Syrie, la population libanaise sombre dans la hantise d'une contamination du conflit.

"Ce soir, je ne sors pas à cause de la situation", prévient Wael, étudiant de 22 ans. Cette phrase lapidaire et quasi-quotidienne est symptomatique de la psychose collective qui s'est emparée des habitants de Beyrouth. La situation? Ce sont les attentats de Dahiyeh (un fief du Hezbollah, au sud de la capitale) et de Tripoli (dans le nord du pays), qui ont fait plus de 70 morts en août. La perspective d'une intervention occidentale en Syrie attise les craintes des Libanais que le conflit pourrait se déplacer dans leur pays.

Ces derniers temps, dans la capitale, l'atmosphère est devenue pesante. Bars et hôtels semblent désertés par leurs clients tandis que les embouteillages sont plus rares qu'à l'accoutumée. Même les nuits, en général animées, laissent place à un calme plat. Seuls les klaxons des taxi-services résonnent encore dans la capitale libanaise. Comme un ultime avertissement.

"On ne va plus dans les centres commerciaux car ce sont des cibles potentielles pour les auteurs d'attentats, affirme un résident d'Achrafieh, quartier chrétien de Beyrouth. Personne ne sait où sera la prochaine voiture piégée. Toutes les communautés sont susceptibles d'être visées pour déstabiliser le pays." » | Par Tancrède Bonora | vendredi 06 septembre 2013

Ambassade américaine à Beyrouth: évacuation du «personnel non essentiel»


LA PRESSE: L'ambassade américaine à Beyrouth a annoncé vendredi qu'elle évacuait son personnel non essentiel, alors que les États-Unis menacent de lancer une frappe contre le régime syrien accusé d'avoir fait usage d'armes chimiques contre la population civile.

«Le 6 septembre, le département d'État a décidé de réduire le nombre du personnel non essentiel et celui des membres de leurs familles de l'ambassade à Beyrouth en raison des menaces contre les sièges des missions américaines et contre le personnel», indique l'ambassade dans un communiqué. » | Agence France-Presse, Beyrouth | vendredi 06 septembre 2013

Sunday, November 04, 2012

Hollande rencontre en Arabie saoudite le roi Abdallah

LE POINT: Le président français doit notamment évoquer avec le souverain saoudien la crise syrienne et l'Iran.

Le président français François Hollande s'est entretenu dimanche à Jeddah, sur la mer Rouge, avec le roi Abdallah d'Arabie saoudite de la crise syrienne et de l'Iran, après avoir exprimé son soutien au Liban au cours d'une brève étape à Beyrouth. "Le président a discuté avec le roi Abdallah du processus de paix au Proche-Orient, de la question du nucléaire iranien et de la crise syrienne ainsi que de la coopération entre les deux pays", a déclaré un porte-parole de François Hollande après un entretien de deux heures.

Cette première visite en Arabie saoudite "est avant tout politique", a déclaré François Hollande aux journalistes, dans l'avion qui l'amenait de Beyrouth à Jeddah, sur la mer Rouge. "La France joue un rôle actif dans la région du Moyen-Orient. Nous sommes le pays le plus actif sur les dossiers de la Syrie, du Liban et du processus de paix" au Proche-Orient, a-t-il encore dit. "L'Arabie saoudite est extrêmement inquiète des agissements iraniens" pour se doter de l'arme nucléaire, avait en outre souligné l'Élysée, tandis que François Hollande a déclaré cette semaine être prêt à voter de "nouvelles sanctions" contre Téhéran. » | LePoint.fr | dimanche 04 novembre 2012

Saturday, October 20, 2012

Huit morts à Beyrouth : Hariri accuse Assad d'être à l'origine de l'attentat

lePARISIEN.fr: Une voiture piégée a explosé dans un quartier chrétien de Beyrouth vendredi, faisant huit morts et 86 blessés, selon un bilan définitif de source gouvernementale. Parmi les tués, figure le chef des renseignements de la police libanaise, Wissam al-Hassan. Il était un proche de Saad Hariri, ancien Premier ministre et actuel chef de l'opposition libanaise, très hostile au régime syrien. Cet événement illustre à quel point le pays du Cèdre est en proie à des tensions entre partisans et adversaires du président Bachar al-Assad, confronté dans son pays à un soulèvement armé depuis plus d'un an.

L'agence de presse libanaise, qui citait des chiffres de la Défense civile, a précisé, par ailleurs, que l'attentat s'était produit à 200 mètres d'un bureau des Kataëb (Phalanges), parti chrétien de l'opposition libanaise hostile à Bachar al-Assad.

Alors que Damas a immédiatement condamné cet attentat, le qualifiant de «terroriste» et de «lâche», le chef de l'opposition libanaise Saad Hariri a accusé le président syrien d'être à l'origine de l'assassinat du chef des renseignements. «Nous accusons Bachar al-Assad d'avoir assassiné Wissam al-Hassan, le garant de la sécurité des Libanais», a-t-il déclaré à une chaîne libanaise. » | LeParisien.fr avec l’AFP | vendredi 19 octobre 2012

Saturday, September 15, 2012

Le Pape met en garde contre l'intégrisme

LE FIGARO: En visite au Liban, Benoît XVI a jugé «positif» le printemps arabe tout en soulignant le «danger» du fondamentalisme.

C'est un Pape physiquement plus frêle que lors de son voyage au Mexique et à Cuba, au printemps dernier, qui est arrivé vendredi à Beyrouth. Muni d'une canne qu'il tient de deux doigts, sans s'y appuyer, Benoît XVI, 85 ans, est apparu toutefois très déterminé face aux risques encourus pendant ses trois jours au Liban. Le contexte est doublement chargé par la crise qui agite le monde musulman depuis la diffusion du film américain contre l'islam. Mais aussi par la guerre civile en Syrie: Damas est à 80 km de Beyrouth. » | Par Jean-Marie Guénois, Service infographie du Figaro | vendredi 14 septembre 2012

Friday, March 02, 2012

Edith Bouvier et William Daniels rapatriés en France

REUTERS FRANCE: PARIS - La journaliste française Edith Bouvier, blessée le 22 février dans un bombardement à Homs, en Syrie, a été rapatriée vendredi en France avec le photographe William Daniels.

L'avion qui les transportait, en provenance de Beyrouth, s'est posé peu après 18h00 sur la base aérienne de Villacoublay (Yvelines), près de Paris.

Nicolas Sarkozy est monté à bord de l'appareil, à la suite des familles, pour les accueillir.
Dans une brève allocution sur le tarmac de la base, le chef de l'Etat avait auparavant déclaré que les autorités syriennes auraient "à rendre des comptes devant les juridictions pénales internationales" pour "leurs crimes".

"Les crimes qu'ils ont commis ne resteront pas impunis", a-t-il souligné, saluant "le courage de tous les démocrates syriens qui ont accompagné Edith Bouvier et William Daniels jusqu'à la frontière libanaise".

La journaliste et le photographe, envoyés spéciaux pour Le Figaro, étaient parvenus au Liban jeudi soir.

Nicolas Sarkozy a remercié les autorités libanaises pour leur aide et a salué "la disponibilité", dans cette opération, des autorités russes, qui bloquent avec la Chine l'adoption d'une résolution contre le régime de Bachar al Assad au Conseil de sécurité de l'Onu. » | Reuters | vendredi 02 mars 2012

Tuesday, February 28, 2012

Syrie : Sarkozy confirme l’arrivée au Liban de la journaliste Edith Bouvier

Nicolas Sarkozy a confirmé que la journaliste française blesse en Syrie était arrive saine et sauve au Liban


Lien en relation avec cette vidéo »

THE GUARDIAN: Nicolas Sarkozy retracts claim about Edith Bouvier rescue: French president withdraws statement that suggested injured journalist had been evacuated from city of Homs in Syria » | Martin Chulov in Beirut and Peter Beaumont | Thursday, February 28, 2012

Monday, June 13, 2011

Le Liban se dote d'un nouveau gouvernement dominé par le Hezbollah

TRIBUNE DE GENÈVE: Le Premier ministre désigné au Liban Najib Mikati a annoncé lundi, après cinq mois de négociations ardues, un nouveau gouvernement de 30 ministres, dominé par le puissant Hezbollah chiite et ses alliés.

Le Premier ministre désigné au Liban Najib Mikati a annoncé lundi, après cinq mois de négociations ardues, un nouveau gouvernement de 30 ministres. Ce cabinet est dominé par le puissant Hezbollah chiite et ses alliés.

«Nous avons surmonté les obstacles et nous allons nous mettre tout de suite au travail», a affirmé Najib Mikati à la presse à l’issue de l’annonce de la formation du gouvernement.

Le Hezbollah et ses alliés, notamment le chrétien Michel Aoun, se sont taillés la part du lion avec 19 portefeuilles, dont la Justice et la Défense. Sur ces 19 postes, deux vont au Hezbollah et les 17 autres reviennent aux alliés.

Les onze portefeuilles restants ont été répartis entre les partisans du président de la République Michel Sleimane, de M. Mikati et du leader druze Walid Joumblatt, considérés comme «neutres». » | ATS/AFP | Lundi 13 Juin 2011

Tuesday, January 04, 2011

Les chrétiens du Liban se sentent menacés

LE FIGARO: Ils se considèrent en perte de vitesse sur le plan politique et économique au profit des deux principales communautés musulmanes, les sunnites et les chiites.

L'attentat dont ont été victimes les coptes d'Alexandrie résonne douloureusement au Liban, où la communauté chrétienne partage le sentiment d'être menacée à long terme, même si le danger n'y prend pas des formes violentes. La litanie des mauvaises nouvelles concernant leurs coreligionnaires d'Orient -l'exode des chrétiens d'Irak, notamment- exacerbe le sentiment d'insécurité des Libanais maronites, orthodoxes, melkites, syriaques, latins… Au point qu'un ministre a présenté la semaine dernière un projet de loi visant à interdire pendant quinze ans toute vente immobilière entre chrétiens et musulmans. Lire la suite et ecrire un commentaire >>> Par Sibylle Rizk | Lundi 03 Janvier 2011

Friday, July 30, 2010

Liban : Le président syrien et le roi saoudien à Beyrouth pour apaiser les tensions

LE TEMPS: Le président syrien Bachar al-Assad, qui effectue sa première visite au Liban depuis l’assassinat de l’ex-premier ministre Rafic Hariri, est arrivé vendredi à Beyrouth. Il était accompagné du roi saoudien Abdallah pour une mission conjointe destinée à apaiser les tensions.

Les deux dirigeants sont arrivés en début d’après-midi à l’aéroport international de Beyrouth à bord du même avion, celui du roi saoudien, en provenance de Damas, où ils s’étaient entretenus la veille.

Ils ont été accueillis par le président libanais Michel Sleimane, le premier ministre Saad Hariri, un proche de Ryad, le président du Parlement Nabih Berri, plusieurs ministres, dont un représentant le Hezbollah, et d’autres officiels. >>> ATS | Vendredi 30 Juillet 2010

Monday, July 26, 2010

Exaspéré par le Hezbollah, Israël met en garde le Liban

TRIBUNE DE GENÈVE: PROCHE-ORIENT | Israël frappera directement les institutions gouvernementales libanaises si le Hezbollah lance des roquettes contre des villes israéliennes, avertit le ministre de la Défense, Ehud Barak, dans une interview au "Washington Post".

M. Barak, qui est attendu à Washington lundi, indique clairement dans cet entretien que le gouvernement israélien ne tolérera aucune nouvelle attaque du mouvement chiite.

Si le Hezbollah lance une roquette sur Tel Aviv, "nous ne poursuivrons pas chaque terroriste ou chaque attaquant du Hezbollah", avertit Ehud Barak dans l'interview. "Nous considérerons qu'il est légitime de frapper n'importe quelle cible appartenant à l'Etat libanais et pas seulement au Hezbollah". >>> AFP | Lundi 26 Juillet 2010

Friday, April 02, 2010

'Lebanese Derren Brown' Wins Reprieve from Beheading

THE TELEGRAPH: A Lebanese television psychic who is the equivalent of Derren Brown has won a temporary reprieve from a death sentence after being convicted in Saudi Arabia for witchcraft.

Ali Sibat, 49, had made predictions on an Arab satellite TV channel from his home in Beirut. He was arrested by the Saudi religious police during his pilgrimage to the holy city of Medina in May 2008 and sentenced to death last November.

He had been set to be beheaded Friday, the day executions are typically carried out in Saudi Arabia, but according to his attorney May al-Khansa, Lebanon's justice minister told her [that] her client would not be executed. She said it is still unclear whether the beheading had been waved [sic] or only postponed.

"Ali Sibat will stay alive this Friday but we don't know what is going to happen the next day, Saturday, Monday, any other day," she said. "What the (justice) minister told us was not enough for the family, it is not enough for me, because we really need Ali Sibat to be released." >>> | Friday, April 02, 2010

Related:

Beheading for Islamic Pilgrim? >>> | Friday, April 02, 2010

Moyen-Orient – Arabie: Un charlatan décapité?

leJDD.fr: On ne rigole pas avec les "charlatans" en Arabie saoudite. Même quand ils travaillent hors du pays, au Liban en l'occurrence. Ali Sabat devait être décapité vendredi pour avoir effectué des prédictions pour la télévision de Beyrouth. Il a surtout commis l'erreur de se rendre en pèlerinage à Médine. Un périple qui l'a conduit tout droit à la décapitation. La police religieuse en a en effet profité pour l'arrêter. Si son exécution a été reportée vendredi suite à l'intervention de la diplomatie libanaise, le "sorcier" n'est pas tiré d'affaires.

Il ne l'avait certainement pas vu venir. Ali Sabat, qui effectuait des prédictions pour la chaîne libanaise Sheherazade, diffusée par satellite, devait être exécuté vendredi en Arabie saoudite. Si son exécution a été reportée suite à l'intervention de la diplomatie libanaise, son sort reste encore incertain. II avait été arrêté en mai 2008 lors d'un pèlerinage vers Médine pour "sorcellerie et charlatanisme", des activités jugées polythéistes et contraire à la loi islamique.

L'homme n'a pourtant jamais exercé ses activités en Arabie saoudite mais depuis Beyrouth. Qu'importe, il lui a suffi de se rendre en pèlerinage dans la ville sainte de la péninsule arabique pour être appréhendé par la police religieuse saoudienne. Interrogé, il a avoué ses "crimes", en espérant être simplement renvoyé du pays. Le 9 novembre 2008, le verdict est tombé: peine de mort par décapitation. >>> Mathieu Olivier - leJDD.fr | Vendredi 02 Avril 2010

Friday, November 06, 2009

Photographie non datée d'Anne Frank, jeune fille juive morte du typhus au camp de Bergen-Belsen pendant l'hiver 1945.
Crédits photo : Le Monde

Le Hezbollah fait censurer la publication d'extraits du Journal d'Anne Frank

LE MONDE: Des extraits du journal d'Anne Frank ont été coupés d'un manuel scolaire au Liban à la suite d'une campagne du Hezbollah, selon qui l'ouvrage fait la promotion du sionisme. La polémique a éclaté après que le Hezbollah eut appris qu'un manuel scolaire utilisé par un établissement privé de la capitale contenait des extraits du Journal d'Anne Frank.

Al-Manar, la chaîne de télévision du Hezbollah, a dénoncé l'ouvrage, estimant qu'il se concentre sur la persécution des Juifs. "Ce qui est plus dangereux encore est la manière dramatique et théâtrale dont le journal est relaté, il est chargé d'émotion", estime la chaîne dans un reportage diffusé la semaine dernière. Il se demande pour combien de temps encore le Liban "restera une arène ouverte pour l'invasion sioniste de l'éducation". >>> LeMonde.fr avec AFP | Vendredi 06 Novembre 2009

Sunday, September 13, 2009

Proche-Orient : Liban: Hariri jette l'éponge

leJDD.fr: Le Premier ministre désigné du Liban, Saad Hariri, a annoncé jeudi qu'il renonçait à former un gouvernement après deux mois et demi d'efforts infructueux.

Il devait représenter le symbole de la stabilité politique retrouvée du Liban. Saad Hariri, fils de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005, voulait créer un gouvernement d'union nationale. Dix semaines après sa nomination comme Premier ministre, Saad Hariri a avoué jeudi avoir échoué dans sa mission. Ses tentatives de réunir ses rivaux du Hezbollah et les alliés chrétiens de la milice chiite pro-iranienne au sein d'un même gouvernement on toutes été infructueuses.

"J'annonce à tous les Libanais que j'ai dit aujourd'hui au président (Michel) Sleimane que je renonçais à former un gouvernement et j'espère que cette décision servira les intérêts du Liban", a-t-il déclaré jeudi après un entretien avec le chef de l'Etat. L'opposition avait rejeté mardi le cabinet proposé, dont les trente postes ministériels étaient répartis entre la coalition majoritaire dirigée par Hariri, l'alliance d'opposition dont fait partie le Hezbollah et un troisième groupe désigné par le président Michel Sleimane. >>> V.V. (avec Reuters), leJDD.fr | Jeudi 10 Septembre 2009