LE FIGARO : Le président déchu a aussi assuré que sa fuite n’était pas «préméditée» et a affirmé que la Russie a demandé son «évacuation».
Les Russes n’ont pas interdit de communiquer à Bachar el-Assad. Ce lundi, le président syrien renversé, Bachar el-Assad, a assuré ne pas avoir fui de manière préméditée Damas, le jour de la prise de la capitale par les rebelles, affirmant que Moscou avait demandé son évacuation, dans sa première déclaration depuis sa fuite de Damas. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 16 décembre 2024
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Monday, December 16, 2024
Monday, December 02, 2024
Russie - Le laboratoire syrien | ARTE
Dec 2, 2024 | Rediffusion disponible jusqu'au 06/01/2025
Afin de mieux comprendre l’impérialisme de Poutine, retour sur l’intervention russe en Syrie, où le chef du Kremlin a tiré le plus grand profit de l’inaction des États-Unis et de leurs alliés européens, au détriment de la population civile.
Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine, le monde s’interroge sur les moyens de contenir l’expansionnisme de Vladimir Poutine. Mais pour comprendre ce conflit aux frontières de l’Europe, il faut tourner son regard vers la Méditerranée. Depuis 2015, la Russie, acteur incontournable du conflit syrien, s’emploie à maintenir son allié historique Bachar el-Assad à la tête du pays à n’importe quel prix. Sur ce territoire transformé en laboratoire de Vladimir Poutine, presque tout l’armement russe a été testé ces dernières années. À maintes reprises, le chef du Kremlin y a aussi mis les Occidentaux à l’épreuve. En 2013, après l’attaque chimique perpétrée par le régime, la reculade de Barack Obama, malgré des menaces préalables, incitera le président russe à annexer la Crimée six mois plus tard. Pour appuyer les soldats syriens sur le terrain, ce dernier envoie aussi les mercenaires de Wagner. En 2015, Moscou officialise son alliance avec Damas et conforte ses positions dans le pays, notamment dans des bases militaires stratégiques, aux portes de l’Otan. À chaque étape de l’expansion russe en Syrie où, en six ans et demi, 63 000 soldats russes ont été déployés pour officiellement contrer les mouvements djihadistes, la communauté internationale n’opposera à Moscou qu’une remarquable passivité, contribuant à anéantir les derniers espoirs de l’opposition au pouvoir de Damas. Selon les ONG, plus de 55 000 Syriens auraient été tués par les bombardements de l’aviation russe, dont à peine 5 000 terroristes.
Enquête internationale
Tournée en Russie, en Syrie, en Europe et aux États-Unis, cette ambitieuse enquête retrace les grandes lignes de l’intervention russe en Syrie afin de comprendre la manière dont elle a façonné la politique extérieure du Kremlin au cours de la dernière décennie et laissé croire à Vladimir Poutine qu’il pouvait facilement vaincre en Ukraine. Nourri de témoignages exclusifs et de passionnantes interventions d’experts, un décryptage éclairant sur l’effrayant laboratoire syrien.
Documentaire d'Edith Bouvier (France, 2022, 52mn)
Afin de mieux comprendre l’impérialisme de Poutine, retour sur l’intervention russe en Syrie, où le chef du Kremlin a tiré le plus grand profit de l’inaction des États-Unis et de leurs alliés européens, au détriment de la population civile.
Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine, le monde s’interroge sur les moyens de contenir l’expansionnisme de Vladimir Poutine. Mais pour comprendre ce conflit aux frontières de l’Europe, il faut tourner son regard vers la Méditerranée. Depuis 2015, la Russie, acteur incontournable du conflit syrien, s’emploie à maintenir son allié historique Bachar el-Assad à la tête du pays à n’importe quel prix. Sur ce territoire transformé en laboratoire de Vladimir Poutine, presque tout l’armement russe a été testé ces dernières années. À maintes reprises, le chef du Kremlin y a aussi mis les Occidentaux à l’épreuve. En 2013, après l’attaque chimique perpétrée par le régime, la reculade de Barack Obama, malgré des menaces préalables, incitera le président russe à annexer la Crimée six mois plus tard. Pour appuyer les soldats syriens sur le terrain, ce dernier envoie aussi les mercenaires de Wagner. En 2015, Moscou officialise son alliance avec Damas et conforte ses positions dans le pays, notamment dans des bases militaires stratégiques, aux portes de l’Otan. À chaque étape de l’expansion russe en Syrie où, en six ans et demi, 63 000 soldats russes ont été déployés pour officiellement contrer les mouvements djihadistes, la communauté internationale n’opposera à Moscou qu’une remarquable passivité, contribuant à anéantir les derniers espoirs de l’opposition au pouvoir de Damas. Selon les ONG, plus de 55 000 Syriens auraient été tués par les bombardements de l’aviation russe, dont à peine 5 000 terroristes.
Enquête internationale
Tournée en Russie, en Syrie, en Europe et aux États-Unis, cette ambitieuse enquête retrace les grandes lignes de l’intervention russe en Syrie afin de comprendre la manière dont elle a façonné la politique extérieure du Kremlin au cours de la dernière décennie et laissé croire à Vladimir Poutine qu’il pouvait facilement vaincre en Ukraine. Nourri de témoignages exclusifs et de passionnantes interventions d’experts, un décryptage éclairant sur l’effrayant laboratoire syrien.
Documentaire d'Edith Bouvier (France, 2022, 52mn)
Monday, December 25, 2023
L’Iran accuse Israël d’avoir tué un de ses commandants en Syrie
LE MONDE : Interrogée sur cette frappe, l’armée israélienne a dit ne « pas commenter les informations des médias étrangers ».
Les gardiens de la révolution, l’armée idéologique de l’Iran, ont accusé Israël d’avoir tué un de leurs commandants lundi dans une frappe en Syrie, et promis de venger sa mort. Selon la télévision d’Etat, le général de brigade Razi Moussavi a été visé par « trois missiles » dans un quartier de Sayeda Zeinab, au sud de Damas. La chaîne a diffusé des images de colonnes de fumée s’élevant, selon elle, de la zone de l’attaque. Interrogée sur cette frappe, l’armée israélienne a dit ne « pas commenter les informations des médias étrangers ». » | Le Monde avec AFP | lundi 25 décembre 2023
Les gardiens de la révolution, l’armée idéologique de l’Iran, ont accusé Israël d’avoir tué un de leurs commandants lundi dans une frappe en Syrie, et promis de venger sa mort. Selon la télévision d’Etat, le général de brigade Razi Moussavi a été visé par « trois missiles » dans un quartier de Sayeda Zeinab, au sud de Damas. La chaîne a diffusé des images de colonnes de fumée s’élevant, selon elle, de la zone de l’attaque. Interrogée sur cette frappe, l’armée israélienne a dit ne « pas commenter les informations des médias étrangers ». » | Le Monde avec AFP | lundi 25 décembre 2023
Friday, July 22, 2022
La guerre en Ukraine, sujet de discussion au sommet entre la Russie, la Turquie et l’Iran à propos de la Syrie
LE MONDE : Vladimir Poutine a rencontré à Téhéran ses homologues iranien et turc. Soucieux de contourner les sanctions occidentales, l’Iran et la Russie tentent de renforcer leur coopération énergétique et militaire.
Les présidents russe, Vladimir Poutine, iranien, Ebrahim Raïssi, et turc, Recep Tayyip Erdogan, au palais de Saadabad, à Téhéran, le 19 juillet 2022. SERGEI SAVOSTYANOV / AP
L’Iran a déroulé le tapis rouge pour la venue du président russe, Vladimir Poutine, accueilli chaleureusement à l’aéroport Mehrabad de Téhéran, mardi 19 juillet, par le ministre iranien du pétrole, Javad Owji. La visite de M. Poutine, la deuxième à l’étranger depuis l’invasion de l’Ukraine, est une réponse à la récente tournée du président américain, Joe Biden, en Israël et en Arabie saoudite, au cours de laquelle il a été question de contrecarrer l’Iran.
Sanctionnés par l’Occident – l’un pour ses ambitions nucléaires, l’autre pour son offensive en Ukraine – l’Iran et la Russie cherchent à approfondir leur entente tout en maintenant la Turquie dans leur sillage pour démontrer qu’ils ne sont pas isolés dans le monde.
Mardi, les trois chefs d’Etat russe, Vladimir Poutine, turc, Recep Tayyip Erdogan et iranien, Ebrahim Raïssi, se sont réunis à Téhéran pour évoquer la Syrie, où le trio est engagé dans le processus dit d’« Astana » censé ouvrir la voie à un règlement du conflit syrien. Mais la guerre en Ukraine a occupé le devant de la scène. » | Par Ghazal Golshiri, Marie Jégo (Istanbul, correspondante) et Emmanuel Grynszpan | mercredi 20 juillet 2022
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L’Iran a déroulé le tapis rouge pour la venue du président russe, Vladimir Poutine, accueilli chaleureusement à l’aéroport Mehrabad de Téhéran, mardi 19 juillet, par le ministre iranien du pétrole, Javad Owji. La visite de M. Poutine, la deuxième à l’étranger depuis l’invasion de l’Ukraine, est une réponse à la récente tournée du président américain, Joe Biden, en Israël et en Arabie saoudite, au cours de laquelle il a été question de contrecarrer l’Iran.
Sanctionnés par l’Occident – l’un pour ses ambitions nucléaires, l’autre pour son offensive en Ukraine – l’Iran et la Russie cherchent à approfondir leur entente tout en maintenant la Turquie dans leur sillage pour démontrer qu’ils ne sont pas isolés dans le monde.
Mardi, les trois chefs d’Etat russe, Vladimir Poutine, turc, Recep Tayyip Erdogan et iranien, Ebrahim Raïssi, se sont réunis à Téhéran pour évoquer la Syrie, où le trio est engagé dans le processus dit d’« Astana » censé ouvrir la voie à un règlement du conflit syrien. Mais la guerre en Ukraine a occupé le devant de la scène. » | Par Ghazal Golshiri, Marie Jégo (Istanbul, correspondante) et Emmanuel Grynszpan | mercredi 20 juillet 2022
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Monday, March 14, 2022
Envisager le scénario du pire : une Ukraine transformée en Syrie, et une Russie en Corée du Nord
LE MONDE : Alors que l’Ukraine résiste malgré l’acharnement de l’assaillant, la Russie de Poutine se raidit et s’isole toujours davantage.
Analyse. Chaque jour charrie son lot d’horreurs, depuis que la Russie a lancé une guerre injustifiable contre l’Ukraine. Chaque jour est gros, aussi, d’événements encore impensables il y a peu. La réponse occidentale a été unie et fulgurante : déclenchement immédiat de sanctions massives, chasse aux biens oligarchiques, livraisons d’armes aux Ukrainiens, prise en compte du drame migratoire et humanitaire qui ne fait que débuter. Mais cette réponse, si louable soit-elle, n’arrête pas les missiles et les frappes russes sur les civils. Elle ne permet nullement de contenir le sombre dessein du Kremlin et sa fuite en avant. Au contraire. Le régime russe a intégré depuis longtemps – à ses risques et périls – l’idée que la surenchère et le fait accompli seuls garantissent une position de force. » | Par Piotr Smolar (Washington, correspondant) | lundi 14 mars 2022
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Analyse. Chaque jour charrie son lot d’horreurs, depuis que la Russie a lancé une guerre injustifiable contre l’Ukraine. Chaque jour est gros, aussi, d’événements encore impensables il y a peu. La réponse occidentale a été unie et fulgurante : déclenchement immédiat de sanctions massives, chasse aux biens oligarchiques, livraisons d’armes aux Ukrainiens, prise en compte du drame migratoire et humanitaire qui ne fait que débuter. Mais cette réponse, si louable soit-elle, n’arrête pas les missiles et les frappes russes sur les civils. Elle ne permet nullement de contenir le sombre dessein du Kremlin et sa fuite en avant. Au contraire. Le régime russe a intégré depuis longtemps – à ses risques et périls – l’idée que la surenchère et le fait accompli seuls garantissent une position de force. » | Par Piotr Smolar (Washington, correspondant) | lundi 14 mars 2022
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Sunday, January 23, 2022
Assad à la tête du trafic de captagon au Moyen-Orient
LE MONDE : Bachar al-Assad a développé la production industrielle de cette amphétamine en Syrie, afin de contourner les sanctions internationales et de consolider ses réseaux d’allégeance.
Lot de captagon intercepté en Arabie saoudite à bord de fruits importés du Liban (photo diffusée le 23 avril 2021 par l’agence de presse saoudienne)
Crimes contre l’humanité, crimes de guerre, massacres organisés, viols systématiques, campagnes de disparitions forcées, expulsion de populations entières, la liste est longue des crimes déjà imputés à Bachar al-Assad. Convaincu de son impunité, le dictateur syrien y a désormais ajouté le délit de production massive et de commercialisation agressive de stupéfiants. Le territoire syrien sous contrôle du régime Assad est en effet devenu la principale zone de production de captagon, une amphétamine dont l’Arabie saoudite constitue le premier marché mondial. Ce sont ensuite les réseaux affiliés au régime Assad qui, surtout à partir du Liban, se chargent d’acheminer les cargaisons de cette drogue vers la Péninsule arabique. » | Par jean-Pierre Filiu | dimanche 23 janvier 2022
À LIRE AUSSI :
Dubaï, le paradis perdu des narcotrafiquants européens : Après de longues années d’exil doré à Dubaï, des narcotrafiquants notoires ont été récemment extradés vers la France, l’Italie ou les Pays-Bas. »
Crimes contre l’humanité, crimes de guerre, massacres organisés, viols systématiques, campagnes de disparitions forcées, expulsion de populations entières, la liste est longue des crimes déjà imputés à Bachar al-Assad. Convaincu de son impunité, le dictateur syrien y a désormais ajouté le délit de production massive et de commercialisation agressive de stupéfiants. Le territoire syrien sous contrôle du régime Assad est en effet devenu la principale zone de production de captagon, une amphétamine dont l’Arabie saoudite constitue le premier marché mondial. Ce sont ensuite les réseaux affiliés au régime Assad qui, surtout à partir du Liban, se chargent d’acheminer les cargaisons de cette drogue vers la Péninsule arabique. » | Par jean-Pierre Filiu | dimanche 23 janvier 2022
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Wednesday, October 09, 2019
ÉDITORIAL : La diplomatie irresponsable de Donald Trump
Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump a souvent agi sur des coups de tête, a multiplié les revirements soudains et les décisions à l’emporte-pièce. Mais la confusion qu’il a semée à propos du retrait des forces américaines de certains secteurs du nord de la Syrie convoités par la Turquie est inouïe et inédite. Provoquant la sidération non seulement de la part des alliés des Etats-Unis, de sa propre administration, mais aussi, une fois n’est pas coutume, de son propre camp politique, le président américain a affaibli la parole de la première puissance mondiale. » | Editorial du « Monde » | mardi 8. Octobre 2019
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Monday, January 09, 2017
Sunday, November 29, 2015
Fabius envisage pour la première fois une coopération avec le régime d'Assad contre Daech
Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a pour la première fois envisagé vendredi que des forces du régime syrien puissent être associées à la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI). » | Patxi Berhouet - leJDD.fr | vendredi 27 novembre 2015
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Sunday, October 25, 2015
Assad accepterait une élection présidentielle
Le président syrien Bachar el-Assad s'est dit prêt à organiser une élection présidentielle en Syrie, a déclaré un député russe se trouvant à Damas. Toutefois, il faut que le pays ait auparavant été «libéré» des combattants du groupe Etat islamique (EI). » | ats/afp/nxp | dimanche 25 octobre 2015
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Monday, October 05, 2015
Syrie : la déconfiture d'Obama
LE POINT: Avec son entrée dans la guerre civile, c'est une humiliation sans précédent que Vladimir Poutine a infligée à Obama et aux dirigeants occidentaux.
Il ne s'est pas écoulé 48 heures entre le moment où, en marge de l'Assemblée générale des Nations unies, Barack Obama s'est félicité du retour des Russes dans la lutte contre Daesh et celui où Vladimir Poutine l'a ridiculisé en lançant ses bombardiers Sukhoï, non pas dans des opérations de pilonnage des djihadistes de l'État islamique mais en bombardant des forces d'opposition au président syrien, dont certaines avaient été entraînées et armées par les Américains. Le maître du Kremlin ne pouvait pas plus clairement affirmer que la priorité de ses avions et de ses missiles en Syrie était avant tout de défendre Bachar el-Assad. Et accessoirement, mais accessoirement seulement, d'affaiblir les islamistes. » | Par Michel Colomès | lundi 5 octobre 2015
Il ne s'est pas écoulé 48 heures entre le moment où, en marge de l'Assemblée générale des Nations unies, Barack Obama s'est félicité du retour des Russes dans la lutte contre Daesh et celui où Vladimir Poutine l'a ridiculisé en lançant ses bombardiers Sukhoï, non pas dans des opérations de pilonnage des djihadistes de l'État islamique mais en bombardant des forces d'opposition au président syrien, dont certaines avaient été entraînées et armées par les Américains. Le maître du Kremlin ne pouvait pas plus clairement affirmer que la priorité de ses avions et de ses missiles en Syrie était avant tout de défendre Bachar el-Assad. Et accessoirement, mais accessoirement seulement, d'affaiblir les islamistes. » | Par Michel Colomès | lundi 5 octobre 2015
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Monday, September 28, 2015
Poutine demande une «large coalition» anti-djihadistes
LE MATIN: NATIONS UNIES — Le président russe a également argumenté lundi à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU que refuser de coopérer avec l'actuel gouvernement syrien serait une «énorme erreur».
Le président russe Vladimir Poutine a demandé lundi devant l'ONU la création d'une «large coalition anti-terroriste» pour lutter contre les djihadistes en Syrie et en Irak.
Cette coalition serait «semblable à celle contre Hitler» au cours de la 2e Guerre mondiale et les pays arabes «y joueraient un rôle-clé», a ajouté Vladimir Poutine à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU. » | ats/nxp | lundi 28 septembre 2015
Le président russe Vladimir Poutine a demandé lundi devant l'ONU la création d'une «large coalition anti-terroriste» pour lutter contre les djihadistes en Syrie et en Irak.
Cette coalition serait «semblable à celle contre Hitler» au cours de la 2e Guerre mondiale et les pays arabes «y joueraient un rôle-clé», a ajouté Vladimir Poutine à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU. » | ats/nxp | lundi 28 septembre 2015
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Thursday, September 24, 2015
Poutine se prépare à des frappes en Syrie
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — En cas de rejet par les Etats-Unis de sa proposition d'allier leurs forces, le président russe est prêt à bombarder les djihadistes.
La Russie a renforcé sa présence militaire dans le pays et se prépare à des frappes unilatérales contre l'Etat islamique (EI) . Elle a également accru ses livraisons d'armes à l'armée syrienne dans le cadre du renforcement de son soutien au président syrien Bachar el-Assad.
Selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, Vladimir Poutine préférerait que le gouvernement américain et ses alliés acceptent de coordonner leur campagne de bombardements contre l'EI avec la Russie, l'Iran et l'armée syrienne. » | ats/nxp| jeudi 24 septembre 2015
La Russie a renforcé sa présence militaire dans le pays et se prépare à des frappes unilatérales contre l'Etat islamique (EI) . Elle a également accru ses livraisons d'armes à l'armée syrienne dans le cadre du renforcement de son soutien au président syrien Bachar el-Assad.
Selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, Vladimir Poutine préférerait que le gouvernement américain et ses alliés acceptent de coordonner leur campagne de bombardements contre l'EI avec la Russie, l'Iran et l'armée syrienne. » | ats/nxp| jeudi 24 septembre 2015
Monday, September 21, 2015
Syrie : Poutine a rencontré Netanyahu à Moscou
LE POINT: Le Premier ministre israélien a notamment prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran.
Le président Vladimir Poutine a rencontré lundi à Moscou le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter du conflit en Syrie alors que la Russie est accusée par Washington d'y renforcer sa présence militaire. « Il était très important de venir ici en vue de clarifier notre politique, et faire en sorte qu'il n'y ait aucun malentendu entre nos forces », a déclaré Benjamin Netanyahu au début de la rencontre, selon un communiqué de son bureau. Le Premier ministre israélien a également prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran, et accusé les deux pays de vouloir « ouvrir un second front » contre Israël.
« La politique russe au Proche-Orient sera toujours réfléchie », a pour sa part assuré le président russe, affirmant que la Syrie ne voulait pas s'attaquer à Israël, selon des images de la télévision russe. « Nous savons et nous comprenons que l'armée syrienne et la Syrie en général sont dans un tel état qu'elles ne peuvent ouvrir un second front. La Syrie essaie seulement de préserver son indépendance », a affirmé Vladimir Poutine. Le service de presse de Benjamin Netanyahu a affirmé qu'il était venu en Russie pour discuter des « forces militaires russes en Syrie » et pour « exposer les menaces pesant sur Israël à la suite du renforcement militaire sur la scène syrienne et de la fourniture d'armement au Hezbollah et à d'autres organisations terroristes ». » | Source AFP | lundi 21 septembre 2015
Le président Vladimir Poutine a rencontré lundi à Moscou le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter du conflit en Syrie alors que la Russie est accusée par Washington d'y renforcer sa présence militaire. « Il était très important de venir ici en vue de clarifier notre politique, et faire en sorte qu'il n'y ait aucun malentendu entre nos forces », a déclaré Benjamin Netanyahu au début de la rencontre, selon un communiqué de son bureau. Le Premier ministre israélien a également prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran, et accusé les deux pays de vouloir « ouvrir un second front » contre Israël.
« La politique russe au Proche-Orient sera toujours réfléchie », a pour sa part assuré le président russe, affirmant que la Syrie ne voulait pas s'attaquer à Israël, selon des images de la télévision russe. « Nous savons et nous comprenons que l'armée syrienne et la Syrie en général sont dans un tel état qu'elles ne peuvent ouvrir un second front. La Syrie essaie seulement de préserver son indépendance », a affirmé Vladimir Poutine. Le service de presse de Benjamin Netanyahu a affirmé qu'il était venu en Russie pour discuter des « forces militaires russes en Syrie » et pour « exposer les menaces pesant sur Israël à la suite du renforcement militaire sur la scène syrienne et de la fourniture d'armement au Hezbollah et à d'autres organisations terroristes ». » | Source AFP | lundi 21 septembre 2015
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Wednesday, September 16, 2015
Bachar al-Assad accuse l'Occident sur les migrants
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — Le président syrien impute l'afflux de réfugiés syriens en Europe au soutien de l'Occident aux «terroristes» responsables selon lui de la guerre dans son pays.
«C'est comme si l'Occident pleurait d'un oeil sur les réfugiés et du second les visait avec une arme», a déclaré le chef de l'Etat syrien lors d'un entretien à des médias russes diffusé mercredi.
«L'Occident (...) soutient les terroristes depuis le début de la crise et (fait porter la responsabilité de ce qui se passe) sur le régime ou sur le président syrien», a-t-il souligné dans sa première réaction au drame des migrants en Europe.
Le régime de Damas désigne comme «terroristes» tous ses opposants: les dissidents politiques qui ont choisi la lutte pacifique, les rebelles qui ont pris les armes et les djihadistes dont ceux du groupe Etat islamique (EI). » | ats/nxp | mercredi 16 septembre 2015
«C'est comme si l'Occident pleurait d'un oeil sur les réfugiés et du second les visait avec une arme», a déclaré le chef de l'Etat syrien lors d'un entretien à des médias russes diffusé mercredi.
«L'Occident (...) soutient les terroristes depuis le début de la crise et (fait porter la responsabilité de ce qui se passe) sur le régime ou sur le président syrien», a-t-il souligné dans sa première réaction au drame des migrants en Europe.
Le régime de Damas désigne comme «terroristes» tous ses opposants: les dissidents politiques qui ont choisi la lutte pacifique, les rebelles qui ont pris les armes et les djihadistes dont ceux du groupe Etat islamique (EI). » | ats/nxp | mercredi 16 septembre 2015
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Tuesday, May 26, 2015
Syrie : Bachar el-Assad bombarde Palmyre
L'aviation syrienne a mené lundi d'intenses raids sur la ville antique de Palmyre et sa banlieue, prise jeudi par les djihadistes du groupe État islamique (EI), faisant au moins 4 tués civils, selon une ONG. "Depuis ce matin, l'aviation du régime a mené 15 raids sur Palmyre et sa banlieue.
Il s'agit des raids les plus intenses depuis la prise de la ville", a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). "Il y a au moins quatre morts parmi les civils et des dizaines de blessés et c'est sûr qu'il y a aussi des morts parmi les djihadistes de Daesh (acronyme arabe de l'EI) lors du bombardement du bâtiment de la sécurité militaire, a-t-il ajouté. Les raids ont visé plusieurs endroits de la ville, connue en arabe sous le nom de Tadmor, notamment les secteurs de l'hôpital national et dans celui près du périmètre où se trouvent les antiquités gréco-romaines." » | Source AFP | dimanche 25 mai 2015
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Thursday, May 21, 2015
L'Etat islamique s'empare de Palmyre en Syrie
REUTERS FRANCE: BEYROUTH (Reuters) - Les djihadistes de l'Etat islamique (EI) se sont emparés mercredi de Palmyre, où se trouve le site archéologique le plus célèbre de Syrie, dont les forces gouvernementales se sont retirées après avoir évacué les civils, rapporte la télévision nationale.
C'est la première fois que l'EI prend une localité à l'armée ou à ses supplétifs, qui avaient déjà cédé du terrain à d'autres groupes armés dans le Nord-Ouest et le Sud, ces dernières semaines.
Située à 240 kilomètres au nord-est de Damas, Palmyre se trouve au carrefour stratégique de routes menant à Homs et à la capitale. Outre les ruines antiques, voisines du centre qui est également nommé Tadmour, elle abrite des installations militaires récentes.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), l'EI tient la majeure partie de l'agglomération.
On ignore ce que sont devenus les militaires syriens qui étaient stationnés aux abords de la ville, souligne l'organisation basée à Londres qui dispose d'un réseau d'informateurs sur place.
"Grâce à Dieu, (Palmyre) a été libérée", a déclaré un membre de l'Etat islamique sur internet, ajoutant que le mouvement s'était emparé d'un hôpital où l'armée avait pris ses quartiers avant de se retirer.
D'autres djihadistes ont publié sur Twitter des photos d'hommes armés dans des rues qu'ils disent être celles de Palmyre. Les djihadistes de l'EI avaient déjà pénétré sur le site classé au patrimoine mondial de l'Unesco le week-end dernier, mais en avaient été repoussés par les forces gouvernementales.
Maamoun Abdoulkarim, chef du service des Antiquités syriennes, a lancé un appel à la préservation de la cité et de ses monuments. » | Par Sylvia Westall et Tom Perry | mercredi 20 mai 2015
C'est la première fois que l'EI prend une localité à l'armée ou à ses supplétifs, qui avaient déjà cédé du terrain à d'autres groupes armés dans le Nord-Ouest et le Sud, ces dernières semaines.
Située à 240 kilomètres au nord-est de Damas, Palmyre se trouve au carrefour stratégique de routes menant à Homs et à la capitale. Outre les ruines antiques, voisines du centre qui est également nommé Tadmour, elle abrite des installations militaires récentes.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), l'EI tient la majeure partie de l'agglomération.
On ignore ce que sont devenus les militaires syriens qui étaient stationnés aux abords de la ville, souligne l'organisation basée à Londres qui dispose d'un réseau d'informateurs sur place.
"Grâce à Dieu, (Palmyre) a été libérée", a déclaré un membre de l'Etat islamique sur internet, ajoutant que le mouvement s'était emparé d'un hôpital où l'armée avait pris ses quartiers avant de se retirer.
D'autres djihadistes ont publié sur Twitter des photos d'hommes armés dans des rues qu'ils disent être celles de Palmyre. Les djihadistes de l'EI avaient déjà pénétré sur le site classé au patrimoine mondial de l'Unesco le week-end dernier, mais en avaient été repoussés par les forces gouvernementales.
Maamoun Abdoulkarim, chef du service des Antiquités syriennes, a lancé un appel à la préservation de la cité et de ses monuments. » | Par Sylvia Westall et Tom Perry | mercredi 20 mai 2015
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Wednesday, March 25, 2015
En Syrie, l'EI enrôle des bataillons d'enfants
Plus de quatre cents enfants en Syrie ont été entraînés au combat par les combattants extrémistes du groupe État islamique (EI), a indiqué mardi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Le groupe djihadiste soumet les enfants, appelés "lionceaux du califat", à des entraînements intensifs militaires et religieux dans les territoires qu'il contrôle en Syrie, précise l'ONG. Des vidéos diffusées sur des comptes proches de l'EI montrent des garçons, dont certains âgés d'à peine 8 ans, chargeant des fusils, tirant et marchant à genoux à travers les broussailles. » | Source AFP | mardi 24 mars 2015
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Wednesday, February 25, 2015
L'exode des chrétiens assyriens de Syrie
Ils sont environ 5 000 sur 30 000 Assyriens à avoir fait leurs bagages. Cette communauté, parmi les plus anciennes converties au christianisme, vivait en Syrie avant le début du conflit en Syrie le 15 mars 2011, la majorité à Hassaké. Dans la province de Hassaké, à l'extrémité nord-est de la Syrie, près de 1 000 familles ont fui depuis lundi leurs foyers pour trouver refuge dans les villes de Hassaké et de Qamichli, "soit près de 5 000 personnes", a affirmé à Oussama Edward, directeur du Réseau assyrien des droits de l'homme basé en Suède. » | Source AFP | mercredi 25 février 2015
Saturday, December 27, 2014
Syrie : Damas prêt à rencontrer l'opposition à Moscou
Le régime syrien est prêt à rencontrer l'opposition à Moscou pour tenter de trouver une issue à la guerre qui ravage le pays depuis près de quatre ans, a annoncé samedi le ministère des Affaires étrangères.
"La Syrie est prête à participer à une rencontre préliminaire et consultative à Moscou pour répondre aux aspirations des Syriens qui sont celles de trouver une issue à la crise", indique une source non identifiée au sein du ministère dans ce communiqué, cité par l'agence officielle syrienne Sana. » | Source AFP | samedi 27 décembre 2014
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