LE FIGARO : Le président déchu a aussi assuré que sa fuite n’était pas «préméditée» et a affirmé que la Russie a demandé son «évacuation».
Les Russes n’ont pas interdit de communiquer à Bachar el-Assad. Ce lundi, le président syrien renversé, Bachar el-Assad, a assuré ne pas avoir fui de manière préméditée Damas, le jour de la prise de la capitale par les rebelles, affirmant que Moscou avait demandé son évacuation, dans sa première déclaration depuis sa fuite de Damas. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 16 décembre 2024
Showing posts with label Bachar Al-Assad. Show all posts
Showing posts with label Bachar Al-Assad. Show all posts
Monday, December 16, 2024
Sunday, March 20, 2022
Assad aux Emirats, étape-clé dans la normalisation du régime syrien
LE MONDE : La venue à Abou Dhabi du maître de Damas constitue sa première visite dans un pays arabe depuis le début du soulèvement en Syrie en mars 2011.
Rencontre entre le président syrien, Bachar Al-Assad, et le vice-premier ministre des Emirats arabes unis, le cheikh Mansour Ben Zayed Al Nahyane à Abou Dhabi, le 18 mars 2022. Photo fournie par la présidence syrienne. HASSAN AL MENHALI / PRESIDENCE SYRIENNE / AFP
C’est sa première visite dans un pays arabe depuis le déclenchement en 2011 du soulèvement qui a bien failli lui coûter son siège : le président syrien, Bachar Al-Assad, s’est rendu vendredi 18 mars aux Emirats arabes unis (EAU), où il s’est entretenu avec le dirigeant de fait de cette pétromonarchie, le prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed Ben Zayed. Ce déplacement constitue un pas important dans le sens d’une réintégration du maître de Damas sur la scène diplomatique arabe.
Traité comme un paria par la grande majorité des chancelleries de la planète, qui lui impute la destruction de son pays et la responsabilité de centaines de milliers de morts, Bachar Al-Assad n’était jusque-là sorti de Syrie, depuis 2011, que pour de brèves visites en Russie et en Iran, ses deux principaux alliés, dont l’aide militaire a été cruciale dans l’écrasement de la révolution. Coïncidence amère pour les opposants syriens, le voyage aux Emirats de leur bourreau est intervenu deux jours après la célébration du onzième anniversaire du début de la révolte, le 15 mars 2011. » | Par Benjamin Barthe | Samedi 19 mars 2022
Article réservé aux abonnés
C’est sa première visite dans un pays arabe depuis le déclenchement en 2011 du soulèvement qui a bien failli lui coûter son siège : le président syrien, Bachar Al-Assad, s’est rendu vendredi 18 mars aux Emirats arabes unis (EAU), où il s’est entretenu avec le dirigeant de fait de cette pétromonarchie, le prince héritier d’Abou Dhabi, Mohammed Ben Zayed. Ce déplacement constitue un pas important dans le sens d’une réintégration du maître de Damas sur la scène diplomatique arabe.
Traité comme un paria par la grande majorité des chancelleries de la planète, qui lui impute la destruction de son pays et la responsabilité de centaines de milliers de morts, Bachar Al-Assad n’était jusque-là sorti de Syrie, depuis 2011, que pour de brèves visites en Russie et en Iran, ses deux principaux alliés, dont l’aide militaire a été cruciale dans l’écrasement de la révolution. Coïncidence amère pour les opposants syriens, le voyage aux Emirats de leur bourreau est intervenu deux jours après la célébration du onzième anniversaire du début de la révolte, le 15 mars 2011. » | Par Benjamin Barthe | Samedi 19 mars 2022
Article réservé aux abonnés
Sunday, January 23, 2022
Assad à la tête du trafic de captagon au Moyen-Orient
LE MONDE : Bachar al-Assad a développé la production industrielle de cette amphétamine en Syrie, afin de contourner les sanctions internationales et de consolider ses réseaux d’allégeance.
Lot de captagon intercepté en Arabie saoudite à bord de fruits importés du Liban (photo diffusée le 23 avril 2021 par l’agence de presse saoudienne)
Crimes contre l’humanité, crimes de guerre, massacres organisés, viols systématiques, campagnes de disparitions forcées, expulsion de populations entières, la liste est longue des crimes déjà imputés à Bachar al-Assad. Convaincu de son impunité, le dictateur syrien y a désormais ajouté le délit de production massive et de commercialisation agressive de stupéfiants. Le territoire syrien sous contrôle du régime Assad est en effet devenu la principale zone de production de captagon, une amphétamine dont l’Arabie saoudite constitue le premier marché mondial. Ce sont ensuite les réseaux affiliés au régime Assad qui, surtout à partir du Liban, se chargent d’acheminer les cargaisons de cette drogue vers la Péninsule arabique. » | Par jean-Pierre Filiu | dimanche 23 janvier 2022
À LIRE AUSSI :
Dubaï, le paradis perdu des narcotrafiquants européens : Après de longues années d’exil doré à Dubaï, des narcotrafiquants notoires ont été récemment extradés vers la France, l’Italie ou les Pays-Bas. »
Crimes contre l’humanité, crimes de guerre, massacres organisés, viols systématiques, campagnes de disparitions forcées, expulsion de populations entières, la liste est longue des crimes déjà imputés à Bachar al-Assad. Convaincu de son impunité, le dictateur syrien y a désormais ajouté le délit de production massive et de commercialisation agressive de stupéfiants. Le territoire syrien sous contrôle du régime Assad est en effet devenu la principale zone de production de captagon, une amphétamine dont l’Arabie saoudite constitue le premier marché mondial. Ce sont ensuite les réseaux affiliés au régime Assad qui, surtout à partir du Liban, se chargent d’acheminer les cargaisons de cette drogue vers la Péninsule arabique. » | Par jean-Pierre Filiu | dimanche 23 janvier 2022
À LIRE AUSSI :
Dubaï, le paradis perdu des narcotrafiquants européens : Après de longues années d’exil doré à Dubaï, des narcotrafiquants notoires ont été récemment extradés vers la France, l’Italie ou les Pays-Bas. »
Monday, January 09, 2017
Sunday, November 29, 2015
Fabius envisage pour la première fois une coopération avec le régime d'Assad contre Daech
Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a pour la première fois envisagé vendredi que des forces du régime syrien puissent être associées à la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique (EI). » | Patxi Berhouet - leJDD.fr | vendredi 27 novembre 2015
Labels:
Bachar Al-Assad,
Daech,
Laurent Fabius,
Syrie
Sunday, October 25, 2015
Assad accepterait une élection présidentielle
Le président syrien Bachar el-Assad s'est dit prêt à organiser une élection présidentielle en Syrie, a déclaré un député russe se trouvant à Damas. Toutefois, il faut que le pays ait auparavant été «libéré» des combattants du groupe Etat islamique (EI). » | ats/afp/nxp | dimanche 25 octobre 2015
Labels:
Bachar Al-Assad,
Syrie
Friday, October 02, 2015
Kampf um Syrien: Putin demütigt Obama
Das ist ein Wendepunkt in den Kriegen des Nahen Ostens: Erst hat Russland in Syrien eine neue Militärbasis aufgebaut, und nun bombardieren russische Kampfflugzeuge im Auftrag des syrischen Regimes Stellungen der Rebellen. Damit demütigt der russische Präsident Putin den zögernden amerikanischen Präsidenten Obama, und er markiert seinen Anspruch auf eine dauerhafte Präsenz im Nahen Osten. Putin, gestärkt durch die Annexion der Krim, will nun das Regime von Machthaber Assad retten. Zwar hatte die russische Propaganda angekündigt, Krieg gegen den „Islamischen Staat“ zu führen. Die ersten Luftschläge dienten aber allein dazu, das von Assad kontrollierte Territorium zu arrondieren. Das beschleunigt den Zerfall Syriens in Kleinstaaten. Einer wird von Assad regiert und von Russland geschützt werden. So entsteht das Abchasien des Nahen Ostens. » | Von Rainer Hermann | Donnerstag, 1. Oktober 2015
Labels:
Bachar Al-Assad,
Barack Obama,
Rußland,
Syrien,
USA,
Vladimir Putin
Thursday, September 24, 2015
Poutine se prépare à des frappes en Syrie
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — En cas de rejet par les Etats-Unis de sa proposition d'allier leurs forces, le président russe est prêt à bombarder les djihadistes.
La Russie a renforcé sa présence militaire dans le pays et se prépare à des frappes unilatérales contre l'Etat islamique (EI) . Elle a également accru ses livraisons d'armes à l'armée syrienne dans le cadre du renforcement de son soutien au président syrien Bachar el-Assad.
Selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, Vladimir Poutine préférerait que le gouvernement américain et ses alliés acceptent de coordonner leur campagne de bombardements contre l'EI avec la Russie, l'Iran et l'armée syrienne. » | ats/nxp| jeudi 24 septembre 2015
La Russie a renforcé sa présence militaire dans le pays et se prépare à des frappes unilatérales contre l'Etat islamique (EI) . Elle a également accru ses livraisons d'armes à l'armée syrienne dans le cadre du renforcement de son soutien au président syrien Bachar el-Assad.
Selon Bloomberg, qui cite des personnes proches du dossier, Vladimir Poutine préférerait que le gouvernement américain et ses alliés acceptent de coordonner leur campagne de bombardements contre l'EI avec la Russie, l'Iran et l'armée syrienne. » | ats/nxp| jeudi 24 septembre 2015
Bürgerkrieg in Syrien: Merkel will Gespräche mit Diktator Assad
Für eine Lösung des Syrien-Konflikts hält Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) nun doch auch Gespräche mit Syriens Staatschef Baschar al-Assad für nötig. "Es muss mit vielen Akteuren gesprochen werden, dazu gehört auch Assad", sagte Merkel beim EU-Sondergipfel zur Flüchtlingskrise in Brüssel. Es müssten aber auch andere Akteure in der Region einbezogen werden wie Iran oder Saudi-Arabien.
Ein Zugehen auf Assad wäre eine Kehrtwende in der Syrien-Politik des Westens. Bisher lehnen insbesondere die USA eine Zusammenarbeit mit dem Diktator ab, Washington fordert seinen Sturz. Russland hingegen unterstützt Assad. » | kev/AFP/dpa/Reuters | Donnerstag, 24. September 2015
Wednesday, September 16, 2015
Bachar al-Assad accuse l'Occident sur les migrants
LE MATIN: ETAT ISLAMIQUE — Le président syrien impute l'afflux de réfugiés syriens en Europe au soutien de l'Occident aux «terroristes» responsables selon lui de la guerre dans son pays.
«C'est comme si l'Occident pleurait d'un oeil sur les réfugiés et du second les visait avec une arme», a déclaré le chef de l'Etat syrien lors d'un entretien à des médias russes diffusé mercredi.
«L'Occident (...) soutient les terroristes depuis le début de la crise et (fait porter la responsabilité de ce qui se passe) sur le régime ou sur le président syrien», a-t-il souligné dans sa première réaction au drame des migrants en Europe.
Le régime de Damas désigne comme «terroristes» tous ses opposants: les dissidents politiques qui ont choisi la lutte pacifique, les rebelles qui ont pris les armes et les djihadistes dont ceux du groupe Etat islamique (EI). » | ats/nxp | mercredi 16 septembre 2015
«C'est comme si l'Occident pleurait d'un oeil sur les réfugiés et du second les visait avec une arme», a déclaré le chef de l'Etat syrien lors d'un entretien à des médias russes diffusé mercredi.
«L'Occident (...) soutient les terroristes depuis le début de la crise et (fait porter la responsabilité de ce qui se passe) sur le régime ou sur le président syrien», a-t-il souligné dans sa première réaction au drame des migrants en Europe.
Le régime de Damas désigne comme «terroristes» tous ses opposants: les dissidents politiques qui ont choisi la lutte pacifique, les rebelles qui ont pris les armes et les djihadistes dont ceux du groupe Etat islamique (EI). » | ats/nxp | mercredi 16 septembre 2015
Labels:
Bachar Al-Assad,
l'Occident,
migrants,
Syrie
Tuesday, May 26, 2015
Syrie : Bachar el-Assad bombarde Palmyre
L'aviation syrienne a mené lundi d'intenses raids sur la ville antique de Palmyre et sa banlieue, prise jeudi par les djihadistes du groupe État islamique (EI), faisant au moins 4 tués civils, selon une ONG. "Depuis ce matin, l'aviation du régime a mené 15 raids sur Palmyre et sa banlieue.
Il s'agit des raids les plus intenses depuis la prise de la ville", a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). "Il y a au moins quatre morts parmi les civils et des dizaines de blessés et c'est sûr qu'il y a aussi des morts parmi les djihadistes de Daesh (acronyme arabe de l'EI) lors du bombardement du bâtiment de la sécurité militaire, a-t-il ajouté. Les raids ont visé plusieurs endroits de la ville, connue en arabe sous le nom de Tadmor, notamment les secteurs de l'hôpital national et dans celui près du périmètre où se trouvent les antiquités gréco-romaines." » | Source AFP | dimanche 25 mai 2015
Labels:
Bachar Al-Assad,
Palmyre,
Syrie
Saturday, December 27, 2014
Syrie : Damas prêt à rencontrer l'opposition à Moscou
Le régime syrien est prêt à rencontrer l'opposition à Moscou pour tenter de trouver une issue à la guerre qui ravage le pays depuis près de quatre ans, a annoncé samedi le ministère des Affaires étrangères.
"La Syrie est prête à participer à une rencontre préliminaire et consultative à Moscou pour répondre aux aspirations des Syriens qui sont celles de trouver une issue à la crise", indique une source non identifiée au sein du ministère dans ce communiqué, cité par l'agence officielle syrienne Sana. » | Source AFP | samedi 27 décembre 2014
Labels:
Bachar Al-Assad,
Russie,
Syrie,
Vladimir Poutine
Sunday, January 19, 2014
Assad exclut toute discussion sur son départ
TRIBUNE DE GENÈVE: A quelques jours de la conférence de Genève-2 à laquelle l'opposition a accepté de participer, Bachar al-Assad aurait affirmé qu'il ne se rendrait pas. Des propos rapidement démentis par la présidence syrienne.
La présidence syrienne a nié dimanche des déclarations attribuées au président Bachar al-Assad par l'agence russe Interfax, selon lesquelles il n'aurait aucune intention de quitter le pouvoir. Ces informations contradictoires interviennent alors que la conférence de paix Genève II se met péniblement en place. » | afp/ats/Newsnet | dimanche 19 janvier 2014
La présidence syrienne a nié dimanche des déclarations attribuées au président Bachar al-Assad par l'agence russe Interfax, selon lesquelles il n'aurait aucune intention de quitter le pouvoir. Ces informations contradictoires interviennent alors que la conférence de paix Genève II se met péniblement en place. » | afp/ats/Newsnet | dimanche 19 janvier 2014
Labels:
Bachar Al-Assad,
Genève-2,
Syrie
Saturday, October 05, 2013
Bachar al-Assad candidat en 2014 «si le peuple le veut»
TRIBUNE DE GENÈVE: Tandis que le président syrien sollicite un nouveau mandat, le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité des forces de résistance.
Le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité après le rejet par plusieurs groupes rebelles de l'autorité de la Coalition nationale de l'opposition.
Bachar al-Assad a, lui, annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2014 si le peuple syrien le «voulait».
Le conseil militaire de l'ASL a indiqué dans un communiqué avoir décidé de «lancer un appel pour resserrer les rangs, renoncer aux divisions, et rejeter toutes formes de dissensions provoquées par les tentatives pour séparer l'aile politique de l'aile militaire». » | ats/Newsnet | samedi 05 octobre 2013
Le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité après le rejet par plusieurs groupes rebelles de l'autorité de la Coalition nationale de l'opposition.
Bachar al-Assad a, lui, annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2014 si le peuple syrien le «voulait».
Le conseil militaire de l'ASL a indiqué dans un communiqué avoir décidé de «lancer un appel pour resserrer les rangs, renoncer aux divisions, et rejeter toutes formes de dissensions provoquées par les tentatives pour séparer l'aile politique de l'aile militaire». » | ats/Newsnet | samedi 05 octobre 2013
Labels:
Bachar Al-Assad,
Syrie
Thursday, September 12, 2013
Les rebelles syriens rejettent l'initiative russe
«L'Armée syrienne libre annonce son rejet catégorique de l'initiative russe prévoyant de placer les armes chimiques sous contrôle international», a proclamé le chef militaire des rebelles, le général Sélim Idriss, dans une déclaration filmée et diffusée sur YouTube.
Après avoir menacé le régime syrien de frappes punitives pour une attaque chimique présumée, et cherché à s'assurer le soutien du Congrès pour les mener, le président américain Barack Obama a écarté pour le moment l'option militaire pour examiner l'initiative russe.
Cependant, le général Idriss a demandé à la communauté internationale de «ne pas se contenter de retirer (au régime syrien) l'arme chimique, l'outil du crime, mais de juger devant la Cour pénale internationale l'auteur du crime qui a reconnu clairement posséder cet outil et accepté de s'en défaire». » | Agence France-Presse, Beyrouth, Liban | jeudi 12 septembre 2013
Labels:
armes chimiques,
Bachar Al-Assad,
les rebelles,
Russie,
Syrie
Friday, September 06, 2013
Le président Hollande reproche au Figaro son entrevue avec Assad
Lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg où il participait au sommet du G20, le chef de l'État a fait, dans une réponse sur la Syrie, une incidente sur le Figaro. » | Agence France-Presse | Saint-Petersbourg, Russie | vendredi 06 septembre 2013
Thursday, September 05, 2013
L'Iran soutiendra la Syrie «jusqu'au bout»
LA PRESSE: L'Iran soutiendra «jusqu'au bout la Syrie» face à une éventuelle coalition menée par les États-Unis contre Damas, a affirmé le chef de la Force Qods, une unité d'élite des forces armées iraniennes, Ghassem Soleimani, cité jeudi dans la presse.
«Les États-Unis ne cherchent pas (...) à protéger les droits de l'homme en Syrie (...) Leur objectif est de détruire le front de la résistance (face à Israël). Nous soutiendrons jusqu'au bout la Syrie», a affirmé Ghassem Soleimani lors d'un discours devant l'Assemblée des experts, selon des propos rapportés par un des membres de cet organe consultatif.
Il n'a pas précisé la nature de ce soutien alors que l'Iran a toujours démenti avoir envoyé des forces militaires pour soutenir Bachar al-Assad. Mais le chef des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, avait admis en septembre 2012 que des membres de la Force Qods, chargée des opérations extérieures, étaient présents comme «conseillers» en Syrie et au Liban.
M. Soleimani a qualifié l'accusation américaine d'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien le 21 août de «prétexte» pour renverser le président Bachar al-Assad. » | Agence France-Presse | Téhéran | jeudi 05 septembre 2013
«Les États-Unis ne cherchent pas (...) à protéger les droits de l'homme en Syrie (...) Leur objectif est de détruire le front de la résistance (face à Israël). Nous soutiendrons jusqu'au bout la Syrie», a affirmé Ghassem Soleimani lors d'un discours devant l'Assemblée des experts, selon des propos rapportés par un des membres de cet organe consultatif.
Il n'a pas précisé la nature de ce soutien alors que l'Iran a toujours démenti avoir envoyé des forces militaires pour soutenir Bachar al-Assad. Mais le chef des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, avait admis en septembre 2012 que des membres de la Force Qods, chargée des opérations extérieures, étaient présents comme «conseillers» en Syrie et au Liban.
M. Soleimani a qualifié l'accusation américaine d'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien le 21 août de «prétexte» pour renverser le président Bachar al-Assad. » | Agence France-Presse | Téhéran | jeudi 05 septembre 2013
Labels:
Bachar Al-Assad,
Damas,
États-Unis,
l'Iran,
Syrie
Wednesday, September 04, 2013
Assad Warns of ‘Regional War’ in French Interview
Syrian President Bashar al-Assad told French daily Le Figaro Monday that the use of nerve gas against targets in rebel-held parts of Syria would have been “illogical”, while warning that an attack on his country could set off a “regional war”.
In excerpts of an interview to be published in full in Tuesday’s edition of the newspaper, Assad challenged French President François Hollande and US President Barack Obama to provide convincing proof that he had used weapons of mass destruction against his own people.
"Those who make accusations must show evidence,” he told Le Figaro. “We challenge the United States and France to do this. Obama and Hollande have been incapable of doing this, including for their own people.” (+ video) » | Tony Todd | Tuesday, September 03, 2013
Tuesday, September 03, 2013
Syrie - Hollande "renforcé dans sa détermination"
LE POINT: Le chef de l'État a tenu mardi à l'Élysée une conférence de presse commune avec le président allemand Joachim Gauck sur l'éventuelle intervention en Syrie.
François Hollande a déclaré mardi qu'il était "sorti encore renforcé dans (sa) détermination" de la lecture de l'interview dans Le Figaro du dirigeant syrien Bachar al-Assad. "J'ai lu dans un journal français l'entretien accordé par Bachar al-Assad" et publié mardi, a indiqué le chef de l'État lors d'une conférence de presse commune à l'Élysée avec le président de la République d'Allemagne, Joachim Gauck. "La différence entre une dictature et une démocratie, c'est que dans une démocratie un dictateur peut s'exprimer dans un journal, y compris pour insulter ses dirigeants, proférer des mensonges, notamment sur le chimique, laissant croire qu'il ne disposait pas de stock, et menacer le peuple français", a-t-il lancé. » | Source AFP | mardi 03 septembre 2013
François Hollande a déclaré mardi qu'il était "sorti encore renforcé dans (sa) détermination" de la lecture de l'interview dans Le Figaro du dirigeant syrien Bachar al-Assad. "J'ai lu dans un journal français l'entretien accordé par Bachar al-Assad" et publié mardi, a indiqué le chef de l'État lors d'une conférence de presse commune à l'Élysée avec le président de la République d'Allemagne, Joachim Gauck. "La différence entre une dictature et une démocratie, c'est que dans une démocratie un dictateur peut s'exprimer dans un journal, y compris pour insulter ses dirigeants, proférer des mensonges, notamment sur le chimique, laissant croire qu'il ne disposait pas de stock, et menacer le peuple français", a-t-il lancé. » | Source AFP | mardi 03 septembre 2013
Syrie : Bachar el-Assad menace la France
LE POINT: Le président syrien s'est confié au quotidien "Le Figaro". Il menace de "répercussions" sur les intérêts français en cas d'intervention.
Le président syrien Bachar el-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une "guerre régionale" en cas d'action militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper le régime syrien accusé d'avoir utilisé des armes chimiques. "Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui. (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe", a déclaré le président syrien au journal Le Figaro. » | Le Point.fr | mardi03 septembre 2013
Le président syrien Bachar el-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une "guerre régionale" en cas d'action militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper le régime syrien accusé d'avoir utilisé des armes chimiques. "Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui. (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe", a déclaré le président syrien au journal Le Figaro. » | Le Point.fr | mardi03 septembre 2013
Labels:
Bachar Al-Assad,
France,
Syrie
Subscribe to:
Posts (Atom)