LE POINT: L'ex-procureur du TPI pour l'ex-Yougoslavie est membre de la commission d'enquête de l'ONU auteur d'un rapport sur les exactions en Syrie. Interview.
La Commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie a rendu en début de semaine un rapport qui décrit la grande violence sur le terrain en Syrie et tout un éventail de crimes de droit humanitaire. L'un de ses membres, Carla Del Ponte, ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, répond en exclusivité aux questions du Point.fr » | Recueillis par le correspondant du Point à Bruxelles, Alain Franco | mardi 17 septembre 2013
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Tuesday, September 17, 2013
Thursday, September 12, 2013
Les rebelles syriens rejettent l'initiative russe
«L'Armée syrienne libre annonce son rejet catégorique de l'initiative russe prévoyant de placer les armes chimiques sous contrôle international», a proclamé le chef militaire des rebelles, le général Sélim Idriss, dans une déclaration filmée et diffusée sur YouTube.
Après avoir menacé le régime syrien de frappes punitives pour une attaque chimique présumée, et cherché à s'assurer le soutien du Congrès pour les mener, le président américain Barack Obama a écarté pour le moment l'option militaire pour examiner l'initiative russe.
Cependant, le général Idriss a demandé à la communauté internationale de «ne pas se contenter de retirer (au régime syrien) l'arme chimique, l'outil du crime, mais de juger devant la Cour pénale internationale l'auteur du crime qui a reconnu clairement posséder cet outil et accepté de s'en défaire». » | Agence France-Presse, Beyrouth, Liban | jeudi 12 septembre 2013
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Sunday, August 25, 2013
Téhéran reconnaît l'utilisation d'armes chimiques
Téhéran a reconnu l'utilisation d'armes chimiques par la Syrie. Le président iranien Hassan Rohani a appelé la communauté internationale à empêcher leur utilisation.
Le nouveau président iranien n'a pas été jusqu'à dire qui était responsable de l'utilisation de ces armes. Jusqu'ici Téhéran accusait les rebelles d'être derrière les attaques présumées à l'arme chimique.
Il n'a pas non plus fait allusion au tollé international suscité par les informations données par l'opposition syrienne a propos de l'attaque massive à l'arme chimique menée par les forces loyales au président Bachar al Assad aux premières heures de mercredi dans la banlieue est de Damas qui aurait fait plusieurs centaines de morts. » | samedi 24 août 2013
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