Irans Präsident nennt Trump einen „Halbstarken“

FRANKFURTER ALLGEMEINE: Iran will auf die Öl-Politik von Donald Trump reagieren, Präsident Rohani schließt auch militärische Optionen nicht aus. Die Revolutionsgarde droht mit einer Blockade der wichtigsten Öl-Handelsroute im Persischen Golf.

Der iranische Präsident Hassan Rohani hat den amerikanischen Präsidenten Donald Trumpals einen „Halbstarken“ bezeichnet. „Diplomatie ist nur dann möglich, wenn gegenseitiger Respekt herrscht und kein Druck ausgeübt wird“, sagte Rohani in einer Kabinettssitzung am Mittwoch. Verhandlungen mit einem „Halbstarken“ seien in dieser Phase auch nicht möglich, so der iranische Präsident laut dem Webportal des Präsidialamtes.

Trumps Entscheidung, bei Sanktionen gegen Öl-Importe aus Iran keine Ausnahmen mehr zuzulassen, führte in Iran zu unterschiedlichen Reaktionen. Die Revolutionsgarden (IRGC), die Eliteeinheit der Streitkräfte, drohten sogar damit, die Straße von Hormus im Persischen Golf zu blockieren. Sie gilt als die wichtigste Öl-Handelsroute, durch die fast ein Drittel aller Öl-Exporte verschifft wird. Eine Blockade dieser Route würde nach Meinung vieler Beobachter zu einem militärischen Konflikt am Persischen Golf führen. » | Quelle: dpa/AFP | Mittwoch, 24. April 2019

Des accusations iraniennes stupéfient Ankara

Le président Erdogan rejette les accusations portées à son encontre.

LE MATIN: CONFLIT EN SYRIE — Le président turc s'est entretenu avec Hassan Rohani après que des médias ont évoqué l'implication du clan Erdogan dans un trafic de pétrole avec le groupe EI.

Ankara a exprimé dimanche sa «stupéfaction» après des accusations iraniennes. Ces dernières évoquent l'implication de la Turquie dans un trafic de pétrole avec des djihadistes en Syrie et en Irak.

Il n'y a rien de «sérieux» dans ces accusations, a déclaré dans un communiqué le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères, Tanju Bilgic.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré jeudi avoir mis en garde son homologue iranien, Hassan Rohani, après des publications dans certains médias iraniens accusant le président turc et sa famille d'être impliqués avec des membres de l'EI dans un trafic de pétrole.

Recep Tayyip Erdogan a déclaré avoir eu un entretien téléphonique avec Hassan Rohani au cours duquel il lui a dit: " Vous allez payer le prix fort si cela continue comme cela». Le président turc a ajouté que les Iraniens avaient ensuite effacé ces publications de leurs sites web. » | ats/nxp | dimanche 6 décembre 2015

Iran : la visite de Rohani, "une insulte aux juifs de France"

LE POINT: Le président iranien, qui a déclaré mercredi sur France 2 qu'"Israël n'était pas un État légitime", sera reçu en France à partir de dimanche.

Le Crif a estimé jeudi que la visite de Hassan Rohani à partir de dimanche en France, une première pour un président iranien depuis dix ans, constituait "une insulte" pour la première communauté juive d'Europe. Dans un communiqué, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) "condamne avec fermeté les propos du président iranien Hassan Rohani qui a déclaré sur France 2 (mercredi soir) : Israël n'est pas un État légitime". » | Source AFP | jeudi 12 novembre 2015

Iran Bans WhatsApp After Facebook Purchase because Zuckerberg "Is an American Zionist"

THE INDEPENDENT: Iranian censors have reportedly banned popular messaging app WhatsApp because Facebook founder Mark Zuckerberg, whose company recent bought the app, is an “American Zionist”.

The Israeli newspaper Haaretz reported that the ban has triggered “an open dispute” within the Iranian government, especially in the light of President Hassan Rouhani’s recent shift towards more moderate policies for the Islamic Republic.

The ban was announced by the secretary of the Committee for Determining Criminal Web Content Abdolsamad Khorramabadi who has been quoted as saying that "the reason for this is the adoption of WhatsApp by the Facebook founder Mark Zuckerberg, who is an American Zionist." » | James Vincent | Wednesday, May 07, 2014

HAARETZ: Rohani rejects Iranian WhatsApp ban: Iranian president orders a stop to the proposed ban by the Iranian censorship committee. » | JTA | Wednesday, May 07, 2014

Iran : Rohani admet qu'il y a encore beaucoup à faire pour les droits des femmes

LE POINT: On ne peut pas "marginaliser la moitié de la société", a assuré le président iranien, qui prône une plus grande ouverture en Iran.

"Aujourd'hui, les femmes bénéficient de nombreux droits, mais il existe toujours des insuffisances dans les droits des femmes et l'égalité entre les sexes." Pour la journée nationale de la femme en Iran, le président Hassan Rohani a estimé que les femmes ne pouvaient être considérées comme des citoyens de seconde zone. Il s'exprimait devant des représentantes de "l'élite féminine" du pays selon les médias, qui ont chaudement applaudi son discours.

M. Rohani, élu en juin 2013 avec le soutien des réformateurs et des modérés, prône une plus grande ouverture politique, culturelle et sociale en Iran, régulièrement critiquée par les organisations internationales de défense des droits de l'homme pour les discriminations dont sont victimes les femmes. La Journée de la femme est célébrée en Iran le jour anniversaire de Fatima, la fille du prophète.

"L'injustice et la violence contre les femmes doivent cesser", a-t-il plaidé. "Selon les règles islamiques, l'homme n'est pas le premier sexe ni la femme le second sexe, [...] les femmes sont aux côtés des hommes et les deux sont égaux." (+ vidéo) » | Source AFP | dimanche 20 avril 2014

Iran : Rohani lâche du lest sur le voile

LE POINT: Le président iranien a demandé à la police d'être plus tolérante sur les questions de société, notamment sur le respect du code vestimentaire islamique.

Le président iranien Hassan Rohani a demandé mercredi à la police d'être plus tolérante sur les questions de société, notamment sur le respect du code vestimentaire islamique. Élu en juin avec le soutien d'une coalition de modérés et réformateurs, Hassan Rohani a promis des réformes notamment une libéralisation politique et culturelle. "S'il faut un avertissement (...) la police devrait être la dernière à le donner", a déclaré le président dans un discours à l'École nationale de police, selon l'agence Fars.

"Nos femmes vertueuses devraient se sentir en sécurité et détendues en présence de la police", a ajouté le religieux modéré, estimant que le respect du code vestimentaire devait être enseigné dans "les écoles, les lycées, les universités et les mosquées". Des unités spéciales de la police effectuent régulièrement des opérations dans les rues pour vérifier l'application du strict code vestimentaire islamique iranien, qui oblige les femmes à cacher leurs formes de la tête aux pieds. Les contrevenantes peuvent recevoir des avertissements verbaux, une amende ou être interpellées pour quelques heures. » | Source AFP | mercredi 09 octobre 2013

Les Gardiens de la révolution mettent en garde le président iranien

LE POINT: Le chef de l'armée d'élite du régime iranien, le général Mohammad Ali Jafari, qualifie d'"erreur tactique" le contact téléphonique historique avec Barack Obama.

Le chef des Gardiens de la révolution a lancé lundi la première mise en garde d'un haut responsable du régime au président Hassan Rohani, qualifiant d'"erreur tactique" son contact téléphonique historique avec Barack Obama. "Le président a eu une position ferme et appropriée lors de son séjour, mais, tout comme il a refusé de rencontrer (Barack) Obama, il aurait dû aussi refuser de lui parler au téléphone et attendre des actes concrets du gouvernement américain", a déclaré le général Mohammad Ali Jafari au site d'information Tasnimnews.com. "Dans son action, le gouvernement peut faire des erreurs tactiques, comme l'entretien téléphonique, mais cela peut être réparé", a-t-il dit. "Si l'on constate des erreurs chez les responsables, les forces révolutionnaires donneront les avertissements nécessaires", a mis en garde le militaire, sans donner plus de précisions.

Cette critique est une entorse aux souhaits de M. Rohani et du guide suprême iranien, Ali Khamenei, qui avaient demandé aux dirigeants de l'armée d'élite du régime iranien de ne pas s'occuper de politique. » | Source AFP | lundi 30 septembre 2013

Am Iran scheiden sich die Geister

Israels Premier Netanjahu traut der Charme-Offensive des neuen iranischen Präsidenten Rohani nicht: Vor seiner Abreise in die USA kündigte er klare Worte zum Thema an. Sein achtes Treffen mit US-Präsident Obama steht im Zeichen Irans und der Krise in Syrien.

Nétanyahou veut mettre en garde Obama contre Rohani

LE FIGARO: Le premier ministre israélien entend convaincre Obama de ne pas se laisser séduire par l' «offensive de charme» du président iranien et de maintenir la pression sur Téhéran.

Benyamin Nétanyahou va se livrer lundi à un périlleux exercice d'équilibre diplomatique. Lors de sa rencontre avec Barack 0bama à la Maison-Blanche, son double objectif sera de convaincre le président américain de ne pas se laisser séduire par l'«offensive de charme» menée avec succès par le président iranien, Hassan Rohani, la semaine dernière aux États-Unis, et de maintenir la pression sur Téhéran, y compris par des menaces d'attaques militaires contre les installations nucléaires iraniennes.

Mais Benyamin Nétanyahou doit aussi éviter de donner l'impression de faire la leçon au président américain avec lequel les relations n'ont jamais été très cordiales. Une manœuvre d'autant plus compliquée qu'Israël a perdu un sérieux atout avec le départ de Mahmoud Ahmadinejad, le précédent président iranien, qui servait d'épouvantail avec ses déclarations niant la Shoah et ses appels à la destruction d'Israël. » | Par Marc Henry | dimanche 29 septembre 2013

Le président iranien reconnaît l'existence de l'Holocauste

VIDÉO - Hassan Rohani prend le contre-pied de son prédécesseur, Mahmoud Ahmadinejad, qui a plusieurs fois mis en cause la réalité des crimes nazis.

Vous pouvez lire l’article ici

À l'ONU, Obama tend la main à Téhéran

LA PRESSE: Barack Obama a accepté mardi d'essayer de résoudre la crise nucléaire iranienne par la voie diplomatique, prenant note du changement de ton de son nouvel homologue Hassan Rohani, mais réclamant des «actes transparents et vérifiables».

À la tribune de l'assemblée générale des Nations unies, qui a débuté mardi matin à New York, le président des États-Unis a estimé que M. Rohani, récemment investi, avait reçu un «mandat pour suivre un chemin plus modéré» que son prédécesseur ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad.

M. Rohani, qui était attendu devant les délégués en fin d'après-midi, a adopté un ton conciliant envers l'Occident et appelé au dialogue pour résoudre les contentieux dont le plus brûlant réside dans le dossier nucléaire.

Les États-Unis et leurs alliés soupçonnent le programme nucléaire iranien d'avoir des visées militaires, ce que Téhéran dément. Mardi, une nouvelle fois, M. Obama a prévenu que son pays était déterminé à empêcher Téhéran de développer une arme atomique. » | Tangi Quemener | Agence France-Presse | New York | mardi 24 septembre 2013

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Netanjahu wirft Iran "Medienkampagne" vor

DIE WELT: Die USA und die UN reagieren positiv auf die moderaten Töne von Irans Präsident Ruhani im Atomstreit. Israels Premier Netanjahu allerdings warnt vor "unglaubwürdigen Erklärungen" aus Teheran.

Israels Ministerpräsident Benjamin Netanjahu hat angesichts der versöhnlichen Signale aus Teheran zur Vorsicht gemahnt. Die Weltgemeinschaft dürfe sich "nicht von den unglaubwürdigen Erklärungen des iranischen Präsidenten täuschen lassen", hieß es in einer am Donnerstag von Netanjahus Büro verbreiteten Erklärung mit Bezug auf Hassan Ruhani.

Ruhani habe die internationale Gemeinschaft bereits in der Vergangenheit über das iranische Atomprogramm getäuscht. In einem am Mittwoch ausgestrahlten Interview mit dem US-Sender NBC hatte er gesagt, sein Land werde niemals Atomwaffen bauen. Netanjahu sprach von einer "Medienkampagne", die der Iran derzeit absolviere, während er gleichzeitig sein Nuklearprogramm fortsetze. » | AFP/jw | Freitag, 20. September 2013

Atomverhandlungen mit Iran: Der Anti-Ahmadinedschad

SPIEGEL ONLINE: Mahmud Ahmadinedschad ging im Atomstreit auf Konfrontationskurs zum Westen, sein Nachfolger setzt auf Diplomatie und Charme. Irans neuer Präsident Rohani muss eine Lockerung der Sanktionen erreichen. Im Wahlkampf hatte er den Bürgern ein besseres Leben versprochen.

Die gewohnten Tiraden von Mahmud Ahmadinedschad werden dieses Jahr ausbleiben auf der Generalversammlung der Uno. Erstmals nach acht Jahren tritt Teheran international wieder mit einem anderen Stil auf: diplomatisch und charmant.

Präsident Hassan Rohani und sein Außenminister Mohammed Dschawad Sarif sind Irans Gegenentwurf zu Ahmadinedschad. Wo Ahmadinedschad polterte, werben sie um Verständnis, lächelnd und geduldig.

Das neue iranische Duo soll in New York die nächste Runde der Atomverhandlungen einläuten, die ersten seit Irans Präsidentschaftswahl im Juni. Außenminister Sarif wird am Wochenende mit EU-Außenministerin Catherine Ashton und dem britischen Außenminister William Hague zusammentreffen. » | Von Raniah Salloum | Freitag, 20. September 2013

Iran's President Calls for 'Constructive' Dialogue, End to 'Unhealthy' Rivalries

Read the CNN article here | Greg Botelho | Friday, September 20, 2013
WASHINGTON POST: Why Iran seeks constructive engagement: Three months ago, my platform of “prudence and hope” gained a broad, popular mandate. Iranians embraced my approach to domestic and international affairs because they saw it as long overdue. I’m committed to fulfilling my promises to my people, including my pledge to engage in constructive interaction with the world. » | Hassan Rouhani, President of Iran | Thursday, September 19, 2013

L'Iran ne cherche à faire la guerre à «aucun pays»

LA PRESSE: L'Iran ne cherche à faire la guerre «à aucun pays», affirme le président de la République islamique Hassan Rohani dans une interview à la chaîne américaine NBC diffusée jeudi.

«Nous ne cherchons à faire la guerre à aucun pays. Nous cherchons la paix et l'amitié vis-à-vis des nations de notre région», affirme le nouveau président iranien, qui a pris ses fonctions début août.

Qualifiant Israël d'«envahisseur», M. Rohani juge par ailleurs que l'État hébreu «commet des injustices et provoque de l'instabilité dans la région avec ses politiques belliqueuses».

Interrogé sur le fait de savoir si, comme son prédécesseur Mahmoud Ahmadinejad, il pense que l'Holocauste est un mythe, Hassan Rohani élude la question: «Je ne suis pas un historien, je suis un politicien», déclare-t-il.

«Ce qui est important pour nous c'est que les peuples se rapprochent et soient capables d'éviter toute agression ou injustice», souligne-t-il. » | Agence France-Presse | Washington | jeudi 19 septembre 2013

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Iran’s President Rouhani: We Will Never Develop Nuclear Weapons

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Read the NBC News article here | Tracy Conner, Staff Writer, NBC News | Wednesday, September 18, 2013

«Der Iran geht auf Distanz zu Assad»

SCHWEIZER RADIO UND FERNSEHEN: Syriens Diktator Assad kann nicht mehr auf die volle Unterstützung des Iran zählen. «In Teheran weiss man, dass Assad langfristig nicht haltbar ist», sagt Nahost-Kenner Ulrich Tilgner. Verantwortlich für die neue Linie ist Irans Präsident Rohani.

Das sind neue Töne aus dem Iran: Bei einem Treffen mit Kommandanten der Revolutionsgarden sagte Präsident Hassan Rohani, man könne sich auch einen anderen syrischen Führer vorstellen als Baschar al-Assad. Syrien müsse in erster Linie stabilisiert werden, führte Rohani aus. Danach werde man jeden Präsidenten akzeptieren, der in einem demokratischen Prozess die Mehrheit der Stimmen aus dem Volk erhalte. (+ Audio) » | Ulrich Tilgner | SRF/snep | Mittwoch, 18. September 2013

Ayatollah Khamenei Hints Iran May Be Ready to Come In from the Cold

THE DAILY TELEGRAPH: Iran has delivered the strongest indication yet it is prepared to make concessions on nuclear issues to end international isolation and sanctions, with the Supreme Leader announcing he was "not against" a diplomatic outreach to the West.

Ayatollah Ali Khamenei declared that a new policy of openness proposed by Hassan Rouhani, the new reformist president, could bring positive benefits for Iran.

He said he believed in "heroic flexibility" as he endorsed "rational foreign policy".

Mr Rouhani has approved talks between Mohamad Zarif, the US-educated foreign minister, and William Hague, his British counterpart, in New York. There is also growing speculation that a ground-breaking encounter with US diplomats is on the cards.

A raft of positive statements from Iran about opening up to the West in recent days however prompted a warning from Israel that any new talks should stick to the principle that Iran should give up its attempts to enrich uranium and close suspect facilities.

Benjamin Netanyahu, the Israeli prime minister, said he would meet President Barack Obama at the same New York meeting at the end of the month and demand the US not take the threat of military intervention off the table in return for talks. He said the West must stick to the basic demands that Iran stop all uranium enrichment, export all enriched uranium from the country, close its underground nuclear facility in Qom and halt construction of a plutonium reactor. » | Damien McElroy, Foreign Affairs Correspondent | Tuesday, September 17, 2013

New Iran President on First Foreign Trip

BBC: Iranian President Hassan Rouhani has made his first foreign trip since taking office.

He joined leaders from Russia, China and Central Asian states in Kyrgyzstan's capital Bishkek. Watch BBC video » | Friday, September 13, 2013

Iranian President Tweets Rosh Hashanah Blessing to Jews

THE GUARDIAN: Hassan Rouhani's message to mark start of Jewish new year unexpected in Israel, which has identified Iran as security threat

Amid a global exchange of greetings and good wishes to mark Rosh Hashanah, the Jewish new year, which began at sunset on Wednesday, there was one from a particularly surprising quarter.

Iran's president, Hassan Rouhani, tweeted: "As the sun is about to set here in #Tehran I wish all Jews, especially Iranian Jews, a blessed Rosh Hashanah." A picture of an Iranian Jew praying at a synagogue in Tehran accompanied the tweet.

According to a 2012 census, there are fewer than 9,000 Jews among Iran's population of about 75 million.

The message from Rouhani was unexpected in Israel, which has identified Iran as a huge threat to its security. It says the regime is developing a nuclear weapons programme that could be used to annihilate the Jewish state.

Rouhani, who was elected in June, has pledged to tone down the "hate rhetoric" used by his predecessor Mahmoud Ahmadinejad. » | Harriet Sherwood in Jerusalem | Thursday, September 05, 2013