Lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg où il participait au sommet du G20, le chef de l'État a fait, dans une réponse sur la Syrie, une incidente sur le Figaro. » | Agence France-Presse | Saint-Petersbourg, Russie | vendredi 06 septembre 2013
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Friday, September 06, 2013
Le président Hollande reproche au Figaro son entrevue avec Assad
Lors d'une conférence de presse à Saint-Pétersbourg où il participait au sommet du G20, le chef de l'État a fait, dans une réponse sur la Syrie, une incidente sur le Figaro. » | Agence France-Presse | Saint-Petersbourg, Russie | vendredi 06 septembre 2013
Thursday, September 05, 2013
Syrie : le pape écrit à Poutine pour encourager une solution de paix
LE POINT: Le pape François s'adresse au chef de l'État russe en qualité de président du G20 pour qu'il condamne les "inutiles massacres" au Moyen-Orient.
Le pape François a écrit jeudi au président russe Vladimir Poutine pour que les membres du G20 réunis à Saint-Pétersbourg "ne restent pas inactifs" dans la recherche d'une solution de paix et "abandonnent la poursuite futile d'une solution militaire", a annoncé le Vatican. Dans sa lettre adressée à Vladimir Poutine en qualité de président du G20, le pape évoque les inégalités économiques et sociales mondiales et condamne les "inutiles massacres" au Moyen-Orient, lançant un appel contre toute solution armée, a précisé son porte-parole, le père Federico Lombardi. » | Source AFP | jeudi 05 septembre 2013
Le pape François a écrit jeudi au président russe Vladimir Poutine pour que les membres du G20 réunis à Saint-Pétersbourg "ne restent pas inactifs" dans la recherche d'une solution de paix et "abandonnent la poursuite futile d'une solution militaire", a annoncé le Vatican. Dans sa lettre adressée à Vladimir Poutine en qualité de président du G20, le pape évoque les inégalités économiques et sociales mondiales et condamne les "inutiles massacres" au Moyen-Orient, lançant un appel contre toute solution armée, a précisé son porte-parole, le père Federico Lombardi. » | Source AFP | jeudi 05 septembre 2013
Saturday, November 28, 2009
LE TEMPS: Les enquêteurs russes ont confirmé samedi la thèse de l’attentat terroriste suite au déraillement dans la nuit du train de passagers Nevski Express reliant Moscou à Saint-Pétersbourg, qui a causé la mort d’au moins 26 personnes et peut-être 39 selon un autre bilan, toujours provisoire
«Il est bien question d’un attentat», a déclaré le porte-parole des enquêteurs du parquet fédéral à l’agence Interfax, Vladimir Markine. Cette thèse était déjà privilégiée par les autorités russes. »Le groupe d’enquêteurs du comité d’enquête du procureur de Russie a découvert et saisi les restes d’un engin explosif», a indiqué le comité d’enquête du parquet dans un communiqué.
«Selon les estimations des enquêteurs, les données préliminaires font état de l’explosion d’un engin artisanal d’une puissance équivalente à sept kilos de TNT», a déclaré, selon les agences russes, le chef du FSB Alexandre Bortnikov.
«Selon un bilan préliminaire, pas moins de 26 personnes ont été tuées et plus de 100 blessées», a indiqué le communiqué du parquet, précisant qu’«une hausse du nombre de victimes ne pouvait pas être exclue». Les précédents bilans, tous provisoires, oscillaient entre 25 et 39 morts, selon les sources.
Le PDG des chemins de fer russes, Vladimir Iakounine a remarqué que les circonstances du drame rappelaient un événement similaire trois ans plus tôt. «Le schéma de l’explosion ressemble beaucoup à l’incident qui s’est produit il y a trois ans», a-t-il dit en une apparente allusion à l’attentat à la bombe qui avait fait dérailler le même Nevski Express en août 2007, faisant 60 blessés.
Une enquête criminelle pour terrorisme a été ouverte, selon le parquet. >>> AFP | Samedi 28 Novembre 2009
NZZ ONLINE: Bei einem Anschlag auf einen voll besetzten Schnellzug im Nordwesten Russlands sind rund 30 Personen in den Tod gerissen worden. Der mit mehr als 600 Reisenden besetzte Zug von Moskau nach St. Petersburg entgleiste nach der Explosion einer Bombe auf den Schienen.
Das Zugunglück im Nordwesten Russlands mit mindestens 26 Toten geht nach Einschätzung der Ermittler auf einen Anschlag mit Sprengstoff zurück. Das meldete die Nachrichtenagentur Interfax am Samstag unter Berufung auf die Generalstaatsanwaltschaft. Der voll besetzte Newski Express war am Freitagabend zwischen Moskau und St. Petersburg unterwegs, als er nach Angaben des Inlandgeheimdienstes FSB durch die Explosion eines Sprengssatzes zum Entgleisen gebracht wurde.
Der selbst gebaute Sprengkörper habe eine Wucht von sieben Kilogramm TNT gehabt. Weitere Details nannte FSB-Chef Alexander Bortnikow bei einem Treffen mit Präsident Dmitri Medwedew nicht. Der Ermittlungsausschuss der Generalstaatsanwaltschaft erklärte, am Tatort in der Nähe der Ortschaft Uglowka seien «Teile eines Sprengsatzes gefunden und entfernt» worden. Nahe der Gleise am Tatort wurde laut Interfax auch ein Krater mit einem Meter Durchmesser entdeckt.
Augenzeugen hätten kurz vor dem Entgleisen der Waggons einen Knall gehört. Die Nachrichtenagentur RIA Nowosti zitierte eine andere Quelle, wonach möglicherweise ein Sprengsatz unter einem der Waggons angebracht war. Vier Wagen entgleist >>> sda/afp/dpa | Samstag, 28. November 2009
THE TELEGRAPH: Russia's FSB intelligence service said a homemade terrorist bomb caused a packed Moscow-St Petersburg train travelling at 125 mph to derail, killing at least 26 people.
The statement ended speculation that the crash, which also injured nearly 100, may have been a tragic accident. It also raised the spectre of a fresh terror campaign in Russia's major towns and cities after five years of relative calm.
Alexander Bortnikov, the FSB chief, told Russian President Dmitry Medvedev that a bomb equivalent to 15 lb of TNT had been planted beneath the busy route. But he did not say who may have been responsible or why anyone would have wanted to carry out such an attack.
Investigators said they had opened a large-scale terrorism investigation as detectives with sniffer dogs combed through wreckage strewn with charred personal effects looking for clues.
Suspicion will inevitably fall on Islamist radicals from Chechnya and Russia's volatile North Caucasus region. They have carried out spectacular attacks in the past which have killed hundreds of people, although nobody had claimed responsibility by late on Saturday.
The attack also will evoke memories of a deadly series of bombings earlier this decade that targeted the Moscow metro, public buses, and passenger airliners. >>> Andrew Osborn in Moscow | Saturday, November 28, 2009
Monday, September 07, 2009
LE TEMPS: A Saint-Pétersbourg, les meurtres racistes sont monnaie courante et la justice parfois indulgente
Ils préfèrent Hitler à Staline. Parce que le premier a assassiné moins de Russes que le second? Vous n’y êtes pas. «Hitler a fait du bon boulot chez lui!» clame Maxime, qui déplore toutefois que le chef nazi «ait attaqué la Russie». «Lui, il savait défendre son peuple, ce qu’il a fait est normal.» Agé de 22 ans, il parle posément et ne ressemble en rien à l’image d’Epinal du skinhead. Crânes rasés, rangers, bombers et jeans avec ourlet sont passés de mode. Et surtout, pas d’insignes. «Nous évitons de porter en public notre brassard [un swastika blanc sur fond rouge] afin de passer inaperçus», explique Ilia, 25 ans, leader de l’Union slave, organisation d’extrême droite russe dont certains membres ont commis des crimes racistes, selon la police de Saint-Pétersbourg. «Nous en avons marre d’être pistés et harcelés par les flics», explique Maxime, ex-skinhead sympathisant de l’Union slave depuis deux ans. Très bien organisées et entraînées, les jeunes recrues de l’Union slave cultivent une apparence tout à fait ordinaire.
Inquiétude constante
La tactique fonctionne. L’inquiétude est constante parmi les cibles principales: des ressortissants des ex-républiques soviétiques d’Ouzbékistan, du Tadjikistan, de Géorgie, d’Arménie et d’Azerbaïdjan. «Avant, on les reconnaissait de loin à leur apparence de skinheads, explique Moukhammadnazar Mirzoda, président d’une association d’amitié russo-tadjique. Aujourd’hui, ils ressemblent à n’importe qui. A des supporters du Zenit (club de foot local), à des rockers… il y a même des gamins parmi eux. N’importe quel groupe de jeunes est potentiellement dangereux. La peur monte.»
«Les attaques sont minutieusement organisées, comme pour une opération militaire», ajoute Dmitri Doubrovski, un collègue de l’universitaire, sociologue à l’Université Smolni de Saint-Pétersbourg, spécialisé dans l’étude de la xénophobie. «Habituellement, les attaquants forment plusieurs groupes, l’un chargé de la surveillance, l’autre de repousser d’éventuelles réactions des passagers, le troisième enfin qui se charge de la victime.» >>> Emmanuel Grynszpan, Moscou | Lundi 07 Septembre 2009
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