LE MONDE : Chisinau veut intégrer les Vingt-Sept pour se protéger de la menace russe et espère une décision « dans les prochains mois » sur l’ouverture de discussions.
« Nous pensons que nous ne pouvons sauver notre démocratie qu’en faisant partie de l’Union européenne (UE) », a déclaré la présidente moldave, Maia Sandu, dans un entretien à l’Agence France-Presse (AFP), rapporté jeudi 18 mai. La dirigeante moldave qualifie l’adhésion de « projet réaliste ». « Nous souhaitons que cela arrive dès que possible », ajoute-t-elle, espérant avoir « une décision sur l’ouverture de négociations dans les prochains mois », a-t-elle précisé à l’AFP.
Au pouvoir depuis 2020, la dirigeante du pays le plus pauvre d’Europe a appelé à un grand rassemblement en faveur de l’adhésion à l’UE dimanche 21 mai ; avant que le pays accueille son premier grand sommet rassemblant l’Europe élargie, avec les pays de la Communauté politique européenne (CPE) et les principaux poids lourds du continent, le 1er juin. » | Le Monde avec AFP | jeudi 18 mai 2023
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Thursday, May 18, 2023
Friday, March 11, 2022
L'Union européenne doit «en faire plus» pour l'Ukraine, estime Zelensky
LE FIGARO : Le président ukrainien a fait part de son mécontentement après que les dirigeants des 27 ont exclu la veille toute adhésion rapide de l'Ukraine à l'Union européenne.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé vendredi 11 mars que l'Union européenne devait «en faire plus» pour l'Ukraine, après que les dirigeants des 27 eurent exclu la veille toute adhésion rapide de l'Ukraine à l'UE.
«Il faut aller plus fort. Ce n'est pas ce que nous attendons», a déclaré Volodymyr Zelensky dans une vidéo sur Telegram. «Il faut que les décisions des hommes politiques coïncident avec l'humeur de leurs peuples, les peuples européens (...) L'Union européenne doit en faire plus pour nous, pour l'Ukraine.» » | Par Le Figaro avec AFP | vendredi 11 mars 2022
M. Zelenskyy : Soyons clairs sur les raisons pour lesquelles l'Union européenne a pris la décision de ne pas accélérer l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne : peur de la Russie et représailles. – © Mark
Thursday, November 25, 2021
Brexit : les pêcheurs français annoncent des blocages dans plusieurs ports et devant le tunnel sous la Manche
LE FIGARO : Les pêcheurs mèneront des actions de blocage ponctuelles ce vendredi dans les ports de Saint-Malo, Calais et Ouistreham. L'accès au tunnel sous la Manche sera également bloqué en début d'après-midi.
Les pêcheurs du Pas-de-Calais, de Ouistreham et de Saint-Malo conduiront vendredi une action de blocage dans trois ports français, et devant l'accès au tunnel sous la Manche. «Les pêcheurs demandent la résolution immédiate du litige qui nous oppose au Royaume-Uni dans l'interprétation de l'accord de Brexit», a déclaré ce jeudi Gérard Romiti, le président du comité national des pêches. «Notre patience a ses limites, elle n'a été que trop éprouvée.» » | Par Edouard de Mareschal | jeudi 25 novembre 2021
«Le conflit va se durcir, c'est certain» : la colère des pêcheurs français piégés par le Brexit : REPORTAGE - À Boulogne-sur-Mer, les pêcheurs participeront aux blocages annoncés vendredi dans plusieurs ports de France. Ils menacent de poursuivre leurs actions si le contentieux des licences de pêche n'est pas réglé rapidement par la Commission européenne. »
French fishers to block Channel tunnel in Brexit licences row: Members of industry association say large number of vehicles will be used to block key artery between nations »
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Sunday, November 07, 2021
Le jeu dangereux de la Pologne, ex-élève modèle devenu un mouton noir de l’UE
LE FIGARO : À la tête de ce pays majoritairement europhile, qui incarna longtemps la réussite de l’élargissement de 2004, les dirigeants nationaux-conservateurs du PiS s’opposent à Bruxelles sur le terrain de l’État de droit et laissent agiter le spectre d’un Polexit.
Le chemin européen de la Pologne n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. Depuis que le pays est dirigé par le PiS, le parti Droit et Justice, les conflits entre Varsovie et Bruxelles se sont multipliés, de la crise migratoire de 2015 à celle des travailleurs détachés en passant par les restrictions imposées aux LGBT et les questions environnementales. Mais en affirmant, le 7 octobre dernier, que certains éléments du droit européen n’étaient «pas compatibles» avec la Constitution du pays, la Cour constitutionnelle a poussé à son paroxysme des années de guerre larvée entre la Pologne et l’Union européenne sur la réforme du système judiciaire. » | Par Isabelle Lasserre | dimanche 7 novembre 2021
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À LIRE AUSSI : La Pologne et la Hongrie suspendues aux fonds européens : DÉCRYPTAGE - Dans leur bras de fer avec Bruxelles sur l’État de droit, les deux pays risquent gros: des milliards de subventions. »
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Thursday, October 14, 2021
La Pologne poursuit son bras de fer avec l’UE
LE FIGARO : La décision du Tribunal constitutionnel contestant la primauté du droit européen sur le droit national est entrée en vigueur mardi.
La décision du Tribunal constitutionnel polonais, jugeant certains articles du traité sur l’Union européenne «incompatibles» avec la Constitution, n’aura finalement pas tardé à être publiée dans le Journal officiel. Ce mardi 12 octobre, cinq jours après l’annonce de son contenu, la décision qui dénonce «l’ingérence » de la Cour de justice de l’UE(CJUE) dans le système juridique polonais est entrée en vigueur.
Dans la presse polonaise, la nouvelle est passée presque inaperçue. Il est vrai que ce tribunal n’est plus considéré comme légitime par de nombreux juristes et experts internationaux. Certains journaux polonais refusent de l’appeler «Tribunal constitutionnel», préférant le qualifier de «Tribunal de Julia Przylebska», du nom de sa présidente, amie personnelle de Jaroslaw Kaczynski, chef du parti majoritaire au pouvoir. Un élément de chantage » | Par Hélène Bienvenu | mercredi 13 octobre 2021
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Tuesday, October 12, 2021
Pologne: «Le droit européen doit-il prévaloir sur la souveraineté et l'identité de ses membres ?»
LE FIGARO : FIGAROVOX/TRIBUNE - Le Tribunal constitutionnel polonais s'est prononcé contre la suprématie absolue du droit de l'Union européenne. Max-Erwann Gastineau estime qu'une nation démocratique ne saurait déléguer sa politique à des juges européens non-élus.
Diplômé en histoire et en science politique, Max-Erwann Gastineau est essayiste. Il est l'auteur d'un essai remarqué, Le Nouveau procès de l'Est (Éditions du Cerf, 2019).
En 2005, la figure du «plombier polonais», symbole de la dérégulation économique et migratoire, cristallisait l'opposition du peuple français au projet de Constitution européenne. Plus de quinze ans après, c'est une autre figure, celle du juge polonais, qui cristallise les tensions.
En cause, le refus par la Pologne de répondre aux injonctions de la Cour de Justice de l'Union européenne (CJUE), qui exigeait le retrait d'une réforme controversée de son système judicaire. Refus motivé par les juges du Tribunal constitutionnel de Varsovie qui, dans une décision datée du 7 octobre dernier, qualifient ces injonctions d'illégitimes, la question de l'organisation du système judiciaire n'ayant jamais été transférée par les États à l'Union européenne (UE) et, de ce fait, portée à l'appréciation du juge européen.
Plus qu'un tour de passe-passe juridique, une décision «gravissime», estime Clément Beaune, Secrétaire d'État aux affaires européennes, posant les prémisses d'un futur polexit ? Il faudra nous expliquer ce qui sépare fondamentalement la décision du juge polonais de la philosophie de la Cour de Karlsruhe, où siègent les juges constitutionnels allemands. » | Par Max-Erwann Gastineau | mardi 12 octobre 2021
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Sunday, October 10, 2021
Pologne : des milliers de manifestants pro-UE attendus dans la rue ce dimanche
LE FIGARO : Le chef de l'opposition et ancien président du Conseil européen Donald Tusk a appelé à manifester après que la Cour constitutionnelle polonaise a contesté la primauté du droit européen.
Des milliers de Polonais sont attendus dans les rues dimanche pour défendre l'appartenance de leur pays à l'Union européenne, après la décision vendredi de la Cour constitutionnelle polonaise contestant la primauté du droit européen.
Cette décision, refusant tout contrôle européen sur les lois polonaises, pourrait marquer un premier pas vers une sortie de la Pologne de l'UE, et c'est contre cette idée que les Polonais vont manifester dimanche, à l'appel du chef de l'opposition et ancien président du Conseil européen Donald Tusk. Il a appelé ses compatriotes à manifester pour «défendre une Pologne européenne». «Nous devons sauver la Pologne, personne ne le fera pour nous», a-t-il ajouté sur Twitter. Les manifestations doivent commencer vers 18 heures, heure française. » | Par Le Figaro avec AFP | dimanche 10 octobre 2021
Lien connexe en allemand :
Tusk ruft zu Protest in Warschau auf »
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Wednesday, September 08, 2021
Bruxelles veut mettre Varsovie à l’amende
LE FIGARO : RÉCIT - La Commission européenne s’inquiète du fonctionnement de la justice polonaise.
Le torchon n’en finit pas de brûler entre Bruxelles et Varsovie sur l’État de droit. La Commission a demandé mardi à la Cour de justice de l’UE d’imposer des sanctions financières à l’État polonais. Il lui est reproché de ne pas s’être mis en conformité avec un arrêt de la justice européenne publié le 14 juillet ni avec les mesures provisoires que celui-ci édictait concernant la chambre disciplinaire de la Cour suprême, un organe sensé être indépendant mais sur lequel le pouvoir polonais a la main. «Les systèmes judiciaires de l’Union européenne doivent être indépendants et équitables», a souligné la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. Comment, en effet, s’assurer du bon usage des deniers européens et que des poursuites seront lancées en cas de corruption, si le système judiciaire est tenu par un pouvoir en place et l’autonomie des juges bafouée? » | Par Anne Rovan | Publié : mardi 7 septembre 2021 ; mis à jour : mercredi 8 septembre 2021
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Wednesday, August 18, 2021
Renaud Girard: «L’Europe paiera l’inconséquence des États-Unis en Afghanistan»
LE FIGARO : CHRONIQUE - À moyen terme, la victoire talibane agira comme un élixir de force pour tous les mouvements de Frères musulmans qui ont secrètement juré la perte de la civilisation occidentale, argumente l’auteur.
Un soldat américain pointe son arme vers un Afghan lors d’une scène de chaos à l’aéroport de Kaboul, le 16 août 2021. WAKIL KOHSAR/AFP
Vingt ans après qu’elle eut commencé une guerre contre eux, l’Amérique a donc rendu aux talibans l’Afghanistan. Elle aurait préféré qu’il y eût un délai de carence et qu’elle ne fût pas obligée de revivre, à Kaboul, les scènes de chaos de l’évacuation de Saïgon en 1975.
Plus Biden et Blinken s’expriment dans les médias pour tenter de justifier leur abandon précipité d’un allié, plus ils s’enfoncent, plus ils se ridiculisent, plus ils soulignent la honte américaine. Car l’histoire retiendra la date du 15 août 2021 et cette reprise de Kaboul par les talibans comme le premier grand revers géopolitique des États-Unis au XXIe siècle. Quant aux interventions de Pompeo, l’ancien secrétaire d’État de Trump, qui se permet de critiquer l’Administration présente et s’indigne que les talibans n’aient pas été obligés de respecter toutes les clauses de l’accord qu’il avait négocié avec eux en 2020, elles sont pathétiques. Mais on sent surtout, chez les responsables américains, la volonté de faire le dos rond, en attendant que les médias optent pour un autre festin. Car ils savent que, finalement, ce sera l’Europe - et non l’Amérique - qui paiera le prix fort de leur inconséquence. » | Par Renaud Girard | Publié : lundi 16 août 2021 ; mis à jour : mardi 17 août 2021
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Vingt ans après qu’elle eut commencé une guerre contre eux, l’Amérique a donc rendu aux talibans l’Afghanistan. Elle aurait préféré qu’il y eût un délai de carence et qu’elle ne fût pas obligée de revivre, à Kaboul, les scènes de chaos de l’évacuation de Saïgon en 1975.
Plus Biden et Blinken s’expriment dans les médias pour tenter de justifier leur abandon précipité d’un allié, plus ils s’enfoncent, plus ils se ridiculisent, plus ils soulignent la honte américaine. Car l’histoire retiendra la date du 15 août 2021 et cette reprise de Kaboul par les talibans comme le premier grand revers géopolitique des États-Unis au XXIe siècle. Quant aux interventions de Pompeo, l’ancien secrétaire d’État de Trump, qui se permet de critiquer l’Administration présente et s’indigne que les talibans n’aient pas été obligés de respecter toutes les clauses de l’accord qu’il avait négocié avec eux en 2020, elles sont pathétiques. Mais on sent surtout, chez les responsables américains, la volonté de faire le dos rond, en attendant que les médias optent pour un autre festin. Car ils savent que, finalement, ce sera l’Europe - et non l’Amérique - qui paiera le prix fort de leur inconséquence. » | Par Renaud Girard | Publié : lundi 16 août 2021 ; mis à jour : mardi 17 août 2021
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Tuesday, March 17, 2020
Donald Trump, l’anti-européen
Editorial du « Monde ».Le coronavirus a permis à Donald Trump de réaliser enfin son rêve : mettre l’Europe en quarantaine. En décidant, jeudi 12 mars, de fermer la porte du territoire des Etats-Unis pendant un mois aux personnes venant des 26 pays membres de l’espace Schengen, sous prétexte d’empêcher la contamination de ses compatriotes par ce qu’il appelle « un virus étranger », le président américain a trahi, une fois de plus, son hostilité viscérale à l’égard de l’Union européenne.
Cette décision est pitoyable à plusieurs égards. Dans sa forme, d’abord : prise sans la moindre concertation avec les gouvernements des pays concernés et mise en œuvre dans un délai de moins de quarante-huit heures, elle a semé le chaos dans les aéroports, les compagnies aériennes, déjà lourdement mises à l’épreuve, les représentations consulaires, sur les places boursières et parmi des centaines de milliers de voyageurs. » | Samedi 14 mars 2020
Saturday, April 22, 2017
Libre-échange: les Etats-Unis prêts à négocier avec l'Union européenne
La nouvelle est inquiétante pour Theresa May. D'après le Times, qui cite des sources officielles à la Maison Blanche, l'administration Trump a changé son fusil d'épaule en matière d'accords de libre-échange. Alors que le président américain avait promis de conclure "rapidement et dans les règles" un accord commercial avec le Royaume-Uni, c'est maintenant vers l'Europe qu'il se tourne.
Deux raisons à ce revirement. D'abord, les Etats-Unis ne peuvent conclure aucun accord avec le Royaume-Uni avant mars 2019, date théorique à laquelle le Brexit deviendra effectif si les négociations se déroulent correctement. "Rapidement et dans les règles" devient donc illusoire. » | Par Laurent Martinet | samedi 22 avril 2017
Monday, May 26, 2014
Monday, February 10, 2014
La Suisse profondément isolée après le référendum sur l'immigration
Avec le oui à la restauration des quotas d'immigration pour les étrangers, les électeurs ont plongé dimanche la Suisse prospère dans une crise majeure, exprimant un certain rejet des pressions de tous bords qui visent leur pays. L'Allemagne, la France et l'Union européenne (UE) ont protesté contre ce vote, qui aura des conséquences directes sur les nombreux ressortissants européens voulant travailler en Suisse, avec une procédure qui deviendra à l'avenir beaucoup plus compliquée qu'actuellement.
Le vote suisse pose des "problèmes considérables", a indiqué lundi le porte-parole de la chancelière allemande, Angela Merkel. "Les relations étroites qui lient la Suisse à l'Union européenne apportent des deux côtés aux populations de grands avantages, et la liberté de circulation est au coeur de ces liens étroits", a-t-il ajouté.
Le ministre suisse des Affaires étrangères, Didier Burkhalter, qui est aussi président en exercice de la Confédération, se rendra à Berlin le 18 février pour rencontrer la chancelière. De son côté, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, estime que le vote suisse est une mauvaise nouvelle pour l'Europe. L'UE, a-t-il ajouté, va devoir réviser ses relations avec la Suisse. » | Source AFP | lundi 10 février 2014
LE POINT: Merkel : "Le vote suisse pose des problèmes considérables" : La chancelière allemande a tenu à rappeler combien la liberté de circulation était importante en Europe, au lendemain du vote sur la limitation de l'immigration. » | Source AFP | lundi 10 février 2014
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Wednesday, September 14, 2011
TRIBUNE DE GENÈVE: CRISE DE LA DETTE | Devant l'assemblée plénière du Parlement européen à Strasbourg, les responsables de l’UE n'ont pu cacher leurs vives inquiétudes sur l'avenir communautaire.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, s’est montré lui aussi préoccupé. «Nous sommes confrontés au défi le plus grave de cette génération, c’est une lutte pour l’avenir politique de l’Europe.
Les responsables de l’UE se sont inquiétés mercredi du risque de voir le projet européen tout entier échouer si la crise de la dette en zone euro ne peut être réglée, alors que les craintes de faillite de la Grèce se sont nettement accrues.
«L’Europe est en danger», a déclaré ministre polonais des Finances Jacek Rostowski, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE, devant l’assemblée plénière du Parlement européen à Strasbourg.
«Si la zone euro se fissure, l’Union européenne ne sera pas capable de survivre, avec toutes les conséquences que l’on peut imaginer», a-t-il ajouté, évoquant même le risque éventuel d’une nouvelle «guerre» en Europe à long terme en cas d’échec du projet européen.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, s’est montré lui aussi préoccupé. «Nous sommes confrontés au défi le plus grave de cette génération, c’est une lutte pour l’avenir politique de l’Europe, pour l’intégration européenne en tant que telle», a-t-il dit devant le Parlement. » | ATS / AFP | Mercredi 14 Septembre 2011
THE INDEPENDENT: Call for more European federalism: The economic crisis has turned into a "fight for European integration", the president of the European Commission warned today. ¶ Jose Manuel Barroso insisted that the answer to the growing threat to the euro was a more, and not less, integrated European Union. » | Geoff Meade | Wednesday, September 14, 2011
Monday, May 10, 2010
LE TEMPS: Rassurées par la décision des ministres des finances de l’Union européenne de mettre dans la nuit sur le tapis près de 750 milliards d’euros de prêts et garanties aux Etats en difficulté, les bourses mondiales sont reparties ce lundi à la hausse
«Nous allons maintenant accélérer notre travail en vue d’une gouvernance économique plus forte». Invité ce matin à Bruxelles à ouvrir l’édition «Europe» du Forum économique mondial (WEF), le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a promis que l’UE tirera profit de son plan massif de stabilisation financière annoncé dans la nuit de dimanche à lundi, après plus de dix heures de négociation.
Responsable d’une «task force» chargée d’accoucher des propositions pour une nouvelle gouvernance économique, l’ancien premier ministre belge a expliqué au WEF qu’il dévoilera différentes pistes de travail sur le renforcement des règles de surveillance des marchés dès le 21 mai, en vue de soumettre en octobre un menu complet de mesures aux chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE. Le président de la Commission européenne, José-Manuel Barroso, invité lui aussi au sommet bruxellois, a estimé de son coté indispensable pour l’Union de retrouver «un leadership». La Commission doit annoncer mercredi des propositions sur la réglementation financière et l’encadrement des agences de notation. Les ministres des finances européens se retrouvent, eux, à nouveau les 17 et 18 mai à Bruxelles. >>> Richard Werly | Lundi 10 Mai 2010
Sunday, May 09, 2010
LE TEMPS: Climat maussade pour la fête de l’Europe qui coïncide ce 8 mai, avec le 60e anniversaire de la déclaration de Robert Schuman. Le Conseil des ministres des Finances de l’UE doivent adopter dimanche à Bruxelles une série de mesures urgentes pour contrer la fièvre spéculative. Une nécessité également soulevée avec force dans le rapport « Europe 2030 » qu’ a rendu ce samedi le « Comité des sages » présidé par l’ancien premier ministre espagnol Felipe Gonzales.
La tempête boursière de ces derniers jours l’a rendue incontournable. Une nouvelle gouvernance économique de l’Union européenne, centrée autour d’un « mécanisme de stabilisation » pour venir en aide aux pays en difficulté de la zone euro, est désormais l’horizon imposé pour les Vingt-Sept, dont les ministres des Finances se réunissent en urgence dimanche soir à Bruxelles. >>> Richard Werly, Bruxelles | Samedi 08 Mai 2010
WIKI: Felipe González >>>
Wednesday, February 24, 2010
LE POINT: Le chef de file des europhobes britanniques, Nigel Farage, a créé le scandale mercredi au Parlement européen en insultant le président de l'UE Herman van Rompuy à l'occasion de sa première apparition devant les eurodéputés.
"Je ne veux pas être impoli, mais vraiment, vous avez le charisme d'une serpillière humide et l'apparence d'un petit employé de banque", s'est écrié Nigel Farage, sous les huées de ses pairs, lors d'une session à Bruxelles. "Qui êtes-vous ? >>> AFP | Mercredi 24 Février 2010
BBC: A British Eurosceptic MEP has unleashed a volley of insults against the President of the European Council.
Nigel Farage, who leads UK Independence Party (UKIP) MEPS in the European parliament, said Herman van Rompuy had "the charisma of a damp rag".
He compared the former Belgian prime minister to a "low-grade bank clerk" and said he came from a "non-country".
The attack, which stunned the chamber, came as Mr Von Rompuy made his maiden appearance in parliament in Brussels.
"I don't want to be rude," Mr Farage began, before launching into a personal attack lasting several minutes.
"Who are you? I'd never heard of you, nobody in Europe had ever heard of you," Mr Farage thundered, as noisy disapproval at his intervention in the chamber rose.
'Competent and dangerous'
"Oh, I know democracy is not popular with you lot," he said, addressing the members of parliament as they voiced their surprise.
Mr Farage - known for his outspoken interventions - did, however, admit that he thought Mr Van Rompuy was "competent and capable", adding that this made him "dangerous".
"I have no doubt that your intention is to be the quiet assassin of European democracy and of European nation states," he said.
Mr Farage's party, UKIP, campaigns for the withdrawal of Britain from the European Union. It has 13 representatives in the European parliament.
"You seem to have a loathing for the very concept of the existence of nation states," Mr Farage continued, adding: "Perhaps that's because you come from Belgium, which is pretty much a non-country." Read further (with video) >>> | Wednesday, February 24, 2010
THE TELEGRAPH: Ukip's Nigel Farage faces reprimand after calling Herman Van Rompuy 'wet rag': Nigel Farage faces an official reprimand next week after he described Herman Van Rompuy as a "damp rag" during the European Union President's maiden appearance before MEPs. >>> Bruno Waterfield in Brussels | Thursday, February 25, 2010
Saturday, November 21, 2009
lePARISIEN.fr: Sa première conférence de presse bruxelloise a donné le ton. Avec ses airs de professeur Nimbus, Herman Van Rompuy, le tout nouveau président de l’Union européenne, choisi pour deux ans et demi, s’est présenté d’une voix timide devant les journalistes européens pour expliquer qu’il ne fallait pas compter sur lui pour s’exprimer beaucoup et que son avis sur certains sujets comme l’adhésion éventuelle de la Turquie ne comptait pas : « Mon rôle sera de trouver un consensus. « Choisi pour ne faire d’ombre à personne » >>> Frédéric Gerschel | Samedi 21 Novembre 2009
Sunday, October 04, 2009
LE TEMPS: Les 3 millions d’électeurs irlandais qui se sont prononcés vendredi sur le Traité de Lisbonne n’auront pas le dernier mot. L’eurosceptique président tchèque restera l’ultime obstacle
«Après avoir été l’otage des 3 millions d’électeurs irlandais, l’Union européenne va se retrouver prisonnière d’un seul eurosceptique.» A Bruxelles vendredi, la colère commençait déjà à se déchaîner contre le très eurosceptique président tchèque.
Si le second référendum irlandais – dont les résultats n’étaient pas encore disponibles hier soir – accouche d’un oui au Traité de Lisbonne, l’entrée en vigueur de celui-ci dépendra en effet entièrement de Vaclav Klaus. Lequel s’abrite derrière une nouvelle plainte devant la Cour constitutionnelle (qui a déjà statué favorablement au printemps) déposée le 29 septembre par des sénateurs de son ex-Parti libéral pour refuser de signer le traité, pourtant voté par le parlement tchèque.
Vaclav Klaus avait officialisé son opposition au texte destiné à réformer les institutions communautaires lors de son discours le 19 février à Bruxelles devant le Parlement européen, affaiblissant ainsi son pays qui présidait alors l’UE. Le chef de l’Etat tchèque doit signer la loi de ratification des traités. Or aucun traité européen ne peut entrer en vigueur sans avoir été ratifié par tous les Etats membres.
Le feuilleton politique pourrait néanmoins, cette fois, tourner au vinaigre entre les Etats membres. Jusque-là, et compte tenu de l’échec du premier référendum irlandais du 12 juin 2008, la patience était de rigueur. Partisan de la première heure d’un nouveau vote en Irlande – seul pays de l’UE à consulter sa population – Nicolas Sarkozy avait lui-même d’emblée proposé de modifier le Traité de Lisbonne pour conserver le principe d’un commissaire européen par pays jusqu’en 2014, afin de rassurer les Irlandais. Puis d’autres garanties en matière d’avortement, de neutralité et de souveraineté fiscale avaient été concédées à Dublin. Appel au forcing >>> Richard Werly | Samedi 03 Octobre 2009
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Wednesday, September 09, 2009
LE TEMPS: Des personnalités européennes lancent un appel pour sauver la perspective de l’adhésion. Ils critiquent Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, qui ont prôné un «partenariat privilégié» comme substitut à l’adhésion
L’Europe, qui aspire à jouer un rôle de puissance, doit se ressaisir si elle ne veut pas gâcher les opportunités que lui offre la candidature de la Turquie. Celles-ci sont multiples: un relais d’influence auprès du monde musulman, une capacité renforcée de projection en politique étrangère vers des régions diverses comme le Moyen-Orient, le Caucase, l’Asie centrale, autant de zones où se jouent des enjeux stratégiques, notamment pour les approvisionnements en énergie.
L’Europe doit se ressaisir, car à force de laisser le dossier des négociations turques s’enliser, elle est en passe de perdre un partenaire précieux. C’est en substance l’appel lancé, lundi 7 septembre, par un groupe de personnalités politiques européennes, dont le prix Nobel de la paix 2008 et ancien président finlandais Martti Ahtisaari, l’ancien premier ministre français Michel Rocard, et l’ancienne commissaire européenne Emma Bonino (Bronislaw Geremek, l’ancien ministre polonais, mort en 2008, avait aussi participé à ce groupe).
L’Europe a décidé, en décembre 2004, de lancer des négociations d’adhésion avec la Turquie. Un pays dont le rang de «candidat» à l’intégration avait été formellement reconnu en 1999 et qui postule au club depuis… 1963. Comment sauver le processus? Dans son rapport publié lundi, la Commission indépendante sur la Turquie rappelle à quel point les choses semblent aujourd’hui encalminées, avec le blocage de la moitié des chapitres de négociation. >>> Natalie Nougayrède Le Monde | Mercredi 09 Septembre 2009
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