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Monday, September 23, 2013

Grèce: la police soupçonnée de liens avec Aube dorée


LA PRESSE: La police grecque a annoncé lundi la démission de deux de ses généraux et ordonné une enquête sur des liens éventuels entre policiers et Aube dorée, six jours après le meurtre d'un musicien antifasciste par un membre présumé de ce parti néonazi.

Le ministère de l'Ordre public a accepté la démission de deux généraux, «l'inspecteur général de la police du sud du pays Ioannis Dakopoulos et le directeur général de la police du centre du pays Apostolos Kaskanis», a indiqué un communiqué ministériel.

De même, plusieurs cadres de la police en poste sur l'île d'Eubée, au nord d'Athènes, ont été suspendus pour ne pas avoir effectué une enquête sur des locaux d'Aube dorée situés près d'un commissariat de police, et où des armes auraient été entreposées. » | Hélène Colliopoulou | Agence France-Presse | Athènes, Grèce | lundi 23 septembre 2013

Thursday, March 28, 2013


L'Allemagne s'inquiète pour son image en Europe


LE FIGARO: La gestion de la crise chypriote a renforcé la perception d'un « diktat » de Berlin.

La presse populaire allemande salue le retour de sa «chancelière de fer». L'intransigeance d'Angela Merkel dans le sauvetage financier de Chypre lui vaut l'admiration indéfectible de ses concitoyens, dont les intérêts passent avant toute autre considération. Mais Berlin s'inquiète des répercussions de l'affaire sur son image, alors que le «diktat allemand» est violemment critiqué dans les rues de Nicosie. Les manifestants du sud de l'Europe touchent une corde sensible des Allemands lorsqu'ils renvoient le pays à son passé nazi.

Chypre a évité la banqueroute au prix de mesures douloureuses, risquant d'entraîner une récession et une hausse du chômage. La chancelière allemande a jugé «équitable» le plan de sauvetage. Mais, comme en Italie, en Espagne ou en Grèce, l'Allemagne est perçue une fois encore comme le pays tirant les ficelles et imposant des plans d'austérité draconiens aux populations en échange d'une bouée de sauvetage financière.

Grimée en dictateur nazi, Angela Merkel est la cible préférée des manifestants. Dimanche, le journal espagnol El Pais a retiré de son site, après des réactions indignées, une tribune comparant Merkel à Hitler. L'article accusait la chancelière d'avoir «déclaré la guerre au continent» pour s'assurer «un Lebensraum économique» - référence à «l'espace vital» revendiqué par les nazis. » |Par Patrick Saint-Paul | jeudi 28 mars 2013

Wednesday, October 10, 2012

Croix gammées à Athènes : l'Allemagne sous le choc

LE FIGARO: L'accueil réservé à la chancelière mardi à Athènes pour sa visite officielle a choqué les Allemands. Ils jugent les slogans hostiles «ingrats», alors que l'Allemagne reste le premier créancier de la Grèce.

L'Allemagne est sous le choc après l'accueil réservé à sa chancelière par la rue grecque. Les images des manifestations d'opposants à la venue d'Angela Merkel, mardi en Grèce, avec force symboles nazis et slogans de rejet, s'étalaient dans presque tous les journaux mercredi. Soutenue par les sociaux-démocrates, la coalition de centre droit de la chancelière a cloué au pilori le patron de Die Linke, le parti de la gauche radicale, qui a cautionné les dérapages en défilant à Athènes.

«L'Allemagne n'a pas mérité ça: des protestations nauséabondes contre Merkel à Athènes! Et nous payons encore plus», s'exclamait en une le quotidien populaire Bild qui qualifie la visite d'«erreur politique», «en dépit des bonnes intentions» qui ont présidé à son organisation. «On ne peut pas être plus ingrat. Ça suffit», écrit le journal, qui avait suggéré aux Grecs de vendre leurs îles ou encore l'acropole pour rembourser leurs dettes en 2010.

La visite de la chancelière, à l'invitation de son homologue grec Antonis Samaras, avait pour but d'apaiser les tensions entre Berlin et Athènes. Merkel est venue à Athènes marquer son empathie et offrir ses encouragements. Un petit geste symbolique marque pourtant l'étendue de l'incompréhension entre les deux capitales en dépit d'une certaine complicité affichée par les deux dirigeants. » | Par Patrick Saint-Paul | Correspondant à Berlin | mercredi 10 octobre 2012

Monday, June 18, 2012

Les néonazis s'enracinent en Grèce

LE POINT: Le parti grec d'extrême droite a obtenu, dimanche, 7 % des voix lors du second tour des élections législatives.

Le parti néonazi l'Aube dorée (Chryssi Avghi) a confirmé dimanche sa percée électorale, signe de l'enracinement d'une idéologie ultraviolente dans une Grèce déboussolée par la crise, selon les analystes. Ce sont quelque 430 000 Grecs, soit 7 % des votants, autant qu'au scrutin de mai, qui ont choisi d'envoyer au Parlement 18 députés de ce parti nationaliste et raciste qui n'avait recueilli en 2009 que 18 000 votes et obtenu aucun élu.

"Chryssi Avghi est là pour rester", a affirmé son chef et fondateur, Nikos Mihaloliakos, un mathématicien de 55 ans, qui clamait sa proximité avec le dictateur fasciste grec d'avant-guerre Ioannis Metaxas. Nikos Mihaloliakos avait été élu au conseil municipal d'Athènes en 2010, y faisant une entrée fracassante, sous escorte musclée, en tendant le bras comme un salut hitlérien. "Le pourcentage de Chryssi Avghi ne tient pas du hasard, et ses électeurs savent à quoi s'en tenir en votant à nouveau pour eux, ce qui témoigne d'une tendance actuelle à l'enracinement" de cette formation dans l'électorat grec, affirme Sophia Vidali, professeur de criminologie à l'université de Thrace. » | Source AFP | lundi 18 juin 2012

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Thursday, May 31, 2012

Europe : L'"union économique totale" ou la mort ?

LE POINT: José Manuel Barroso a proposé une thérapie de choc pour éviter la désintégration qui menace : l'union bancaire européenne.

Comment enrayer la contagion ? Comment faire en sorte qu'une "Grexit", la sortie de la Grèce de la zone euro, ne déclenche pas une "Spanic", une panique en Espagne ? Comment rétablir la confiance des marchés vis-à-vis des États, des Bourses vis-à-vis des entreprises, des Grecs ou des Espagnols vis-à-vis de leurs banques ? Ces questions sont à la base du remue-méninges qui continue d'agiter les dirigeants de la zone euro. » | De correspondant du Point à Bruxelles, Alain Franco | jeudi 31 mai 2012

Wednesday, May 09, 2012

Europe: que faire contre le populisme?

SLATE.fr: Pour sortir de la crise européenne, il faut aller plus loin dans les mécanismes de solidarité. La solution populiste du retour au chacun pour soi mène à la catastrophe.

Partout en Europe, l’austérité fait monter les partis populistes. Ils ont emporté un tiers des suffrages en France et gagné en Grèce où les deux partis historiques, la Nouvelle démocratie et les socialistes du Pasok, ont été battus par une kyrielle de partis d’extrême gauche et d’extrême droite. La crise des dettes débouche sur des crises politiques qui rappellent furieusement les années 1930: xénophobie et protectionnisme tentent les électeurs. Il faut vite trouver une parade et en convaincre les Allemands.

Un puit sans fond

En Grèce, les électeurs sont pour rester dans la zone euro. Mais ils refusent l’austérité de fer qu’on leur impose maintenant depuis deux ans. C’est en apparence contradictoire: on ne peut pas vouloir le beurre de l’euro sans payer le prix du beurre. Mais on peut aussi comprendre les Grecs. Le pays paraît s’enfoncer dans un puit sans fond.

Depuis quatre ans, le PIB a reculé au total de plus de 15%. Les salaires ont été réduits de 30%. La production industrielle de 20%, les investissements de 50%. Le taux de chômage atteint 20%. Tout ça a été décidé pour ramener le déficit budgétaire du pays dans les clous en échange d’aides européennes et internationales. Mais tous les efforts ne semblent servir à rien. Les rentrées fiscales se sont effondrées, le déficit se réduit, mais pas aussi vite que prévu. A quoi ça sert demandent les électeurs? La Troïka, elle, demande de nouveaux efforts. » | Eric Le Boucher | mercredi 09 mai 2012

Tuesday, April 24, 2012

L’extrême droite reste bien présente sur le Vieux Continent

LA-CROIX.COM: Représentés dans plusieurs parlements, les partis d’extrême droite en Europe ne participent à aucun gouvernement. / Leur évolution dépend des contextes nationaux, mais ils partagent un même rejet de l’islam et de l’Union européenne.

Plusieurs partis d’extrême droite en Europe ont déjà obtenu, lors de scrutins nationaux, des scores équivalents, voire supérieurs, à celui du Front national en France.

C’est le cas de l’Union démocratique du centre (UDC), l’initiateur d’un référendum contre la construction de minarets en Suisse, en 2009. Ayant remporté 26,6 % des voix aux législatives de décembre dernier, cette formation populiste volontiers xénophobe occupe plus du quart des sièges du Conseil national, le parlement.

Au sein de l’Union européenne (UE) au sens strict, quatre formations d’extrême droite ont obtenu un résultat dépassant 15 % lors des dernières législatives : en Autriche, Finlande, Hongrie et aux Pays-Bas.

Si aujourd’hui aucun gouvernement en Europe ne compte de membre d’un parti d’extrême droite ni ne dépend du soutien de celui-ci, ce ne fut pas toujours le cas ces dix dernières années.

De 2001 à 2011, le Parti populaire danois a toujours été un partenaire de coalition pour les équipes ministérielles de droite. Au Pays-Bas, en vertu d’un accord, le Parti pour la liberté de Geert Wilders apportait son soutien au gouvernement sans y participer, jusqu’à ce qu’il refuse de cautionner sa politique d’austérité et entraîne sa démission, lundi 23 avril.

En Grèce, s’opposant eux aussi à des mesures d’austérité, les quatre ministres de l’Alerte populaire orthodoxe ont démissionné en février dernier du gouvernement d’union nationale. REJET DE L’IMMIGRATION MUSULMANE ET DE LA MONDIALISATION » | Marianne Meunier | mardi 24 avril 2012

Sunday, March 25, 2012

Marine Le Pen veut "mettre l'islam radical à genoux"

REUTERS FRANCE: BOUGUENAIS, Loire-Atlantique - Trois jours après la mort de Mohamed Merah, l'auteur des tueries de Montauban et Toulouse, Marine Le Pen est revenue dimanche aux fondamentaux du Front national en faisant le procès de l'immigration et de la délinquance dans les banlieues françaises.

Lors d'un meeting à Bouguenais (Loire-Atlantique), en périphérie de Nantes, la candidate à l'élection présidentielle a promis de "réduire l'immigration légale de 200.000 entrées par an à 10.000 entrées par an" si elle était élue à l'Elysée.

"Combien de Mohamed Merah, dans les avions et les bateaux, qui arrivent chaque jour en France ? Combien de Mohamed Merah, dans les 300 clandestins qui arrivent chaque jour en Grèce via la Turquie, première étape de leur odyssée européenne ?", a lancé Marine Le Pen devant plus d'un millier de sympathisants. » | Par Guillaume Frouin | Reuters | dimanche 25 mars 2012

Sunday, November 13, 2011

L'extrême droite dans le nouveau gouvernement grec

leJDD: Le nouveau Premier ministre Lucas Papademos et son gouvernement ont prêté serment ce vendredi. Au sein de cette nouvelle équipe d'union nationale chargée de mettre en oeuvre le plan de soutien européen, figure un ministre d'extrême droite, ce qui n'était pas arrivé depuis la fin de la dictature en 1974. Éclairage.

Nouveau gouvernement en Grèce. Le nouveau Premier ministre Lucas Papademos et les 47 membres de son gouvernement ont prêté serment vendredi après-midi dans la résidence présidentielle en présence du chef de l'Etat Carolos Papoulias, lors d'une cérémonie religieuse orthodoxe présidée par le chef de l'Eglise grecque Mgr Iéronymos (l'Eglise et l'Etat ne sont pas séparés en Grèce), retransmise en direct par la télévision publique grecque. Le ministère grec des Finances reste dans les mains d'Evangélos Vénizélos (54 ans), un poids lourd socialiste, tandis que les Affaires étrangères échoient à un libéral, l'ex-commissaire européen Stavros Dimas (70 ans), dans le nouveau gouvernement de coalition grec formé vendredi.

Mais ce nouveau gouvernement est surtout marqué par l'arrivée de l'extrême droite, avec un ministre, deux secrétaires d'Etat et un ministre adjoint. Une première depuis le retour de la démocratie en Grèce en 1974 après la chute de la dictature des colonels. Meneur de cette tendance, un avocat de 47 ans, Makis Voridis, est nommé aux Transports, où il devra jongler entre taxis et syndicalistes des autobus et du métro. Son parti, le Laos, occupe 5% des sièges au parlement, avec 16 sièges sur 300. En dix ans d'existence, sa formation est devenue un acteur important de la scène politique grecque en mettant progressivement en sourdine son discours xénophobe pour gagner en respectabilité. » | V.V. (avec AFP) - leJDD.fr | vendredi 11 novembre 2011

Wednesday, November 02, 2011

Greek Government Teeters On Brink of Collapse in Wake of Referendum plan

THE GUARDIAN: France and Germany battle to save the single currency as Europe is plunged back into turmoil days after rescue deal

The French president Nicolas Sarkozy and German chancellor Angela Merkel will hold emergency talks on Wednesday in a desperate attempt to hold the eurozone together and formulate a response to the Greek prime minister's plan for a referendum on the austerity measures imposed by his European partners.

George Papandreou's socialist government is on the brink of collapse after his referendum plan sparked an angry reaction within his own party and plunged Europe back into turmoil, just days after a complex rescue deal had been agreed – requiring Greece to embark on tough cost-cutting measures.

While Papandreou's cabinet approved unanimously his decision to hold a referendum, it threatens to split the prime minister's Pasok party. One MP, Milena Apostolaki, has quit in disgust at the idea of a referendum and several colleagues have said that if it is not abandoned they will join her. Papandreou faces a vote of confidence on Friday. A split in the Pasok party would almost certainly bring down the Greek government, which now has a majority of just two MPs in parliament.

The Greek finance minister, Evangelos Venizelos, who was rushed to hospital before the referendum announcement, said Papandreou had kept him in the dark over his plan to announce a vote. » | Phillip Inman and Helena Smith in Athens | Wednesday, November 02, 2011

Nicolas Sarkozy réagit au référendum en Grèce

Suite à l’annonce d’un référendum sur l’accord européen, Nicolas Sarkozy a rappelé que ce plan est “la seule voie possible pour résoudre le problème de la dette grecque”.

Monday, September 26, 2011

Conflit entre Chypre et la Turquie: la Grèce appelle «au calme»

TRIBUNE DE GENÈVE: Le Premier ministre grec Georges Papandréou et son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan ont évoqué le conflit gazier opposant la république de Chypre à la Turquie en Méditerranée.

Le Premier ministre grec Georges Papandréou a appelé lundi au téléphone son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan. Les deux dirigeants ont évoqué le conflit gazier opposant la république de Chypre à la Turquie en Méditerranée.

Cette conversation téléphonique des deux alliés de l’OTAN intervient alors que la Turquie devait démarrer ce lundi ses propres explorations offshore dans l’est de la Méditerranée. Ankara réagissait aux explorations lancées par la République de Chypre.

«Les deux parties ont défendu leurs positions respectives» sur ce conflit, a indiqué un conseiller de M. Erdogan sous le couvert de l’anonymat. M. Erdogan a expliqué à son interlocuteur l’opposition de son pays aux prospections chypriotes-grecques en cours.

La Grèce a des rapports privilégiés avec la République de Chypre. Seule entité reconnue sur l’île, celle-ci ne dirige de facto que la zone de peuplement chypriote grec (sud). La Turquie elle est l’alliée du nord, turc. » | AFP | Lundi 26 Septembre 2011

Tuesday, September 20, 2011

Grèce: référendum sur l'euro?

LE FIGARO: Le gouvernement grec envisagerait la tenue d'un référendum sur le maintien de la Grèce dans la zone euro pour raffermir sa légitimité dans sa gestion de la crise de la dette, rapporte mardi le quotidien grec Kathimerini sur son site internet. » | Lefigaro.fr | Mardi 20 Septembre 2011

Wednesday, September 14, 2011

Dirigeants politiques inquiets: «L’Europe est en danger»

TRIBUNE DE GENÈVE: CRISE DE LA DETTE | Devant l'assemblée plénière du Parlement européen à Strasbourg, les responsables de l’UE n'ont pu cacher leurs vives inquiétudes sur l'avenir communautaire.

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, s’est montré lui aussi préoccupé. «Nous sommes confrontés au défi le plus grave de cette génération, c’est une lutte pour l’avenir politique de l’Europe.

Les responsables de l’UE se sont inquiétés mercredi du risque de voir le projet européen tout entier échouer si la crise de la dette en zone euro ne peut être réglée, alors que les craintes de faillite de la Grèce se sont nettement accrues.

«L’Europe est en danger», a déclaré ministre polonais des Finances Jacek Rostowski, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE, devant l’assemblée plénière du Parlement européen à Strasbourg.

«Si la zone euro se fissure, l’Union européenne ne sera pas capable de survivre, avec toutes les conséquences que l’on peut imaginer», a-t-il ajouté, évoquant même le risque éventuel d’une nouvelle «guerre» en Europe à long terme en cas d’échec du projet européen.

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, s’est montré lui aussi préoccupé. «Nous sommes confrontés au défi le plus grave de cette génération, c’est une lutte pour l’avenir politique de l’Europe, pour l’intégration européenne en tant que telle», a-t-il dit devant le Parlement. » | ATS / AFP | Mercredi 14 Septembre 2011

THE INDEPENDENT: Call for more European federalism: The economic crisis has turned into a "fight for European integration", the president of the European Commission warned today. ¶ Jose Manuel Barroso insisted that the answer to the growing threat to the euro was a more, and not less, integrated European Union. » | Geoff Meade | Wednesday, September 14, 2011

Tuesday, November 16, 2010

Pour Herman Van Rompuy, "la zone euro et l'Union européenne jouent leur survie"

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Herman Von Rompuy s'exprimait mardi sur les inquiétudes que suscitent l'Irlande, mais aussi le Portugal, le Grèce ou même l'Espagne, des pays handicapés par un déficit très important. Photo : Le Point

LE POINT: La zone euro et l'Union européenne tout entière avec elle ne "survivront pas" si les problèmes budgétaires actuels de certains pays ne sont pas résolus, a mis en garde mardi le président de l'UE, Herman Van Rompuy. "Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie", a-t-il déclaré lors d'une intervention devant un centre de réflexion bruxellois, l'European Policy Center. "Nous devons tous travailler de concert afin de permettre à la zone euro de survivre. Car si la zone euro ne survit pas, l'Union européenne ne survivra pas non plus", a-t-il ajouté. "Mais j'ai confiance dans le fait que nous allons surmonter cela", a-t-il ajouté. >>> Source AFP | Mardi 16 Novembre 2010

Wednesday, July 28, 2010


Grèce : Le groupe responsable de la mort d'un journaliste promet de nouveaux attentats

LE MONDE: Le groupe grec d'extrême gauche Secte rebelle, dans un message revendiquant l'assassinat du journaliste Sokratis Giolias le 19 juillet dans la banlieue d'Athènes, menace de multiplier les attentats et de perturber la saison touristique en Grèce.

Dans cette revendication de sept pages que publie mercredi le journal de centre gauche Ta Nea, le groupe, qui avait tué un policier antiterroriste à Athènes en juin 2009, promet de frapper encore plus de policiers, de journalistes et d'agents de l'administration pénitentiaire. >>> LEMONDE.FR avec AFP | Mercredi 28 Juillet 2010

Wednesday, June 30, 2010

La Grèce défend l'avenir européen de la Turquie

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Le ministre grec délégué aux Affaires étrangères, Dimitri Droutsas, en janvier dernier à Londres. Photo : Le Figaro

LE FIGARO: En visite à Paris, le ministre grec délégué aux Affaires étrangères, Dimitri Droutsas, a souligné les premiers résultats du plan de rigueur.

Mise sous pression par la crise de son économie, la Grèce ne perd pas de vue les Balkans et la Turquie, ses voisins dont «l'avenir passe par l'Union européenne» , comme l'a souligné le ministre grec délégué aux affaires étrangères, Dimitri Droutsas, hier à Paris. Athènes observe attentivement la nouvelle visibilité de la Turquie sur la scène régionale, y voyant une raison supplémentaire de poursuivre le délicat rapprochement entamé avec Ankara après des décennies de méfiance . Selon le chef adjoint de la diplomatie grecque (le portefeuille des Affaires étrangères est détenu officiellement par le premier ministre Georges Papandréou, NDLR), la posture adoptée par la Turquie est «logique» : «Faute de recevoir un message positif de l'UE, elle considère d'autres alternatives. Mais pour Ankara, je ne suis pas convaincu qu'il y ait d'autre alternative que l'Europe», déclare-t-il au Figaro. Cela dit, Dimitri Droutsas ne manque pas de rappeler que «la normalisation des relations avec la Turquie ne sera pas complète tant que ne sera pas réglé le problème de Chypre» . Une «solution chypriote», c'est-à-dire élaborée «sans pression de l'extérieur» , et la prise en compte de l'acquis communautaire sont, d'après lui, les deux ingrédients indispensables d'un règlement négocié. «La clé du problème est en Turquie» , affirme Dimitri Droutsas, en appelant Ankara à retirer ses troupes du nord de l'île divisée, «une mesure concrète qui créerait une atmosphère de confiance mutuelle» .

Dans son voisinage, la priorité grecque demeure toutefois les Balkans. L'«Agenda 2014», défendu par Athènes, propose l'intégration dans l'UE à cette échéance. Un processus grâce auquel «les menaces de conflit dans la région pourraient être réduites plus facilement», notamment au Kosovo et en Macédoine, selon Dimitri Droutsas. Continuez à lire et réagir à cet article
>>>
Par Alain Barluet | Mercredi 30 Juin 2010

Friday, May 14, 2010

Ackermann pessimistisch: Kaum Chancen für Griechenland

FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG: Wird Griechenland irgendwann einmal seine Schulden an EU und IWF zurückzahlen können? Deutsche-Bank-Chef Josef Ackermann sagt: wahrscheinlich nicht. Trotzdem sei es richtig gewesen, Griechenland zu retten, ansonsten hätte die Krise zu „einer Art Kernschmelze“ geführt. >>> | Fritag, 14. Mai 2010

Lien en relation avec l’article: «J'ai des doutes sur la solvabilité de la Grèce» >>> Par Guillaume Errard | Jeudi 13 Mai 2010

Thursday, May 13, 2010

«J'ai des doutes sur la solvabilité de la Grèce»

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Josef Ackermann. Photo : Le Figaro

LE FIGARO: Dans un entretien télévisé diffusé ce jeudi soir sur la chaîne allemand, ZDF, le patron de Deutsche Bank, Josef Ackermann, qui a participé activement au soutien de la Grèce, s'interroge sur la capacité du pays à rembourser sa dette. Il reste néanmoins confiant sur la solidité de la zone euro. >>> Par Guillaume Errard | Jeudi 13 Mai 2010

Wednesday, May 12, 2010

Visite historique d’Erdogan à Athènes

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Recep Tayyip Erdogan, premier ministre turc, entame une visite d’Etat historique à Athènes vendredi. Photo : Le Temps

LE TEMPS: Le premier ministre turc est en visite d’Etat vendredi en Grèce où il va rencontrer son homologue grec Georges Papandréou. Le désarmement sera au cœur des discussions

Au moment où les syndicats grecs appellent à une nouvelle grève générale pour le 20 mai, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan entame, vendredi, une visite historique à Athènes. Il va rencontrer son homologue grec Georges Papandréou confronté à une crise majeure dans son pays.

Entre les deux pays, le contentieux ne date pas d’aujourd’hui. Les survols par l’armée de l’air turque de la mer Egée sont les plus récents et les plus sensibles à l’exception de Chypre. Le différend à propos de la souveraineté d’îlots en mer Egée avait presque provoqué un conflit armé entre Athènes et Ankara en 1996. Président de la Fondation hellénique pour la politique européenne et étrangère, Loukas Tsoukalis le confiait au Temps voici peu: «Le problème, avec de tels survols, c’est qu’on ne sait pas à qui en incombe la responsabilité. Est-ce au gouvernement ou à l’armée qui vise à déstabiliser le pouvoir turc?» La délimitation du plateau continental de cette même mer est aussi un dossier sensible. >>> Stéphane Bussard | Mercredi 12 Mai 2010