Des rebelles syriens ont pris mardi le contrôle d'al-Qaëm, un poste-frontière entre l'Irak et la Syrie, ont indiqué des officiers de l'armée irakienne. Selon ces officiers, les insurgés sont fidèles à l'Armée syrienne libre (ASL, rébellion) et au Front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaida, qui contrôlent déjà le côté syrien de ce point de passage. Al-Qaëm est l'un des trois postes-frontières entre l'Irak et la Syrie. Celui de Rabia, plus au nord, a été abandonné la semaine dernière par les forces irakiennes lors d'une offensive des djihadistes dans la province de Ninive. Il se trouve actuellement contrôlé par les forces kurdes. » | Source AFP | mardi 17 juin 2014
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Tuesday, June 17, 2014
Irak : les insurgés prennent un poste-frontière à la frontière syrienne
Des rebelles syriens ont pris mardi le contrôle d'al-Qaëm, un poste-frontière entre l'Irak et la Syrie, ont indiqué des officiers de l'armée irakienne. Selon ces officiers, les insurgés sont fidèles à l'Armée syrienne libre (ASL, rébellion) et au Front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaida, qui contrôlent déjà le côté syrien de ce point de passage. Al-Qaëm est l'un des trois postes-frontières entre l'Irak et la Syrie. Celui de Rabia, plus au nord, a été abandonné la semaine dernière par les forces irakiennes lors d'une offensive des djihadistes dans la province de Ninive. Il se trouve actuellement contrôlé par les forces kurdes. » | Source AFP | mardi 17 juin 2014
Wednesday, February 05, 2014
L'Arabie saoudite s'en prend aux djihadistes
LE FIGARO: Pour éviter le départ des djihadistes en Syrie, le roi Abdallah vient de décider que combattre à l'étranger était désormais passible d'une lourde peine de prison.
Craignant un dangereux retour de flammes, le roi Abdallah vient d'adopter un décret qui prévoit des peines de trois à vingt ans de prison pour les Saoudiens qui participent à des conflits à l'étranger. Ce durcissement est d'abord destiné à tarir le flot des candidats à la guerre sainte en Syrie, où les ressortissants du royaume wahhabite sont les plus nombreux parmi les djihadistes qui luttent pour renverser le régime de Bachar el-Assad.
Dans le passé, l'Arabie, patrie d'un islam ultrarigoriste, a souffert du retour de ses ressortissants d'Irak après l'invasion américaine de 2003. La branche locale d'al-Qaida en avait alors profité pour perpétrer de nombreux et sanglants attentats, jurant même de faire tomber la famille régnante, qui vécut de difficiles «années de sang» entre 2003 et 2005.
Selon ce décret, les Saoudiens qui rejoignent ou soutiennent des organisations considérées comme terroristes, à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, s'exposeront pour leur part à des peines allant de cinq à trente ans d'emprisonnement. » | Par Georges Malbrunot | mercredi 05 février 2014
Craignant un dangereux retour de flammes, le roi Abdallah vient d'adopter un décret qui prévoit des peines de trois à vingt ans de prison pour les Saoudiens qui participent à des conflits à l'étranger. Ce durcissement est d'abord destiné à tarir le flot des candidats à la guerre sainte en Syrie, où les ressortissants du royaume wahhabite sont les plus nombreux parmi les djihadistes qui luttent pour renverser le régime de Bachar el-Assad.
Dans le passé, l'Arabie, patrie d'un islam ultrarigoriste, a souffert du retour de ses ressortissants d'Irak après l'invasion américaine de 2003. La branche locale d'al-Qaida en avait alors profité pour perpétrer de nombreux et sanglants attentats, jurant même de faire tomber la famille régnante, qui vécut de difficiles «années de sang» entre 2003 et 2005.
Selon ce décret, les Saoudiens qui rejoignent ou soutiennent des organisations considérées comme terroristes, à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, s'exposeront pour leur part à des peines allant de cinq à trente ans d'emprisonnement. » | Par Georges Malbrunot | mercredi 05 février 2014
Sunday, January 19, 2014
Assad exclut toute discussion sur son départ
TRIBUNE DE GENÈVE: A quelques jours de la conférence de Genève-2 à laquelle l'opposition a accepté de participer, Bachar al-Assad aurait affirmé qu'il ne se rendrait pas. Des propos rapidement démentis par la présidence syrienne.
La présidence syrienne a nié dimanche des déclarations attribuées au président Bachar al-Assad par l'agence russe Interfax, selon lesquelles il n'aurait aucune intention de quitter le pouvoir. Ces informations contradictoires interviennent alors que la conférence de paix Genève II se met péniblement en place. » | afp/ats/Newsnet | dimanche 19 janvier 2014
La présidence syrienne a nié dimanche des déclarations attribuées au président Bachar al-Assad par l'agence russe Interfax, selon lesquelles il n'aurait aucune intention de quitter le pouvoir. Ces informations contradictoires interviennent alors que la conférence de paix Genève II se met péniblement en place. » | afp/ats/Newsnet | dimanche 19 janvier 2014
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Saturday, October 05, 2013
Bachar al-Assad candidat en 2014 «si le peuple le veut»
TRIBUNE DE GENÈVE: Tandis que le président syrien sollicite un nouveau mandat, le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité des forces de résistance.
Le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité après le rejet par plusieurs groupes rebelles de l'autorité de la Coalition nationale de l'opposition.
Bachar al-Assad a, lui, annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2014 si le peuple syrien le «voulait».
Le conseil militaire de l'ASL a indiqué dans un communiqué avoir décidé de «lancer un appel pour resserrer les rangs, renoncer aux divisions, et rejeter toutes formes de dissensions provoquées par les tentatives pour séparer l'aile politique de l'aile militaire». » | ats/Newsnet | samedi 05 octobre 2013
Le commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) a appelé samedi à l'unité après le rejet par plusieurs groupes rebelles de l'autorité de la Coalition nationale de l'opposition.
Bachar al-Assad a, lui, annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2014 si le peuple syrien le «voulait».
Le conseil militaire de l'ASL a indiqué dans un communiqué avoir décidé de «lancer un appel pour resserrer les rangs, renoncer aux divisions, et rejeter toutes formes de dissensions provoquées par les tentatives pour séparer l'aile politique de l'aile militaire». » | ats/Newsnet | samedi 05 octobre 2013
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Sunday, September 22, 2013
En Russie, Fillon critique la France sur la Syrie
leJDD: En déplacement en Russie, l'ex-Premier ministre François Fillon a critiqué jeudi la position de la France dans la crise syrienne. Aux côtés de Vladimir Poutine, il a souhaité que son pays retrouve son "indépendance" et une "liberté de jugement et d'action", reprochant ainsi à François Hollande son alignement sur les Etats-Unis de Barack Obama.
La polémique sur son rapport avec le FN à peine retombée, François Fillon s'en prend maintenant à la politique étrangère de la France depuis la Russie, où il effectue un déplacement de trois jours. L'ex-Premier ministre a fait jeudi soir un discours à l'occasion du club de discussion international organisé à Valdai, en compagnie de Vladimir Poutine. saluant le président russe d'un "cher Vladimir", le député UMP a critiqué la position de son pays à propos de la Syrie.
"Nous avons, vous et nous, Russes et Européens, une influence déterminante sur les deux camps qui s'opposent" en Syrie, a-t-il affirmé. "Je souhaite à cet égard que la France retrouve cette indépendance et cette liberté de jugement et d'action qui, seules, lui confèrent une autorité dans cette crise", a-t-il ajouté. Une phrase qu'il a également tweetée.
L'ancien chef de gouvernement reproche ainsi à François Hollande son alignement supposé sur la position du président américain, Barack Obama. François Fillon a toujours fait part de sa réticence à l'idée d'intervenir militairement en Syrie. Il conditionnait son éventuel vote au Parlement à un "soutien des Nations unies". » | A.F. - leJDD.fr | vendredi 20 septembre 2013
La polémique sur son rapport avec le FN à peine retombée, François Fillon s'en prend maintenant à la politique étrangère de la France depuis la Russie, où il effectue un déplacement de trois jours. L'ex-Premier ministre a fait jeudi soir un discours à l'occasion du club de discussion international organisé à Valdai, en compagnie de Vladimir Poutine. saluant le président russe d'un "cher Vladimir", le député UMP a critiqué la position de son pays à propos de la Syrie.
"Nous avons, vous et nous, Russes et Européens, une influence déterminante sur les deux camps qui s'opposent" en Syrie, a-t-il affirmé. "Je souhaite à cet égard que la France retrouve cette indépendance et cette liberté de jugement et d'action qui, seules, lui confèrent une autorité dans cette crise", a-t-il ajouté. Une phrase qu'il a également tweetée.
L'ancien chef de gouvernement reproche ainsi à François Hollande son alignement supposé sur la position du président américain, Barack Obama. François Fillon a toujours fait part de sa réticence à l'idée d'intervenir militairement en Syrie. Il conditionnait son éventuel vote au Parlement à un "soutien des Nations unies". » | A.F. - leJDD.fr | vendredi 20 septembre 2013
Tuesday, September 17, 2013
EXCLUSIF. Carla Del Ponte : "La moitié des combattants contre Assad sont des djihadistes"
LE POINT: L'ex-procureur du TPI pour l'ex-Yougoslavie est membre de la commission d'enquête de l'ONU auteur d'un rapport sur les exactions en Syrie. Interview.
La Commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie a rendu en début de semaine un rapport qui décrit la grande violence sur le terrain en Syrie et tout un éventail de crimes de droit humanitaire. L'un de ses membres, Carla Del Ponte, ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, répond en exclusivité aux questions du Point.fr » | Recueillis par le correspondant du Point à Bruxelles, Alain Franco | mardi 17 septembre 2013
La Commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie a rendu en début de semaine un rapport qui décrit la grande violence sur le terrain en Syrie et tout un éventail de crimes de droit humanitaire. L'un de ses membres, Carla Del Ponte, ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, répond en exclusivité aux questions du Point.fr » | Recueillis par le correspondant du Point à Bruxelles, Alain Franco | mardi 17 septembre 2013
Monday, September 16, 2013
Syrie : Paris menace Damas
LE POINT: Laurent Fabius a averti le régime syrien de "conséquences sérieuses" s'il ne respectait pas ses promesses sur les armes chimiques.
La Syrie devra faire face à des "conséquences sérieuses" si le régime ne respecte pas ses promesses sur les armes chimiques, a déclaré lundi le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui a aussi annoncé un renforcement du soutien à l'opposition syrienne. "Les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, nous voulons obtenir du Conseil de sécurité des Nations unies dans les jours prochains une résolution forte", a dit le ministre lors d'une conférence de presse au côté de ses homologues américain, John Kerry, et britannique, William Hague. » | Source AFP | lundi 16 septembre 2013
La Syrie devra faire face à des "conséquences sérieuses" si le régime ne respecte pas ses promesses sur les armes chimiques, a déclaré lundi le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui a aussi annoncé un renforcement du soutien à l'opposition syrienne. "Les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, nous voulons obtenir du Conseil de sécurité des Nations unies dans les jours prochains une résolution forte", a dit le ministre lors d'une conférence de presse au côté de ses homologues américain, John Kerry, et britannique, William Hague. » | Source AFP | lundi 16 septembre 2013
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Thursday, September 12, 2013
Les rebelles syriens rejettent l'initiative russe
«L'Armée syrienne libre annonce son rejet catégorique de l'initiative russe prévoyant de placer les armes chimiques sous contrôle international», a proclamé le chef militaire des rebelles, le général Sélim Idriss, dans une déclaration filmée et diffusée sur YouTube.
Après avoir menacé le régime syrien de frappes punitives pour une attaque chimique présumée, et cherché à s'assurer le soutien du Congrès pour les mener, le président américain Barack Obama a écarté pour le moment l'option militaire pour examiner l'initiative russe.
Cependant, le général Idriss a demandé à la communauté internationale de «ne pas se contenter de retirer (au régime syrien) l'arme chimique, l'outil du crime, mais de juger devant la Cour pénale internationale l'auteur du crime qui a reconnu clairement posséder cet outil et accepté de s'en défaire». » | Agence France-Presse, Beyrouth, Liban | jeudi 12 septembre 2013
Saturday, September 07, 2013
Syrie: les Européens pour «une réponse forte» aux attaques chimiques
LA PRESSE: Les pays de l'Union européenne se sont accordés samedi à Vilnius sur la nécessité d'une réponse internationale «forte» à l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, mais sans aller jusqu'à soutenir le projet de frappes défendu par le secrétaire d'État américain John Kerry et par la France.
Au lendemain d'un G20 où il n'avait pas réussi à obtenir un large soutien international, le président américain Barack Obama a lancé un appel aux membres du Congrès américain pour qu'ils approuvent le principe d'une opération armée. «Nous sommes les États-Unis. On ne peut pas rester aveugle devant les images de Syrie que nous avons vues», a-t-il déclaré dans son allocution hebdomadaire à la radio.
Les États-Unis ont eu la satisfaction de voir l'Allemagne se joindre à l'appel lancé la veille par onze pays présents au G20 pour une «réponse internationale forte», de nature non spécifiée, aux attaques chimiques du 21 août dans la banlieue de Damas.
Sans reprendre exactement les termes de cet appel, les ministres des Affaires étrangères de l'UE, réunis à Vilnius, sont tombés d'accord sur la nécessité d'une «réponse claire et forte». » | Agence France-Presse | Vilnius | samedi 07 septembre 2013
Au lendemain d'un G20 où il n'avait pas réussi à obtenir un large soutien international, le président américain Barack Obama a lancé un appel aux membres du Congrès américain pour qu'ils approuvent le principe d'une opération armée. «Nous sommes les États-Unis. On ne peut pas rester aveugle devant les images de Syrie que nous avons vues», a-t-il déclaré dans son allocution hebdomadaire à la radio.
Les États-Unis ont eu la satisfaction de voir l'Allemagne se joindre à l'appel lancé la veille par onze pays présents au G20 pour une «réponse internationale forte», de nature non spécifiée, aux attaques chimiques du 21 août dans la banlieue de Damas.
Sans reprendre exactement les termes de cet appel, les ministres des Affaires étrangères de l'UE, réunis à Vilnius, sont tombés d'accord sur la nécessité d'une «réponse claire et forte». » | Agence France-Presse | Vilnius | samedi 07 septembre 2013
Syrie : la France plus que jamais isolée
LE POINT: Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius n'est pas parvenu à convaincre ses homologues européens de la nécessité de "punir" le régime syrien.
La France s'est efforcée vendredi de rallier les autres pays de l'Union européenne à sa position sur la Syrie mais sa volonté d'intervenir militairement pour "punir" le régime de Bachar al-Assad s'est heurtée au scepticisme de ses partenaires, soucieux de rester dans le cadre des Nations unies. Lors d'une réunion à Vilnius, en Lituanie, Laurent Fabius a tenté d'obtenir des autres ministres des Affaires étrangères de l'UE qu'ils conviennent avec lui que le régime de Bachar al-Assad était bien responsable de l'attaque chimique commise le 21 août dans les environs de Damas, a-t-on appris de source proche du ministre français.
Auparavant, le président français François Hollande avait rassuré ses partenaires européens en annonçant, à l'issue du G20 de Saint-Petersbourg, que Paris attendrait le rapport de l'ONU avant de lancer toute action militaire contre le régime de Damas. » | Source AFP et Reuters | samedi 07 septembre 2013
La France s'est efforcée vendredi de rallier les autres pays de l'Union européenne à sa position sur la Syrie mais sa volonté d'intervenir militairement pour "punir" le régime de Bachar al-Assad s'est heurtée au scepticisme de ses partenaires, soucieux de rester dans le cadre des Nations unies. Lors d'une réunion à Vilnius, en Lituanie, Laurent Fabius a tenté d'obtenir des autres ministres des Affaires étrangères de l'UE qu'ils conviennent avec lui que le régime de Bachar al-Assad était bien responsable de l'attaque chimique commise le 21 août dans les environs de Damas, a-t-on appris de source proche du ministre français.
Auparavant, le président français François Hollande avait rassuré ses partenaires européens en annonçant, à l'issue du G20 de Saint-Petersbourg, que Paris attendrait le rapport de l'ONU avant de lancer toute action militaire contre le régime de Damas. » | Source AFP et Reuters | samedi 07 septembre 2013
Friday, September 06, 2013
Au Liban, la population s'inquiète des répercussions du conflit syrien
"Ce soir, je ne sors pas à cause de la situation", prévient Wael, étudiant de 22 ans. Cette phrase lapidaire et quasi-quotidienne est symptomatique de la psychose collective qui s'est emparée des habitants de Beyrouth. La situation? Ce sont les attentats de Dahiyeh (un fief du Hezbollah, au sud de la capitale) et de Tripoli (dans le nord du pays), qui ont fait plus de 70 morts en août. La perspective d'une intervention occidentale en Syrie attise les craintes des Libanais que le conflit pourrait se déplacer dans leur pays.
Ces derniers temps, dans la capitale, l'atmosphère est devenue pesante. Bars et hôtels semblent désertés par leurs clients tandis que les embouteillages sont plus rares qu'à l'accoutumée. Même les nuits, en général animées, laissent place à un calme plat. Seuls les klaxons des taxi-services résonnent encore dans la capitale libanaise. Comme un ultime avertissement.
"On ne va plus dans les centres commerciaux car ce sont des cibles potentielles pour les auteurs d'attentats, affirme un résident d'Achrafieh, quartier chrétien de Beyrouth. Personne ne sait où sera la prochaine voiture piégée. Toutes les communautés sont susceptibles d'être visées pour déstabiliser le pays." » | Par Tancrède Bonora | vendredi 06 septembre 2013
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Thursday, September 05, 2013
L'Iran soutiendra la Syrie «jusqu'au bout»
LA PRESSE: L'Iran soutiendra «jusqu'au bout la Syrie» face à une éventuelle coalition menée par les États-Unis contre Damas, a affirmé le chef de la Force Qods, une unité d'élite des forces armées iraniennes, Ghassem Soleimani, cité jeudi dans la presse.
«Les États-Unis ne cherchent pas (...) à protéger les droits de l'homme en Syrie (...) Leur objectif est de détruire le front de la résistance (face à Israël). Nous soutiendrons jusqu'au bout la Syrie», a affirmé Ghassem Soleimani lors d'un discours devant l'Assemblée des experts, selon des propos rapportés par un des membres de cet organe consultatif.
Il n'a pas précisé la nature de ce soutien alors que l'Iran a toujours démenti avoir envoyé des forces militaires pour soutenir Bachar al-Assad. Mais le chef des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, avait admis en septembre 2012 que des membres de la Force Qods, chargée des opérations extérieures, étaient présents comme «conseillers» en Syrie et au Liban.
M. Soleimani a qualifié l'accusation américaine d'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien le 21 août de «prétexte» pour renverser le président Bachar al-Assad. » | Agence France-Presse | Téhéran | jeudi 05 septembre 2013
«Les États-Unis ne cherchent pas (...) à protéger les droits de l'homme en Syrie (...) Leur objectif est de détruire le front de la résistance (face à Israël). Nous soutiendrons jusqu'au bout la Syrie», a affirmé Ghassem Soleimani lors d'un discours devant l'Assemblée des experts, selon des propos rapportés par un des membres de cet organe consultatif.
Il n'a pas précisé la nature de ce soutien alors que l'Iran a toujours démenti avoir envoyé des forces militaires pour soutenir Bachar al-Assad. Mais le chef des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, avait admis en septembre 2012 que des membres de la Force Qods, chargée des opérations extérieures, étaient présents comme «conseillers» en Syrie et au Liban.
M. Soleimani a qualifié l'accusation américaine d'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien le 21 août de «prétexte» pour renverser le président Bachar al-Assad. » | Agence France-Presse | Téhéran | jeudi 05 septembre 2013
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Wednesday, September 04, 2013
Assad Warns of ‘Regional War’ in French Interview
Syrian President Bashar al-Assad told French daily Le Figaro Monday that the use of nerve gas against targets in rebel-held parts of Syria would have been “illogical”, while warning that an attack on his country could set off a “regional war”.
In excerpts of an interview to be published in full in Tuesday’s edition of the newspaper, Assad challenged French President François Hollande and US President Barack Obama to provide convincing proof that he had used weapons of mass destruction against his own people.
"Those who make accusations must show evidence,” he told Le Figaro. “We challenge the United States and France to do this. Obama and Hollande have been incapable of doing this, including for their own people.” (+ video) » | Tony Todd | Tuesday, September 03, 2013
À Moscou, la nébuleuse pro-Assad donne de la voix
LE FIGARO: Depuis que se profile le spectre d'une intervention militaire occidentale en Syrie, les lobbys pro-Assad manifestent en continu, avec la bénédiction du Kremlin.
Il y a une semaine, ils étaient déjà plusieurs dizaines rassemblés devant le consulat de France à Moscou, déployant des drapeaux aux couleurs syrienne et russe. Leurs slogans fustigeaient les choix du président français: «Hollande cède aux États-Unis et a perdu sa légitimité». «Aujourd'hui, 10.000 citoyens russes vivent en Syrie et si l'Occident attaque la Syrie, ce sera une agression contre notre propre peuple», affirme Alexandre Ionov qui, à la tête du Mouvement antiglobalisation de Russie, défend le régime de Damas, «menacé par l'impérialisme américain». » | Par Pierre Avril, correspondant à Moscou | Publié: mardi 03 septembre 2013; mis à jour: mercredi 04 septembre 2013
Il y a une semaine, ils étaient déjà plusieurs dizaines rassemblés devant le consulat de France à Moscou, déployant des drapeaux aux couleurs syrienne et russe. Leurs slogans fustigeaient les choix du président français: «Hollande cède aux États-Unis et a perdu sa légitimité». «Aujourd'hui, 10.000 citoyens russes vivent en Syrie et si l'Occident attaque la Syrie, ce sera une agression contre notre propre peuple», affirme Alexandre Ionov qui, à la tête du Mouvement antiglobalisation de Russie, défend le régime de Damas, «menacé par l'impérialisme américain». » | Par Pierre Avril, correspondant à Moscou | Publié: mardi 03 septembre 2013; mis à jour: mercredi 04 septembre 2013
Syrie: Gorbatchev: «La France sera obligée de changer de position»
TRIBUNE DE GENÈVE: De passage à Genève, l’ancien dirigeant soviétique a accordé un entretien à la «Tribune de Genève» au sujet de la situation en Syrie.
Mikhaïl Gorbatchev, présent à Genève dans le cadre de l'assemblée générale de la Fondation Green Cross, avait rappelé son attachement à une solution pacifiste en Syrie, lundi. Mercredi, l'ancien dirigeant soviétique juge la position russe «constructive» et s’étonne de l’attitude de la France, dénonçant sans les nommer les pays arabes qui jettent de l’huile sur le feu.
Que pensez-vous de la position prise par le Kremlin ces dernières heures?
Je crois que la Russie a une attitude constructive et positive. Le président Poutine vient de donner une longue interview à la télévision russe. Il a consacré beaucoup de temps à expliquer sa position. Je crois que c’est possible de trouver une issue à cette crise. Il faut d’abord essayer de comprendre ce qui s’est réellement passé et après prendre une décision concertée sur ce qui doit être fait. » | mercredi 04 septembre 2013
Mikhaïl Gorbatchev, présent à Genève dans le cadre de l'assemblée générale de la Fondation Green Cross, avait rappelé son attachement à une solution pacifiste en Syrie, lundi. Mercredi, l'ancien dirigeant soviétique juge la position russe «constructive» et s’étonne de l’attitude de la France, dénonçant sans les nommer les pays arabes qui jettent de l’huile sur le feu.
Que pensez-vous de la position prise par le Kremlin ces dernières heures?
Je crois que la Russie a une attitude constructive et positive. Le président Poutine vient de donner une longue interview à la télévision russe. Il a consacré beaucoup de temps à expliquer sa position. Je crois que c’est possible de trouver une issue à cette crise. Il faut d’abord essayer de comprendre ce qui s’est réellement passé et après prendre une décision concertée sur ce qui doit être fait. » | mercredi 04 septembre 2013
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Syrie : le Parlement français débat, mais ne vote pas
LE POINT: Mercredi après-midi, Jean-Marc Ayrault va tenter de convaincre les députés, et Laurent Fabius les sénateurs, de la nécessité de "sanctionner" la Syrie.
Jean-Marc Ayrault va tenter mercredi de convaincre les députés de la nécessité de "sanctionner" la Syrie, un débat sans vote qui a perdu beaucoup de sa signification depuis que Barack Obama a décidé d'attendre un feu vert du Congrès américain. Dans l'attente de savoir ce que décidera la puissance américaine après l'agression à l'arme chimique attribuée à Bachar el-Assad, François Hollande s'est déclaré mardi toujours plus "déterminé" à intervenir, mais est resté vague sur la façon de le faire, évoquant une "rencontre à Saint-Pétersbourg entre Européens" sur le sujet, en marge du G20 qui doit se tenir jeudi et vendredi. » | Source AFP | mercredi 04 septembre 2013
Jean-Marc Ayrault va tenter mercredi de convaincre les députés de la nécessité de "sanctionner" la Syrie, un débat sans vote qui a perdu beaucoup de sa signification depuis que Barack Obama a décidé d'attendre un feu vert du Congrès américain. Dans l'attente de savoir ce que décidera la puissance américaine après l'agression à l'arme chimique attribuée à Bachar el-Assad, François Hollande s'est déclaré mardi toujours plus "déterminé" à intervenir, mais est resté vague sur la façon de le faire, évoquant une "rencontre à Saint-Pétersbourg entre Européens" sur le sujet, en marge du G20 qui doit se tenir jeudi et vendredi. » | Source AFP | mercredi 04 septembre 2013
Tuesday, September 03, 2013
Syrie - Hollande "renforcé dans sa détermination"
LE POINT: Le chef de l'État a tenu mardi à l'Élysée une conférence de presse commune avec le président allemand Joachim Gauck sur l'éventuelle intervention en Syrie.
François Hollande a déclaré mardi qu'il était "sorti encore renforcé dans (sa) détermination" de la lecture de l'interview dans Le Figaro du dirigeant syrien Bachar al-Assad. "J'ai lu dans un journal français l'entretien accordé par Bachar al-Assad" et publié mardi, a indiqué le chef de l'État lors d'une conférence de presse commune à l'Élysée avec le président de la République d'Allemagne, Joachim Gauck. "La différence entre une dictature et une démocratie, c'est que dans une démocratie un dictateur peut s'exprimer dans un journal, y compris pour insulter ses dirigeants, proférer des mensonges, notamment sur le chimique, laissant croire qu'il ne disposait pas de stock, et menacer le peuple français", a-t-il lancé. » | Source AFP | mardi 03 septembre 2013
François Hollande a déclaré mardi qu'il était "sorti encore renforcé dans (sa) détermination" de la lecture de l'interview dans Le Figaro du dirigeant syrien Bachar al-Assad. "J'ai lu dans un journal français l'entretien accordé par Bachar al-Assad" et publié mardi, a indiqué le chef de l'État lors d'une conférence de presse commune à l'Élysée avec le président de la République d'Allemagne, Joachim Gauck. "La différence entre une dictature et une démocratie, c'est que dans une démocratie un dictateur peut s'exprimer dans un journal, y compris pour insulter ses dirigeants, proférer des mensonges, notamment sur le chimique, laissant croire qu'il ne disposait pas de stock, et menacer le peuple français", a-t-il lancé. » | Source AFP | mardi 03 septembre 2013
Syrie : Bachar el-Assad menace la France
LE POINT: Le président syrien s'est confié au quotidien "Le Figaro". Il menace de "répercussions" sur les intérêts français en cas d'intervention.
Le président syrien Bachar el-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une "guerre régionale" en cas d'action militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper le régime syrien accusé d'avoir utilisé des armes chimiques. "Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui. (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe", a déclaré le président syrien au journal Le Figaro. » | Le Point.fr | mardi03 septembre 2013
Le président syrien Bachar el-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une "guerre régionale" en cas d'action militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper le régime syrien accusé d'avoir utilisé des armes chimiques. "Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui. (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe", a déclaré le président syrien au journal Le Figaro. » | Le Point.fr | mardi03 septembre 2013
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Thursday, August 29, 2013
Damas accuse l'Occident d'«inventer des scénarios»
24 HEURES: Alors que le Royaume-Uni présente une résolution au Conseil de sécurité dans le but d'intervenir en Syrie, Damas accuse l'Occident d'inventer des prétextes pour justifier une frappe éventuelle.
Le régime syrien a accusé mercredi les pays occidentaux d'«inventer» des prétextes pour justifier une intervention militaire en Syrie. Il affirme également que l'Occident a encouragé les rebelles à utiliser du gaz sarin à plusieurs reprises.
Le Premier ministre syrien, Waël al-Halqi, «assure (...) que les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, inventent des scénarios mensongers et préparent des prétextes fictifs pour intervenir militairement en Syrie», a rapporté la télévision d'Etat syrienne.
De son côté, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Meqdad a affirmé que «les groupes terroristes (terme désignant les rebelles dans la terminologie officielle) ont fait usage de gaz sarin dans plusieurs points du pays (...), avec les encouragements américain, britannique et français». » | ats/Newsnet | mercredi 28 août 2013
Le régime syrien a accusé mercredi les pays occidentaux d'«inventer» des prétextes pour justifier une intervention militaire en Syrie. Il affirme également que l'Occident a encouragé les rebelles à utiliser du gaz sarin à plusieurs reprises.
Le Premier ministre syrien, Waël al-Halqi, «assure (...) que les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, inventent des scénarios mensongers et préparent des prétextes fictifs pour intervenir militairement en Syrie», a rapporté la télévision d'Etat syrienne.
De son côté, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Meqdad a affirmé que «les groupes terroristes (terme désignant les rebelles dans la terminologie officielle) ont fait usage de gaz sarin dans plusieurs points du pays (...), avec les encouragements américain, britannique et français». » | ats/Newsnet | mercredi 28 août 2013
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Wednesday, August 28, 2013
Attaque chimique en Syrie : où sont les preuves ?
"Nous sommes prêts à y aller." C'est en ces termes que le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a signifié mardi l'imminence de l'intervention militaire occidentale contre la Syrie, Washington accusant pour la première fois le régime syrien d'être responsable de l'usage d'armes chimiques le 21 août près de Damas. Or, en dépit des multiples déclarations occidentales depuis une semaine, aucune preuve ne vient pour l'heure confirmer sa responsabilité dans le "massacre de la Ghouta".
Pire, les plus grandes interrogations subsistent quant à l'intérêt réel du président syrien à mener un raid chimique d'ampleur, alors qu'il reprenait militairement l'avantage sur la rébellion et que les enquêteurs de l'ONU venaient d'arriver en Syrie. Que sait-on jusqu'ici de l'attaque du mercredi 21 août dernier ? » | Par Armin Arefi | mercredi 28 août 2013
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