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Tuesday, November 02, 2021

Les talibans interdisent l'utilisation de devises étrangères aux Afghans

LE FIGARO : Le gouvernement taliban a annoncé mardi qu'il serait désormais interdit d'utiliser des devises étrangères dans le pays, mettant encore plus à risque une économie déjà en lambeaux. «La situation économique et l'intérêt national du pays nécessitent que tous les Afghans se servent de l'afghani comme monnaie pour toutes leurs transactions», a indiqué le porte-parole taliban Zabihullah Mujahid dans un communiqué. «L'Emirat islamique ordonne à tous ses citoyens, commerçants, marchands, hommes d'affaires (...) de strictement s'abstenir d'utiliser des devises étrangères», insiste le responsable. » | Par Le Figaro avec AFP | mardi 2 novembre 2021

Friday, September 17, 2021

Afghanistan : les talibans remplacent le ministère des Femmes par celui de la Prévention du vice

La pancarte annonçant le ministère de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice a été posée ce vendredi 17 septembre à Kaboul. HOSHANG HASHIMI / AFP

LE FIGARO : Des ouvriers ont été vus en train d'installer un panneau à l'effigie du ministère de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice dans l'ancien bâtiment des Affaires féminines.

Les talibans semblent avoir fermé vendredi le ministère des Affaires féminines pour le remplacer par celui de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice, craint pour son fondamentalisme durant leur premier règne, il y a vingt ans.

Des ouvriers ont été vus en train d'installer un panneau à l'effigie du ministère de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice dans l'ancien bâtiment des Affaires féminines de la capitale. » | Par Le Figaro avec AFP | vendredi 17 septembre 2021

Sunday, September 12, 2021

Les femmes afghanes pourront étudier... mais pas avec les hommes

La photo ci-dessus est une capture d'écran de la vidéo qui accompagne cet article.

LE FIGARO : Les talibans laisseront les femmes qui le désirent étudier à l'université, mais mettront fin à la mixité dans ces établissements car celle-ci est «contraire à l'islam».

«Nos combattants ont assumé leurs responsabilités» en reprenant le pouvoir, a déclaré Abdul Baqui Haqqani lors d'une conférence de presse à Kaboul, avant de souligner l'importance du système universitaire, alors que l'Occident accuse les talibans de vouloir négliger l'éducation. «Désormais la responsabilité de la reconstruction du pays repose sur les universités. Et nous avons de l'espoir, car le nombre d'universités a largement augmenté» par rapport à l'époque du premier régime taliban (1996-2001), a-t-il souligné. Lisez l'article en entier et regardez la vidéo » | Par Le Figaro avec AFP | dimanche 12 septembre 2021

Thursday, September 09, 2021

USA : 20 ans de guerre contre les Talibans pour rien ? - 28 Minutes - ARTE

May 3, 2021 • Samedi 1er mai, les États-Unis ont officiellement entamé le retrait de leurs derniers soldats d’Afghanistan, sonnant ainsi la fin d’une longue guerre pour Washington. Cette décision du président Joe Biden pose néanmoins de nombreuses questions.

Wednesday, September 08, 2021

À Kaboul, la vie quotidienne soumise à la sinistre loi des talibans

Depuis la prise de Kaboul par les talibans, les fresques murales de la capitale afghane sont effacées et remplacées par des slogans théocratiques (ici, le 4 septembre). AAMIR QURESHI/AFP

LE FIGARO : REPORTAGE - Les nouveaux maîtres du pays imposent peu à peu leur application très stricte de la charia dans la capitale afghane, menaçant barbiers, taxis et boutiques de mode.

Dans son petit local décoré d’affiches de mannequins aux coiffures excentriques, le barbier Hajji Barakatullah se fait aussi discret que possible. Lorsque deux jeunes hommes entrouvrent la porte dans l’espoir de se faire tailler la barbe, le petit homme rond se dépêche de la refermer sur eux, grommelant des excuses, l’air aussi dépité que ses clients perdus.

«Il y a une semaine, une poignée d’hommes armés ont fait irruption dans mon magasin. Ils m’ont ordonné de ne plus couper les cheveux à la mode occidentale, et de ne plus raser les barbes. Je dois leur obéir», explique-t-il. Son client du moment, un garçon d’une douzaine d’années, était tétanisé. «Il n’osait pas bouger. Il regardait la scène dans le miroir avec de grands yeux, comme si c’étaient des monstres», décrit le commerçant, une figure du quartier, qui a ouvert son salon il y a presque vingt ans.

Les talibans n’ont pas officiellement édicté de loi interdisant aux Afghans de se raser la barbe ou de changer leurs habitudes… Et les dirigeants, ceux-là mêmes qui jusqu’ici discutaient avec des diplomates étrangers dans de grands hôtels à Doha, n’ont de cesse d’assurer la population à grand renfort de communiqués diffusés à la télévision nationale qu’elle ne doit pas les craindre. Objectif: convaincre la communauté internationale, pourvoyeuse de l’aide internationale qui faisait jusqu’alors tourner le pays, que les talibans 2.0 sont prêts à reculer sur une partie de leur projet social. » | Par Margaux Benn | mercredi 8 septembre 2021

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Monday, September 06, 2021

À Kaboul, ces Afghanes qui défient les talibans

À Kaboul, samedi, aux abords du palais présidentiel, un milicien armé intervient alors que des femmes manifestent pour réclamer le maintien de leurs droits au travail et à l’éducation. BILAL GULER/Anadolu Agency via AFP

LE FIGARO : REPORTAGE - Les femmes se rassemblent en secret et manifestent face au nouveau pouvoir pour réclamer leurs droits.

Malgré la chaleur étouffante et la présence tout aussi oppressante de combattants talibans, un petit groupe de femmes aux tenues bariolées arpente une rue de Kaboul. Direction: le palais présidentiel, vidé depuis trois semaines de ses occupants et solennellement gardé par des membres du mouvement extrémiste qui s’est emparé du pays trois semaines plus tôt.

Munies de haut-parleurs et de pancartes sur lesquelles elles ont rédigé des slogans en persan et en anglais, elles interpellent leurs nouveaux dirigeants et la communauté internationale: «Éducation, travail, liberté!», «Nous voulons des droits humains», réclament-elles en chœur.

Lunettes de soleil sur le nez, voiles chatoyants posés sur l’arrière de la tête révélant des chevelures aux teintes blondes ou cuivrées, elles se passent un micro: «Les femmes ont des droits politiques, économiques et sociaux !» Résonnent ces quelques voix, sous l’œil curieux des passants, masculins pour la plupart, dont certains ont pris l’initiative de laisser pousser leur barbe afin de se prémunir contre d’éventuelles représailles. » | Par Margaux Benn, Envoyée spéciale à Kaboul | Publié : dimanche 5 septembre 2021 ; mis à jour : lundi 6 septembre 2021

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Sunday, September 05, 2021

Afghanistan : les talibans gagnent du terrain dans la vallée du Panchir, dernier foyer de résistance

Des membres du Front national de résistance (FNR) en observation sur une colline dans la vallée du Panchir. NATIONAL RESISTANCE FRONT OF AFG / REUTERS

LE FIGARO : Les nouveaux maîtres de l'Afghanistan auraient pénétré 25 km à l'intérieur de la vallée, longue de 115 kilomètres, contrôlée par les troupes d'Ahmad Massoud et de l'ancien vice-président Amrullah Saleh.

Les talibans ont affirmé dimanche avoir gagné du terrain dans la vallée du Panchir, dernier gros foyer de résistance armée aux nouveaux maîtres de l'Afghanistan. Depuis le 30 août et le départ des dernières troupes américaines du pays, les forces du mouvement islamiste ont lancé une série d'offensives contre cette vallée enclavée et difficile d'accès, située à 80 km au nord de Kaboul. Un responsable taliban a affirmé sur Twitter que plusieurs parties de la région étaient désormais sous contrôle des forces du régime. Côté résistance, Ali Maisam Nazary, porte-parole du FNR, a assuré sur Facebook que la résistance «n'échouerait jamais». » | Par Le Figaro avec AFP | dimanche 5 septembre 2021

À LIRE AUSSI : Face aux talibans, le «lionceau» du Panchir »

Thursday, September 02, 2021

Avec les nouveaux maîtres de Kaboul, notre reportage au cœur du pouvoir taliban

La capitale afghane est tombée le 15 août dernier, sans combat. Les forces talibanes ont immédiatement pris possession de tous les bâtiments publics. Véronique de Viguerie.

LE FIGARO : EXCLUSIF - Dans la nuit du 30 au 31 août, les derniers soldats américains ont quitté l'aéroport de la capitale afghane. Les talibans, évincés du pouvoir il y a tout juste vingt ans, règnent à nouveau d'une main de fer sur l'Afghanistan. Nos reporters ont pu les rencontrer.

Sur la route qui mène de nulle part à Kaboul, une centaine d'hommes ¬armés à bord de vieilles motos fond sur l'immense forteresse. Hurlant des slogans à la gloire du mouvement taliban, tirant en l'air et sur les gardes qui s'interposent, la horde traverse la cour dans un tourbillon de poussière ocre. Et libère, en quelques minutes, les milliers de détenus de cette prison ultrasécurisée aux portes de la capitale afghane : des frères d'armes, mais aussi des membres du groupe État islamique et de la nébuleuse al-Qaida, ainsi que plusieurs criminels jugés particulièrement dangereux. Deux ou trois heures après ce coup d'éclat, sorte de prélude à la victoire, la guérilla pénètre dans la capitale. La République islamique d'Afghanistan cède sa place à l'Émirat islamique.

Le nouveau maître des lieux, c'est lui : Hazrat Wali « Zindani » (le prisonnier). Imposant trentenaire aux boucles noires qui encadrent un visage carré, il a fait de ses huit années de -détention un nom de guerre, et un ¬argument pour régner aujourd'hui sur son ancienne prison. « C'est à mon tour d'être le gardien », tonne-t-il, avant de nous annoncer d'un rictus carnassier : « Bienvenue à Pul-e-Charkhi… Ici, vous êtes chez moi ! » » | Par Margaux Benn et Véronique de Viguerie | jeudi 2 septembre 2021

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Nous devons sûrement tous trouver incroyable que ce groupe hétéroclite de combattants ait pu vaincre la superpuissance mondiale ! – © Mark

Wednesday, September 01, 2021

Comment les talibans ont repris si vite l'Afghanistan

LE FIGARO : Dimanche 15 août, Kaboul est tombé en quelques heures, scellant la victoire des talibans. Ils sont parvenus aux portes de la capitale afghane au terme d’une offensive éclair et se sont emparés de toutes les grandes villes d’Afghanistan en seulement dix jours. Comment les talibans ont-ils pris si rapidement le pouvoir? Pourquoi sont-ils si forts? Réponses, dans Factu. Regardez la vidéo » | Publié : lundi 30 août 2021 ; mis à jour aujourd'hui, mercredi 1 septembre 2021

Monday, August 30, 2021

Deux semaines après la prise de Kaboul, qu'est devenue l'armée nationale afghane ?

Des soldats de l'armée nationale afghane en exercice. HOSHANG HASHIMI / AFP

LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - Les forces afghanes se sont effondrées face aux talibans. Elles étaient pourtant supérieures en nombre, équipées et entraînées par les États-Unis.

C'est l'un des angles morts de la conquête de l'Afghanistan par les talibans. Comment une armée, officiellement dotée de 300.000 hommes, entraînée, financée à hauteur de 89 milliards de dollars sur les 20 dernières années et équipée par la première puissance mondiale, les États-Unis, a-t-elle bien pu être mise en déroute si aisément? Aux premiers jours d'août 2021, les talibans avaient déjà conquis une part substantielle du territoire afghan, rencontrant peu de résistance. Si la situation était problématique, personne ne s'imaginait alors que le groupe islamiste occuperait 33 des 34 capitales provinciales du pays, dont Kaboul, le 15 août. Durant la guerre civile, ces mêmes insurgés avaient mis deux ans à prendre le pouvoir, entre 1994 et 1996. Cette fois, ils n'ont eu besoin que de deux semaines.

L'explication première vient assurément du fait que les effectifs de l'armée afghane ont été largement gonflés. Plutôt que 300.000 hommes, elle était composée d'un peu moins de 100.000 soldats, selon un rapport du Combating Terrorism Center, de la prestigieuse école militaire de West Point, publié en janvier 2020. Parmi eux, seulement 18.000 étaient placés sous l'autorité du ministère afghan de la Défense. Les analystes militaires estiment en outre que seulement la moitié des membres de l'armée afghane étaient des combattants. Face à 70.000 talibans aguerris et déterminés, le rapport de force paraît donc déséquilibré. Mais maintenant que le pouvoir est tombé aux mains des insurgés, que devient cette armée, vaincue sans combattre? » | Par Hugues Maillot | lundi 30 août 2021

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Afghanistan : les deux terribles semaines depuis la prise de Kaboul par les talibans »

Saturday, August 28, 2021

Joe Biden, comptable de la sanglante retraite américaine d’Afghanistan

Joe Biden, jeudi 26 août, à la Maison-Blanche, après son allocution. JONATHAN ERNST/REUTERS

LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - Le président américain, s’exprimant depuis la Maison-Blanche, s’est justifié et a promis de venger les 13 soldats tués dans l’attentat de jeudi soir.

L’attentat de Kaboul a achevé de transformer la calamiteuse opération d’évacuation américaine en crise politique majeure. Pour l’Administration Biden, l’annonce de la mort de treize militaires américains a fait voler en éclats l’espoir de se tirer sans trop de conséquences d’un retrait d’Afghanistan mal préparé, et dont elle est largement responsable.

La mort de douze marines et d’un marin, tués dans une double explosion alors qu’ils filtraient l’accès à l’aéroport Hamid-Karzaï de Kaboul, leur dernière porte de sortie d’Afghanistan, a privé le président de son argument selon lequel un retrait ne pouvait être que chaotique, et qu’il se déroulait jusqu’à présent sans faire de victimes américaines. «Touchons du bois», avait-il dit le 19 août dans un entretien à la chaîne ABC. L’expression est reprise depuis par ses adversaires pour souligner son impréparation. » | Par Adrien Jaulmes, Correspondant du Figaro à Washington | vendredi 27 août 2021

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Joe Biden plaide la fatalité du chaos à Kaboul »

Le pont aérien de Kaboul fait toujours face à des «menaces précises et crédibles» »

‘Biden’s worst nightmare’: how Afghanistan shook a president »

Friday, August 27, 2021

Afghanistan : la Turquie s’est entretenue avec les talibans

LE POINT : D’après le président Erdogan, Ankara a tenu un premier pourparler de trois heures et demie à Kaboul avec les nouveaux maîtres de l’Afghanistan.

De premières discussions ont eu lieu entre les talibans et Ankara, a fait savoir le président turc Erdogan.© ISA TERLI / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP

La Turquie a tenu ses premières discussions avec les talibans à Kaboul, a fait savoir le président Recep Tayyip Erdogan, ce vendredi 27 août. D’après le président turc, Ankara étudie la proposition des nouveaux maîtres de l’Afghanistan de sécuriser l’aéroport de la capitale après le retrait américain. « Nous avons tenu nos premières discussions avec les talibans, qui ont duré trois heures et demie », a déclaré le chef d'État aux journalistes. Et d’ajouter : « Si c’est nécessaire, nous aurons l’occasion d’avoir de tels pourparlers à nouveau. » » | Source AFP | vendredi 27 août 2021

Thursday, August 26, 2021

Afghanistan - Les talibans à Kaboul | ARTE Regards

Aug 20, 2021 • Le 15 août 2021, Kaboul tombe aux mains des talibans. La mission des forces de la coalition en Afghanistan s’achève, 20 ans après, dans le chaos. Elle laisse derrière elle d'innombrables personnes désespérées et encore plus de promesses non tenues.

Chassé du pouvoir par les États-Unis et leurs alliés en 2001, le mouvement islamiste radical a profité du retrait des derniers soldats américains pour reconquérir le pays à la vitesse de l’éclair. Quel avenir attend la population, et plus particulièrement les femmes ? Alors que ceux qui ont cru à la liberté et à la démocratie risquent d’en payer le prix fort, les personnes qui le peuvent fuient en masse le pays. ARTE Regards a suivi deux hommes et une femme tout au long de l’avancée des talibans : Nasrin Nawa, ex-journaliste pour la BBC ; Wahed Sadad, qui était traducteur pour la Bundeswehr, l’armée allemande ; et Shafic Gawhari, devenu PDG de la plus grande entreprise de médias du pays, Tolo News.

Reportage (Allemagne, 2021, 32mn)
Disponible jusqu'au 20/08/2022

Wednesday, August 25, 2021

Peut-on comparer les talibans à un retour au Moyen Âge?

«C'est le retour au Moyen Age», une expression très entendue ces derniers jours. Christie's Images/Bridgeman Images/STRINGER / REUTERS

LE FIGARO : ENTRETIEN - Depuis la chute de Kaboul, nombreux sont ceux qui comparent le mouvement fondamentaliste à l'époque médiévale en Europe. Le rapprochement laisse perplexe.

Florian Besson est docteur en histoire médiévale et fondateur du blog Actuel Moyen Âge.

LE FIGARO. - La comparaison entre le retour des Talibans et le Moyen Âge est-elle pertinente ?

Balayer cette comparaison serait facile, mais elle conserve une forme de pertinence pour les milliers de personnes qui l'ont utilisée dans les médias ou sur les réseaux sociaux. Après la prise de Kaboul, c'est devenu une référence omniprésente, qui relève de l'histoire imaginée et dit beaucoup de la manière dont on se représente le Moyen Âge. » | Par Amaury Coutansais Pervinquière | mardi 24 août 2021

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DOSSIER : Afghanistan : tout comprendre à la prise de pouvoir des talibans à Kaboul »

Wednesday, April 07, 2010

Le Canada condamne les propos de Karzaï sur les étrangers

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Stephen Harper Photo : Cyberpresse.ca

CYBERPRESSE: Le premier ministre Stephen Harper a qualifié de totalement inacceptables des commentaires attribués au président afghan Hamid Karzaï concernant une alliance éventuelle avec les talibans.

M. Harper a rappelé, mercredi, que des Canadiens et Canadiennes risquent leur vie pour aider les Afghans dans leur lutte contre les talibans. Et même s'il admet ne pas connaître le contexte dans lequel le président Karzaï aurait fait ces commentaires, M. Harper estime qu'ils sont totalement inacceptables pour le Canada et ses alliés. >>> La Presse Canadienne,
Mississauga, Ontario | Mercredi 07 Avril 2010

Sunday, May 31, 2009

Pakistan : «les talibans vaincus dans 2 ou 3 jours»

LE FIGARO: Après l'étape clé de la reprise de Mingora samedi, chef-lieu du district de Swat, l'armée pakistanaise espère venir à bout des talibans rapidement.

L'armée pakistanaise, qui a repris samedi aux talibans le contrôle de Mingora, chef-lieu du district de Swat (nord-ouest), espère venir à bout des talibans dans la région d'ici deux à trois jours, a déclaré dimanche le secrétaire pakistanais à la Défense.

«Les opérations à Swat, Buner et dans les zones voisines sont presque totalement achevées», a déclaré Syed Athar Ali, secrétaire pakistanais à la Défense, lors d'une conférence régionale sur la sécurité à Singapour. «Il ne reste que 5 à 10% du travail à terminer et nous espérons que les poches de résistance seront vaincues d'ici deux à trois jours», a-t-il ajouté.

L'armée pakistanaise a indiqué samedi avoir repris aux talibans le contrôle de Mingora, chef-lieu du district de Swat, et étape essentielle dans son offensive contre les islamistes, après des combats violents.

Les autorités pakistanaises ont annoncé que quinze mille soldats y faisaient face à quelque 2.000 talibans. Quelque 15.000 soldats sont engagés dans cette offensive dans la région de Swat face à 2.000 combattants talibans, a précisé l'armée.

«Les forces de sécurité contrôlent la ville. La bataille de Mingora est terminée», a déclaré samedi dans une conférence de presse le porte-parole de l'armée, le général Athar Abbas, selon lequel «Mingora est maintenant sous le contrôle total de l'armée.» L'information n'a pu être confirmée de source indépendante, les zones des combats étant interdites d'accès. >>> LeFigaro.fr | Dimanche 31 Mai 2009

Saturday, May 23, 2009

Pakistan : les combats s'intensifient, la crise humanitaire s'aggrave

LE MONDE: L’armée pakistanaise est entrée, samedi 23 mai, dans Mingora, principale ville de la vallée de Swat, dans le nord-ouest du pays, où ils continuaient à affronter les talibans. Selon un porte-parole de l'armée, le général Athar Abbas, les insurgés ont été chassés de plusieurs quartiers, et 17 rebelles, dont un important commandant, ont été tués ces dernières 24 heures dans les combats, près d'un mois après le début de l'offensive.

L'assaut contre Mingora, une ville dont la population était estimée à environ 300 000 personnes avant que la plupart ne fuient les combats, est une étape cruciale pour l'armée et le gouvernement pakistanais. Vendredi, l'armée estimait que 10% seulement de la population se trouvait encore dans la ville.

La prise de Mingora, qui était contrôlée par les talibans depuis plusieurs semaines, est essentielle pour que l'armée pakistanaise puisse se targuer d'avoir remporté la victoire dans la région de Swat. L'armée a assuré avoir tué plus de 1 100 talibans en presque quatre semaines d'offensive et reconnu avoir perdu seulement 58 soldats. Mais ces informations sont impossible à vérifier, la zones des combats étant bouclée par les militaires.

De nombreux témoignages de personnes déplacées font cependant état de bombardements sans discernement de l'armée qui ont fait de nombreuses victimes civiles, les militaires n'ayant engagé les combats au sol que depuis quelques jours. >>> LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | Samedi 23 Mai 2009

Friday, May 01, 2009

L'armée pakistanaise reprend une ville clé aux talibans

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L'armée pakistanaise aux alentours de Rustam, près du district de Buner. Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: Islamabad a repris l'initiative militaire en traquant les insurgés islamistes installés dans la vallée de Buner, à une centaine de kilomètres de la capitale.

La reprise des hostilités était inéluctable. Pressé par la ­communauté internationale, les Américains en tête, de déloger les talibans du district de Buner où ils étaient entrés la semaine ­dernière, le gouvernement d'Islamabad a fait donner l'assaut mardi soir.

Dans une semaine, le président pakistanais, Asif Ali Zardari, rencontrera à Washington Barack Obama et son homologue afghan, Hamid Karzaï. Il ne ­pouvait pas arriver les mains vides à ce mini-sommet «Af-Pak», qui doit durer deux jours. Zardari sait qu'il lui sera notamment demandé des comptes sur la manière dont le Pakistan entend utiliser l'aide promise par les États-Unis, actuellement en débat au Congrès américain. Outre les 7,5 milliards de dollars sur cinq ans prévus, le Congrès délibère sur une aide d'urgence comprise entre 200 et 400 millions de dollars.

Mercredi, le porte-parole de l'armée pakistanaise, le général Athar Abbas, a annoncé une première victoire. «Des troupes héliportées sont parvenues à sécuriser Daggar, le chef-lieu du district de Buner, et ses environs», a-t-il déclaré. Cinquante rebelles auraient été tués. «Nous avons vu un hélicoptère larguer des soldats sur les collines, tôt le matin. Il a effectué six ou sept rotations», a confirmé un commerçant du marché central à Daggar. Depuis mardi, des avions de chasse et des hélicoptères de combat ­couvrent l'avancée des troupes au sol. Mais, a expliqué le général Abbas, «nous sommes ralentis par le fait que les insurgés ­retiennent une partie de la population en otage. Nous faisons de notre mieux pour qu'il y ait le moins de pertes humaines possible et le minimum de civils forcés de fuir». >>> Marie-France Calle, correspondanteà New Delhi | Jeudi 30 Avril 2009

Tuesday, November 18, 2008

Les talibans menacent la France

LE FIGARO: Dans une vidéo, qui contient une revendication de l'embuscade dans laquelle dix soldats français ont été tués, un chef taliban menace Paris.

Si les Français ne se retirent pas d'Afghanistan, « ils entendront notre réponse à Paris ». Telle est la menace lancée par les talibans dans un enregistrement vidéo diffusé lundi par la chaine de TV arabe al-Arabiya. >>> L.S. (lefigaro.fr) avec agences | 18.11.2008

The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
The Dawning of a New Dark Age (Relié) >>>