LE MONDE: Editorial. Une nouvelle approche du règlement du conflit, fondée sur des droits égaux pour les deux peuples, s’impose si l’on veut éviter une cinquième guerre à Gaza.
Editorial du « Monde ». Et maintenant ? Au lendemain du cessez-le-feu qui a mis fin, jeudi 20 mai, à la quatrième guerre de Gaza après onze jours d’hostilités, Israéliens, Palestiniens, diplomates arabes et occidentaux sont renvoyés à cette question lancinante.
En 2009, 2012 et 2014, à l’issue des trois précédentes confrontations, les uns et les autres ont paru prendre de grandes résolutions : conférence pour la reconstruction de l’enclave, mesures de desserrement du blocus pesant sur ce territoire, pourparlers en vue d’une réconciliation du Hamas et du Fatah. Mais faute de détermination véritable de la part des intéressés, ces initiatives louables ont à chaque fois fini par péricliter, ouvrant la voie à l’escalade suivante.
Pour en finir avec ce rituel macabre, il faut rompre avec les formules toutes faites, quasi pavloviennes, auxquelles la communauté internationale se raccroche par peur du vide et manque de courage ou d’imagination. Sans une levée rapide et intégrale de l’embargo – égyptien et israélien – qui étrangle les 2 millions d’habitants de Gaza, le « retour au calme » dont se félicitent les chancelleries est une sinistre illusion. Il n’y a pas de calme possible dans un ghetto à l’agonie. » | Éditorial, Le Monde | samedi 22 mai 2021
Showing posts with label Israël. Show all posts
Showing posts with label Israël. Show all posts
Tuesday, May 25, 2021
Tuesday, February 04, 2020
Comprendre la colonisation israélienne en cinq minutes
Labels:
Israël,
Palestine,
Proche-Orient
Thursday, January 23, 2020
Emmanuel Macron réaffirme l'importance de la lutte contre l'antisémitisme
«J'ai tenu à être ici à Jérusalem, à l'invitation du Président Rivlin, à l'appel de Yad Vashem, à l'injonction du plus jamais ça», a t-il déclaré avant d'insister sur la menace qui pèse sur la France. «L'antisémitisme en France c'est d'abord et avant tout le problème de la République. C'est la quintessence, le visage premier de la haine de l'autre. A chaque fois que les démocraties se sont affaiblies, que des grandes crises ont bousculé la confiance et ont ravivé les divisions, le premier signal c'était l'antisémitisme.» Il en a profité pour dénoncer ceux qui jouent sur les peurs, avant de lister les actions du gouvernement pour lutter contre l'antisémitisme : surveillance renforcée de 868 lieux de culte juifs, associations dissoutes, création d'une structure judicaire dédiée à la lutte contre la haine, et d'une plateforme en ligne.
Souvent accusé de museler la liberté d'expression par ces différentes actions, Emmanuel Macron a tenu à répondre : «La liberté d'expression ce n'est pas la propagation de la haine».
Concernant la politique française au Proche-Orient, le Président de la République a défendu une voie médiane attachée au droit international : «Vous savez combien je suis attaché à la sécurité d'Israël, mais dans le même temps à ne jamais avoir une politique d'alignement sur la voie la plus extrême». Il s'est opposé à tout processus d'escalade dans la région. «C'est la voix que la France porte dans le processus de paix dont plus personne n'ose parler considérant qu'il ne se terminera pas. Il aura une fin, elle doit être heureuse, a t-il affirmé. Elle ne peut être la victoire de l'un sur l'autre».
Thursday, October 08, 2015
Les députés arabes défient Netanyahu
LE MATIN: PROCHE-ORIENT — Les députés arabes israéliens ont annoncé qu'ils se rendront vendredi sur l'esplanade des Mosquées, malgré l'interdiction du premier ministre israélien.
«Ni Netanyahu ni la droite ne pourront nous empêcher d'entrer dans notre mosquée d'Al-Aqsa», qui se trouve sur l'esplanade à laquelle elle donne souvent son nom, a dit dans un communiqué le député arabe Ahmad Tibi.
La décision de Benjamin Netanyahu est «insensée et illégale», a-t-il ajouté, à la veille de la grande prière du vendredi. «Demain, nous serons tous à la mosquée al-Aqsa, parce que c'est notre mosquée». Les députés arabes sont 13 sur un total de 120 au parlement. Continuez à lire et ajouter un commentaire » | ats/nxp | jeudi 8 octobre 2015
«Ni Netanyahu ni la droite ne pourront nous empêcher d'entrer dans notre mosquée d'Al-Aqsa», qui se trouve sur l'esplanade à laquelle elle donne souvent son nom, a dit dans un communiqué le député arabe Ahmad Tibi.
La décision de Benjamin Netanyahu est «insensée et illégale», a-t-il ajouté, à la veille de la grande prière du vendredi. «Demain, nous serons tous à la mosquée al-Aqsa, parce que c'est notre mosquée». Les députés arabes sont 13 sur un total de 120 au parlement. Continuez à lire et ajouter un commentaire » | ats/nxp | jeudi 8 octobre 2015
Labels:
Al-Aqsa,
Benjamin Netanyahu,
Israël
Monday, September 21, 2015
Syrie : Poutine a rencontré Netanyahu à Moscou
LE POINT: Le Premier ministre israélien a notamment prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran.
Le président Vladimir Poutine a rencontré lundi à Moscou le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter du conflit en Syrie alors que la Russie est accusée par Washington d'y renforcer sa présence militaire. « Il était très important de venir ici en vue de clarifier notre politique, et faire en sorte qu'il n'y ait aucun malentendu entre nos forces », a déclaré Benjamin Netanyahu au début de la rencontre, selon un communiqué de son bureau. Le Premier ministre israélien a également prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran, et accusé les deux pays de vouloir « ouvrir un second front » contre Israël.
« La politique russe au Proche-Orient sera toujours réfléchie », a pour sa part assuré le président russe, affirmant que la Syrie ne voulait pas s'attaquer à Israël, selon des images de la télévision russe. « Nous savons et nous comprenons que l'armée syrienne et la Syrie en général sont dans un tel état qu'elles ne peuvent ouvrir un second front. La Syrie essaie seulement de préserver son indépendance », a affirmé Vladimir Poutine. Le service de presse de Benjamin Netanyahu a affirmé qu'il était venu en Russie pour discuter des « forces militaires russes en Syrie » et pour « exposer les menaces pesant sur Israël à la suite du renforcement militaire sur la scène syrienne et de la fourniture d'armement au Hezbollah et à d'autres organisations terroristes ». » | Source AFP | lundi 21 septembre 2015
Le président Vladimir Poutine a rencontré lundi à Moscou le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter du conflit en Syrie alors que la Russie est accusée par Washington d'y renforcer sa présence militaire. « Il était très important de venir ici en vue de clarifier notre politique, et faire en sorte qu'il n'y ait aucun malentendu entre nos forces », a déclaré Benjamin Netanyahu au début de la rencontre, selon un communiqué de son bureau. Le Premier ministre israélien a également prévenu qu'il était déterminé à mettre fin aux livraisons d'armes au Hezbollah par la Syrie et l'Iran, et accusé les deux pays de vouloir « ouvrir un second front » contre Israël.
« La politique russe au Proche-Orient sera toujours réfléchie », a pour sa part assuré le président russe, affirmant que la Syrie ne voulait pas s'attaquer à Israël, selon des images de la télévision russe. « Nous savons et nous comprenons que l'armée syrienne et la Syrie en général sont dans un tel état qu'elles ne peuvent ouvrir un second front. La Syrie essaie seulement de préserver son indépendance », a affirmé Vladimir Poutine. Le service de presse de Benjamin Netanyahu a affirmé qu'il était venu en Russie pour discuter des « forces militaires russes en Syrie » et pour « exposer les menaces pesant sur Israël à la suite du renforcement militaire sur la scène syrienne et de la fourniture d'armement au Hezbollah et à d'autres organisations terroristes ». » | Source AFP | lundi 21 septembre 2015
Sunday, February 15, 2015
Nétanyahou appelle les Juifs d'Europe à émigrer en Israël
Avec des mots comparables à ceux qu'il avait employés après la tuerie de l'Hyper Cacher, Benyamin Nétanyahou a lancé dimanche un appel à l'«émigration massive» des Juifs d'Europe vers Israël. «Le terrorisme islamique vient encore de frapper en Europe, a dénoncé le premier ministre israélien lors de la réunion hebdomadaire de son cabinet, et cette vague de terreur va se poursuivre.» Un plan de 180 millions de shekels (environ 40 millions d'euros), destiné à faciliter l'accueil des Juifs de France, de Belgique et d'Ukraine, était examiné au même moment par son gouvernement. «Aux Juifs d'Europe comme à ceux du monde entier, je peux dire qu'Israël vous attend les bras ouverts», a conclu Benyamin Nétanyahou. Cette invitation, lancée quelques heures seulement après l'attaque qui a coûté la vie à un jeune juif posté devant une synagogue de Copenhague, a été accueillie avec une certaine fraîcheur par le grand rabbin du Danemark. » | Par Cyrille Louis | dimanche 15 février 2015
Sunday, January 18, 2015
Israël dit avoir démantelé une cellule de l'EI sur son sol
Les autorités israéliennes ont annoncé ce dimanche 18 janvier avoir démantelé pour la première fois sur leur sol une cellule djihadiste liée à l'Etat islamique (EI). Sept Arabes israéliens ont été arrêtés pour préparation d'attentats en Israël et communication avec le groupe insurgé en Syrie. » | dimanche 18 janvier 2015
Friday, October 31, 2014
Israël à la Suède : "Le Moyen-Orient est plus compliqué que les meubles Ikea"
Une décision "malheureuse", qui "renforce les éléments extrémistes et la politique de refus des Palestiniens", a jugé Israël jeudi après la reconnaissance par la Suède de l'État de Palestine. "Le gouvernement suédois doit comprendre que les relations au Moyen-Orient sont plus compliquées que le montage des meubles Ikea, et qu'il faut agir en ce domaine avec responsabilité et sensibilité", a déclaré le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, dans un communiqué. » | Source AFP | jeudi 30 octobre 2014
Friday, June 06, 2014
Israël lâché par ses alliés
LE POINT: Les États-Unis, l'Europe, la Russie, la Chine et l'Inde ont reconnu le gouvernement d'union nationale palestinien. Un camouflet pour Netanyahou.
Un mardi noir. C'est probablement ainsi que Benyamin Netanyahou se souviendra de ce 3 juin. En l'espace de quelques heures, et quasiment les unes après les autres, les grandes puissances ont annoncé soutenir le gouvernement palestinien d'unité nationale qui avait prêté serment la veille devant le président Abbas. Les premiers à ouvrir le bal de cette reconnaissance internationale furent les États-Unis. Vinrent ensuite l'Union européenne, les chefs de diplomatie de la France et de la Grande-Bretagne, le secrétaire général de l'ONU puis la Russie. Mais aussi la Chine et l'Inde. Deux pays qui n'ont posé aucune condition à leur soutien. Tandis que les gouvernements américain et européens fondent leur coopération avec le nouveau cabinet palestinien sur l'adhésion de ce dernier à trois principes : renoncement à la violence, respect des accords déjà signés et reconnaissance d'Israël. Des principes que Mahmoud Abbas et son Premier ministre, Rami Hamdallah, se sont engagés à respecter. » | Danièle Kriegel, corresponndante du Point à Jérusalem | vendredi 06 juin 2014
Un mardi noir. C'est probablement ainsi que Benyamin Netanyahou se souviendra de ce 3 juin. En l'espace de quelques heures, et quasiment les unes après les autres, les grandes puissances ont annoncé soutenir le gouvernement palestinien d'unité nationale qui avait prêté serment la veille devant le président Abbas. Les premiers à ouvrir le bal de cette reconnaissance internationale furent les États-Unis. Vinrent ensuite l'Union européenne, les chefs de diplomatie de la France et de la Grande-Bretagne, le secrétaire général de l'ONU puis la Russie. Mais aussi la Chine et l'Inde. Deux pays qui n'ont posé aucune condition à leur soutien. Tandis que les gouvernements américain et européens fondent leur coopération avec le nouveau cabinet palestinien sur l'adhésion de ce dernier à trois principes : renoncement à la violence, respect des accords déjà signés et reconnaissance d'Israël. Des principes que Mahmoud Abbas et son Premier ministre, Rami Hamdallah, se sont engagés à respecter. » | Danièle Kriegel, corresponndante du Point à Jérusalem | vendredi 06 juin 2014
Sunday, April 27, 2014
Mahmoud Abbas condamne le "crime odieux" de la Shoah
LE POINT: Cette condamnation du "crime le plus odieux qui soit survenu contre l'humanité pendant l'ère moderne" est la plus forte du président palestinien à ce jour.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a condamné dimanche le génocide juif, dans une déclaration sans précédent, peu avant le début des commémorations de la Shoah en Israël, et appelé le gouvernement israélien à conclure une paix "juste" avec les Palestiniens. "Ce qui est arrivé aux juifs durant l'Holocauste est le crime le plus odieux qui soit survenu contre l'humanité pendant l'ère moderne", a estimé Mahmoud Abbas, selon un communiqué de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qu'il dirige, publié le jour où Israël va commencer à commémorer la Shoah. » | Source AFP | dimanche 27 avril 2014
Le président palestinien Mahmoud Abbas a condamné dimanche le génocide juif, dans une déclaration sans précédent, peu avant le début des commémorations de la Shoah en Israël, et appelé le gouvernement israélien à conclure une paix "juste" avec les Palestiniens. "Ce qui est arrivé aux juifs durant l'Holocauste est le crime le plus odieux qui soit survenu contre l'humanité pendant l'ère moderne", a estimé Mahmoud Abbas, selon un communiqué de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qu'il dirige, publié le jour où Israël va commencer à commémorer la Shoah. » | Source AFP | dimanche 27 avril 2014
Sunday, April 06, 2014
Négociations: Israël menace les Palestiniens de représailles
LA PRESSE: Les contacts se sont poursuivis dimanche en coulisses sous l'égide des États-Unis pour tenter de sauver le processus de paix, Israël menaçant de représailles unilatérales les Palestiniens qui ont décidé de demander leur adhésion à des traités internationaux.
«Nous répondrons (...) par des mesures unilatérales à toutes les mesures unilatérales qu'ils (les Palestiniens) prendront», a affirmé le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, lors du conseil des ministres.
Ces démarches palestiniennes, elles-mêmes lancées en réaction au refus d'Israël de libérer un dernier contingent de prisonniers comme prévu dans le cadre des pourparlers de paix, «ne feront qu'éloigner un accord de paix», a-t-il martelé.
«Les Palestiniens ont beaucoup à perdre d'une démarche unilatérale. Ils n'obtiendront un État que par des négociations directes (avec Israël) et pas par des déclarations vides, ni par des décisions unilatérales», a averti le premier ministre. «Nous sommes prêts à continuer les pourparlers, mais pas à n'importe quel prix». » | Daphne Rousseau | Agence France-Presse | Jerusalem | dimanche 06 avril 2014
«Nous répondrons (...) par des mesures unilatérales à toutes les mesures unilatérales qu'ils (les Palestiniens) prendront», a affirmé le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, lors du conseil des ministres.
Ces démarches palestiniennes, elles-mêmes lancées en réaction au refus d'Israël de libérer un dernier contingent de prisonniers comme prévu dans le cadre des pourparlers de paix, «ne feront qu'éloigner un accord de paix», a-t-il martelé.
«Les Palestiniens ont beaucoup à perdre d'une démarche unilatérale. Ils n'obtiendront un État que par des négociations directes (avec Israël) et pas par des déclarations vides, ni par des décisions unilatérales», a averti le premier ministre. «Nous sommes prêts à continuer les pourparlers, mais pas à n'importe quel prix». » | Daphne Rousseau | Agence France-Presse | Jerusalem | dimanche 06 avril 2014
Monday, February 03, 2014
Le Djihad islamique promet de s'opposer à tout accord entre Israéliens et Palestiniens
Le Djihad islamique, dont la branche armée compte quelques milliers de combattants et demeure la deuxième faction la plus influente, après le Hamas, dans la bande de Gaza, promet de s'opposer de toutes ses forces à un éventuel accord entre Israéliens et Palestiniens. «Nous sommes totalement hostiles à ces négociations, qui ne peuvent rien apporter de bon, affirme Ahmed al-Mudallal, haut responsable de l'organisation. Comme nous avons par le passé combattu le processus d'Oslo, nous détruirons tout accord qui légitimerait l'occupation sioniste de la Palestine. Nous ne transigerons pas car notre raison d'être est la libération de notre terre, de notre peuple et de nos lieux saints.» » | Par Cyrille Louis | dimanche 02 février 2014
Friday, October 04, 2013
Circoncision : Israël dénonce le «racisme» du Conseil de l'Europe
Le gouvernement israélien n'a pas mâché ses mots pour condamner, vendredi, la résolution adoptée trois jours plus tôt par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE). Ce texte, qui établit un parallèle entre la circoncision et les mutilations génitales féminines, recommande aux États «de sensibiliser davantage leurs populations aux risques potentiels que peuvent présenter certaines de ces pratiques pour la santé physique et mentale des enfants». Une démarche qui, aux yeux du porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, constitue «une tache morale» et «encourage la haine et les tendances racistes de l'Europe». » | Par Cyrille Louis | Correspondant du Figaro à Jérusalem | vendredi 04 octobre 2013
Monday, September 30, 2013
Nétanyahou veut mettre en garde Obama contre Rohani
LE FIGARO: Le premier ministre israélien entend convaincre Obama de ne pas se laisser séduire par l' «offensive de charme» du président iranien et de maintenir la pression sur Téhéran.
Benyamin Nétanyahou va se livrer lundi à un périlleux exercice d'équilibre diplomatique. Lors de sa rencontre avec Barack 0bama à la Maison-Blanche, son double objectif sera de convaincre le président américain de ne pas se laisser séduire par l'«offensive de charme» menée avec succès par le président iranien, Hassan Rohani, la semaine dernière aux États-Unis, et de maintenir la pression sur Téhéran, y compris par des menaces d'attaques militaires contre les installations nucléaires iraniennes.
Mais Benyamin Nétanyahou doit aussi éviter de donner l'impression de faire la leçon au président américain avec lequel les relations n'ont jamais été très cordiales. Une manœuvre d'autant plus compliquée qu'Israël a perdu un sérieux atout avec le départ de Mahmoud Ahmadinejad, le précédent président iranien, qui servait d'épouvantail avec ses déclarations niant la Shoah et ses appels à la destruction d'Israël. » | Par Marc Henry | dimanche 29 septembre 2013
Benyamin Nétanyahou va se livrer lundi à un périlleux exercice d'équilibre diplomatique. Lors de sa rencontre avec Barack 0bama à la Maison-Blanche, son double objectif sera de convaincre le président américain de ne pas se laisser séduire par l'«offensive de charme» menée avec succès par le président iranien, Hassan Rohani, la semaine dernière aux États-Unis, et de maintenir la pression sur Téhéran, y compris par des menaces d'attaques militaires contre les installations nucléaires iraniennes.
Mais Benyamin Nétanyahou doit aussi éviter de donner l'impression de faire la leçon au président américain avec lequel les relations n'ont jamais été très cordiales. Une manœuvre d'autant plus compliquée qu'Israël a perdu un sérieux atout avec le départ de Mahmoud Ahmadinejad, le précédent président iranien, qui servait d'épouvantail avec ses déclarations niant la Shoah et ses appels à la destruction d'Israël. » | Par Marc Henry | dimanche 29 septembre 2013
Friday, May 17, 2013
LE POINT: Pour assister aux obsèques de Margaret Thatcher, Netanyahou et sa femme ont affrété un avion avec un lit ! Coût : 127 000 dollars aux frais du contribuable.
C'est devenu le "Bedgate". Soit les 127 000 dollars dépensés par la présidence du Conseil israélien pour mettre en place une chambre avec lit double destinée à Sarah et Benyamin Netanyahou dans l'avion qui les emmenait à Londres assister aux obsèques de Margaret Thatcher.
L'affaire remonte à quelques semaines. Lorsqu'il apprend le décès de la Dame de fer, qu'il admirait tant, Netanyahou donne l'ordre de publier un appel d'offres auprès des trois compagnies aériennes israéliennes pour la location d'un avion avec chambre. C'est finalement EL AL qui l'emporte. Le Premier ministre s'envole alors avec son épouse pour la capitale britannique, où le couple séjournera un peu moins de 48 heures.
Ce que le public israélien ne sait pas encore - jusqu'au scoop de la chaîne 10 -, c'est que ce voyage aura coûté la bagatelle de 127 000 dollars, le montant exigé par EL AL pour la location de l'un de ses appareils. En effet, le chef du gouvernement a exigé l'installation à bord de l'appareil, en plus de 22 sièges de classe business, d'une vraie pièce de repos, avec quatre murs, une porte et un lit double. Le tout afin que le couple puisse dormir durant les cinq heures de vol. Or, seuls les avions de EL AL sont suffisamment larges pour pouvoir satisfaire à cette demande. » | De correspondante du Point à Jérusalem, Danièle Kriegel | vendredi 17 mai 2013
C'est devenu le "Bedgate". Soit les 127 000 dollars dépensés par la présidence du Conseil israélien pour mettre en place une chambre avec lit double destinée à Sarah et Benyamin Netanyahou dans l'avion qui les emmenait à Londres assister aux obsèques de Margaret Thatcher.
L'affaire remonte à quelques semaines. Lorsqu'il apprend le décès de la Dame de fer, qu'il admirait tant, Netanyahou donne l'ordre de publier un appel d'offres auprès des trois compagnies aériennes israéliennes pour la location d'un avion avec chambre. C'est finalement EL AL qui l'emporte. Le Premier ministre s'envole alors avec son épouse pour la capitale britannique, où le couple séjournera un peu moins de 48 heures.
Ce que le public israélien ne sait pas encore - jusqu'au scoop de la chaîne 10 -, c'est que ce voyage aura coûté la bagatelle de 127 000 dollars, le montant exigé par EL AL pour la location de l'un de ses appareils. En effet, le chef du gouvernement a exigé l'installation à bord de l'appareil, en plus de 22 sièges de classe business, d'une vraie pièce de repos, avec quatre murs, une porte et un lit double. Le tout afin que le couple puisse dormir durant les cinq heures de vol. Or, seuls les avions de EL AL sont suffisamment larges pour pouvoir satisfaire à cette demande. » | De correspondante du Point à Jérusalem, Danièle Kriegel | vendredi 17 mai 2013
Labels:
Bedgate,
Benjamin Netanyahu,
Bibi,
Israël
Saturday, November 17, 2012
LE POINT: Le Parlement iranien a envisagé l'envoi d'une délégation de parlementaires à Gaza, mais aucune date n'a été fixée.
Le ministre iranien de la Défense Ahmad Vahidi a appelé samedi le monde islamique à des "actions de représailles" contre Israël pour mettre un terme aux "crimes du régime sioniste" à Gaza, a rapporté l'agence officielle Irna. "Les attaques sauvages contre la population innocente de Gaza sont l'exemple même de crimes de guerre", a affirmé le général Vahidi. "Seule l'unité, une action révolutionnaire et des représailles du monde islamique peuvent mettre un terme aux crimes du régime sioniste", a-t-il ajouté. » | Source AFP | samedi 17 novembre 2012
Sunday, November 04, 2012
leJDD.fr: A l'occasion d'une conférence de presse commune organisée mercredi à l'Elysée, François Hollande et Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, ont répondu de manière divergente à un journaliste qui demandait si les juifs de France devaient rester ou partir vivre en Israël. "Venez en Israël", a lancé le chef du gouvernement israélien. "La place des juifs de France, c'est d'être en France", a contredit le président français.
Où les juifs de France doivent-ils vivre? La question a été posée mercredi au président français et au Premier ministre israélien, qui tenaient une conférence de presse commune après un entretien à l'Elysée. En visite de deux jours à Paris, Benjamin Netanyahou était interrogé par un journaliste sur le climat d'antisémitisme en France. Après avoir souligné la "détermination" et la "tolérance zéro" des autorités françaises à l'égard des actes antisémites, le dirigeant a répondu en souriant : "En ma qualité de Premier ministre d'Israël, je le dis toujours aux juifs où qu'ils soient : venez en Israël et faites d'Israël votre chez vous." » | A.F. (avec AFP) - leJDD.fr | mercredi 31 octobre 2012
Thursday, November 01, 2012
LE FIGARO: DÉCRYPTAGE - La «continuité» entre Nicolas Sarkozy et François Hollande sur la lutte contre l'antisémitisme et le nucléaire iranien a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien.
Benyamin Nétanyahou est très satisfait de son premier contact avec François Hollande. Les deux hommes ne s'étaient croisés qu'une seule fois, en 2003, et encore très brièvement. Établir une bonne relation personnelle avec le président de la République était l'un des trois objectifs du premier ministre israélien pour cette visite à Paris.
Selon son entourage, Nétanyahou a trouvé Hollande «exceptionnellement ouvert et réceptif», «prêt à écouter» et «désireux de trouver des terrains d'entente». La «continuité» entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, sur les deux questions prioritaires de la lutte contre l'antisémitisme et du dossier nucléaire iranien, a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien. » | Par Pierre Rousselin | jeudi 01 novembre 2012
Saturday, September 15, 2012
LE FIGARO: Des centaines d'Arabes israéliens ont manifesté aujourd'hui dans le nord du pays contre un film islamophobe ayant provoqué des manifestations et des violences à travers le monde musulman, a annoncé la police israélienne. Sa porte-parole Louba Samri a indiqué à l'AFP qu'environ 150 personnes avaient également manifesté à Jérusalem-Est "quasiment sans incident", un manifestant ayant toutefois été arrêté pour avoir causé des troubles à proximité du bâtiment du consulat américain. Selon elle, une centaine de manifestants ont manifesté pacifiquement à Nazareth, la plus grande ville arabe israélienne, et quelque 250 autres dans d'autres villes et villages. » | AFP | samedi 15 septembre 2012
Saturday, August 18, 2012
LE FIGARO: Les citoyens se bousculent dans les centres de distribution de masques à gaz et l'armée vérifie les abris antimissiles.
Les Israéliens commencent à croire que l'hypothèse de centaines de missiles ravageant leur pays, en représailles à une attaque contre des installations nucléaires iraniennes, ne relève plus de la politique-fiction. Mahmoud Ahmadinejad, le président iranien ne fait rien pour les rassurer: il a assimilé hier Israël à une «tumeur cancéreuse».
Cette montée de tension se fait sentir dans les centres de distribution de masques à gaz, qui connaissent un afflux sans précédent depuis des années. Les appels téléphoniques aux centres de renseignements des municipalités pour localiser les abris publics se multiplient. Sur ce front, la mairie de Tel-Aviv, une cible privilégiée avec le quartier général de l'armée et le siège du ministère de la Défense, a annoncé que 60 parkings sous-terrains allaient être aménagés pour accueillir des centaines de milliers de personnes en cas de besoin. » | Par Marc Henry | vendredi 17 août 2012
Subscribe to:
Posts (Atom)