LA PRESSE: Les contacts se sont poursuivis dimanche en coulisses sous l'égide des États-Unis pour tenter de sauver le processus de paix, Israël menaçant de représailles unilatérales les Palestiniens qui ont décidé de demander leur adhésion à des traités internationaux.
«Nous répondrons (...) par des mesures unilatérales à toutes les mesures unilatérales qu'ils (les Palestiniens) prendront», a affirmé le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, lors du conseil des ministres.
Ces démarches palestiniennes, elles-mêmes lancées en réaction au refus d'Israël de libérer un dernier contingent de prisonniers comme prévu dans le cadre des pourparlers de paix, «ne feront qu'éloigner un accord de paix», a-t-il martelé.
«Les Palestiniens ont beaucoup à perdre d'une démarche unilatérale. Ils n'obtiendront un État que par des négociations directes (avec Israël) et pas par des déclarations vides, ni par des décisions unilatérales», a averti le premier ministre. «Nous sommes prêts à continuer les pourparlers, mais pas à n'importe quel prix». » | Daphne Rousseau | Agence France-Presse | Jerusalem | dimanche 06 avril 2014
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Sunday, April 06, 2014
Tuesday, November 08, 2011
ARRÊT SUR IMAGES: C'était une conversation franche, entre chefs d'Etat, à propos d'un autre dirigeant. Echange à bâtons rompus, et à huis-clos. Enfin, qui aurait dû rester à huis-clos. C'était sans compter sur une maladresse de l'organisation, et la curiosité de quelques journalistes. Révélations sur deux petites phrases qui voguent bien loin du langage habituellement policé des sommets diplomatiques.
Jeudi 3 novembre, lors du sommet du G20 à Cannes, Nicolas Sarkozy rencontrait Barack Obama lors d'un "entretien bilatéral". Comme il est d'usage, Les deux hommes ont fait face aux journalistes, mais ont aussi discuté en privé, dans une pièce à part, loin des oreilles indiscrètes, afin de pouvoir se libérer de toute retenue diplomatique. Cela a été le cas, mais pour la discrétion, c'est raté.
Selon nos informations, les deux présidents ont laissé de côté toute retenue à propos du délicat dossier des relations israélo-palestiniennes. Obama a d'abord reproché à Sarkozy de ne pas l'avoir prévenu qu'il allait voter en faveur de l'adhésion de la Palestine à l'Unesco, alors que les Etats-Unis y étaient fermement opposés. La conversation a ensuite dérivé sur Benyamin Nétanyahou, le Premier ministre israélien. Sûrs de ne pas être entendus, les deux présidents se sont lâchés. "Je ne peux plus le voir, c'est un menteur", a lancé Sarkozy. "Tu en as marre de lui, mais moi, je dois traiter avec lui tous les jours !", a rétorqué Obama, qui a ensuite demandé à Sarkozy d'essayer de convaincre les Palestiniens de mettre la pédale douce sur leur demande d'adhésion à l'ONU. » | Par Dan Israel | lundi 07 novembre 2011
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FRANKFURTER ALLGEMEINE: „Ich kann ihn nicht ausstehen, er ist ein Lügner“: Nicolas Sarkozy hat in einem vertraulichen Gespräch mit Barack Obama den israelischen Ministerpräsidenten Netanjahu angegriffen. Was der französische Präsident allerdings nicht wusste, viele Journalisten hörten mit. » | MICHAELA WIEGEL, PARIS | Dienstag 08. November 2011
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Thursday, November 03, 2011
LE FIGARO: Selon la presse israélienne, les modalités d'une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes se précisent.
Israël serait en train d'envisager plus sérieusement que jamais une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes. Depuis plusieurs semaines déjà, des diplomates étrangers s'alarment des préparatifs israéliens. L'éditorialiste Nahum Barnea du quotidien Yedioth Ahronoth a porté le débat sur la place publique en Israël vendredi dernier, en laissant entendre que Nétanyahouet son ministre de la Défense Ehoud Barak auraient déjà pris la décision de lancer une attaque contre l'Iran.
Barak a précisé lundi qu'aucune décision n'avait été arrêtée. Sans vraiment convaincre, puisqu'il a ajouté le lendemain à la Knesset qu'il pouvait y avoir «des situations sensibles dans lesquelles Israël devra défendre ses intérêts vitaux de façon indépendante».
Mercredi, le quotidien Haaretz, citant une source officielle israélienne, confirmait que Nétanyahou et Barak s'efforçaient de convaincre une majorité au sein du cabinet, et que Liberman, le ministre des Affaires étrangères, se serait déjà rallié à cette option. » | Par Adrien Jaulmes, correspondant du Figaro à Jérusalem | mercredi 02 novembre 2011
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Saturday, October 01, 2011
LE FIGARO: Il se dit prêt à accepter le plan de paix du Quartette, mais autorise la construction de plus de mille nouveaux logements à Jérusalem-Est.
D'accord pour un nouveau plan censé aboutir à un accord de paix à la fin de l'an prochain, mais pas au prix de Jérusalem : tel est le message de Benyamin Nétanyahou. Histoire de bien mettre les points sur i, le ministère israélien de l'Intérieur vient de donner son feu vert à la construction de 1 100 logements à Gilo, un quartier israélien situé dans la partie arabe de Jérusalem. Dans le monde, cette décision a provoqué un tollé, y compris aux États-Unis, qui se sont déclarés «profondément déçus».
Mais Benyamin Nétanyahou est passé outre. «Gilo n'est pas une colonie, c'est un quartier situé au cœur de Jérusalem près du centre-ville», explique Mark Regev, son porte-parole. Actuellement plus de 200 000 Israéliens vivent dans une douzaine de nouveaux quartiers construits après la conquête de la partie orientale de la ville en 1967. Mais son annexion n'a jamais été reconnue par la communauté internationale. Les Palestiniens espèrent de leur côté que le lancement de ce projet fustigé de toutes parts va leur fournir des armes dans la bataille très serrée qu'ils mènent au Conseil de sécurité de l'ONU pour obtenir l'adhésion de leur État aux Nations unies. Selon eux, une majorité des membres (9 sur 15) de cette instance serait prête à les soutenir. » | Par Marc Henry | Vendredi 30 Septembre 2011
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Friday, February 27, 2009
LE FIGARO: Cette fois, c'est un non définitif : la chef du parti centriste Kadima a officiellement refusé de participer au gouvernement, laissant Benjamin Nétanyahou isolé pour former un nouveau cabinet.
Un non ferme et définitif. La chef du parti centriste Kadima, Tzipi Livni, a annoncé vendredi qu'elle refusait de participer au gouvernement dirigé par le premier ministre israélien de droite Benjamin Nétanyahou, à l'issue d'une rencontre organisée dans un grand hôtel de Tel Aviv. Un refus qui fait écho à celui du chef du parti travailliste et ministre sortant de la Défense, Ehoud Barak, exprimé le 23 février dernier.
La ministre sortante des Affaires étrangères Tzipi Livni avait déjà refusé une première fois, mais en laissant la porte ouverte et en acceptant une nouvelle rencontre avec Nétanyahou. Vendredi, elle a finalement décidé de couper court aux discussions en rejetant de façon ferme l'offre du chef du Likoud. >>> Flore Galaud (lefigaro.fr) avec AFP | Vendredi 27 Février 2009
The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
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