Showing posts with label Maison Blanche. Show all posts
Showing posts with label Maison Blanche. Show all posts

Tuesday, November 24, 2015

Hollande-Obama : les principales déclarations


LE POINT: Après Mohammed VI et David Cameron, le président français a rencontré son homologue américain pour obtenir un renforcement de la lutte contre Daech.

Voici les principales déclarations faites par François Hollande et Barack Obama au terme de la rencontre qui a eu lieu ce mardi entre les deux chefs d'État.

« Nous sommes tous français »

« Nous sommes tous français », a lancé, en français, le président américain Barack Obama aux côtés de son homologue français François Hollande, lors d'une conférence de presse conjointe mardi à la Maison-Blanche. Onze jours après les pires attentats jamais perpétrés en France, le président Obama a affirmé que les États-Unis et la France étaient « unis » et « totalement solidaires » dans la lutte contre le terrorisme. « Nous aimons les Français », a encore lancé Barack Obama, rappelant que Paris était traditionnellement le « plus ancien allié de l'Amérique », en allusion à la Révolution américaine de la fin du XVIIIe siècle appuyée par des Français et que la France s'était tenue aux côtés des États-Unis lors des attentats du 11 Septembre 2001 avec le fameux « Nous sommes tous américains ». Le président des États-Unis a également assuré que les Américains ne se laisseront « pas terroriser » par les menaces terroristes, au lendemain d'une alerte mondiale lancée par le département d'État sur les risques de voyager à l'étranger pour ses ressortissants. À cet égard, le président Obama a exhorté l'Union européenne à partager avec les États-Unis les informations relatives aux passagers du transport aérien. » | Le Point.fr (avec AFP) | mardi 24 novembre 2015

Les visites compliquées de François Hollande à Washington et Moscou


LE MONDE: François Hollande est arrivé aux Etats-Unis, mardi 24 novembre dans l’après-midi, pour une rencontre avec le président Barack Obama, destinée à accentuer la mobilisation contre l’Etat islamique (EI). La veille, M. Hollande a reçu le soutien du premier ministre britannique, David Cameron, accueilli à l’Elysée.

La partie s’annonce plus compliquée pour le président français à Washington puis, ensuite, à Moscou, jeudi. Avec Barack Obama, les relations ont toujours été tendues sur la Syrie, depuis le revirement d’août 2013, lorsque la Maison Blanche a renoncé à frapper le régime de Bachar Al-Assad qui venait pourtant de franchir une « ligne rouge » édictée par M. Obama en utilisant des armes chimiques contre sa population. » | Par Yves-Michel Riols | mardi 24 novembre 2015

Saturday, November 23, 2013

Obama : «Michelle et moi sommes impatients d'accueillir le président Hollande»

LePARISIEN: François Hollande se rendra aux Etats-Unis le 11 février 2014 pour une visite d'Etat à l'invitation de Barack Obama, ont annoncé à la fois vendredi l'Elysée et la Maison Blanche.

«Michelle et moi sommes impatients d'accueillir le président Hollande et Valérie Trierweiler pour une visite d'Etat avec un dîner d'Etat à la Maison blanche le 11 février», annonce le président américain dans son communiqué.

«Durant cette visite, nous discuterons des possibilités de renforcer davantage la coopération franco-américaine en matière d'économie et de sécurité», précise-t-il. » | LeParisien.fr | vendredi 22 novembre 2013

Tuesday, January 10, 2012

Michelle Obama, First Lady «frustrée» à la Maison-Blanche

LE FIGARO: Un livre révèle les faux pas initiaux de la Première Dame et sa difficile adaptation aux contraintes du 1600 Pennsylvania Avenue.

Frustration, tensions, frictions entre Michelle Obama et les premiers conseillers de son mari: l'image d'Épinal d'une Maison-Blanche unie derrière le président est mise à mal dans un nouveau livre, qui décrypte l'évolution de la Première Dame depuis son arrivée à Washington en 2009.

The Obamas, écrit par la journaliste du New York Times Jodi Kantor, s'intéresse en particulier aux deux premières années passées par la famille Obama dans ses quartiers présidentiels. C'est le premier livre à révéler le réel degré d'influence de Michelle Obama sur le président et son rôle de «gardienne» des idéaux de la campagne de 2008.

L'auteur décrit un couple solide et très complémentaire, mais «virtuellement prisonnier» de la Maison-Blanche, refusant de se faire des amis au delà du cercle restreint qu'il fréquentait Chicago. Kantor raconte aussi, avec force détails et un goût prononcé pour les potins, l'inimitié profonde entre Michelle Obama et le premier chef de cabinet du président, Rahm Emanuel, ainsi que les tensions avec l'ancien porte-parole, Robert Gibbs. » | Par Adèle Smith | mardi 10 janvier 2012

Wednesday, May 04, 2011

Obama refuse de publier les photos du corps de Ben Laden

LE FIGARO: Le président américain a décidé de ne pas diffuser les images, décrites comme «atroces», de la dépouille du chef d'al-Qaida tué dimanche. Les clichés pourraient selon lui servir «d'outil de propagande».

La photo de la dépouille de Ben Laden ne sera pas diffusée


Barack Obama a tranché. Les États-Unis ne diffuseront pas les images de la dépouille du chef d'al-Qaida, tué dimanche lors d'une opération américaine au Pakistan, a affirmé mercredi la chaîne de télévision CBS, à laquelle le président a accordé un entretien qui doit être diffusée dimanche. «Laisser des preuves photographiques dans la nature» pourrait servir «d'outil d'incitation (à la violence) ou de propagande. Ce n'est pas dans notre genre. Nous n'arborons pas ce genre de choses comme des trophées», a déclaré Barack Obama, cité par son porte-parole Jay Carney. » | Par lefigaro.fr | Mercredi 04 Mai 2011

FRANKFURTER ALLGEMEINE: Obama will Leichenfotos nicht veröffentlichen: Die amerikanische Regierung will die Fotos von Usama Bin Ladins Leiche nicht veröffentlichen. Das habe Präsident Barack Obama entschieden. Skeptiker hatten zu bedenken gegeben, dass die Bilder „zu grauenhaft“ seien. » | dpa | Mittwoch, 04. Mai 2011

Monday, May 02, 2011

Le cadavre d'Oussama Ben Laden a été plongé en mer

TRIBUNE DE GENÈVE: Dix ans après les attentats du 11 septembre, les Etats-Unis ont mené une opération militaire au Pakistan au cours de laquelle le chef d'Al-Qaïda a été tué. Son corps a été immergé en mer. Al-Qaïda compte encore dans ses rangs et en liberté plusieurs figures importantes.

Le président des Etats-Unis Barack Obama a annoncé dimanche soir que le chef d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden, avait été tué au Pakistan par les services spéciaux américains. Cette opération met fin à une longue traque de l’auteur des attentats du 11 septembre 2001.

«Ce soir, je suis en mesure d’annoncer aux Américains et au monde que les Etats-Unis ont mené une opération qui a tué Oussama Ben Laden, le dirigeant d’Al-Qaïda, un terroriste responsable du meurtre de milliers d’innocents», a déclaré M. Obama lors d’une allocution solennelle à la Maison Blanche.

M. Obama a précisé que le chef d’Al-Qaïda avait été tué lors d’un échange de tirs dans une résidence où la présence de Ben Laden avait été évoquée en août dernier. Aucun Américain n’a été blessé dans l’opération, a indiqué M. Obama, ajoutant que les Etats-Unis étaient en possession du corps de leur ennemi. » | AFP | Lundi 02 Mai 2011

Monday, November 29, 2010

WikiLeaks déclenche une tempête dans les capitales mondiales

LE MONDE: Comme il y a quelques mois avec les documents sur la guerre en Irak et en Afghanistan, les révélations de WikiLeaks, publiées dimanche par plusieurs journaux, dont Le Monde, mettent Washington dans l'embarras.

Jusqu'au bout, les Etats-Unis ont tenté de différer la publication de ces mémorandums diplomatiques confidentiels, mettant en garde contre les dangers qu'ils pourraient faire peser pour des vies américaines dans le monde. Dans le même temps, les ambassades américaines multipliaient les contacts pour prévenir les pays mis en cause des révélations potentielles.

Une fois les documents divulgués, la Maison Blanche n'a pu que condamner "dans les termes les plus forts" la publication "irresponsable et dangereuse" de ces données, insistant sur le fait que "de telles révélations font courir des risques à nos diplomates, aux membres de la communauté du renseignement, et aux gens du monde entier qui font appel aux Etats-Unis pour les aider à promouvoir la démocratie et un gouvernement transparent" (lire l'intégralité du communiqué). >>> Le Monde.fr, avec AFP et Reuters | Dimanche 28 Novembre 2010

LE MONDE: WikiLeaks : portraits acides des leaders mondiaux >>>

Monday, November 01, 2010

Les erreurs d'Obama

Photobucket
Photo officielle de la Maison-Blanche. Photo : La Presse

LA PRESSE: (New York) Deux ans après avoir élu Barack Obama à la Maison-Blanche, les électeurs américains retourneront aux urnes mardi, pour les élections de mi-mandat. Même si son nom ne figurera pas sur les bulletins de vote, le président sera en partie responsable du verdict électoral, qui pourrait être dévastateur pour ses alliés démocrates du Congrès et lui.

Le candidat qui a su inspirer des millions d'Américains grâce à ses talents d'orateur durant la campagne présidentielle de 2008 a cédé la place à un président dont l'une des plus grandes erreurs aura été de communiquer au public un message confus sur ses réalisations.

Barack Obama a commis d'autres erreurs qui pèseront sur le vote des Américains. Le verdict pourrait être sévère, voire humiliant pour le président et ses alliés démocrates - le Sénat et la Chambre des représentants pourraient bien passer aux mains des républicains. >>> Richard Hétu, collaboration spéciale,
La Presse | Samedi 30 Octobre 2010

Friday, July 16, 2010

Diplomatie : Les États-Unis répètent leur désaccord sur l'interdiction du voile intégral

LE POINT: Si le projet de loi visant à interdire le port du voile intégral dans l'espace public suscite des critiques en France, il fait aussi réagir outre-Atlantique. La diplomatie américaine a rappelé mercredi le désaccord de l'administration Obama, selon laquelle le texte s'en prend à la liberté de croyance. "Nous ne pensons pas qu'il faille légiférer sur ce que les gens ont le droit, ou non, de porter en fonction de leur croyance religieuse", a commenté Philip Crowley, porte-parole du département d'État. "Aux États-Unis, a-t-il ajouté, nous prendrions d'autres mesures pour assurer l'équilibre entre la sécurité d'une part, et, d'autre part, le respect de la liberté religieuse et des symboles qui lui sont associés." Une position partagée par la population puisque 65 % des Américains désapprouvent la proscription du voile islamique dans les lieux publics, tandis que 28 % toléreraient qu'il soit interdit, selon un sondage du centre de recherche Pew publié le 8 juillet. >>> lepoint.fr avec AFP | Vendredi 16 Juillet 2010

US Reiterates Disappointment Over French Burqa Ban

FRANCE 24: US officials have reiterated Washington's disapproval of a measure approved by French lawmakers earlier this week banning the wearing of face-covering Islamic veils in public. France's Senate will vote on the controversial bill in September.

US officials on Wednesday reiterated Washington's disagreement with a measure approved by the lower house of France's National Assembly banning the use of face-covering Islamic veils in public.

"We do not think that you should legislate what people can wear or not wear associated with their religious beliefs," said State Department spokesman Philip Crowley.

"Here in the United States, we would take a different step to balance security and to respect religious freedom and the symbols that go along with religious freedom," he said. >>> AFP | Thursday, July 15, 2010

Wednesday, July 07, 2010

Maison Blanche : Pauvre Barack Obama...

Photobucket
Barack Obama. Photo : Le Point

LE POINT: Aux États-Unis, si l'on veut s'enrichir, il y a un employeur à éviter : la Maison-Blanche. Dès son premier jour dans le Bureau ovale, en janvier 2009, le président Barack Obama a annoncé qu'il gelait le salaire des membres de son cabinet, pour cause de récession. Un gel qui a été reconduit, selon le rapport annuel sur les rémunérations de la Maison-Blanche qui vient d'être remis au Congrès.

Les employés à temps plein les mieux payés sont au nombre de vingt-quatre, parmi lesquels le conseiller David Axelrod, le secrétaire général Rahm Emanuel et l'auteur des discours du président Jon Favreau. Ils touchent chacun 172.200 dollars par an. Barack Obama est mieux loti : il est payé 400.000 dollars par an. C'est le Congrès qui décide des hausses du salaire présidentiel et il s'est toujours montré plutôt pingre. La dernière augmentation remonte à 1999, date à laquelle il a consenti à doubler la rémunération présidentielle qui n'avait pas bougé depuis l'arrivée de Richard Nixon en 1969 ! >>> De Hélène Vissière, la correspondante du Point à Washington | Mercredi 07 Juillet 2010

Saturday, June 26, 2010

Medvedev, le meilleur ami d'Obama

Photobucket
Les deux présidents ont fait une tribune commune lors d'un colloque jeudi soir. Photo : leJDD.fr

leJDD.fr: Avant le double sommet G8/G20, Dmitri Medvedev était en visite aux Etats-Unis, où il s'est entretenu avec Barack Obama, pour la septième fois en privé. La Maison blanche évoque un rapprochement décisif.

Après un "Salut tout le monde" très neutre, "San Francisco est une très belle ville" fut le deuxième tweet envoyé par Dmitri Medvedev mercredi soir, lors de sa visite en Californie. Nouvel inscrit sur la plate-forme américaine de micro-blogging, sous le nom "KermelinRussia", le président russe a profité de son voyage officiel aux États-Unis pour afficher son entente cordiale avec Washington. Vingt-quatre heures avant la tenue du G8, puis du G20, à Toronto (Canada), Medvedev et Obama semblent en effet sur la même longueur d'ondes. Ils ont mangé un burger ensemble dans un fast-food, se sont fait des blagues sur le téléphone rouge devant une armée de photographes, ont tenu des discours quasi-identiques sur l'Iran ou la Corée du Nord.

A l'heure où, sous l'impulsion des puissances émergentes (Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud et Mexique), les grandes décisions se prennent au G20 et non plus au G8, les Etats-Unis cherchent à maintenir leur pouvoir d'influence. Mais, après la crise, leurs partenaires européens s'opposent à Washington sur la reprise et la régulation financière. Entre autres sujets de discordes, le couple franco-allemand défend fermement une taxe bancaire que refuse la Maison blanche. D'autant que Londres s'est rallié sur ce point à Paris et Berlin. Au sein de cette communauté internationale en pleine évolution, la Russie veut se poser en puissance tranquille. Vers une coopération plus étroite >>> G.V. - leJDD.fr | Vendredi 25 Juin 2010

Tuesday, May 18, 2010

Impôts : Obama déclare entre 2 et 7 millions de dollars

LE FIGARO: D'après les documents du fisc américain, la famille présidentielle a tiré l'essentiel de ses revenus de la vente des deux ouvrages de Barack Obama «Dreams from my Father» et «Audacity of Hope».

Personne n'échappe à la déclaration d'impôt, pas même le président des Etats-Unis. Ce dernier doit toutefois en assumer la publication sur le site internet de la Maison blanche. D'après un document transmis pas le fisc et dévoilé au public lundi, la famille Obama a déclaré entre 2,3 et 7,7 millions de dollars pour l'année 2009. Aucun chiffre plus précis ne sera rendu public dans la mesure où les hauts responsables américains doivent seulement déclarer des fourchettes de valeur pour leurs revenus et possessions. Barack Obama disposerait de nombreux bons du Trésor, de comptes épargne pour sa retraite et celle de sa femme ainsi que des placements pour l'éducation de leurs deux filles Malia, 11 ans, et Sasha, 8 ans. >>> Par Hayat Gazzane | Mardi 18 Mai 2010

«Rêves de mon père» et «L’audace d’espoir» ? Rêves de son compte bancaire de l'avenir, plutôt ! – Mark

Friday, January 22, 2010

États-Unis : Obama perd sa «super majorité» au Sénat

lePARISIEN.fr: Un an jour pour jour après son élection à la Maison Blanche, Barack Obama avait sans doute rêvé meilleur anniversaire. Pour la première fois depuis des décennies, dans l'Etat traditionnellement démocrate du Massachusetts (nord-est), un candidat républicain, Scott Brown, a en effet remporté un siège de sénateur.

Conséquence, les démocrates ont perdu la majorité qualifiée de 60 voix qu'ils détenaient au Sénat grâce à l'apport de deux indépendants.

Cette forme de « super majorité » (60 voix sur 100) permettait aux démocrates et à Barack Obama de passer outre une obstruction républicaine à la chambre haute du Congrès américain. Cette défaite dans le Massachusetts hypothèque ainsi l'avenir des réformes. >>> Leparisien.fr avec l‘AFP | Mercredi 20 Janvier 2010

Sunday, September 06, 2009

Israël: Obama regrette

leJDD.fr: Le président américain a fait savoir vendredi qu'il regrettait le projet israélien de construire de nouveaux logements dans les colonies de Cisjordanie.

Un conseiller de Benjamin Netanyahou a révélé vendredi matin que le Premier ministre israélien avait l'intention d'avaliser la construction de nouveaux logements dans les colonies juives de Cisjordanie et de Jérusalem-Est. "Plusieurs centaines", a-t-il précisé sous couvert d'anonymat.

Une annonce qui a provoqué l'ire de la Maison blanche. Depuis son entrée en fonction, l'administration de Barack Obama réclame en effet la cessation de toute activité de colonisation mais n'a arraché jusqu'à présent aucun engagement clair au chef du gouvernement israélien, qui est sous pression de son propre parti, le Likoud et de ses partenaires de gouvernement plus à droite encore. >>> Europe1.fr | Vendredi 04 Septembre 2009

Thursday, August 06, 2009

La vérité selon Obama

leJDD.fr: Aux Etats-Unis, l’administration Obama est à la peine pour imposer sa réforme de l’assurance-maladie. A tel point que la Maison blanche en appelle désormais aux citoyens américains, afin qu’ils dénoncent toute information "douteuse" sur le sujet.

On ne change pas une technique qui marche. Durant la campagne présidentielle américaine, le camp Obama avait lancé un site anti-rumeurs, consistant à rétablir ‘la vérité’ sur le démocrate. L’équipe du candidat avait alors invité les citoyens américains à rapporter les rumeurs les plus folles. L'efficacité de la méthode s'est rappelée au bon souvenir du président Obama. Dans un message posté sur le blog officiel de la présidence, le directeur chargé des nouveaux médias, Macon Phillips, demande ainsi à ses concitoyens de rapporter toutes les informations entendues sur la réforme de l’assurance-maladie, projet phare de la mandature démocrate. "Il y a beaucoup de désinformation sur la réforme (…) ces rumeurs se répandent (...) par les chaînes de courrier électronique ou les conversations ordinaires", écrit-il. Et d’en appeler aux citoyens américains: "Nous vous demandons de nous aider. Si vous recevez un courriel ou voyez quelque chose sur internet qui vous semble douteux au sujet de la réforme de l’assurance-santé, envoyez-le à flag@whitehouse.gov."

Le message n’est pas passé inaperçu dans le camp républicain. En colère, le sénateur du Texas, John Cornyn, s’est fendu d’un courrier à la Maison blanche, rendu public sur son site internet. "Je n'ai pas connaissance d'un quelconque précédent dans lequel un président demande aux citoyens américains de rapporter (...) ce que disent leurs concitoyens lors de discussions publiques, et qui serait considéré comme douteux ou hostile aux intérêts politiques de la Maison Blanche", écrit-il. L’élu républicain demande désormais à l’administration Obama de s’expliquer sur la manière dont elle entend utiliser les informations rapportées par les internautes, disant craindre une quelconque action à l’encontre des personnes ainsi dénoncées. Et d’exhorter la Maison blanche à "cesser immédiatement de dresser une liste d’ennemis politiques". Washington n’a pas commenté ce courrier. >>> Jeudi 06 Août 2009

Monday, May 18, 2009

Obama veut imposer à Israël
un Etat palestinien

LE FIGARO: Benyamin Nétanyahou est un allié bien incommode pour Barack Obama, qui le recevra lundi à la Maison-Blanche.

Les experts en relations internationales du Parti démocrate gardent un très mauvais souvenir du sommet Clinton-Nétanyahou de 1996, juste après que ce dernier fut arrivé au pouvoir en Israël pour la première fois. Nétanyahou, qui s'était prononcé trois ans plus tôt contre les accords d'Oslo, signés par Arafat et Rabin, et qui s'était félicité publiquement du soutien dont il bénéficiait au sein de la droite religieuse américaine, s'était permis de sermonner longuement le président américain sur la nature «réelle» des relations israélo-arabes. Une fois son visiteur parti, Bill Clinton, parrain des accords d'Oslo, avait laissé exploser sa colère devant ses conseillers.

Mais, cette fois, ce ne sera pas un Nétanyahou conquérant qui entrera dans le Bureau ovale. Car le premier ministre israélien sait que les beaux jours de l'Administration Bush, où l'Amérique passait tout à Israël, sont bel et bien terminés. Pour George W. Bush, le conflit israélo-palestinien n'était qu'une affaire périphérique dans le contexte d'un «Grand Moyen-Orient» qu'il convenait de démocratiser en commençant par l'Irak. Faire la paix en Palestine n'était donc pas une priorité pour Washington. Avec Obama, le contentieux israélo-palestinien est redevenu le sujet majeur de la politique moyen-orientale de l'Amérique. Pour le régler, le président a des idées qui ne sont pas celles du leader du Likoud. Obama soutient l'idée de deux États, l'un juif, l'autre arabe, vivant côte à côte sur le territoire de la Palestine mandataire. Nétanyahou se dit prêt à accroître les droits économiques des Palestiniens de Cisjordanie, mais il se refuse toujours à l'idée d'une souveraineté étatique palestinienne. Obama souhaite geler toutes les implantations de colonies israéliennes en Cisjordanie, pas Nétanyahou. Le nouveau gouvernement de Jérusalem souhaiterait qu'on règle d'abord le problème du nucléaire iranien et seulement ensuite le conflit israélo-palestinien. Obama préconise la séquence inverse. >>> Renaud Girard, envoyé spécial du Figaro à Washington | Lundi 18 Mai 2009

WELT ONLINE: Barack Obama fordert einen Palästinenser-Staat

Dem israelischen Ministerpräsidenten Benjamin Netanjahu weht bei seinem Antrittsbesuch in Washington ein kalter Wind ins Gesicht: US-Präsident Barack Obama drängt den Politiker zur Fortsetzung des Friedensprozesses und zu einer Zwei-Staaten-Lösung. Für Israel ist jedoch der Iran das zentrale Thema.

Zum Auftakt des Antrittsbesuchs des israelischen Ministerpräsidenten Benjamin Netanjahu in den USA hat sich die Kontroverse über das weitere Vorgehen im Nahen Osten vertieft.

Netanjahu ließ über enge Berater signalisieren, dass er die potenzielle atomare Bedrohung durch den Iran in den Mittelpunkt der Gespräche mit Präsident Barack Obama stellen wird. Obama wollte dagegen für einen Staat Palästina werben.



"Ich werde als Verbündeter Israels dafür eintreten, dass unsere Haltung eine Chance verdient hat und Sicherheit verspricht", sagte Obama dem Magazin "Newsweek".

Die Zwei-Staaten-Lösung biete nicht nur den USA mehr Sicherheit, sondern auch Israel, und damit sei sie anderen Optionen überlegen. Obama werde zudem seine Ablehnung des Baus jüdischer Siedlungen in besetzten Gebieten im Westjordanland bekräftigen, hieß es in Regierungskreisen.



Netanjahus nationaler Sicherheitsberater Usi Arad betonte dagegen am Sonntag nach der Ankunft in den USA: "So wie die Dinge geplant sind, wird sich Herr Netanjahu auf das Thema eines nuklearen Iran konzentrieren." >>> Reuters/fsl | Montag, 18. Mai 2009

BASLER ZEITUNG: Streicht Obama Israel die Privilegien zusammen?

Nach der Ära Bush hat sich das Verhältnis zwischen Israel und den USA abgekühlt. Barack Obama stützt nicht vorbehaltlos alle israelischen Positionen.

Photobucket
Bibi und ‘Bama. Bild dank der Basler Zeitung

In den letzten Jahren der Regierung unter George W. Bush gehörten israelische Politiker zu den regelmässigen Besuchern in Washington. Sie konnten dort stets mit einem freundschaftlichen Empfang rechnen und darauf zählen, dass israelische Positionen vorbehaltlos unterstützt würden. Seit dem Machtwechsel in Washington und der Einsetzung der neuen Regierung in Israel hat sich das Verhältnis abgekühlt. Die Regierung von Barak Obama hat mehrmals klargemacht, dass sie nicht willens sei, die israelische Politik kritiklos hinzunehmen.

Israel bangt um seine privilegierte Position und fürchtet, in den USA zu einem von vielen Partnern degradiert zu werden. Unvergessen ist die unglückliche Begegnung zwischen Netanyahu und US-Präsident Bill Clinton im Jahr 1996. Clinton soll sich damals über das als arrogant empfundene Auftreten von Netanyahu nachhaltig geärgert haben. «Keine Predigten, keine Lektionen, keine Peinlichkeiten», empfiehlt deshalb ein bekannter israelischer Kommentator jetzt dem Premier. >>> Basler Zeitung | Montag, 18. Mai 2009