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Tuesday, May 31, 2011

L'UE demande au président Saleh de quitter le pouvoir au Yémen

LE POINT: Catherine Ashton, chef de la diplomatique de l'Union européenne, est "choquée" par l'usage de la force à Taëz.

La chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton s'est dite mardi "choquée" par l'usage de la force à Taëz, au Yémen, et a de nouveau demandé au président Saleh de signer "sans délai" l'offre de médiation du Conseil de coopération du Golfe (CCG) prévoyant son départ. "Il est temps maintenant, sans nouvelles échappatoires, de signer et de mettre en oeuvre l'offre de médiation du Conseil de coopération du Golfe (CCG)", a souligné Mme Ashton dans un communiqué. » | Source AFP | Mardi 31 Mai 2011

Tuesday, February 15, 2011

L'UE appelle l'Iran à respecter le droit de manifestation

LE POINT: Catherine Ashton rappelle que les citoyens ont "le droit de se rassembler pacifiquement".

La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a appelé mardi l'Iran à respecter le droit de manifester pacifiquement et a critiqué les restrictions imposées à certains membres de l'opposition réformatrice. Catherine Ashton suit de près les événements en Iran, "en particulier les restrictions apparentes à la liberté de mouvement de certains membres de l'opposition et les manifestations qui ont lieu dans les rues", souligne un communiqué de sa porte-parole. "Elle appelle les autorités iraniennes à respecter pleinement et à protéger les droits de leurs citoyens, y compris la liberté d'expression et le droit de se rassembler pacifiquement." >>> Source AFP | Mardi 15 Février 2011

Les autorités iraniennes demandent la mort des chefs de l'opposition, l'Europe réagit

TRIBUNE DE GENÈVE: MANIFESTATION | L'Union européenne fait pression sur l'Iran pour respecter le droit à manifester du peuple. Les autorités iranienne ont violemment réagit, parlant de complot américano-sioniste et appelant à la mort des chefs de l'opposition.

L’Union européenne a accru la pression mardi sur les autorités iraniennes pour qu’elles respectent le droit de manifester et lèvent les restrictions à l’opposition. Cette première manifestation antigouvernementale en Iran organisée depuis un an par l’opposition réformatrice montre que la population a la même soif de démocratie qu’en Egypte et en Tunisie, a estimé mardi le président du Parlement européen.

"La population iranienne veut la même liberté que celle pour laquelle les citoyens tunisiens et égyptiens ont lutté", a déclaré le Polonais Jerzy Buzek dans un communiqué. >>> AFP | Mardi 15 Février 2011

Wednesday, November 10, 2010

L'adhésion de la Turquie, de la Croatie et du Monténégro à la loupe de l'UE

LE MONDE: La Commission européenne a dressé mardi un tableau peu encourageant de l'avancée des négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE, s'inquiétant de l'impasse chypriote, alors qu'elle a ouvert la voie, dans son rapport annuel sur les projets d'élargissement de l'Union, à une candidature du Monténégro. Bruxelles a par ailleurs salué l'entrée de la Croatie dans la dernière phase des négociations d'adhésion, conditionnant la fixation d'une date à la démonstration de son engagement dans la lutte contre la corruption. >>> LEMONDE.FR | Mardi 09 Novembre 2010

Thursday, February 11, 2010

UE/Grèce : «L’Allemagne a changé les règles de la zone euro»

La chancelière allemande Angela Merkel, le premier ministre grec, George A. Papandreou et le président français Nicolas Sarkozy lors du sommet extraordinaire de l’Union européenne. Crédits photo : Le Temps

LE TEMPS: L’Allemagne est le maître d’œuvre de la mobilisation européenne en faveur de la Grèce. Elle pourrait apparaître comme une nouvelle avancée de l’intégration européenne. C’est du moins l’analyse d’Antonio Missiroli, directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles

Le sommet informel des chefs d’Etat européen s’est transformé en sommet de crise pour aider la Grèce et sauver la zone euro attaquée par les marchés financiers. Ce jeudi, le président de l’Union européenne a annoncé que les pays de la zone euro prendront si nécessaire, des mesures «déterminées et coordonnées» pour préserver leur stabilité financière ébranlée par la crise grecque. Directeur de recherche du European Policy Center (EPC) à Bruxelles, Antonio Missiroli revient sur cette concertation au sommet. >>> Frédéric Koller | Jeudi 11 Février 2010

Tuesday, December 01, 2009

Le traité de Lisbonne entre en vigueur

Une brève cérémonie, organisé par le gouvernement portugais, la présidence suédoise de l'UE et la Commission européenne, devrait se dérouler mardi soir dans la capitale portugaise pour célébrer l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne. Photo crédits : Le Monde

LE MONDE: Le traité de Lisbonne est entré en vigueur mardi 1er décembre. Ce texte, censé améliorer la fonctionnement de l'UE et sa visibilité dans le monde, va lui donner "les outils nécessaires pour relever les défis futurs et répondre aux demandes des citoyens", affirme le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, dans un communiqué. Une brève cérémonie, organisée par le gouvernement portugais, la présidence suédoise de l'UE et la Commission européenne, devrait se dérouler mardi soir dans la capitale portugaise pour célébrer l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne. >>> LeMonde.fr avec AFP | Mardi 01 Décembre 2009

At Midnight Last Night, the United Kingdom Ceased to Be a Sovereign State

THE TELEGRAPH: We woke up in a different country today. Alright, it doesn’t look very different. The trees still seem black against the winter sun; the motorways continue to jam inexplicably; commuters carry on avoiding eye contact. But Britain is no longer a sovereign nation. At midnight last night, we ceased to be an independent state, bound by international treaties to other independent states, and became instead a subordinate unit within a European state. >>> Daniel Hannan | Tuesday, November 01, 2009

Tuesday, November 17, 2009

Proche-Orient : Indépendance de la Palestine: l’appel à l’UE

LE TEMPS: L’Autorité palestinienne demande aux Vingt-Sept de soutenir sa démarche en vue d’une reconnaissance par le Conseil de sécurité d’un Etat palestinien indépendant. Les autorités israéliennes de leur côté mettent en garde contre tout «geste unilatéral»

Par la voie de son ministre des Négociations, Saëb Erekat, l’Autorité palestinienne (AP) a officiellement demandé lundi aux représentants diplomatiques européens en poste dans la région de soutenir son plan visant à proclamer unilatéralement l’indépendance d’un Etat palestinien «dans les frontières de 1967 et avec Jérusalem-Est (la partie arabe de la ville) pour capitale». Dans la foulée, le président du comité exécutif de l’OLP, Yasser Abed Rabo (un proche conseiller du président Mahmoud Abbas), a entamé des démarches auprès des instances des Nations unies afin de présenter le projet au Conseil de sécurité.

Malgré l’enthousiasme de façade de l’entourage de Mahmoud Abbas, la proclamation éventuelle de l’indépendance de la Palestine sur quelques parcelles de Cisjordanie suscite le plus souvent des réactions mitigées. Au sein même de l’AP, le colonel Jibril Rajoub, un responsable du Fatah qui passe pour un successeur potentiel du président palestinien, a estimé que des négociations directes avec Israël sont à ses yeux «préférables a tout geste unilatéral». Une position identique à celle de la diplomatie égyptienne ainsi qu’aux vues de l’émissaire de l’Union européenne, Marc Hotte.

Quant au Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, il a d’ores et déjà fait savoir qu’il ne participerait pas au processus initié par l’AP. «Il faut d’abord libérer les territoires occupés avant de proclamer l’indépendance», a déclaré l’un des porte-parole du mouvement islamiste. >>> Serge Dumont | Mardi 17 Novembre 2009

Monday, October 05, 2009

Editorial : En Europe aussi, le référendum fait la force

LE TEMPS: L’Union européenne avait grandement besoin du «oui» irlandais. Après le «non» de juin 2008, une nouvelle défaite sortie des urnes aurait en effet relancé le débat sur la légitimité démocratique des institutions communautaires, et transformé Bruxelles en un parfait épouvantail à voix. Les «non» français et néerlandais de 2005, qui ont enterré le projet de Constitution, seraient revenus tels un boomerang. L’Union européenne, groggy, aurait dû batailler ferme pour se relever d’un pareil coup politique.

L’Irlande a fini par accepter le Traité de Lisbonne. Mais ne soyons pas aveugles. La crise qui a terrassé le «Tigre celtique» a joué un bien plus grand rôle dans le retournement de l’opinion irlandaise que la plupart des arguments raisonnés. A une différence toutefois: fort des garanties accordées par l’UE en matière de droit à la vie, de neutralité, de fiscalité et du droit pour chaque pays à disposer d’un commissaire européen, le gouvernement irlandais – bien qu’au plus bas dans les sondages – a pu convaincre. La pédagogie a façonné le vote utile. Les électeurs se sont sentis, sinon compris, du moins écoutés et capables d’influer. >>> Richard Werly | Lundi 05 Octobre 2009

Wednesday, May 27, 2009

Les pro et anti-adhésion turque à l'UE sur Internet

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Drapeaux européen et turc flottent au-dessus du bazar couvert d'Istanbul, devant la mosquée Nuruosmaniye. Crédits photo: L’Express

L’EXPRESS.fr: Sur Internet, partisans et opposants à une adhésion turque à l'Union européenne affûtent leurs arguments. LEXPRESS.fr passe en revue les sites où les retrouver, s'informer et débattre.

Les sites partisans d'une Turquie européenne jouent la carte de l'information, face aux "préjugés". Turquieeuropenne.eu, par exemple, estime que les anti "affirment abusivement que les citoyens européens ne veulent pas de la Turquie dans l'Union Européenne".

Selon le site de cette association "excédée", "la méconnaissance de la Turquie en Europe est telle que ces sondages sont, dans l'état actuel des choses, sans aucune signification". La Turquie n'est, selon ses membres, que le "nouveau bouc émissaire" trouvé par les eurosceptiques "qu'ils soient souverainistes, nationalistes ou tout simplement xénophobes ". Turquie Européenne est aussi présente sur Facebook.

Tetedeturc.com est, comme son URL l'indique, sur la même longueur d'ondes... Ce site animé par un collectif d'internautes bénévoles de France, Belgique et Turquie, a pour objectif d'apporter "des informations complètes, détaillées et d'offrir un autre éclairage". L'"agence d'information européenne sur la Turquie" Info-turc.org a pour devise "j'informe donc je suis".

Moins partisan, le site Turquie News est, d'après sa charte éditoriale, un "site d'informations et de débat public" qui ne se veut le porte-parole d'aucun parti. Les opinions y sont diverses. Mais dans la rubrique "Europe", les titres des contributions mises en ligne sont cependant plus pro qu'anti-adhésion turque... Voir aussi leur groupe Facebook. >>> Par Marie Simon | Mardi 26 Mai 2009

Thursday, May 14, 2009

UNION EUROPÉENNE - Erdogan à Sarkozy : "Ne changez pas les règles en plein match"

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Le Premier ministre turc dénonce les propos du président français et de la chancelière allemande, tous deux opposés à l'entrée de la Turquie dans l'UE. Crédits photo: Le Point

LEPOINT.fr: Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a appelé jeudi la France et l'Allemagne à ne pas changer les critères d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. "Quand un match a déjà commencé, on ne peut pas changer les règles du jeu en plein match. C'est ridicule", a déclaré le Premier ministre turc à la presse lors de sa visite à Varsovie.

Il a qualifié de "très regrettables" les derniers propos du président français Nicolas Sarkozy et de la chancelière allemande Angela Merkel confirmant leur opposition à l'entrée de la Turquie dans l'UE, à quelques semaines des élections européennes. "Tout ce qui a été dit lors des entretiens bilatéraux devrait être appliqué. Tout ce qui s'appliquait aux 27 pays qui sont membres de l'UE devrait s'appliquer également à la Turquie", a ajouté M. Erdogan. >>> AFP | Jeudi 14 Mai 2009

Thursday, February 12, 2009

La Turquie sera prête à entrer dans l'UE d'ici 2013

RIGA | La Turquie sera prête à adhérer à l'Union européenne d'ici 2013, a déclaré jeudi à Riga son ministre des Affaires étrangères Ali Babacan.

"Nous sommes pleinement déterminés à entrer dans l'Union européenne. D'ici 2013, la Turquie se déclarera prête mais nous ne savons pas si l'UE y sera de son côté préparée", a déclaré le chef de la diplomatie turque à la presse.

"Nous ne sommes pas extrêmement pressés", a-t-il ajouté au cours d'une visite officielle en Lettonie, pays balte membre de l'Union depuis 2004. "Dans deux ou trois ans, la Turquie sera différente de ce qu'elle est maintenant", a poursuivi le ministre. >>> AFP | Jeudi 12 Février 2009

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Thursday, January 22, 2009

Ankara repart à l'assaut
 de Bruxelles

LE FIGARO: Le premier ministre turc s'est efforcé lundi auprès de la Commission de relancer les négociations d'adhésion de son pays à l'UE.

Pour sa première visite à Bruxelles depuis 2004, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a tenté lundi de relancer les négociations d'adhésion de son pays à l'UE, aujourd'hui enlisées. «L'intégration européenne est pour nous un objectif stratégique», a-t-il répété, en promettant un «processus de négociation plus actif et plus vivant». «Nous ferons tout notre possible pour accomplir de réels progrès dans la négociation», a répondu en écho le président de la Commission, José Manuel Barroso, qui espère une percée en 2009.

Depuis l'ouverture des pourparlers d'adhésion en octobre 2005, les relations se sont progressivement détériorées entre les deux parties. À force d'envoyer des signaux contradictoires à Bruxelles, Ankara a découragé ses partenaires européens. Et faute d'unanimité au Conseil, l'Union européenne, pour sa part, n'accorde qu'avec parcimonie les laissez-passer qui permettraient à Ankara de s'arrimer plus fermement à sa rive européenne.

Récemment, le gouvernement Erdogan a nommé un nouveau négociateur en chef et donné des gages de bonne gouvernance démocratique à l'Europe en lançant une chaîne de télévision diffusant en langue kurde. Il reste que sur les trente-cinq chapitres qui jalonnent le processus de négociation, seuls dix ont été ouverts, d'une importance mineure.

Huit chapitres, en particulier, sont gelés depuis 2006 à l'initiative de Nicosie, après que la Turquie ait refusé d'étendre les bénéfices de l'Union douanière avec l'UE, à la république de Chypre. L'île reste divisée entre sa partie sud et sa partie nord, contrôlée par Ankara et non reconnue par la communauté internationale. >>> Pierre Avril | Jeudi 22 Janvier 2009

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Friday, June 13, 2008

L'adhésion de la Turquie 
à l'UE en question à Bruxelles

LE FIGARO: Dans la perspective d'une invalidation de l'AKP, le parti au pouvoir, la Commission envisage une suspension des négociations.

La perspective de voir le principal parti islamiste turc, l'AKP, purement et simplement rayé de la vie politique nationale affole plusieurs dirigeants européens. À tel point que la Commission européenne envisage, en guise de me­sure de rétorsion, de suspendre les négociations d'adhésion avec An­kara. Selon un scénario imaginé à Bruxelles, cette riposte pourrait intervenir après que la Cour constitutionnelle turque juge illégale, le cas échéant en octobre prochain, la formation du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan. Interdire un parti politique, qui plus est proeuropéen et ultra-influent, équi­vaudrait pour les responsables communautaires à une sorte de coup d'État en douceur. Inacceptable aux yeux de Bruxelles. L'adhésion de la Turquie 
à l'UE en question à Bruxelles >>> De Pierre Avril | 12. 06. 2008

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Monday, August 27, 2007

Sarkozy a évoqué lundi la possibilité de relancer les négociations d'adhésion de la Turquie!

TRIBUNE DE GENÈVE: Le président Nicolas Sarkozy, adversaire déclaré de l'entrée de la Turquie dans l'UE, a évoqué lundi la possibilité de relancer les négociations d'adhésion de ce pays.

M. Sarkozy, dans un discours-programme de politique étrangère, a pris soin de réaffirmer qu'il n'était toujours pas favorable à une adhésion, mais sans fermer la porte catégoriquement comme autrefois.

Il a lié cette évolution au lancement d'ici la fin de l'année par les 27 d'un comité de dix ou douze "sages de très haut niveau" qui serait chargé de réfléchir à l'avenir du projet européen à l'horizon 2020-2030.

"Si cette réflexion essentielle sur l'avenir de notre Union est lancée par les 27, la France ne s'opposera pas à ce que de nouveaux chapitres de la négociation entre l'Union et la Turquie soient ouverts dans les mois et les années qui viennent", a-t-il dit.

M. Sarkozy a posé pour condition que "ces chapitres soient compatibles avec les deux visions possibles de l'avenir de leurs relations: soit l'adhésion, soit une association aussi étroite que possible sans aller jusqu'à l'adhésion".

Le président a toutefois souligné qu'il n'était toujours pas partisan d'une adhésion. "Je ne vais pas faire d'hypocrisie: chacun sait que je ne suis favorable qu'à l'association (...) Je pense que cette idée d'association sera un jour reconnue par tous comme étant la plus raisonnable", a-t-il dit.

Mais M. Sarkozy s'est abstenu de reprendre les formules-choc qu'il avait employées par le passé pour rejeter toute perspective d'adhésion, comme "la Turquie n'a pas sa place" dans l'UE. Sarkozy met un bémol à son opposition à l'entrée d'Ankara dans l'UE (suivant)

LE FIGARO:
L’Europe, "priorité absolue" de Nicolas Sarkozy Par Samuel Laurent

Mark Alexander