Showing posts with label l'adhésion de la Turquie. Show all posts
Showing posts with label l'adhésion de la Turquie. Show all posts

Tuesday, February 19, 2013


Adhésion à l'UE: la Turquie satisfaite du "début de changement" de la France


L’EXPRESS.fr: Ankara salue la levée partielle du blocage de Paris aux pourparlers sur l'adhésion turque à l'Union européenne.

Le "début d'un changement". Le ministre turc aux Affaires européennes Egemen Bagis salue ainsi la position de la France sur l'entrée de son pays à l'Union européenne, après la levée annoncée du veto qu'exerçait Paris sur un des chapitres des négociations d'adhésion.

"C'était une chose logique à faire. Bloquer le processus d'adhésion de la Turquie n'a aucun sens", estime Egemen Bagis dans un entretien accordé à l'AFP à la veille d'une rencontre avec son homologue français Bernard Cazeneuve à Paris.

La Turquie a entamé dès 2005 des négociations d'adhésion à l'UE. Mais les pourparlers patinent en raison de l'hostilité de pays européens comme la France et l'Allemagne à une pleine adhésion turque, et aussi de blocages d'Ankara. La Turquie refuse notamment d'élargir à Chypre, sous administration chypriote-grecque et membre de l'UE, le bénéfice des accords de libre circulation qui la lient au bloc européen. Ce refus a entraîné le gel de plusieurs chapitres de négociation. Sur les 35 prévus, 13 seulement font l'objet de discussions et un seul à été conclu. » | Par LEXPRESS.fr | mardi 19 février 2013

Wednesday, November 10, 2010

L'adhésion de la Turquie, de la Croatie et du Monténégro à la loupe de l'UE

LE MONDE: La Commission européenne a dressé mardi un tableau peu encourageant de l'avancée des négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE, s'inquiétant de l'impasse chypriote, alors qu'elle a ouvert la voie, dans son rapport annuel sur les projets d'élargissement de l'Union, à une candidature du Monténégro. Bruxelles a par ailleurs salué l'entrée de la Croatie dans la dernière phase des négociations d'adhésion, conditionnant la fixation d'une date à la démonstration de son engagement dans la lutte contre la corruption. >>> LEMONDE.FR | Mardi 09 Novembre 2010

Tuesday, April 06, 2010

Erdogan : «Sarkozy doit venir voir la Turquie d'aujourd'hui»

Photobucket
Recep Tayyip Erdogan : «Ceux qui ont pris la décision d'appliquer les sanctions contre l'Iran ont été les premiers à les violer». Photo : Le Figaro

LE FIGARO: INTERVIEW - Attendu en France mardi et mercredi, le premier ministre turc veut surmonter les désaccords sur l'adhésion de son pays à l'Union européenne et faire entendre sa voix sur la scène internationale.

Attendu mardi soir à Versailles pour la cérémonie de clôture de la Saison de la Turquie en France, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan rencontrera mardi le président Sarkozy et son homologue François Fillon.

LE FIGARO. - La France et la Turquie ont des liens culturels forts. Quel message adressez-vous aux Français ?

Recep Tayyip ERDOGAN. - J'attache une grande importance à cette visite. Comme vous le savez, nous allons clore en France la Saison de la Turquie. Nos deux pays entretiennent des relations culturelles anciennes, visibles en Turquie notamment dans l'enseignement. À Istanbul, les lycées Galatasaray, Saint-Joseph, Saint-Benoît ou Notre-Dame-de-Sion en témoignent. Quant au système démocratique et laïque en Turquie, nous pouvons constater la forte influence de la France.

La France et l'Allemagne ne sont pas favorables à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Comment comptez-vous surmonter ces obstacles ?

Il serait plus exact de dire que certains Français sont sceptiques sur notre adhésion. Nous devons parvenir à modifier cette vision. Par le passé, j'ai travaillé avec M. Chirac et la situation était différente. Aujourd'hui, seul le leader a changé, le parti reste le même. J'ai donc du mal à comprendre pourquoi les choses se passent ainsi. J'espère que ma visite permettra de remédier à cela.

Comme vous le savez, Angela Merkel se trouvait à Ankara la semaine dernière. Selon moi, sa visite a été fructueuse. C'est la deuxième fois qu'elle vient depuis 2006. M. Sarkozy, lui, n'est toujours pas venu. Il raconte sans cesse un voyage qu'il a effectué dans sa jeunesse. Il doit venir voir à quoi ressemble la Turquie d'aujourd'hui. Lors de ma visite en France, je vais dire au président Sarkozy que nous l'attendons très prochainement en Turquie. Il faut se rendre sur place pour constater que la Turquie devance de nombreux pays de l'Union européenne dans plusieurs domaines.

Mais les opposants à cette adhésion estiment que votre pays serait un fardeau pour l'Union européenne…

Non seulement une Turquie dans l'UE ne sera pas une charge pour l'Europe, mais elle contribuera à la soulager. L'Union européenne a accepté de nouveaux membres qui constituent un fardeau. Nos amis européens le savent. Ces pays ont été admis pour des raisons politiques et l'Union européenne en paye aujourd'hui le prix. Elle investit lourdement pour essayer de faire évoluer ces derniers arrivants. La Turquie, elle, est parvenue au même niveau par ses propres moyens. >>> Par Etienne Mougeotte et Laure Marchand | Lundi 05 Avril 2010

Beitrittsdebatte: Erdogan warnt EU davor, ein "Christenclub" zu sein

WELT ONLINE: Neue Wortmeldung von Recep Tayyip Erdogan in der Beitrittsdebatte: Die Türkei wolle keine Belastung für die Europäische Union sein, sagte der türkische Ministerpräsident. "Wenn sie uns in der EU nicht wollen, verlieren wir nichts. Dann entscheiden sie sich eben dafür, ein Christenclub zu sein."

„Die Türkei ist ein großes Land aber wir möchten der EU nicht zur Last fallen." Das hat der türkische Ministerpräsident Recep Tayyip Erdogan in Bosnien gesagt, wo er sich für einen zweitägigen Besuch aufhielt.

Vielmehr wolle sein Land dabei helfen, die bestehenden Probleme zu überwinden, sagte der türkische Regierungschef auf einer Pressekonferenz in Sarajevo. Die Türkei wolle ein „friedliches Europa“, in dem sie ihren Platz einnehmen könne. >>> AFP/fas | Dienstag, 06. April 2010

Wednesday, May 27, 2009

Les pro et anti-adhésion turque à l'UE sur Internet

Photobucket
Drapeaux européen et turc flottent au-dessus du bazar couvert d'Istanbul, devant la mosquée Nuruosmaniye. Crédits photo: L’Express

L’EXPRESS.fr: Sur Internet, partisans et opposants à une adhésion turque à l'Union européenne affûtent leurs arguments. LEXPRESS.fr passe en revue les sites où les retrouver, s'informer et débattre.

Les sites partisans d'une Turquie européenne jouent la carte de l'information, face aux "préjugés". Turquieeuropenne.eu, par exemple, estime que les anti "affirment abusivement que les citoyens européens ne veulent pas de la Turquie dans l'Union Européenne".

Selon le site de cette association "excédée", "la méconnaissance de la Turquie en Europe est telle que ces sondages sont, dans l'état actuel des choses, sans aucune signification". La Turquie n'est, selon ses membres, que le "nouveau bouc émissaire" trouvé par les eurosceptiques "qu'ils soient souverainistes, nationalistes ou tout simplement xénophobes ". Turquie Européenne est aussi présente sur Facebook.

Tetedeturc.com est, comme son URL l'indique, sur la même longueur d'ondes... Ce site animé par un collectif d'internautes bénévoles de France, Belgique et Turquie, a pour objectif d'apporter "des informations complètes, détaillées et d'offrir un autre éclairage". L'"agence d'information européenne sur la Turquie" Info-turc.org a pour devise "j'informe donc je suis".

Moins partisan, le site Turquie News est, d'après sa charte éditoriale, un "site d'informations et de débat public" qui ne se veut le porte-parole d'aucun parti. Les opinions y sont diverses. Mais dans la rubrique "Europe", les titres des contributions mises en ligne sont cependant plus pro qu'anti-adhésion turque... Voir aussi leur groupe Facebook. >>> Par Marie Simon | Mardi 26 Mai 2009

Thursday, May 14, 2009

UNION EUROPÉENNE - Erdogan à Sarkozy : "Ne changez pas les règles en plein match"

Photobucket
Le Premier ministre turc dénonce les propos du président français et de la chancelière allemande, tous deux opposés à l'entrée de la Turquie dans l'UE. Crédits photo: Le Point

LEPOINT.fr: Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a appelé jeudi la France et l'Allemagne à ne pas changer les critères d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. "Quand un match a déjà commencé, on ne peut pas changer les règles du jeu en plein match. C'est ridicule", a déclaré le Premier ministre turc à la presse lors de sa visite à Varsovie.

Il a qualifié de "très regrettables" les derniers propos du président français Nicolas Sarkozy et de la chancelière allemande Angela Merkel confirmant leur opposition à l'entrée de la Turquie dans l'UE, à quelques semaines des élections européennes. "Tout ce qui a été dit lors des entretiens bilatéraux devrait être appliqué. Tout ce qui s'appliquait aux 27 pays qui sont membres de l'UE devrait s'appliquer également à la Turquie", a ajouté M. Erdogan. >>> AFP | Jeudi 14 Mai 2009

Tuesday, May 05, 2009

Sarkozy en appelle
à un volontarisme européen

Photobucket
Nicolas Sarkozy s'est engagé dans la campagne de l'UMP pour les élections européennes du 7 juin, mardi, à Nîmes. Photo grâce au Figaro

LE FIGARO: Le chef de l'État s'est à nouveau opposé à un «élargissement sans fin» de l'Union.

Dix ans après les élections européennes de 1999 - le pire souvenir électoral de sa carrière -, Nicolas Sarkozy a lancé mardi la campagne pour le scrutin du 7 juin. Ovationné par quatre mille sympathisants, il était mardi au moins autant le patron de la majorité que le président de la République. Installé au milieu de la foule selon une scénographie déjà testée lors de sa dernière «réunion républicaine», à Saint-Quentin, Nicolas Sarkozy n'était pas là, a-t-il répété, pour «défendre son bilan» après deux ans d'Élysée. Pourtant, il n'a pas hésité à le faire en rappelant à plusieurs reprises que «depuis deux ans la France a eu le courage de se réformer». Mais, il a aussi martelé que «cette France que nous essayons de changer, nous ne la changerons pas sans l'Europe».

Mardi, il a donc défendu l'idée européenne, «celle des pères fondateurs», qui croyaient en une «Europe qui protège». De Tbilissi au G20, en passant par Gaza, il a multiplié les exemples de son action pour illustrer sa conviction qu'il est possible de «refuser l'Europe de l'impuissance». Et a fixé plusieurs conditions à la réussite de son projet

Ratifier le traité de Lisbonne

La première condition est l'instauration de «limites» à l'Union. «Pour que l'Europe veuille, il faut qu'elle cesse de se diluer dans un élargissement sans fin», a-t-il expliqué, disant clairement non, sous les applaudissements, à l'entrée de la Turquie dans l'Union. Le président souhaite en revanche créer avec Ankara «un espace économique et de sécurité commun». Un espace qu'il veut d'ailleurs élargir à la Russie . >>> Charles Jaigu, envoyé spécial du Figaro à Nîmes | Mardi 05 Mai 2009

Thursday, February 12, 2009

La Turquie sera prête à entrer dans l'UE d'ici 2013

RIGA | La Turquie sera prête à adhérer à l'Union européenne d'ici 2013, a déclaré jeudi à Riga son ministre des Affaires étrangères Ali Babacan.

"Nous sommes pleinement déterminés à entrer dans l'Union européenne. D'ici 2013, la Turquie se déclarera prête mais nous ne savons pas si l'UE y sera de son côté préparée", a déclaré le chef de la diplomatie turque à la presse.

"Nous ne sommes pas extrêmement pressés", a-t-il ajouté au cours d'une visite officielle en Lettonie, pays balte membre de l'Union depuis 2004. "Dans deux ou trois ans, la Turquie sera différente de ce qu'elle est maintenant", a poursuivi le ministre. >>> AFP | Jeudi 12 Février 2009

The Dawning of a New Dark Age (Broché et Relié) - Livraison gratuite dans toute la Suisse >>>

Thursday, January 22, 2009

Ankara repart à l'assaut
 de Bruxelles

LE FIGARO: Le premier ministre turc s'est efforcé lundi auprès de la Commission de relancer les négociations d'adhésion de son pays à l'UE.

Pour sa première visite à Bruxelles depuis 2004, le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a tenté lundi de relancer les négociations d'adhésion de son pays à l'UE, aujourd'hui enlisées. «L'intégration européenne est pour nous un objectif stratégique», a-t-il répété, en promettant un «processus de négociation plus actif et plus vivant». «Nous ferons tout notre possible pour accomplir de réels progrès dans la négociation», a répondu en écho le président de la Commission, José Manuel Barroso, qui espère une percée en 2009.

Depuis l'ouverture des pourparlers d'adhésion en octobre 2005, les relations se sont progressivement détériorées entre les deux parties. À force d'envoyer des signaux contradictoires à Bruxelles, Ankara a découragé ses partenaires européens. Et faute d'unanimité au Conseil, l'Union européenne, pour sa part, n'accorde qu'avec parcimonie les laissez-passer qui permettraient à Ankara de s'arrimer plus fermement à sa rive européenne.

Récemment, le gouvernement Erdogan a nommé un nouveau négociateur en chef et donné des gages de bonne gouvernance démocratique à l'Europe en lançant une chaîne de télévision diffusant en langue kurde. Il reste que sur les trente-cinq chapitres qui jalonnent le processus de négociation, seuls dix ont été ouverts, d'une importance mineure.

Huit chapitres, en particulier, sont gelés depuis 2006 à l'initiative de Nicosie, après que la Turquie ait refusé d'étendre les bénéfices de l'Union douanière avec l'UE, à la république de Chypre. L'île reste divisée entre sa partie sud et sa partie nord, contrôlée par Ankara et non reconnue par la communauté internationale. >>> Pierre Avril | Jeudi 22 Janvier 2009

The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
The Dawning of a New Dark Age (Relié) >>>

Friday, June 13, 2008

L'adhésion de la Turquie 
à l'UE en question à Bruxelles

LE FIGARO: Dans la perspective d'une invalidation de l'AKP, le parti au pouvoir, la Commission envisage une suspension des négociations.

La perspective de voir le principal parti islamiste turc, l'AKP, purement et simplement rayé de la vie politique nationale affole plusieurs dirigeants européens. À tel point que la Commission européenne envisage, en guise de me­sure de rétorsion, de suspendre les négociations d'adhésion avec An­kara. Selon un scénario imaginé à Bruxelles, cette riposte pourrait intervenir après que la Cour constitutionnelle turque juge illégale, le cas échéant en octobre prochain, la formation du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan. Interdire un parti politique, qui plus est proeuropéen et ultra-influent, équi­vaudrait pour les responsables communautaires à une sorte de coup d'État en douceur. Inacceptable aux yeux de Bruxelles. L'adhésion de la Turquie 
à l'UE en question à Bruxelles >>> De Pierre Avril | 12. 06. 2008

The Dawning of a New Dark Age (Broché)
The Dawning of a new Dark Age (Relié)

Monday, August 27, 2007

Sarkozy a évoqué lundi la possibilité de relancer les négociations d'adhésion de la Turquie!

TRIBUNE DE GENÈVE: Le président Nicolas Sarkozy, adversaire déclaré de l'entrée de la Turquie dans l'UE, a évoqué lundi la possibilité de relancer les négociations d'adhésion de ce pays.

M. Sarkozy, dans un discours-programme de politique étrangère, a pris soin de réaffirmer qu'il n'était toujours pas favorable à une adhésion, mais sans fermer la porte catégoriquement comme autrefois.

Il a lié cette évolution au lancement d'ici la fin de l'année par les 27 d'un comité de dix ou douze "sages de très haut niveau" qui serait chargé de réfléchir à l'avenir du projet européen à l'horizon 2020-2030.

"Si cette réflexion essentielle sur l'avenir de notre Union est lancée par les 27, la France ne s'opposera pas à ce que de nouveaux chapitres de la négociation entre l'Union et la Turquie soient ouverts dans les mois et les années qui viennent", a-t-il dit.

M. Sarkozy a posé pour condition que "ces chapitres soient compatibles avec les deux visions possibles de l'avenir de leurs relations: soit l'adhésion, soit une association aussi étroite que possible sans aller jusqu'à l'adhésion".

Le président a toutefois souligné qu'il n'était toujours pas partisan d'une adhésion. "Je ne vais pas faire d'hypocrisie: chacun sait que je ne suis favorable qu'à l'association (...) Je pense que cette idée d'association sera un jour reconnue par tous comme étant la plus raisonnable", a-t-il dit.

Mais M. Sarkozy s'est abstenu de reprendre les formules-choc qu'il avait employées par le passé pour rejeter toute perspective d'adhésion, comme "la Turquie n'a pas sa place" dans l'UE. Sarkozy met un bémol à son opposition à l'entrée d'Ankara dans l'UE (suivant)

LE FIGARO:
L’Europe, "priorité absolue" de Nicolas Sarkozy Par Samuel Laurent

Mark Alexander

Tuesday, June 26, 2007

UE est l’adhésion de la Turquie: Le troisième chapitre de négociation a été retiré de l'ordre du jour

LE FIGARO: Sous la pression de la France, un troisième chapitre de négociation a été retiré de l'ordre du jour.

TOUT JUSTE sortis d'un Conseil européen éprouvant, qui entérine la réforme des institutions de l'UE, les Vingt-Sept ont donné leur feu vert, hier à Bruxelles, à l'ouverture de deux nouveaux chapitres de négociation avec la Turquie. Il s'agit de deux chapitres mineurs - sur les trente-cinq que compte l'acquis communautaire - consacrés aux « statistiques » et au « contrôle financier ».

La Commission proposait d'ouvrir un troisième chapitre, plus important, relatif à « l'Union économique et monétaire ». Il aurait mis la Turquie sur les rails de l'euro, en faisant entrer la banque centrale turque dans le système européen des banques centrales, le « saint des saints » monétaire européen. Ce chapitre a été discrètement retiré de l'ordre du jour de la réunion, ce week-end, par la présidence allemande. Berlin voulait éviter une confrontation avec Paris sur le dossier turc, explosif depuis l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République. UE : deux chapitres s'ouvrent pour la Turquie (suivant) D’Alexandrine Bouilhet

Mark Alexander