Tuesday, May 09, 2017
The Kushners and Their Golden Visas
Jared Kushner, President Trump’s son-in-law and special adviser, is officially no longer managing his family’s businesses, but he still benefits from many of them. His sister Nicole Meyer was in Beijing and Shanghai this past weekend seeking investors for a luxury apartment project her family is developing in Jersey City, a short train ride from downtown Manhattan. Her sales pitch cited her brother and laid out how a $500,000 investment could provide a coveted path to American citizenship. The Kushner Companies later offered a mealy-mouthed apology “if that mention of her brother was in any way interpreted as an attempt to lure investors.” » | The Editorial Board | Monday, May 8, 2017
Monday, May 08, 2017
Nach Macron-Erfolg: Kühle Töne aus Moskau
Es dauerte bis Montagvormittag, bis Russlands Präsident seinem künftigen französischen Widerpart gratulierte. „Die Bürger Frankreichs haben Ihnen anvertraut, das Land in einer Zeit zu leiten, die für Europa und die ganze Weltgemeinschaft schwierig ist“, schrieb Wladimir Putin an Emmanuel Macron. Gefahren wüchsen, Konflikte eskalierten, Regionen würden destabilisiert. Daher sei es „besonders wichtig, das gegenseitige Misstrauen zu überwinden und die Kräfte zu vereinen“. Man sei zu konstruktivem Dialog bereit. Das klang nicht nach Aufbruchsstimmung im Kreml. Kein Wunder: Aus dessen Sicht ist Macron als Befürworter der EU und der engen Partnerschaft mit Berlin ein Gegner. » | von Friedrich Schmidt, Moskau | Montag, 8. Mai 2017
Renaud Girard : «Ce que devra dire Macron à Merkel»
Selon une coutume initiée par Nicolas Sarkozy, la première rencontre internationale du nouveau président de la République française sera pour la chancelière d'Allemagne. Emmanuel Macron trouvera une Angela Merkel de bonne humeur, en raison de la belle victoire, dimanche 7 mai, de la CDU dans l'élection régionale du Land de Schleswig-Holstein, qui augure bien du scrutin national du 24 septembre 2017, propre à donner un quatrième mandat à la chancelière. Suggérons que ce premier sommet franco-allemand du nouveau quinquennat se fasse à Strasbourg, afin de souligner la volonté des deux pays de redonner un second souffle à la construction européenne, après la catastrophe du Brexit. » | Par Vincent Tremolet de Villers | lundi 8 mai 2017
Kellyanne Conway Defends Obamacare Repeal By Attacking Poor People
Ivanka Trump’s New Book: Offensively Frivolous | AM Joy | MSNBC
Trump Aide Gorka Pushes Back Against Accusations Of Antisemitism
NEW YORK – A senior foreign policy adviser to US President Donald Trump pushed back Sunday against reports suggesting he has ties to proto- fascist groups in Hungary dating back to his young adulthood.
Sebastian Gorka, a deputy assistant to the president, told The Jerusalem Post Annual Conference in New York that claims he and his fellow White House colleagues Steve Bannon and Stephen Miller harbor antisemitic views are politically motivated, driven by those on the political Left aligned with movements hostile to Israel.
Gorka received a warm welcome at the conference, receiving applause at the beginning and a partial standing ovation at the end of his session with the newspaper’s editor-in-chief, Yaakov Katz.
He characterized himself and the Trump administration as staunchly “pro-Israel” and personally condemned antisemitism. (+ video) » | Michael Wilner | Sunday, May 7, 2017
Can US President Donald Trump Bring Peace to the Middle East? – Inside Story
Le général de Gaulle sur l'intégration européenne
Je voudrais parler plus spécialement de l'objection de l'intégration. On nous l'oppose en nous disant : "Fondons ensemble les 6 Etats dans une entité supranationale : ainsi ce sera très simple et très pratique". Mais cette entité-là est impossible à découvrir faute d'un fédérateur qui ait aujourd'hui en Europe la force, le crédit et l'adresse suffisants. Alors on se rabat sur une espèce d'hybride dans lequel les 6 Etats acceptent de s'engager à se soumettre à ce qui sera décidé par une certaine majorité. En même temps, bien qu'il y ait déjà 6 Parlements nationaux plus l'Assemblée parlementaire européenne, plus l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe qui est, il est vrai, antérieure à la conception des 6 et qui, me dit - on, se meurt au bord où elle fut laissée, il faudrait de surcroît élire un Parlement de plus, qualifié d'européen, qui ferait la loi aux 6 Etats. Ce sont des idées qui peuvent peut-être charmer quelques esprits, mais je ne vois pas du tout comment on pourrait les réaliser pratiquement, quand bien même on aurait 6 signatures au bas d'un papier. Y a-t-il une France, une Allemagne, une Italie, une Hollande, une Belgique, un Luxembourg, qui soient prêts à faire, sur une question importante pour eux au point de vue national et au point de vue international, ce qui leur paraîtrait mauvais parce que cela leur serait commandé par d'autres ? Est - ce que le peuple français, le peuple allemand, le peuple italien, le peuple hollandais, le peuple belge, le peuple luxembourgeois songeraient à se soumettre à des lois que voteraient des députés étrangers, dès lors que ces lois iraient à l'encontre de leur volonté profonde ? Ce n'est pas vrai : il n'y a pas moyen, à l'heure qu'il est, de faire en sorte qu'une majorité étrangère puisse contraindre des nations récalcitrantes. Il est vrai que, dans cette Europe "intégrée" comme on dit, il n'y aurait peut-être pas de politique du tout. Cela simplifierait beaucoup les choses. En effet, dès lors qu'il n'y aurait pas de France, pas d'Europe, qu'il n'y aurait pas une politique faute qu'on puisse en imposer une à chacun des 6 Etats, on s'abstiendrait d'en faire. Mais alors peut-être ce monde se mettrait - il à la suite de quelqu'un du dehors qui, lui, en aurait une. Il y aurait peut-être un fédérateur, mais il ne serait pas Européen. Et ce ne serait pas l'Europe intégrée, ce serait tout autre chose de beaucoup plus large et de beaucoup plus étendu avec, je le répète, un fédérateur. Peut-être est - ce cela qui, dans quelque mesure et quelquefois, inspire certains propos de tel ou tel partisan de l'intégration de l'Europe. Alors, il vaudrait mieux le dire.
President on Probation
Emmanuel Macron has gone from being an outsider to the most powerful man in France in an unprecedented tour de force. His success tells anyone who’s willing to take a risk that determination matters more than what the establishment says.
Mr. Macron was certainly lucky – as Napoleon put it, “you always owe something to chance.” Scandal ejected conservative candidate François Fillon from the race. And scandal has much to do with the disintegration of the party system and the elites’ narcissism. While socialists and conservatives believed that they had a firm grip on the country, young Mr. Macron saw they were dancing on a volcano sooner than everyone else. » | Thomas Hanke | Monday, May 8, 2017 ,
French Election: How Macron Defeated Le Pen to Become President - BBC News
Who Is Emmanuel Macron? – BBC News
Macron Decisively Defeats Le Pen in French Presidential Race
Mr. Macron, 39, who has never held elected office, will be the youngest president in the 59-year history of France’s Fifth Republic after leading an improbable campaign that swept aside France’s establishment political parties.
The election was watched around the world for magnifying many of the broader tensions rippling through Western democracies, including the United States: populist anger at the political mainstream, economic insecurity among middle-class voters and rising resentment toward immigrants. » | Alissa J. Rubin | Sunday, May 7, 2017
Sunday, May 07, 2017
Front National Calls for a 'New Political Movement' Says Jean Messiha - BBC News
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