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Saturday, February 08, 2020
Brexit : De Gaulle "La Grande Bretagne et l'Europe" | Archive INA
Monday, May 08, 2017
Le général de Gaulle sur l'intégration européenne
Je voudrais parler plus spécialement de l'objection de l'intégration. On nous l'oppose en nous disant : "Fondons ensemble les 6 Etats dans une entité supranationale : ainsi ce sera très simple et très pratique". Mais cette entité-là est impossible à découvrir faute d'un fédérateur qui ait aujourd'hui en Europe la force, le crédit et l'adresse suffisants. Alors on se rabat sur une espèce d'hybride dans lequel les 6 Etats acceptent de s'engager à se soumettre à ce qui sera décidé par une certaine majorité. En même temps, bien qu'il y ait déjà 6 Parlements nationaux plus l'Assemblée parlementaire européenne, plus l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe qui est, il est vrai, antérieure à la conception des 6 et qui, me dit - on, se meurt au bord où elle fut laissée, il faudrait de surcroît élire un Parlement de plus, qualifié d'européen, qui ferait la loi aux 6 Etats. Ce sont des idées qui peuvent peut-être charmer quelques esprits, mais je ne vois pas du tout comment on pourrait les réaliser pratiquement, quand bien même on aurait 6 signatures au bas d'un papier. Y a-t-il une France, une Allemagne, une Italie, une Hollande, une Belgique, un Luxembourg, qui soient prêts à faire, sur une question importante pour eux au point de vue national et au point de vue international, ce qui leur paraîtrait mauvais parce que cela leur serait commandé par d'autres ? Est - ce que le peuple français, le peuple allemand, le peuple italien, le peuple hollandais, le peuple belge, le peuple luxembourgeois songeraient à se soumettre à des lois que voteraient des députés étrangers, dès lors que ces lois iraient à l'encontre de leur volonté profonde ? Ce n'est pas vrai : il n'y a pas moyen, à l'heure qu'il est, de faire en sorte qu'une majorité étrangère puisse contraindre des nations récalcitrantes. Il est vrai que, dans cette Europe "intégrée" comme on dit, il n'y aurait peut-être pas de politique du tout. Cela simplifierait beaucoup les choses. En effet, dès lors qu'il n'y aurait pas de France, pas d'Europe, qu'il n'y aurait pas une politique faute qu'on puisse en imposer une à chacun des 6 Etats, on s'abstiendrait d'en faire. Mais alors peut-être ce monde se mettrait - il à la suite de quelqu'un du dehors qui, lui, en aurait une. Il y aurait peut-être un fédérateur, mais il ne serait pas Européen. Et ce ne serait pas l'Europe intégrée, ce serait tout autre chose de beaucoup plus large et de beaucoup plus étendu avec, je le répète, un fédérateur. Peut-être est - ce cela qui, dans quelque mesure et quelquefois, inspire certains propos de tel ou tel partisan de l'intégration de l'Europe. Alors, il vaudrait mieux le dire.
Wednesday, November 10, 2010
THE DAILY TELEGRAPH: President Nicolas Sarkozy is dangerous for France, warned Dominique de Villepin, the former French prime minister, as the bitter Right-wing rivals competed for Charles de Gaulle's mantle on the 40th anniversary of his death.
With De Gaulle nostalgia in full swing in France, President Sarkozy yesterday seized the commemoration to liken himself to the revered wartime leader who refused to collaborate with the Nazis and was the architect of the country's post-War recovery.
In a thinly-veiled reference to his deeply unpopular pension reforms, which brought millions to the streets in the past few weeks, the President quoted De Gaulle's phrase: "If France has called me to serve as its guide, it is certainly not to preside over its sleep."
But Mr de Villepin, a staunch Gaullist who famously opposed the 2003 US-led invasion of Iraq, was the most vocal in denying the president's right to claim such a heritage. >>> Henry Samuel in Paris | Tuesday, November 09, 2010
Friday, June 18, 2010
THE TELEGRAPH: French President Nicolas Sarkozy made a symbolic visit to London today to mark the 70th anniversary of General Charles de Gaulle's radio broadcast urging his nation to resist the Nazi occupation of France.
The Prince of Wales greeted Mr Sarkozy and his wife, Carla Bruni, as they arrived at Clarence House during a day of official engagements to commemorate the historic milestone.
The Prince and the president jointly laid a wreath at the statues of King George VI and his wife Queen Elizabeth, the Queen Mother, in The Mall.
Charles and Mr Sarkozy went on to lay wreaths at the statue of General de Gaulle in Carlton Gardens while Ms Bruni looked on.
The Prince's wreath said: "In special memory of Franco-British solidarity 70 years ago."
On June 18, 1940, General de Gaulle appealed to his countrymen over the BBC airwaves. >>> | Friday, June 18, 2010
THE GUARDIAN: Carla Bruni and Samantha Cameron lead their husbands to lunch inside 10 Downing Street
Tuesday, June 17, 2008
BBC: The main threat facing France is that of terrorism and the country's defence system needs to reflect that, French President Nicolas Sarkozy has said.
He was presenting a major overhaul of the military which includes cutting more than 50,000 defence jobs and boosting intelligence resources.
Mr Sarkozy confirmed France would soon rejoin the military command of Nato that it left in 1966.
He was outlining his new strategy to some 3,000 senior officers in Paris.
There is no doubt that France's new defence policy bears the stamp of President Nicolas Sarkozy himself, says BBC diplomatic correspondent Jonathan Marcus.
He is the most Atlanticist president to occupy the Elysee Palace since the late 1950s, our correspondent adds.
In 1966, Gen Charles de Gaulle pulled French troops out of Nato's integrated command structure as a gesture of independence from Washington. French Defence to Counter Terror >>> | June 17, 2008
The Dawning of a New Dark Age (Paperback – USA)
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