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Friday, April 19, 2013


Arnoud Van Doorn, ancien membre du parti islamophobe néerlandais est parti faire sa Omra

AJIB.fr: Sur son compte Twitter, Arnoud Van Doorn, nous apprend qu’il est actuellement en Arabie Saoudite pour effectuer son petit pèlerinage (Omra). L’homme politique néerlandais, ancien membre du PVV, parti d’extrême-droite des Pays-Bas, avait récemment annoncé sa conversion à l’islam. En effet, le 27 février dernier, il avait effectué publiquement sa profession de foi, sur Twitter. [...]

Sur son compte Twitter, Arnoud Van Doorn, nous apprend qu’il est actuellement en Arabie Saoudite pour effectuer son petit pèlerinage (Omra).

L’homme politique néerlandais, ancien membre du PVV, parti d’extrême-droite des Pays-Bas, avait récemment annoncé sa conversion à l’islam. En effet, le 27 février dernier, il avait effectué publiquement sa profession de foi, sur Twitter. Dans une interview par un journaliste d’Al Jazeera sur sa conversion, il nous fait part de sa joie après avoir reçu autant de messages de soutien. Il faut dire que cette conversion a surpris plus d’un, en raison de son ancienne appartenance politique, à un parti nationaliste et islamophobe. » | Par Oum Michket | AJIB.FR | vendredi 19 avril 2013

Sunday, February 03, 2013

Arabie saoudite: Peine très légère pour un homme ayant violé et tué sa fille

TRIBUNE DE GENÈVE: Il n'a reçu qu'une peine légère pour avoir tué sauvagement sa fillette de 5 ans. Mais un homme ne peut être condamné à mort en Arabie saoudite pour le meurtre de sa femme ou de son enfant.

Un prédicateur saoudien a été récemment condamné à une courte peine de prison et à verser une compensation financière pour le viol et le meurtre de sa fille de 5 ans, ont rapporté samedi 3 militantes des droits humains. Ces dernières ont dénoncé la mansuétude du jugement, l’estimant révélatrice du statut des femmes dans le pays.

Selon ces militantes saoudiennes, la petite Lama, hospitalisée le 25 décembre 2011 avec le crâne fracassé, des côtes cassées, des traces de brûlures et un ongle arraché, a succombé à ses blessures le 22 octobre.

La mère, qui était divorcée et n’avait pas pu voir sa fille dans les mois précédant l’hospitalisation, et une assistante sociale ont aussi évoqué des séquelles de viols particulièrement cruels, selon ces militantes. » | ats/afp/Newsnet | dimanche 03 février 2013

Sunday, November 04, 2012

Hollande rencontre en Arabie saoudite le roi Abdallah

LE POINT: Le président français doit notamment évoquer avec le souverain saoudien la crise syrienne et l'Iran.

Le président français François Hollande s'est entretenu dimanche à Jeddah, sur la mer Rouge, avec le roi Abdallah d'Arabie saoudite de la crise syrienne et de l'Iran, après avoir exprimé son soutien au Liban au cours d'une brève étape à Beyrouth. "Le président a discuté avec le roi Abdallah du processus de paix au Proche-Orient, de la question du nucléaire iranien et de la crise syrienne ainsi que de la coopération entre les deux pays", a déclaré un porte-parole de François Hollande après un entretien de deux heures.

Cette première visite en Arabie saoudite "est avant tout politique", a déclaré François Hollande aux journalistes, dans l'avion qui l'amenait de Beyrouth à Jeddah, sur la mer Rouge. "La France joue un rôle actif dans la région du Moyen-Orient. Nous sommes le pays le plus actif sur les dossiers de la Syrie, du Liban et du processus de paix" au Proche-Orient, a-t-il encore dit. "L'Arabie saoudite est extrêmement inquiète des agissements iraniens" pour se doter de l'arme nucléaire, avait en outre souligné l'Élysée, tandis que François Hollande a déclaré cette semaine être prêt à voter de "nouvelles sanctions" contre Téhéran. » | LePoint.fr | dimanche 04 novembre 2012

Wednesday, October 17, 2012

Les avocates saoudiennes autorisées à plaider

LA PRESSE.ca: Les avocates du royaume ultraconservateur d'Arabie saoudite seront autorisées à plaider devant les tribunaux dès la fin de la grande fête musulmane d'al-Adha qui tombe début novembre, selon une directive du ministère de la Justice, publiée mardi par le quotidien Al-Watan.

Dans cette directive, le ministère demande aux tribunaux de permettre aux avocates, détentrices d'un diplôme en droit et ayant effectué un stage de trois ans dans un cabinet de droit, de plaider devant eux.

Jusqu'ici, les avocates n'étaient pas autorisées à plaider, mais pouvaient exercer dans des cabinets d'avocats. » | Agence France-Presse, Riyad | mardi 16 octobre 2012

Thursday, October 11, 2012

Syrie : la révolte éclatée face au régime

LE FIGARO: INFOGRAPHIE - L'Arabie saoudite et le Qatar rivalisent à coups de dollars auprès des groupes armés, bloquant leur union.

Issam est en colère. «La Syrie se talibanise, sous la pression des extrémistes islamistes et personne ne dit rien», peste cet opposant, actif clandestinement. Ses hommes, à la périphérie de Damas, n'ont reçu ni armes ni argent depuis plusieurs semaines.

Début septembre, raconte Issam, «une querelle a opposé Qatariens et Saoudiens qui participent, sous l'égide des Turcs, à la distribution des armes aux insurgés dans la salle des opérations à Adana, près de la frontière syrienne». Depuis, chacun des parrains de la rébellion anti-Bachar el-Assad œuvre en solo et n'aide plus que ses partisans sur le terrain: le Qatar essentiellement des volontaires liés aux Frères musulmans, les Saoudiens surtout des militants salafistes. Les autres - notamment de nombreux militaires qui ont fait défection, comme les hommes d'Issam - se retrouvent au pain sec. «En laissant faire, les Turcs, les Américains et les Français veulent-ils transformer la Syrie en nouvel Afghanistan?», se lamente Issam.

Mise sur pied au printemps, cette «salle des opérations» permet aux Turcs de superviser le flot des armes, essentiellement légères - des kalachnikovs, plus quelques lance-roquettes antichars et antiaériens - que les rebelles se procurent au marché noir grâce à l'argent que leur livrent des émissaires saoudiens, libanais ou qatariens. À Adana, les Frères musulmans, soutenus par le Qatar et la Turquie, voulaient contrôler cette filière logistique, histoire de renforcer leurs protégés islamistes sur le terrain. Ce qui provoqua la colère des Saoudiens.

Abou Hamza, un activiste venu de l'ouest du pays, confirme: «Je suis allé récemment à Istanbul pour négocier l'appui financier des Frères musulmans syriens, mais les discussions ont échoué. Lorsqu'ils donnent de l'argent, les Frères veulent contrôler les opérations», regrette cet insurgé, qui a décidé localement de s'allier avec des salafistes. » | Par Georges Malbrunot, Service infographie du Figaro | jeudi 11 octobre 2012

Thursday, September 27, 2012

Arabie saoudite : la police tue deux agitateurs chiites

LE FIGARO: L'un deux, Khaled Abdel Karim al-Labbad, était recherché pour son implication dans des troubles dans l'est du royaume.

Khaled Abdel Karim al-Labbad était recherché par les autorités saoudiennes. Il a été tué mercredi dans la petite ville d'Awamiya, près de Qatif. Selon un porte-parole du ministère de l'Intérieur, l'activiste a été abattu «ainsi qu'un autre homme qui l'accompagnait». Labbad figurait sur une liste de 23 personnes recherchées pour leur implication dans des troubles dans l'est du royaume. Sept ont déjà été arrêtées et quatre se sont livrées aux autorités qui les ont libérées.

La dernière série de manifestations dans la province orientale avait commencé en mars 2011, et fait dix morts. Les chiites se disent discriminés par la monarchie, fondée sur la doctrine wahhabite, une forme rigoriste du sunnisme. L'État saoudien nie, et accuse les chiites d'être «des agents de l'étranger» sous-entendu de l'Iran voisin, dirigée par un clergé chiite. » | Par Pierre Prier | Envoyé spécial à Riyad | jeudi 27 septembre 2012

Tuesday, May 29, 2012

Un Saoudien condamné à mort pour meurtre décapité au sabre

TF1 NEWS: Un Saoudien, condamné à mort pour le meurtre de l'un de ses concitoyens, a été décapité au sabre mardi dans la région de Taëf, dans l'ouest de l'Arabie saoudite, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Majed al-Hosni a été reconnu coupable d'avoir tué par balle Abdel Mohsen Bacha lors d'une dispute, a précisé le ministère dans un communiqué reproduit par l'agence officielle Spa. » | mardi 29 mai 2012

Wednesday, May 16, 2012

Golfe : l'Iran hausse le ton face à l'Arabie saoudite

LE POINT: Téhéran a appelé sa population à manifester contre une tentative d'"annexion" par Riyad du royaume de Bahreïn.

L'Iran a haussé le ton, mercredi, contre un projet d'union entre l'Arabie saoudite et Bahreïn, appelant les Iraniens à se mobiliser contre ce que Téhéran considère comme une tentative d'"annexion" par Riyad d'un territoire appartenant autrefois à la Perse. Le Conseil de coordination de la propagande islamique, qui organise les manifestations officielles du régime iranien, a appelé la population à manifester dans tout le pays après la prière du vendredi "contre le plan américain d'annexion de Bahreïn par l'Arabie saoudite et pour exprimer sa colère contre les régimes laquais d'Al-Khalifa et d'Al-Saoud", en référence aux familles régnantes dans ces deux pays.

Les dirigeants des six monarchies arabes du Golfe ont décidé lundi de poursuivre l'étude d'un projet d'union, qui pourrait regrouper dans un premier temps l'Arabie saoudite et le petit royaume de Bahreïn, secoué par des manifestations de la population majoritairement chiite, comme en Iran, contre le pouvoir sunnite. Le gouvernement et le parlement iraniens ont violemment dénoncé ce projet, estimant qu'il violait les droits de la population bahreïnie et ne pouvait qu'aggraver la crise. » | Source AFP | mercredi 16 mai 2012

Thursday, March 08, 2012

L'Arabie saoudite n'extradera «jamais» Ben Ali

LA PRESSE: Le président tunisien Moncef Marzouki a estimé mercredi que l'Arabie saoudite n'extraderait «jamais» le président déchu Zine el Abidine Ben Ali, condamné par contumace à plusieurs reprises par la justice tunisienne, et qui reste poursuivi dans plusieurs affaires.

«Je pense qu'ils n'extraderont jamais Ben Ali, nous le savons, nous avons essayé à de très nombreuses reprises», a déclaré Moncef Marzouki sur la BBC.

«Nous allons probablement continuer à faire pression sur eux pour le retour de cet homme en Tunisie, mais comme je vous l'ai dit, je ne crois pas qu'ils accepteront parce qu'ils ont leurs propres traditions, leurs propres lois et nous ne voulons pas avoir des problèmes avec eux à ce propos. Parce que nous avons aussi des relations sociales et économiques avec l'Arabie saoudite et nous voulons les maintenir», a poursuivi le président tunisien. » | Agence France-Presse | Londres | mercredi 07 mars 2012

Tuesday, January 03, 2012

L'Arabie saoudite ignore la demande de Tunis d'extrader Ben Ali

TRIBUNE DE GENÈVE: Le tribunal militaire de Tunis a reporté mardi au 10 janvier le procès intenté contre l'ex-président tunisien Ben Ali et une quarantaine de hauts responsables du régime.

«Nous avons demandé à deux reprises son extradition, mais nous n'avons pas reçu de réponses», a expliqué le président du tribunal militaire de Tunis, Hédi Ayari, aux avocats qui l'interrogeaient sur les efforts tunisiens pour faire revenir Ben Ali d'Arabie Saoudite.

Ce procès, reporté pour la deuxième fois, porte sur leurs rôles dans la mort de 43 manifestants et la blessure de 97 autres dans le gouvernorat de Tunis et autres villes au nord du pays comme Bizerte et Nabeul, lors des soulèvements datés d'une année en Tunisie. Continuez à lire et écrire un commentaire » | ATS/AFP/Newsnet | mercredi 04 janvier 2012

Thursday, November 17, 2011

En Arabie saoudite, une féministe chez les Saoud

LE MONDE – LE MAGAZINE: EN COULISSES – La princesse saoudienne Amira plaide la cause des femmes dans son pays. Un engagement à portée limitée même si le roi vient de leur donner le droit de voter aux élections municipales.

Naguère, les princesses dispensaient leurs bienfaits par le biais de sociétés de charité, aujourd'hui, elles accèdent au ministère de la parole grâce à Twitter. L'Arabie saoudite s'est trouvé une égérie en la personne de la quatrième épouse du richissime prince Al-Walid Ben Talal Ben Abdelaziz Al-Saoud, Amira. Née en Arabie saoudite, diplômée en droit des affaires d'une université du Connecticut, cette princesse de 27 ans, très médiatisée, a été la première à se féliciter, sur Twitter, de l'annulation en septembre par le roi Abdallah d'une peine de dix coups de fouet prononcée à l'encontre d'une Saoudienne. Sa faute : avoir pris le volant dans un pays où une fatwa interdit aux femmes de conduire. … » | Gilles Paris | sans date

Sunday, November 06, 2011

Les musulmans du monde entier célèbrent l'Aïd

LE FIGARO: EN IMAGES - La plus importante fête de l'Islam, qui commémore la fidélité du prophète Ibrahim, coïncide avec le grand pèlerinage de La Mecque, où plus de 3 millions de musulmans sont rassemblés.


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Sunday, October 09, 2011

Un Saoudien décapité pour meurtre

leJDD.fr: Un Saoudien reconnu coupable du meurtre d'un de ses compatriotes a été décapité dimanche, a annoncé le ministère de l'Intérieur, ce qui porte à au moins 57 le nombre d'exécutions depuis le début de l'année.

Le viol, le meurtre, l'apostasie, le vol à main armée et le trafic de drogue sont passibles de la peine capitale en Arabie saoudite qui applique strictement la charia, la loi islamique.

Dix personnes avaient été décapitées au cours de la seule journée de vendredi: huit ressortissants du Bangladesh condamnés pour vol et meurtre, et deux Saoudiens. [Source: leJDD.fr] | Dimanche 09 Octobre 2011

Wednesday, September 28, 2011

Arabie: le roi annule la condamnation d’une Saoudienne qui a pris le volant

TRIBUNE DE GENÈVE: Le roi Abdallah a annulé la condamnation d’une Saoudienne à dix coups de fouet pour avoir bravé l’interdiction faite aux femmes de conduire dans le royaume ultra-conservateur saoudien, a indiqué mercredi une princesse saoudienne.

Le roi Abdallah a annulé la condamnation d’une Saoudienne à dix coups de fouet pour avoir bravé l’interdiction faite aux femmes de conduire dans le royaume ultraconservateur saoudien, a indiqué mercredi une princesse saoudienne.

"Dieu merci, la flagellation de Sheima a été annulée. Merci à notre roi bien-aimé. Je suis sûre que toutes les femmes saoudiennes seront heureuses, je sais que je le suis", a annoncé sur Twitter la princesse Amira Tawil, épouse d’un neveu du roi et richissime homme d’affaires Walid ben Talal.
L’annulation de la condamnation a été confirmée par une source informée à Ryad. » | AFP | Mercredi 28 Septembre 2011

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THE DAILY TELEGRAPH: Saudi king saves woman driver from 10 lashes: Saudi King Abdullah has overturned a court verdict that sentenced a Saudi woman to be lashed 10 times for defying the kingdom's ban on women driving. » | Thursday, September 29, 2011

Sunday, September 25, 2011

Arabie saoudite: les femmes auront le droit de voter

TRIBUNE DE GENÈVE: Le roi Abdallah d’Arabie saoudite a annoncé dimanche l’octroi aux femmes du droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales.

Le roi Abdallah d’Arabie saoudite est intervenu dimanche dans un discours prononcé devant le Majlis al-Choura, ou conseil consultatif. Il a a annoncé l’octroi aux femmes du droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales.

La femme saoudienne se voit accorder pour la première fois le droit de vote et d’éligibilité à un scrutin dans ce royaume ultraconservateur, où seules des élections municipales sont organisées. » | AFP | Dimanche 25 Septembre 2011

THE SUNDAY TELEGRAPH: Saudi women given right to vote by King Abdullah: Saudi King Abdullah has given the kingdom's women the right to vote for first time in nationwide local elections, due in 2015. » | Sunday, September 25, 2011

THE GUARDIAN: Saudi Arabia gives women right to vote: Saudi women will have the right to stand for office and vote in future local elections, says King Abdullah » | Reuters | Sunday, September 25, 2011

Tuesday, March 01, 2011

Ben Ali a quitté le palais du roi Faysal à Djeddah

FIGARO – BLOG _ GEORGES MALBRUNOT: L’ex raïs tunisien a quitté le Palais de l’ex roi Faysal à Djeddah, où il avait été hébergé à son arrivée en Arabie saoudite, le 15 janvier dernier. «Mais depuis personne ne sait où il est », nous affirme un habitant de la cité portuaire saoudienne sur la Mer rouge. «Il y a beaucoup de rumeurs, mais c’est un sujet qui est tabou ici à Djeddah», ajoute-t-il. Continuez à lire et écrire un commentaire >>> Georges Malbrunot | Lundi 28 Février 2011

Monday, February 21, 2011

La Tunisie réclame l'extradition de Ben Ali

LE FIGARO: Le gouvernement tunisien a demandé à l'Arabie Saoudite de lui remettre l'ex-raïs, qui serait actuellement dans le coma, ainsi que son épouse, Leïla Trabelsi.

La Tunisie, où les ministres de l'Économie, Christine Lagarde, et des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, se rendent mardi, a demandé dimanche à l'Arabie saoudite d'extrader Zine el-Abidine Ben Ali. Le gouvernement tunisien a fait de même lundi pour l'épouse du président déchu, Leïla Trabelsi. Ben Ali est accusé d'être impliqué dans «plusieurs crimes graves» et d'avoir «semé la discorde entre [les Tunisiens] en les poussant à s'entre-tuer». Ces charges viennent s'ajouter à celles, déjà formulées, pour corruption dans un mandat d'arrêt international lancé fin janvier.

Ben Ali, qui a dirigé le pays pendant vingt-trois ans, a pris la fuite le 14 janvier pour se réfugier à Djedda, port saoudien situé sur les rivages de la mer Rouge. Depuis, ses avoirs ont été gelés à l'étranger et plusieurs membres de sa famille arrêtés.

Alors que les rumeurs sur son état de santé enflaient, un proche de l'ex-raïs avait affirmé jeudi que Ben Ali, âgé de 74 ans, avait été victime d'un accident vasculaire cérébral le 15 février. Dans le coma, il serait soigné dans un hôpital de Djedda. Après avoir estimé que la santé de l'ancien président n'était pas «son affaire», le gouvernement tunisien a changé de pied. Le ministère des Affaires étrangères, qui a été confié lundi à Mouldi Kéfi, a demandé aux autorités saoudiennes des renseignements «dans les plus brefs délais» sur l'état de santé de l'ancien président, voire sur «son décès éventuel». >>> Par Pierre Gastineau | Lundi 21 Février 2011

Thursday, February 17, 2011

Ben Ali victime d'une attaque cérébrale

LE POINT: L'ex-président tunisien est réfugié en Arabie saoudite après avoir fui son pays à la mi-janvier.

L'ex-président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali a été victime d'une attaque cérébrale, selon des sources militaires et gouvernementales tunisiennes interrogées par Le Point.fr. L'information avait été révélée sur le blog de Nicolas Beau, journaliste spécialiste de la Tunisie et auteur, avec Catherine Graciet, d'une biographie de l'épouse de Ben Ali, Leïla Trabelsi. >>> Par Aziz Zemouri | Jeudi 17 Février 2011

Le blog tunisien de Nicolas Beau : Un blog dédié à la Tunisie et au monde arabe, ainsi qu'aux filouteries des bandits qui nous gouvernent. >>>

Exiled Tunisian Ruler Ben Ali Reported to Be in Coma

NEWS.COM.AU: DEPOSED Tunisian leader Zine el Abidine Ben Ali suffered a stroke a month after fleeing the country and was in a "worrying" condition in a Saudi hospital, French media have reported.

Ben Ali, who fled to Saudi Arabia on January 14 in the wake of a popular uprising against his decades-long rule, suffered a stroke earlier this week, Le Monde reported, citing the blog of French journalist Nicolas Beau, a veteran reporter specialisng in Tunisia.

Ben Ali was rushed to the hospital in Jeddah reserved for Saudi princes and was admitted under a false identity, the newspaper reported. >>> NewsCore | Thursday, February 17, 2011

THE GUARDIAN: Zine al-Abidine Ben Ali in a coma: Former Tunisian leader in hospital in Saudi Arabia after suffering a stroke two days ago, according to French agencies >>> Angelique Chrisafis | Thursday, February 17, 2011

LE FIGARO: Ben Ali serait dans le coma, selon un proche de sa famille : D'autres sources non-officielles évoquaient déjà son hospitalisation en Arabie saoudite après une attaque cérébrale. L'opposant Marzouki craint une manipulation. >>> Par Tristan Vey | Jeudi 17 Février 2011

Tuesday, February 15, 2011

La grande peur des sunnites : être lâchés par les Etats-Unis

LE MONDE: C'est le cauchemar que redoutent, depuis 1979, la plupart des alliés arabes des Etats-Unis : un lâchage américain. Qu'il s'agisse du royaume saoudien, des principautés du Golfe, ou de la monarchie hachémite en Jordanie, tous ont gardé en mémoire le sort du chah d'Iran. Pièce maîtresse de l'endiguement soviétique et d'un "grand jeu" pétrolier mis en place par Washington, après le renversement du premier ministre, Mohammad Mossadegh, en 1953, cet autocrate fut abandonné en rase campagne, une génération plus tard, par une administration américaine qui le jugeait désormais indéfendable.

Silencieux pendant la révolution tunisienne, inquiets par la tournure prise par les événements en Egypte, les monarchies autoritaires de la région ne peuvent qu'être déstabilisées par la succession de déclarations américaines incitant le président Hosni Moubarak à répondre au plus vite à la pression de sa rue.

L'Arabie saoudite est sortie de sa réserve traditionnelle en tonnant, jeudi 10 février, contre "l'ingérence de certains pays étrangers". Pour la dynastie saoudienne, les Etats-Unis alimentent la contestation par ces prises de position pressantes. Qu'un pays affaiblisse ainsi son allié leur paraît inconcevable et incompréhensible, surtout dans un contexte régional où tout ce qui pénalise l'axe des pays arabes présentés comme "modérés" (c'est-à-dire proches des Occidentaux) renforce le voisin iranien déjà débarrassé de l'endiguement assuré par l'Irak à la suite de l'invasion américaine de 2003.

Avec une Egypte paralysée pour longtemps par ses tumultes intérieurs, cet axe perd l'un de ses deux principaux moteurs. Même diminuée par le vieillissement du régime et la réduction de son influence régionale aux affaires palestiniennes, l'Egypte conservait jusqu'à présent des atouts : un appareil et un savoir-faire diplomatiques sans équivalent dans la région et une puissance économique émergente.

Le second moteur arabe, le saoudien, n'est pas sans défaillances, alors que la Jordanie connaît également quelques troubles. La convalescence du roi saoudien Abdallah au Maroc, après des opérations du dos subies aux Etats-Unis, en décembre 2010, a mis en évidence la fragilité d'une dynastie confrontée à la perspective de successions répétées compte tenu de l'âge avancé du roi (86 ans), de celui du prince héritier, Sultan (83 ans), et du suivant dans l'ordre de succession, le prince Nayef (77 ans). >>> LeMonde | Friday, 12 Février 2011

Wednesday, January 19, 2011

La vie de palace de Ben Ali à Djeddah

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La «guest house» royale dans laquelle Ben Ali séjourne est situé dans les beaux quartiers de Djeddah. Photo : Le Figaro

LE FIGARO: Le président tunisien déchu a été accueilli dans la plus grande discrétion dans cette ville côtière d'Arabie saoudite, qui a déjà reçu plusieurs dirigeants en exil. Une étape avant un probable départ pour la Libye.

On le croyait en France, à Malte ou encore à Dubaï. Mais c'est à Djeddah, en Arabie saoudite, que Zine El Abidine Ben Ali a posé ses valises, dans la nuit de vendredi à samedi dernier, à l'issue d'une errance aérienne de plusieurs heures. Le Falcon du président tunisien déchu s'est posé aux alentours de 1h, heure française - 3h dans la péninsule arabique - à l'aéroport de cette ville de plus de trois millions d'habitants située sur les côtes de la mer Rouge, à l'ouest du pays. L'ex-dirigeant tunisien, accompagné de six membres de sa famille, aurait passé sa première nuit dans le palais du prince Sultan. Avant de prendre ses quartiers dans un ancien palais royal qui sert désormais de résidence officielle pour les invités du royaume.

Derrière un haut mur d'enceinte et sept portails, gardés en permanence par des soldats, Ben Ali et sa famille profitent du palais de marbre blanc, entouré de palmiers et de verdure. Ils disposent du personnel et des gardes du corps mis à disposition par le royaume. En échange de ces largesses, le président déchu, considéré comme un réfugié politique de luxe, mais pas comme un chef d'Etat en visite, doit rester discret. «L'Arabie saoudite ne l'autorisera pas à faire des déclarations politiques ou à s'adonner à une quelconque activité politique, ni à mener des contacts avec la Tunisie», a prévenu sur al-Arabiya Jamal Khashoqgi, un analyste proche des autorités saoudiennes. >>> Par Jim Jarrassé | Mardi 18 Janvier 2011

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