Selon les services de renseignement occidentaux, plus de 400 jeunes allemands sont partis faire le jihad en 2013 en Irak et en Syrie. Un nombre important d’entre eux ont rejoint les rangs de l’organisation de l’État islamique (EI), le groupe jihadiste dirigé par le "calife" autoproclamé Abou Bakr al-Baghdadi. Les envoyés spéciaux de France 24 se sont rendus en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, dans l’ouest de l’Allemagne, là où les groupuscules salafistes, dont sont issus la plupart des jihadistes, sont de plus en plus actifs. Ce qui inquiète aussi bien les autorités que la population[.] (+ vidéo) » | mercredi 01 octobre 2014
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Monday, October 27, 2014
Ces réseaux salafistes qui inquiètent les autorités allemandes
Selon les services de renseignement occidentaux, plus de 400 jeunes allemands sont partis faire le jihad en 2013 en Irak et en Syrie. Un nombre important d’entre eux ont rejoint les rangs de l’organisation de l’État islamique (EI), le groupe jihadiste dirigé par le "calife" autoproclamé Abou Bakr al-Baghdadi. Les envoyés spéciaux de France 24 se sont rendus en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, dans l’ouest de l’Allemagne, là où les groupuscules salafistes, dont sont issus la plupart des jihadistes, sont de plus en plus actifs. Ce qui inquiète aussi bien les autorités que la population[.] (+ vidéo) » | mercredi 01 octobre 2014
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Friday, February 01, 2013
JEUNE AFRIQUE: De Bahreïn à Tombouctou, en passant par l'Algérie, il est au coeur de l'actualité : le drapeau noir imprimé de caractères blancs est devenu le symbole des salafistes du monde entier. Mais que signifie-t-il ? Décryptage.
Des caractères arabes qui claquent en blanc sur fond noir, une apparence familière, celle des étendards sombres du jihad supposés similaires à la bannière que le prophète Mohammed brandissait lors de ses conquêtes. Mais la forme de celle-ci détonne. La calligraphie basique qui le couronne, « La ilaha illa Allah » (il n’y a de dieu que Dieu), tranche avec les volutes compliquées des autres drapeaux salafistes et percute comme un « Just do it » de Nike. Il est frappé en son centre d’une sorte de cercle ovoïde barré de trois inscriptions « Allah » (Dieu),« Rasoûl » (Prophète), « Mohammed ». Un logo sobre et efficace qui évoquerait presque la pomme croquée d’Apple. Depuis 2011 cette bannière se répand dans le ciel des troupes salafistes combattantes ou militantes, des zones tribales du Pakistan aux maquis yéménites et sahéliens, des rues de Beyrouth aux places de Rabat. » | Par Jeune Afrique | mercredi 30 janvier 2013
EUROPE 1: Un ressortissant marocain, lié au groupuscule salafiste Forsane Alizza, a été expulsé jeudi vers le Maroc, a annoncé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué. < ahref=http://www.europe1.fr/France/Un-Marocain-lie-aux-salafistes-expulse-1399715/ target=_blank> » | Par Europe1.fr avec AFP | jeudi 31 janvier 2013
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Tuesday, October 16, 2012
LE FIGARO: INTERVIEW - Stéphane Lacroix est professeur à l'École d'affaires internationales de Sciences Po et spécialiste de l'islam politique. Il est notamment l'auteur de Les Islamistes saoudiens, une insurrection manquée (PUF).
LE FIGARO. - Qu'est-ce que le salafisme?
Stéphane LACROIX. - Salaf signifie ancêtre et désigne les premiers musulmans. Le salafisme désigne plusieurs mouvements qui prônent un retour à l'islam tel qu'il était pratiqué, selon eux, à l'époque du Prophète. Ce qui implique l'épuration d'un dogme qu'ils considèrent altéré, perverti au fil du temps, l'exclusion de toutes les écoles de pensée apparues plus tard au sein de l'islam: le soufisme, le chiisme... Et enfin l'adoption de pratiques sociales et religieuses ultraconservatrices. L'idéologie salafiste est née au XVIIIe siècle dans la péninsule arabique. Son maître à penser, Mohammed Abd al-Wahhab, deviendra par la suite le cofondateur du premier État saoudien avec le prince Mohammed Ibn Saoud.
S'agit-il d'un bloc homogène?
Non. La majorité des salafistes sont quiétistes, piétistes, non violents. À l'origine, ils ne s'intéressent pas à la politique. En Arabie saoudite par exemple, Mohammed Abd al-Wahhab va déléguer le politique à la famille Saoud. Ce n'est qu'à partir de la deuxième moitié du XXe siècle que les salafistes commencent à investir le champ politique, notamment pour concurrencer les Frères musulmans. Au départ, il ne s'agit que de constituer des groupes de pression pour faire valoir leurs idées. Le parti égyptien al-Nour (qui a emporté un quart des sièges au parlement, NDLR) est allé beaucoup plus loin. Il suit une logique politique qui se distingue de plus en plus de la logique religieuse. Ce qui d'ailleurs divise ce parti, certains estimant que cette politisation menace de dénaturer la doctrine salafiste. Et j'ai l'impression que les «durs» sont en train de prendre le dessus.
Il y a aussi une mouvance djihadiste, mais elle est très minoritaire. Elle est apparue avec le conflit afghan, et se pense comme un mouvement transnational, panislamisme. Enfin, il y a un salafisme populiste né après les révolutions arabes qui converge parfois avec les salafistes djihadistes dans le sens où les uns et les autres refusent de participer au jeu démocratique et se retrouvent ensemble dans la rue pour revendiquer l'application immédiate de la charia, la loi islamique. Il faut savoir que cette frange radicale du salafisme a été instrumentalisée par les régimes Moubarak ou Ben Ali pour isoler et diaboliser les Frères musulmans en Égypte et Ennahda en Tunisie. » | Par Arielle Thedrel | vendredi 12 octobre 2012
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Monday, October 15, 2012
Thursday, October 11, 2012
LE FIGARO: INFOGRAPHIE - L'Arabie saoudite et le Qatar rivalisent à coups de dollars auprès des groupes armés, bloquant leur union.
Issam est en colère. «La Syrie se talibanise, sous la pression des extrémistes islamistes et personne ne dit rien», peste cet opposant, actif clandestinement. Ses hommes, à la périphérie de Damas, n'ont reçu ni armes ni argent depuis plusieurs semaines.
Début septembre, raconte Issam, «une querelle a opposé Qatariens et Saoudiens qui participent, sous l'égide des Turcs, à la distribution des armes aux insurgés dans la salle des opérations à Adana, près de la frontière syrienne». Depuis, chacun des parrains de la rébellion anti-Bachar el-Assad œuvre en solo et n'aide plus que ses partisans sur le terrain: le Qatar essentiellement des volontaires liés aux Frères musulmans, les Saoudiens surtout des militants salafistes. Les autres - notamment de nombreux militaires qui ont fait défection, comme les hommes d'Issam - se retrouvent au pain sec. «En laissant faire, les Turcs, les Américains et les Français veulent-ils transformer la Syrie en nouvel Afghanistan?», se lamente Issam.
Mise sur pied au printemps, cette «salle des opérations» permet aux Turcs de superviser le flot des armes, essentiellement légères - des kalachnikovs, plus quelques lance-roquettes antichars et antiaériens - que les rebelles se procurent au marché noir grâce à l'argent que leur livrent des émissaires saoudiens, libanais ou qatariens. À Adana, les Frères musulmans, soutenus par le Qatar et la Turquie, voulaient contrôler cette filière logistique, histoire de renforcer leurs protégés islamistes sur le terrain. Ce qui provoqua la colère des Saoudiens.
Abou Hamza, un activiste venu de l'ouest du pays, confirme: «Je suis allé récemment à Istanbul pour négocier l'appui financier des Frères musulmans syriens, mais les discussions ont échoué. Lorsqu'ils donnent de l'argent, les Frères veulent contrôler les opérations», regrette cet insurgé, qui a décidé localement de s'allier avec des salafistes. » | Par Georges Malbrunot, Service infographie du Figaro | jeudi 11 octobre 2012
Monday, May 21, 2012
TRIBUNE DE GENÈVE: Le ministre tunisien de la Justice, Noureddine Bhiri, a mis en garde lundi les salafistes, qui ont récemment tenté d'interdire la vente d'alcool dans la ville de Sidi Bouzid (centre) en fermant par la force plusieurs bars.
Le gouvernement tunisien met en garde les salafistes après la fermeture musclée par des salafistes de plusieurs dizaines de bars à Sidi Bouzid.
«Je dis à ces gens là - les salafistes - qui pensent que l'Etat a peur d'eux, que la promenade est terminée et que ceux qui dépassent les lignes rouges vont être punis», a-t-il précisé sur les ondes de la radio tunisienne privée Express FM. Sidi Bouzid est la ville d'où est partie la révolution tunisienne en décembre 2010, ayant abouti à la chute en janvier du régime de Zine El Abidine Ben Ali, après l'immolation par le feu d'un jeune vendeur ambulant, Mohamed Boauzizi, devant le gouvernorat.
Depuis vendredi, des salafistes qui tentent d'interdire la vente de l'alcool dans cette ville, ont demandé aux propriétaires des bars et de points de vente de fermer leur locaux avant d'avoir recours à la force pour «imposer leur loi», a expliqué une source sécuritaire sur place. » | afp/Newsnet | lundi 21 mai 2012
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KAPITALIS: La 4e ville sainte de l’islam a été reconquise, dimanche, par les salafistes tunisiens, appelant au meurtre des juifs et scandant le nom de Ben Laden, sous le regard médusé de la population. Le gouvernement regarde ailleurs. Reportage Afp-Kapitalis…
Bruits de sabre et de chevaux au galop, chants guerriers, treillis militaires sur tenues afghanes: les salafistes tunisiens se sont invités dimanche à Kairouan (centre), quatrième ville sainte de l’islam, sous le regard de commerçants et de quelques touristes interloqués.
Appliquer la charia de Dieu
Venus en bus de plusieurs régions de Tunisie, quelques milliers de partisans d’Ansar al Charia, l’un des mouvements les plus radicaux de la mouvance salafiste en Tunisie, lancé en avril 2011, ont investi toute la journée la grande mosquée et la médina de la ville.
«Le deuxième congrès des partisans de la charia se tient cette année dans une ville qui a une très forte symbolique historique et religieuse, et réunit tous les frères qui ont pour objectif de faire appliquer la charia de Dieu dans notre pays», indiquait le magazine ‘‘La promesse’’, distribué à l’entrée.
Une gigantesque banderole à l’effigie du mouvement a été déroulée sur le minaret de la célèbre mosquée, la plus vieille d’Afrique, et des salafistes montés sur les murs d’enceinte agitaient au vent des drapeaux noirs de l’islam, sur fond de chants religieux et démonstration d’arts martiaux, pour un spectacle rôdé et destiné à impressionner. » | Source: AFP | lundi 21 mai 2012
WIKI: Kairouan (en français) »
WIKI: Kairouan (en anglais) »
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Sunday, May 20, 2012
BUSINESSNEWS.com.tn: Les salafistes ont effectué, samedi 19 mai 2012, une opération de ratissage visant la fermeture des points de vente de boissons alcoolisés et, partant, tous les bars, hôtels et dépôts de vente d'alcool de la ville, selon plusieurs sources concordantes. Même les locaux de vente des glaçons alimentaires ont été pris pour cible, selon d’autres sources. Le but visé est «plus d’alcool à Sidi Bouzid».
Selon un premier témoignage recueilli par Shems Fm, les habitants de Sidi Bouzid ont protesté auprès du gouvernorat réclamant la fermeture de ces lieux, à cause des tapages nocturnes, braquages et autres inconvénients, mais leur demande est restée lettre morte. Les habitants ont réclamé alors l’aide des salafistes qui ont fait, samedi, le tour des lieux pour interdire la vente d’alcool.
En représailles, les vendeurs d’alcool ont attaqué la mosquée, après la prière du soir, armés de fusils de chasse, d’armes blanches et de pierres et agressant les personnes présentes, toujours selon le témoignage de Shems Fm. En colère, les habitants se sont dirigés vers des entrepôts de vente d’alcool pour les incendier. Le témoin a précisé qu’un sit-in de protestation aura lieu, dimanche dans 8 mosquées, après la prière du « dhohr », en protestation contre cette agression. » | dimanche 20 mai 2012
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Sunday, April 29, 2012
LE FIGARO: Mohammed Mahmoud appelle au djihad, prétend conquérir Rome et «exécuter les sentences d'Allah sur la place Saint-Pierre».
L'Allemagne entend afficher sa détermination dans la lutte contre la mouvance salafiste. En ordonnant l'expulsion du prêcheur radical Mohammed Mahmoud, sur décision du ministère de l'Intérieur de la Hesse, les autorités allemandes espèrent décapiter l'islam radical sur leur territoire.
En quelques mois, ce salafiste autrichien d'origine égyptienne, plus connu sous son nom de guerre «Abou Usama al-Gharib», s'était imposé à la tête de la mouvance radicale outre-Rhin. Il appelle au djihad et se dit prêt à mourir pour ses convictions. «Ceux qui ne sont pas prêts à accepter les règles démocratiques, l'organisation de la société, qui rejettent les lois et qui appellent au renversement du système démocratique, par la violence si nécessaire, doivent quitter l'Allemagne», a expliqué Boris Rhein, ministre de l'Intérieur du Land de Hesse.
Réputé pour ses liens avec al-Qaida, Mohammed Mahmoud s'est installé en Allemagne en septembre 2011, après sa sortie de prison. Il avait été condamné en 2008 à quatre ans de détention à Vienne pour avoir fabriqué une ceinture d'explosifs. » | Par Patrick Saint-Paul | vendredi 27 avril 2012
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Wednesday, April 25, 2012
JOL PRESS: Le 22 avril, à Kélibia, en Tunisie, des Salafistes ont envahi un centre culturel où le penseur Youssef Seddik devait animer une conférence, l’empêchant ainsi de présenter l’idée selon laquelle il est « légitime pour tout musulman de relire et d'interpréter le Coran d’un point de vue personnel ». Un incident qui renvoie à l'inquiétante montée des mouvances fondamentalistes dans le pays.
En Tunisie, s'attaquer aux extrémistes s’avère dangereux et risqué : peu osent se frotter aux islamistes radicaux, même sous l’uniforme des forces de l’ordre. Ce 23 avril, malgré les nombreux appels au secours lancés par les membres de l’AACK, la police a choisi de ne pas intervenir. Les quelque représentants de l’autorité sur les lieux, ont observé la scène à distance, laissant le champ libre aux Salafistes de profaner le drapeau national. Pendant une semaine, dans les mosquées et sur les réseaux sociaux, les religieux Salafistes ont multiplié les incitations à la haine. Des appels lancés sous le nez des autorités publiques.
Vers un retour à « l’Islam des origines »
La présence de Salafistes en Tunisie ne date pas d’hier. La mouvance fondamentaliste s’est installée progressivement dans le paysage tunisien depuis les années 1970. Toutefois, ces partisans d’un retour à « l’Islam des origines », fondé sur le Coran et la Sunna, évoluaient dans l’ombre. Ils ont en revanche su profiter de la chute du régime de Ben Ali, qui contrôlait les lieux de culte, pour rallier 400 mosquées à la cause salafiste, sur les 5 000 que compte le pays. Depuis, ils cherchent à imposer la loi islamique, sur l'ensemble du territoire. » | Par Anaïs Leleux | mercredi 25 avril 2012
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Friday, April 13, 2012
BERLINER MORGENPOST: Die Gratis-Koran-Aktion radikal-islamischer Salafisten sorgt weiter für Empörung. Verfassungsschützer sehen Gefahren.
Das Bundesamt für Verfassungsschutz hat vor der Verteilung von Millionen Koran-Exemplaren durch radikal-islamische Salafisten gewarnt. "Koran-Verteilung ist das falsche Stichwort", sagte Behördensprecher Bodo W. Becker dem "Kölner Stadt-Anzeiger" (Freitag). „Es geht hier um salafistische Propaganda und die Rekrutierung von Anhängern. Der Koran ist nur ein Vehikel.“
Salafisten stellten Grundelemente der freiheitlichen Demokratie in Frage, betonte Becker. "Dazu kommt noch die ambivalente Positionierung gegenüber Gewalt." Der Sprecher zitierte Verfassungsschutz-Präsident Heinz Fromm aus dem vorigen Sommer: "Nicht jeder Salafist ist ein Terrorist; aber jeder uns bekannte Terrorist war irgendwann einmal in salafistischen Zusammenhängen unterwegs" – dieser Satz habe weiterhin Gültigkeit. » | Quelle: dpa/dapd/nbo | Freitag, 13. April 2012
LE MONDE: En Allemagne, des distributions de corans inquiètent la classe politique : La distribution du Coran en Allemagne par un groupe salafiste, branche radicale de l'islam, suscite l'inquiétude de la classe politique, qui dénonçait, jeudi 12 avril, une exploitation du livre sacré à des fins extrémistes. ¶ Cette initiative lancée il y a déjà plusieurs mois par un groupe autoproclamé "La vraie religion" vise à écouler 25 millions d'exemplaires en allemand du livre saint de l'islam en Allemagne, en Suisse et en Autriche. Quelque deux cent cinquante mille ont déjà été distribués. » | Le Monde.fr avec AFP | jeudi 12 avril 2012
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Thursday, October 13, 2011
LE FIGARO: Suiveurs de l'idéologie d'al-Qaida, ils sont les principaux opposants au Hamas dans l'enclave de Gaza.
La voiture soulève un épais nuage de poussière sur son passage, slalome entre les monticules de sable qui cachent, tout au long de la frontière égyptienne, l'entrée de centaines de tunnels de contrebande. Le conducteur, propriétaire de l'un des tunnels, salue les policiers du Hamas installés par petits groupes à chaque carrefour : une nouveauté. Officiellement, ces gardiens agissent comme douaniers, taxant les produits qui arrivent sur la bande de Gaza. Il s'agit en réalité d'empêcher la circulation des sala¬fistes djihadistes et de leurs armes.
Suiveurs de l'idéologie d'al-Qaida, ils sont les principaux opposants au Hamas dans l'enclave de Gaza. «Il ne suffit pas d'être proche de l'islam, il faut pratiquer la charia et appliquer ses règles, ce que ne fait pas le Hamas, explique un commandant de l'Armée de l'islam, groupuscule de djihadistes salafistes installé à Gaza. Notre lutte ne se limite pas à un morceau de terre, nous menons un combat entre l'islam et la mécréance. Nous demandons aux musulmans, juifs, chrétiens et autres de se soumettre aux lois de l'islam.» Ils n'ont que faire de la cause palestinienne, ne reconnaissent aucun parti politique, n'envisagent aucune négociation. «Via les tunnels, ils reçoivent de l'argent d'Arabie saoudite, du Yémen, du Qatar ou d'Europe», explique une source bien informée. » | Par Katia Clarens | Envoyée spéciale à Gaza | Mercredi 12 Octobre 2011
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Monday, October 10, 2011
LE FIGARO: Des islamistes radicaux ont attaqué une télévision privée et l'université de Sousse.
Quelque 300 «barbus» ont tenté d'incendier dimanche le siège de la télévision privée Nessma à Tunis après la diffusion, vendredi soir, du film franco-iranien Persépolis suivi d'un débat sur l'intégrisme. Le patron de Nessma TV, Nabil Karoui, affirme avoir reçu également des menaces de mort.
La veille, un autre groupe d'extrémistes a pris d'assaut l'université de Sousse pour protester contre le refus d'inscrire une étudiante portant le niqab, le voile intégral. À Tunis comme à Sousse, les forces de sécurité sont intervenues massivement pour ramener le calme, usant parfois de gaz lacrymogènes. Une centaine de protestataires ont été arrêtés. Étudiants et enseignants ont signé une pétition pour exhorter le ministère de l'Éducation à maintenir sa décision d'interdire le niqab à l'université. Si le foulard islamique est très répandu en Tunisie, le port du niqab, variante de la burqa afghane, est en revanche très rare. » | Par Arielle Thedrel | Lundi 10 Octobre 2011
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Saturday, August 15, 2009
LE FIGARO: Au moins six personnes ont été tuées et cinquante blessées à Rafah dans des combats entre la police du Hamas et un groupe salafiste pro-al-Qaida qui voulait instaurer un «califat» dans la ville.
De violents affrontements interpalestiniens ont fait au moins six morts et cinquante blessés vendredi dans le sud de la bande de Gaza, sous le contrôle du Hamas.
La police du mouvement islamiste s'est opposée aux membres d'un groupuscule salafiste radical, Jund Anslar Allah («les guerriers de Dieu»), basé à Rafah, près de la frontière egyptienne.
Ce groupe, qui a fait part de son existence voilà deux mois en lancant une attaque ratée contre Israël, soutient al-Qaida et juge la politique menée par le Hamas trop modérée. Vendredi, il a tenté de décréter un «califat islamique» dans la ville. Plusieurs centaines d'hommes armés de fusils mitrailleurs et de lance roquette ont défilé dans Rafah[.] >>> S.L. (lefigaro.fr) avec AFP, AP | Vendredi 14 Août 2009
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