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Thursday, March 25, 2010

Union Européenne : Angela Merkel en «dame de fer»

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Angela Merkel. Photo : Le Temps

LE TEMPS: La crise grecque, devenue celle de la zone euro, a souligné les divergences entre la France et l’Allemagne. Pressée par son opinion, la chancelière allemande durcit le ton

«Madame Merkel, continuez de dire non!», «Les nouvelles règles du jeu de Merkel pour l’Europe»: les titres de la presse allemande à la veille du sommet européen de Bruxelles en disent long sur le glissement du débat suscité par le trou béant du budget grec. Ce n’est plus Athènes qui focalise l’attention, mais Berlin et son intransigeance – critiquée ou admirée.

Dans une de ces cacophonies dont l’Union européenne a le secret, on a entendu ces jours la ministre française de l’Economie Christine Lagarde douter de «la durabilité du modèle allemand» basé sur des exportations compétitives, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso réclamer plus de «solidarité» avec la Grèce, tandis que la chancelière allemande martelait qu’il n’est pas question de ficeler un paquet d’aide cette semaine. Pendant ce temps, les marchés continuaient de jouer l’euro à la baisse.

Au moment où ces lignes étaient écrites, les négociations continuaient entre la France, l’Allemagne et le président du Conseil européen Herman van Rompuy. Une sortie de crise semble se dessiner, tentons d’en décrypter les enjeux. >>> Jean-Claude Péclet | Jeudi 25 Mars 2010

Sunday, October 11, 2009

UE : Lisbonne: Et Varsovie qui fait 26

leJDD.fr: La République tchèque est le dernier pays européen à ne pas avoir encore ratifié le traité de Lisbonne. Après le "oui" irlandais la semaine dernière, le président polonais, Lech Kaczynski, a, à son tour, ratifié samedi matin le texte censé améliorer le fonctionnement des institutions de l'UE.

Lech Kaczynski a tenu parole. Le président polonais, qui avait conditionné la ratification du traité de Lisbonne à son adoption par le peuple irlandais - exigence remplie le 2 octobre dernier - s'est exécuté samedi matin. Solennellement, dans une cérémonie retransmise par la télévision nationale, le chef de l'Etat polonais, eurosceptique déclaré, a apposé sa signature au bas du texte censé relancer la machine européenne par la modernisation de ses institutions. Avant cela, Lech Kaczynski en avait profité pour rappeler à ses partenaires ses exigences en matière de construction européenne: "Une union stricte d'Etat-nations" appelée à s'étendre davantage. "L'UE, une expérience couronnée de succès sans précédent dans l'histoire humaine, ne peut être fermée à ceux qui souhaitent la rejoindre (...) non seulement dans les Balkans mais aussi des pays comme la Géorgie", a-t-il précisé.

A méditer du côté des 27 même si, pour l'heure, l'urgence est ailleurs. En accordant son blanc seing au traité de Lisbonne, Varsovie est en effet devenue la 26e capitale à adopter le texte, laissant ainsi à Prague le redoutable privilège de clore un processus engagé en 2007, à l'initiative de Nicolas Sarkozy. Or, après le couac du "non" irlandais au référendum du printemps 2008, le paraphe du président Vaclav Klaus, lui aussi eurosceptique notoire, est espéré dans une certaine anxiété. "L'Europe attend impatiemment cette signature, l'Europe n'a pas besoin de retards supplémentaires", a ainsi déclaré le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, présent à Varsovie samedi matin, et dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE. Prague veut gagner du temps >>> N.M. (avec Reuters) - leJDD.fr, Samedi 10 Octobre 2009

Sunday, October 04, 2009

Union Européenne : Après le vote irlandais, le cauchemar tchèque

LE TEMPS: Les 3 millions d’électeurs irlandais qui se sont prononcés vendredi sur le Traité de Lisbonne n’auront pas le dernier mot. L’eurosceptique président tchèque restera l’ultime obstacle

«Après avoir été l’otage des 3 millions d’électeurs irlandais, l’Union européenne va se retrouver prisonnière d’un seul eurosceptique.» A Bruxelles vendredi, la colère commençait déjà à se déchaîner contre le très eurosceptique président tchèque.

Si le second référendum irlandais – dont les résultats n’étaient pas encore disponibles hier soir – accouche d’un oui au Traité de Lisbonne, l’entrée en vigueur de celui-ci dépendra en effet entièrement de Vaclav Klaus. Lequel s’abrite derrière une nouvelle plainte devant la Cour constitutionnelle (qui a déjà statué favorablement au printemps) déposée le 29 septembre par des sénateurs de son ex-Parti libéral pour refuser de signer le traité, pourtant voté par le parlement tchèque.

Vaclav Klaus avait officialisé son opposition au texte destiné à réformer les institutions communautaires lors de son discours le 19 février à Bruxelles devant le Parlement européen, affaiblissant ainsi son pays qui présidait alors l’UE. Le chef de l’Etat tchèque doit signer la loi de ratification des traités. Or aucun traité européen ne peut entrer en vigueur sans avoir été ratifié par tous les Etats membres.

Le feuilleton politique pourrait néanmoins, cette fois, tourner au vinaigre entre les Etats membres. Jusque-là, et compte tenu de l’échec du premier référendum irlandais du 12 juin 2008, la patience était de rigueur. Partisan de la première heure d’un nouveau vote en Irlande – seul pays de l’UE à consulter sa population – Nicolas Sarkozy avait lui-même d’emblée proposé de modifier le Traité de Lisbonne pour conserver le principe d’un commissaire européen par pays jusqu’en 2014, afin de rassurer les Irlandais. Puis d’autres garanties en matière d’avortement, de neutralité et de souveraineté fiscale avaient été concédées à Dublin. Appel au forcing >>> Richard Werly | Samedi 03 Octobre 2009
L'Irlande dit 'oui' à l'Europe

leJDD.fr: Brian Cowen, Premier ministre irlandais, a officiellement déclaré samedi la victoire du "oui" lors du référendum de ratification du traité de Lisbonne. 67,13% des votants ont penché en faveur de l'Union européenne.

Recalé au premier tour, accepté au second. Le 'oui' au référendum sur le traité européen de Lisbonne l'a emporté en Irlande. Le Premier ministre irlandais, Brian Cowen, a officiellement annoncé que 67,13% de ses concitoyens avaient accepté le texte: "Aujourd'hui, le peuple irlandais a parlé d'une voix claire et forte. C'est un grand jour pour l'Irlande et c'est un grand jour pour l'Europe", a-t-il affirmé en début d'après-midi, accompagné de plusieurs ministres. En 2008, le 'non' irlandais avait jeté le doute sur l'avenir du traité censé adapter les institutions européennes à une Union élargie, qui doit être ratifié par les 27 États membres pour entrer en vigueur.

Le score officiel en faveur du traité s'est fixé à 67,13% des votants. C'est bien mieux que ce qu'avait annoncé Billy Timmins, directeur des élections pour le parti d'opposition Fine Gael, qui estimait la victoire des partisans du "oui" à 60%. Vendredi soir, un membre du Fianna Fail, le parti au pouvoir, évoquait "un vote favorable à environ 53%", selon des sondages officieux de sortie des urnes. Un encouragement pour la République tchèque et la Pologne >>> | Samedi 03 Octobre 2009

Wednesday, February 25, 2009

Proche-Orient: L'Europe met la pression sur Netanyahou

LE PARISIEN: Les ministres européens des Affaires étrangères ont appelé lundi le nouveau gouvernement israélien à relancer le processus de paix avec les Palestiniens. Le vice-Premier ministre tchèque Alexandr Vondra, dont le pays préside l'UE, a estimé qu'il fallait «aller de l'avant avec le processus de paix», même s'il a reconnu qu'un gouvernement mené par Benjamin Netanyahou pourrait signifier «un début un peu secoué», à son arrivée à une réunion avec ses homologues européens à Bruxelles.

Le ministre suédois Carl Bildt a, lui, dénoncé «certaines conditions posées par des partis» lors des contacts pris par le chef du Likoud (droite) pour former un gouvernement d'union avec le parti Kadima (centre-droit) de Tzipi Livni, le parti travailliste d'Ehoud Barak et l'extrême-droite nationaliste d'Avigdor Lieberman. Certaines conditions «sont clairement incompatibles avec des engagements» déjà pris dans le cadre du processus de paix, a-t-il déclaré aux journalistes. «Il est très important d'envoyer un signal fort que cela n'est pas acceptable». >>> Leparisien.fr avec AFP | Lundi 23 Février 2009

The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
The Dawning of a New Dark Age (Relié) >>>

Tuesday, June 26, 2007

UE est l’adhésion de la Turquie: Le troisième chapitre de négociation a été retiré de l'ordre du jour

LE FIGARO: Sous la pression de la France, un troisième chapitre de négociation a été retiré de l'ordre du jour.

TOUT JUSTE sortis d'un Conseil européen éprouvant, qui entérine la réforme des institutions de l'UE, les Vingt-Sept ont donné leur feu vert, hier à Bruxelles, à l'ouverture de deux nouveaux chapitres de négociation avec la Turquie. Il s'agit de deux chapitres mineurs - sur les trente-cinq que compte l'acquis communautaire - consacrés aux « statistiques » et au « contrôle financier ».

La Commission proposait d'ouvrir un troisième chapitre, plus important, relatif à « l'Union économique et monétaire ». Il aurait mis la Turquie sur les rails de l'euro, en faisant entrer la banque centrale turque dans le système européen des banques centrales, le « saint des saints » monétaire européen. Ce chapitre a été discrètement retiré de l'ordre du jour de la réunion, ce week-end, par la présidence allemande. Berlin voulait éviter une confrontation avec Paris sur le dossier turc, explosif depuis l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République. UE : deux chapitres s'ouvrent pour la Turquie (suivant) D’Alexandrine Bouilhet

Mark Alexander