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Sunday, October 21, 2012

Nucléaire : Washington dément un accord avec l'Iran

LE FIGARO: À deux jours du dernier débat télévisé entre Obama et Romney sur la politique étrangère, le New York Times a révélé samedi que les Etats-Unis et l'Iran s'étaient mis d'accord pour participer à des pourparlers directs après les élections du 6 novembre.

Les États-Unis ont démenti samedi être parvenus à un accord sur des négociations directes avec l'Iran au sujet de son programme nucléaire comme l'a affirmé le New York Times , à deux jours du dernier débat entre Barack Obama et Mitt Romney consacré à la politique étrangère.

«Il n'est pas vrai que les États-Unis et l'Iran se sont mis d'accord sur des pourparlers bilatéraux ou sur quelque rencontre que ce soit après les élections américaines», présidentielle et législatives, du 6 novembre, a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), Tommy Vietor. «Nous allons continuer à travailler à une solution diplomatique avec le groupe des 5+1, et nous avons dit depuis le début que nous étions prêts à des rencontres bilatérales», a-t-il ajouté dans un communiqué. «Le président (Barack Obama) a dit clairement qu'il empêcherait l'Iran de se doter d'une arme nucléaire, et il fera le nécessaire pour y parvenir», a encore expliqué le porte-parole du NSC, le cabinet de politique étrangère d'Obama. » | Par lefigaro.fr | dimanche 21 octobre 2012

Wednesday, October 26, 2011

La Corée du Nord continue de poser une "menace sérieuse"

LE MATIN: La Corée du Nord continue de poser de poser une "menace sérieuse" pour la sécurité dans la péninsule coréenne, a estimé mercredi le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta à son arrivée en Corée du Sud, au lendemain de pourparlers avec Pyongyang sur le nucléaire.

La Corée du Nord continue de poser une "menace sérieuse" pour la sécurité dans la péninsule coréenne, a estimé mercredi le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta à son arrivée en Corée du Sud, au lendemain de pourparlers avec Pyongyang sur le nucléaire.

"La Corée du Nord continue de poser une menace sérieuse (...). Pyongyang continue de défier la communauté internationale alors qu'il développe ses armes nucléaires et ses capacités balistiques", écrit le chef du Pentagone dans une tribune dans le quotidien sud-coréen Chosun Ilbo. » | AFP | mercredi 26 octobre 2011

Tuesday, May 24, 2011

Nucléaire iranien: les USA annoncent des sanctions contre des entreprises

LE MONDE: Les Etats-Unis ont imposé, mardi 24 mai, de nouvelles sanctions contre "sept entités étrangères", dans le cadre de l'effort pour contenir le programme nucléaire controversé de l'Iran. Par cette décision, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton "adresse un message clair aux entreprises du monde entier : ceux qui continuent de soutenir de façon irresponsable le secteur énergétique iranien et aident l'Iran à échapper aux sanctions américaines s'exposent à des conséquences graves", indique un communiqué du département d'Etat.

Sont visés l'entreprise Petroleos de Venezuela (Pedevesa), PCCI (Jersey/Iran),Royal Oyster Group (Emirats), Speedy Ship (Emirats/Iran), Tanker Pacific(Singapour), Ofer Brothers Group (Israël) et Associated Shipbroking (Monaco). Présentant les sanctions, Jim Steinberg, le numéro deux du département d'Etat, a parlé d'une "pression accentuée sur l'Iran pour qu'il respecte ses obligations internationales" en faisant la transparence sur son programme nucléaire.

L'Union européenne avait décidé, lundi, de sanctionner plus de cent entreprises soupçonnées d'être liées au programme nucléaire et balistique de l'Iran, et cinq personnes, en majorité des responsables d'entreprise. Les pays du groupe des Six (Allemagne, Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Russie) soupçonnent l'Iran, qui s'en défend, de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'un programme civil. » | LeMonde.fr | Mardi 24 Mai 2011

Sunday, April 18, 2010

L'Iran prône le désarmement

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Comme Obama, le président iranien s'est prononcé pour un [monde] sans arme nucléaire. Photo : leJDD.fr

leJDD.fr: A l'occasion d'une conférence internationale organisée à Téhéran, Mahmoud Ahmadinejad, a plaidé en faveur du désarmement nucléaire. Le président iranien a par ailleurs appelé à la création d'un "organe international indépendant" pour "empêcher la prolifération". Sa réponse à la conférence organisée par Barack Obama en début de semaine à Washington.

Mahmoud Ahmadinejad n'était pas invité à la conférence internationale sur le nucléaire organisée à l'initiative des Etats-Unis, en début de semaine, à Washington. Qu'à cela ne tienne, le président iranien a décidé d'organiser son propre sommet. Celui-ci s'est ouvert samedi à Téhéran. En petit comité, toutefois. Quand Barack Obama réunissait 47 pays dans la capitale fédérale, Mahmoud Ahmadinejad, lui, est simplement entouré de huit ministres des Affaires étrangères - Irak, Syrie, Liban, Oman, Arménie, Turkménistan, Centrafrique et Swaziland -, des vice-ministres de Russie, du Qatar et des Emirats arabes unis et d'un "assistant spécial du ministre chinois des Affaires étrangères", dit-on à Pékin. Le président de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) et des représentants de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de l'ONU sont également présents dans la capitale iranienne.

Dans son discours d'ouverture, Mahmoud Ahmadinejad a lancé le mot d'ordre de la conférence: "L'énergie nucléaire pour tous, l'arme nucléaire pour personne". Le président iranien s'est ensuite prononcé pour le désarmement nucléaire, appelant de ses vœux la création d'un "organe international indépendant" chargé de lutter contre la prolifération nucléaire. Le dirigeant de la République islamique entend ainsi prendre à contrepied ceux qui le soupçonnent de vouloir se doter de la bombe atomique. Dans ce dossier, il n'a jamais changé de ligne: le programme nucléaire iranien a des visées exclusivement civiles. C'est pourquoi il est, a-t-il une nouvelle fois rappelé, "irréversible". Pour une suspension des Etats-Unis de l'AIEA >>> M.E - leJDD.fr, Samedi 17 Avril 2010

Monday, April 12, 2010

Les doutes de la France sur les visions de la Maison-Blanche

LE FIGARO: Si officiellement, la France applaudit aux initiatives de désarmement nucléaire de Barack Obama, elle s'estime par ailleurs «hors concours» en matière de désarmement stratégique.

Officiellement, Paris applaudit aux initiatives de désarmement nucléaire de Barack Obama. À l'Élysée, on considère que le président américain a «raison de vouloir avancer sur tous les fronts». «Dans cet immense chantier, nous sommes à côté de lui», souligne-t-on.

En apparence, ce «chantier» lancé à Prague il y a un an par le nouveau président américain, qui rêve d'un monde débarrassé des armes nucléaires, avance à pas de géant. Russes et Américains ont enfin trouvé un accord pour renouveler le traité de désarmement stratégique Start, enclenchant ainsi une normalisation de leurs relations; la nouvelle posture nucléaire américaine (NPR) a réduit le rôle de la dissuasion; les experts en communication de la Maison-Blanche ont réussi à faire du sommet de Washington une réussite avant même qu'il ne commence… Bref, tout va bien dans le meilleur des mondes.

La réalité est en fait un peu différente. Les visions, d'abord. Celle d'Obama, même si elle s'inscrit dans un projet à très long terme, suscite parfois la controverse, des deux côtés de l'Atlantique. Dans un contexte général de prolifération, quotidiennement alimenté par l'Iran et la Corée du Nord, beaucoup estiment qu'il serait dangereux que les grandes puissances nucléaires baissent trop vite la garde. La France, qui a déjà largement diminué la taille de sa dissuasion pour la maintenir au strict niveau de suffisance, et qui considère qu'elle est la garantie ultime de sa sécurité et de son indépendance, s'estime par ailleurs «hors concours» en matière de désarmement stratégique. >>> Par Isabelle Lasserre | Dimanche 11 Avril 2010

Friday, April 02, 2010

La Chine contre des sanctions, assure Téhéran

LE TEMPS: Alors que Barack Obama a de nouveau appelé la Chine à collaborer à des sanctions contre l’Iran lors d’un entretien téléphonique avec le président Hu Jintao la nuit dernière, le négociateur iranien en visite à Pékin affirme ce vendredi que les Chinois sont convaincus que les sanctions sont inefficaces

L’Iran et la Chine sont convenus que l’arme des sanctions dans le dossier nucléaire iranien avait perdu de son efficacité, a assuré vendredi à la presse le négociateur iranien sur le nucléaire, Saïd Jalili, à l’issue de ses entretiens dans la capitale chinoise. «Nous avons souligné ensemble lors de nos discussions que cette arme des sanctions avait perdu de son efficacité», a déclaré M. Jalili lors d’une conférence de presse.

Le négociateur iranien a également appelé les pays occidentaux à changer leurs «méthodes erronées» et à «cesser de menacer l’Iran».

Les Etats-Unis ont affirmé cette semaine que la Chine avait accepté d’engager des «négociations sérieuses» à l’ONU pour l’adoption de nouvelles sanctions. La Chine n’a pas confirmé cette information. >>> AFP | Vendredi 02 Avril 2010

Wednesday, March 03, 2010

Nucléaire iranien : accord de Moscou sur le principe de sanctions

lePARISIEN.fr: Le président russe Dmitri Medvedev a marqué lundi à Paris son accord pour de nouvelles sanctions contre l'Iran, à condition qu'elles n'aient pas de conséquences humanitaires pour la population iranienne. «La Russie est prête, avec nos autres partenaires, à réfléchir à l'introduction de sanctions», a-t-il déclaré à l'issue d'un entretien avec son homologue Nicolas Sarkozy.

«Nos appels (à l'Iran) pour travailler à un programme nucléaire pacifique sous le contrôle de la communauté internationale n'ont pas porté leurs fruits jusqu'à présent», a regretté le président russe. «Malheureusement, ces derniers temps, nous n'avons pas beaucoup avancé. Au contraire, la situation s'est détériorée», a-t-il jugé.
 >>> leparisien.fr avec l’AFP | Lundi 01 Mars 2010

Tuesday, February 09, 2010

Nucléaire : La Russie perd à son tour patience face à l'Iran

LE POINT: La Russie a sensiblement durci le ton mardi face à son allié iranien, condamnant sa décision d'enrichir de l'uranium sur son propre territoire et évoquant désormais ouvertement la possibilité de sanctions économiques contre Téhéran.

Traditionnellement alliée à l'Iran, pour qui elle construit la centrale nucléaire de Bouchehr et fournit le combustible nécessaire à son fonctionnement, la Russie a longtemps traîné les pieds pour de nouvelles sanctions, et cela bien que le conflit n'ait cessé de s'envenimer ces derniers mois. Mais l'annonce par le président Mahmoud Ahmadinejad dimanche du démarrage de la production d'uranium hautement enrichi (20 %) par l'Iran, au nez et à la barbe des puissances occidentales, a visiblement été mal accueillie en Russie, où plusieurs hauts responsables ont vivement réagi. >>> AFP | Mardi 09 Février 2010

Israël appelle à des sanctions "paralysantes" et immédiates contre l'Iran

LE POINT: Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a appelé mardi la communauté internationale à prendre des "sanctions paralysantes" et immédiates contre l'Iran en raison de son programme nucléaire controversé.

"Je crois que ce qu'il faut à présent, c'est une action dure de la part de la communauté internationale", a déclaré Benyamin Netanyahou lors d'une rencontre à Jérusalem avec les ambassadeurs des pays de l'Union européenne. "Cela signifie non pas des sanctions modérées ou amoindries. Cela veut dire des sanctions paralysantes et ces sanctions doivent être appliquées immédiatement", a-t-il plaidé. "L'Iran est dans une course en avant pour produire des armes nucléaires avec un mépris impudent pour la communauté internationale. Celle-ci doit décider si elle veut sérieusement neutraliser cette menace pour Israël, pour la région et le monde entier", a ajouté le chef du gouvernement. "Il faut bien plus que des mots", a-t-il souligné. >>> AFP | Mardi 09 Février 2010

Saturday, November 28, 2009

L'AIEA condamne l'Iran pour son programme clandestin

LE FIGARO: La résolution adoptée vendredi reproche à Téhéran d'avoir dissimulé l'existence d'un autre site d'enrichissement d'uranium.

Les grandes puissances ont réussi à obtenir une condamnation sans nuances de l'Iran, vendredi à Vienne, au siège de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Présentée par la France et les États-Unis, une résolution en huit points dénonçant les activités nucléaires clandestines de Téhéran sur le site de Fordo et demandant à l'agence d'en informer le Conseil de sécurité des Nations unies a été adoptée par 25 voix sur les 35 que compte le Conseil des gouverneurs, l'organe exécutif de l'AIEA. Cuba, la Malaisie et le Venezuela, soutiens traditionnels de l'Iran, ont voté contre, tandis que le Brésil a préféré s'abstenir.

Cette résolution, qui traduit les «inquiétudes sérieuses» de l'AIEA à l'égard du site clandestin d'enrichissement d'uranium de Fordo, dont l'existence avait été révélée le 25 septembre, n'implique pas l'adoption de nouvelles sanctions internationales contre Téhéran.

Il faudra pour cela que le nouveau directeur général de l'AIEA, le Japonais Yukiya Amano, qui prendra ses fonctions mardi prochain, évoque cette impasse auprès du Conseil de sécurité des Nations unies, comme le lui enjoint la résolution. Il s'agirait alors de dégager un nouveau consensus à New York en faveur d'une telle mesure punitive à l'égard de Téhéran, qui toucherait cette fois à ses activités énergétiques et pourrait conduire à un blocus partiel de ses exportations de gaz et de pétrole non raffiné.

L'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, a aussitôt évoqué des «conséquences», tout en assurant que l'Iran «ne sortirait pas du traité de non-prolifération» (TNP). Moment charnière >>> De correspondant du Figaro à Vienne, Maurin Picard | Vendredi 27 Novembre 2009

Wednesday, August 26, 2009

La France menace de sanctionner plus fortement l'Iran

L’EXPRESS.fr: Le gouvernement français envisage de nouvelles représailles si l'Iran ne reprend pas les discussions sur son programme nucléaire. "Qui peut croire les dirigeants iraniens?", s'est demandé Nicolas Sarkozy face aux ambassadeurs français réunis à l'Elysée.

Revigoré après ses trois semaines de vacances, le président français Nicolas Sarkozy a menacé l'Iran d'un "renforcement très substantiel des sanctions" si Téhéran ne répondait pas favorablement aux propositions de reprise des négociations avec les Occidentaux sur son programme nucléaire.

"Nous n'avons reçu aucune proposition positive à nos propositions (...) soyons clairs, si l'Iran ne change pas de politique, la question du renforcement très substantiel des sanctions sera posée", a lancé M. Sarkozy, ce mercredi, lors du discours d'ouverture de la Conférence des ambassadeurs français à l'Elysée. >>> Par LEXPRESS.fr avec AFP | Mercredi 26 Août 2009