LE POINT: Le dernier rapport de l'AIEA sur le programme nucléaire iranien "montre combien il est urgent d'agir avec détermination pour répondre à l'absence de coopération de l'Iran", a déclaré vendredi le ministère français des Affaires étrangères. "Ce rapport confirme avec précision les très graves préoccupations de la communauté internationale. Il montre combien il est urgent d'agir avec détermination pour répondre à l'absence de coopération de l'Iran", a estimé devant la presse le porte-parole du ministère, Bernard Valero. >>> AFP | Vendredi 19 Février 2010
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Friday, February 19, 2010
LE POINT: Le dernier rapport de l'AIEA sur le programme nucléaire iranien "montre combien il est urgent d'agir avec détermination pour répondre à l'absence de coopération de l'Iran", a déclaré vendredi le ministère français des Affaires étrangères. "Ce rapport confirme avec précision les très graves préoccupations de la communauté internationale. Il montre combien il est urgent d'agir avec détermination pour répondre à l'absence de coopération de l'Iran", a estimé devant la presse le porte-parole du ministère, Bernard Valero. >>> AFP | Vendredi 19 Février 2010
Saturday, November 28, 2009
LE FIGARO: La résolution adoptée vendredi reproche à Téhéran d'avoir dissimulé l'existence d'un autre site d'enrichissement d'uranium.
Les grandes puissances ont réussi à obtenir une condamnation sans nuances de l'Iran, vendredi à Vienne, au siège de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Présentée par la France et les États-Unis, une résolution en huit points dénonçant les activités nucléaires clandestines de Téhéran sur le site de Fordo et demandant à l'agence d'en informer le Conseil de sécurité des Nations unies a été adoptée par 25 voix sur les 35 que compte le Conseil des gouverneurs, l'organe exécutif de l'AIEA. Cuba, la Malaisie et le Venezuela, soutiens traditionnels de l'Iran, ont voté contre, tandis que le Brésil a préféré s'abstenir.
Cette résolution, qui traduit les «inquiétudes sérieuses» de l'AIEA à l'égard du site clandestin d'enrichissement d'uranium de Fordo, dont l'existence avait été révélée le 25 septembre, n'implique pas l'adoption de nouvelles sanctions internationales contre Téhéran.
Il faudra pour cela que le nouveau directeur général de l'AIEA, le Japonais Yukiya Amano, qui prendra ses fonctions mardi prochain, évoque cette impasse auprès du Conseil de sécurité des Nations unies, comme le lui enjoint la résolution. Il s'agirait alors de dégager un nouveau consensus à New York en faveur d'une telle mesure punitive à l'égard de Téhéran, qui toucherait cette fois à ses activités énergétiques et pourrait conduire à un blocus partiel de ses exportations de gaz et de pétrole non raffiné.
L'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, a aussitôt évoqué des «conséquences», tout en assurant que l'Iran «ne sortirait pas du traité de non-prolifération» (TNP). Moment charnière >>> De correspondant du Figaro à Vienne, Maurin Picard | Vendredi 27 Novembre 2009
Saturday, October 24, 2009
LE FIGARO: Téhéran n'a pas repondu à l'offre de l'AIEA et ne souhaiterait plus dialoguer avec les grandes puissances.
L'Iran a infligé un nouveau camouflet à la communauté internationale en omettant vendredi de répondre à la proposition qui lui était faite par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) d'enrichir à l'étranger les trois quarts de son uranium à usage civil. Tout en affirmant étudier «sous un jour favorable» l'offre négociée cette semaine à Vienne avec la France et les États-Unis, Téhéran a indiqué sa préférence pour l'achat à l'étranger d'uranium enrichi. Pire, le régime iranien aurait décidé d'interrompre le dialogue avec les Six (États-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne). «Nous sommes dans une situation de blocage : Téhéran ne veut parler qu'avec l'AIEA», indique un diplomate. >>> Alain Barluet | Vendredi 23 Octobre 2009
Saturday, August 29, 2009
leJDD.fr: Dans un rapport publié vendredi, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) estime que le programme nucléaire iranien représente toujours une menace, et ce, en dépit des récents efforts faits par Téhéran.
Peut mieux faire. C'est en substance le message délivré vendredi à l'Iran par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Dans un rapport confidentiel dont l'agence Reuters a obtenu copie, les experts de l'AIEA relèvent les récents efforts faits par la République islamique en matière de nucléaire, mais leur conclusion n'a pas varié d'un iota depuis leurs dernières enquêtes: le programme nucléaire iranien représente toujours une menace pour le reste du monde. Ainsi, si les autorités iraniennes ont autorisé une surveillance accrue des installations de Natanz, site d'enrichissement d'uranium, elles ont, dans le même temps, installé un millier de nouvelles centrifugeuses, portant leur parc total à 8308 unités. Pour l'heure non exploitées, elles permettent, en théorie, à l'Iran d'accélérer ses activités d'enrichissement d'uranium, première étape, craint la communauté internationale, vers la mise au point d'une bombe atomique.
Dans son rapport, l'AIEA s'inquiète également des activités en cours sur le site d'Arak. Certes, Téhéran a autorisé ce mois-ci, et pour la première fois depuis un an, des inspecteurs de l'ONU à visiter le réacteur nucléaire à eau lourde qui s'y trouve. Mais les experts relèvent que depuis, la République islamique refuse de leur fournir davantage de précisions sur la nature du programme. L'AIEA craint que ce réacteur ne soit configuré de manière à retraiter du plutonium pour fabriquer des armes nucléaires, en sus de la centrale de Natanz. Et d'insister, dans son rapport, sur la dimension militaire du nucléaire iranien. Les autorités iraniennes assurent, elles, que leurs activités nucléaires n'ont qu'une visée civile, notamment pour produire de l'électricité. "Une litanie de tentatives d'obstruction" >>> M.E (avec Reuters) - leJDD.fr | Samedi 29 Août 2009
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