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Sunday, May 20, 2012

Tunisie - Plus d’alcool à Sidi Bouzid, dixit les salafistes

BUSINESSNEWS.com.tn: Les salafistes ont effectué, samedi 19 mai 2012, une opération de ratissage visant la fermeture des points de vente de boissons alcoolisés et, partant, tous les bars, hôtels et dépôts de vente d'alcool de la ville, selon plusieurs sources concordantes. Même les locaux de vente des glaçons alimentaires ont été pris pour cible, selon d’autres sources. Le but visé est «plus d’alcool à Sidi Bouzid».

Selon un premier témoignage recueilli par Shems Fm, les habitants de Sidi Bouzid ont protesté auprès du gouvernorat réclamant la fermeture de ces lieux, à cause des tapages nocturnes, braquages et autres inconvénients, mais leur demande est restée lettre morte. Les habitants ont réclamé alors l’aide des salafistes qui ont fait, samedi, le tour des lieux pour interdire la vente d’alcool.

En représailles, les vendeurs d’alcool ont attaqué la mosquée, après la prière du soir, armés de fusils de chasse, d’armes blanches et de pierres et agressant les personnes présentes, toujours selon le témoignage de Shems Fm. En colère, les habitants se sont dirigés vers des entrepôts de vente d’alcool pour les incendier. Le témoin a précisé qu’un sit-in de protestation aura lieu, dimanche dans 8 mosquées, après la prière du « dhohr », en protestation contre cette agression. » | dimanche 20 mai 2012

Wednesday, April 25, 2012

Tunisie: Le péril salafiste, un fanatisme en marche

JOL PRESS: Le 22 avril, à Kélibia, en Tunisie, des Salafistes ont envahi un centre culturel où le penseur Youssef Seddik devait animer une conférence, l’empêchant ainsi de présenter l’idée selon laquelle il est « légitime pour tout musulman de relire et d'interpréter le Coran d’un point de vue personnel ». Un incident qui renvoie à l'inquiétante montée des mouvances fondamentalistes dans le pays.

En Tunisie, s'attaquer aux extrémistes s’avère dangereux et risqué : peu osent se frotter aux islamistes radicaux, même sous l’uniforme des forces de l’ordre. Ce 23 avril, malgré les nombreux appels au secours lancés par les membres de l’AACK, la police a choisi de ne pas intervenir. Les quelque représentants de l’autorité sur les lieux, ont observé la scène à distance, laissant le champ libre aux Salafistes de profaner le drapeau national. Pendant une semaine, dans les mosquées et sur les réseaux sociaux, les religieux Salafistes ont multiplié les incitations à la haine. Des appels lancés sous le nez des autorités publiques.

Vers un retour à « l’Islam des origines »

La présence de Salafistes en Tunisie ne date pas d’hier. La mouvance fondamentaliste s’est installée progressivement dans le paysage tunisien depuis les années 1970. Toutefois, ces partisans d’un retour à « l’Islam des origines », fondé sur le Coran et la Sunna, évoluaient dans l’ombre. Ils ont en revanche su profiter de la chute du régime de Ben Ali, qui contrôlait les lieux de culte, pour rallier 400 mosquées à la cause salafiste, sur les 5 000 que compte le pays. Depuis, ils cherchent à imposer la loi islamique, sur l'ensemble du territoire. » | Par Anaïs Leleux | mercredi 25 avril 2012

Thursday, March 29, 2012

Ces islamistes qui disent non à la charia

LE MONDE – L’Editorial du “Monde”: L'histoire de la Tunisie post- Ben Ali retiendra peut-être le lundi 26 mars 2012 comme une date importante. Ce jour-là, le parti islamiste Ennahda, qui domine la vie politique, a dit non aux groupes extrémistes salafistes. Il a opposé un refus net et catégorique à l'introduction de la charia - la loi islamique - dans la Constitution du pays.

Ce faisant, Ennahda a accompli son premier acte de vrai parti de gouvernement. Il a préféré la réalité à l'idéologie ; il s'est comporté en formation responsable ; il a pris le risque de l'affrontement avec une partie de la famille islamiste. Il a privilégié l'empirisme étatique à la pureté sectaire.

Si Ennahda, que dirige Rachid Ghannouchi, tient cette ligne, alors la Tunisie, précurseur du "printemps arabe", restera un pays modèle - et qui rayonnera bien au delà de ses frontières. » | Editorial | mardi 27 mars 2012

Thursday, March 08, 2012

L'Arabie saoudite n'extradera «jamais» Ben Ali

LA PRESSE: Le président tunisien Moncef Marzouki a estimé mercredi que l'Arabie saoudite n'extraderait «jamais» le président déchu Zine el Abidine Ben Ali, condamné par contumace à plusieurs reprises par la justice tunisienne, et qui reste poursuivi dans plusieurs affaires.

«Je pense qu'ils n'extraderont jamais Ben Ali, nous le savons, nous avons essayé à de très nombreuses reprises», a déclaré Moncef Marzouki sur la BBC.

«Nous allons probablement continuer à faire pression sur eux pour le retour de cet homme en Tunisie, mais comme je vous l'ai dit, je ne crois pas qu'ils accepteront parce qu'ils ont leurs propres traditions, leurs propres lois et nous ne voulons pas avoir des problèmes avec eux à ce propos. Parce que nous avons aussi des relations sociales et économiques avec l'Arabie saoudite et nous voulons les maintenir», a poursuivi le président tunisien. » | Agence France-Presse | Londres | mercredi 07 mars 2012

Thursday, February 23, 2012

Wajdi Ghanim attaque les laïcs et appelle à la Chariâ

TIXUP !: La venue du prédicateur égyptien Wajdi Ghanim en Tunisie a créé une nouvelle polémique dont la Tunisie n’en a pas besoin et qui aurait pu être évitée surtout avec un climat socio-politique tant en retard par rapport aux réels problèmes des tunisiens dont le froid qui a isolé la région du Nord-Ouest pendant une semaine. » | Gaith J. | mardi 14 février 2012

Wednesday, February 22, 2012

Tunisie : légalisation de la consommation de la zatla ?

INVESTIR EN TUNISIE: Les pratiques étranges ne cessent d’augmenter dans la Tunisie poste-révolutionnaire. Après le phénomène du djihadisme, du salafisme, du 6ème Califat, de l’excision… une manifestation a été annoncée pour la dépénalisation de la consommation du cannabis ou zatla en Tunisie.

Zatla, cette drogue douce tant convoitée par quelques Tunisiens, qui se sont mobilisés pour lancer un événement afin de faire légaliser son usage. « Tous unis pour la légalisation du cannabis », c’est le slogan levé, samedi 18 février 2012, devant l’Assemblée nationale constituante, au Bardo.

Plus de 4000 personnes se sont réunis, ont tous répondu présents à «Legalize it», appel à manifestation lancé via des pages d'événements créées sur Facebook. Les fumeurs de joints veulent visiblement sortir de la clandestinité. » | M.Kh | mardi 21 février 2012

Wednesday, February 01, 2012

Belhassen Trabelsi ira devant une commission au Canada

LA PRESSE: Le statut de résident permanent au Canada du beau-frère de l'ancien dictateur tunisien Zine El Abidine Ben Ali a été révoqué par Ottawa peu après son arrivée au pays l'an dernier, mais Belhassen Trabelsi a fait appel de cette décision et il peut rester ici en attendant.

Il comparaîtra en avril devant la Commission de l'immigration et du statut de réfugié pour contester cette décision.

Le ministère de l'Immigration avait décidé l'an dernier de révoquer son statut parce que M. Trabelsi n'a pas respecté ses obligations de résidence au Canada. Pour que son statut de résident permanent soit valide, la personne doit avoir résidé au pays pendant au moins deux ans pendant chaque période de cinq ans.

On croit que Belhassen Trabelsi s'est discrètement réfugié à Montréal avec sa famille, en janvier 2011, suite à l'effondrement de la dictature de Zine El Abidine Ben Ali en Tunisie. Le milliardaire a alors fait usage de son statut de résident permanent au Canada pour se réfugier au pays. » | La Presse Canadienne, Montréal | mercredi 01 février 2012

Tuesday, January 03, 2012

L'Arabie saoudite ignore la demande de Tunis d'extrader Ben Ali

TRIBUNE DE GENÈVE: Le tribunal militaire de Tunis a reporté mardi au 10 janvier le procès intenté contre l'ex-président tunisien Ben Ali et une quarantaine de hauts responsables du régime.

«Nous avons demandé à deux reprises son extradition, mais nous n'avons pas reçu de réponses», a expliqué le président du tribunal militaire de Tunis, Hédi Ayari, aux avocats qui l'interrogeaient sur les efforts tunisiens pour faire revenir Ben Ali d'Arabie Saoudite.

Ce procès, reporté pour la deuxième fois, porte sur leurs rôles dans la mort de 43 manifestants et la blessure de 97 autres dans le gouvernorat de Tunis et autres villes au nord du pays comme Bizerte et Nabeul, lors des soulèvements datés d'une année en Tunisie. Continuez à lire et écrire un commentaire » | ATS/AFP/Newsnet | mercredi 04 janvier 2012

Thursday, December 15, 2011

Printemps arabe, hiver islamiste? les leçons des premières élections libres en Tunisie, au Maroc et en Egypte

FRANCE SOIR: Selon une idée en vogue, le “printemps arabe” aurait consacré la “démocratie musulmane” et devrait balayer à la fois les tyrans corrompus et les terroristes islamistes, dont la violence ne serait qu’une “réaction” aux dictatures militaires. Or cette vision qui présente les "révolutions arabes" comme un bloc unique et idyllique est selon nous fausse. Car ce “printemps arabe”, initié par des jeunes libéraux épris de liberté, de dignité et de laïcité, a vite débouché sur un “hiver islamiste”. » | lundi 12 décembre 2011

Thursday, December 01, 2011

Ben Ali condamné à cinq ans de prison

TRIBUNE DE GENÈVE: Le président tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali a été condamné par contumace à cinq ans de prison par la justice militaire de son pays, a indiqué mercredi une source judiciaire.

Zine El Abidine Ben Ali a été notamment reconnu coupable pour des actes de torture.

Dans ce premier procès devant le Tribunal militaire permanent de première instance de Tunis, Zine el Abidine Ben Ali était jugé pour l’arrestation et la torture d’officiers de l’armée accusés de coup d’Etat contre son régime dans l’affaire dite «Baraket Essahel», dont les faits remontent à 1991. » | AFP | mercredi 30 novembre 2011

Wednesday, November 16, 2011

Nicolas Blancho joue à l’ambassadeur en Tunisie

LE MATIN: Le président du controversé Conseil Central Islamique Suisse a rencontré ce week-end le chef du parti religieux récemment arrivé au pouvoir en Tunisie. En parlant au nom des musulmans de Suisse….

Nicolas Blancho prend-il un peu trop ses désirs pour des réalités? La question est ouverte au vu de l’une des dernières informations postées sur le site de son organisation, le Conseil Central Islamique Suisse (CCIS). Relatant un voyage effectué par le Biennois à Tunis ce week-end, un texte explique que le président du CCIS a présenté les félicitations des « musulmans suisses » à Rachid Al-Ghannouchi, leader du parti islamiste Ennahda, qui a récemment gagné les élections.

Problème: l’organisation de Nicolas Blancho – qui défend un islam assez rigoriste – divise fortement chez les croyants vivant en Suisse. Si ses dernières manifestations ont réuni de nombreux participants, beaucoup de fidèles contestent sa légitimité à parler au nom de tous les musulmans helvètes. Vice présidente de l'Union des organisations de cette religion à Genève, Lucia Dahlab en fait partie. Selon elle, Nicolas Blancho est coutumier des effets d’annonce un peu «gonflés». «Rien que le nom de son organisation me laisse perplexe, il a vraiment trop tendance à s’autoproclamer représentant de tout le monde.» » | Raphaël Pomey | LeMatin.ch | mardi 15 novembre 2011

Monday, October 24, 2011

Tunisie: vers une nette victoire des islamistes d'Ennahdha

TRIBUNE DE GENÈVE: Le mouvement islamiste Ennahdah arriverait en tête de plusieurs circonscriptions aux élections tunisiennes, d'après les premières estimations, alors que le taux de participation au scrutin a atteint dimanche 90%.

Les résultats des premières élections libres tunisiennes ne devraient pas être connues avant demain. En attendant, la tendance donne le parti islamiste Ennahdah nettement vainqueur. » | AP | lundi 24 octobre 2011

Saturday, October 15, 2011

Tunisie : Les Islamistes dans les rues, la tension monte

FRANCE SOIR: De nombreux rassemblements islamistes se sont déroulés vendredi en Tunisie. Ce samedi, d'autres manifestations sont programmées. La police est intervenue à plusieurs reprises.

Les nouvelles manifestations inquiètent les dirigeants tunisiens mais aussi les pays voisins. Serait-on en train d'assister à une poussée islamiste ? Il est certainement trop tôt pour le dire mais une chose est sûre, depuis le reversement de Zine Ben Ali, le paysage politique tunisien se modifie. Et la rue gronde. La police tunisienne a en effet durcit le ton vendredi tirant des gaz lacrymogènes pour disperser un rassemblement d'islamistes, dont certains tentaient de marcher en direction des bureaux du Premier ministre dans le centre de Tunis.

Les manifestants, qui scandaient « Allahou Akbar » et réclamaient l'instauration de la charia (loi islamique) en Tunisie, ont répliqué aux gaz lacrymogènes en lançant des pierres sur les forces de police. Une situation tendue alors que les Tunisiens sont appelés aux urnes le 23 octobre pour élire une Assemblée constituante. Le scrutin risque d'être relégué au second plan par les tensions grandissantes entre les islamistes et le camp laïque. Il s'agira des premières élections depuis la chute du président en janvier dernier.

La manifestation de vendredi, qui a réuni plus de 10.000 personnes, soit la plus importante du camp islamiste à ce jour dans la capitale, avait commencé dans le calme. Lorsque la foule s'est rapprochée de la Casbah, où se trouvent les bureaux du Premier ministre, Béji Caïd Essebsi, certains groupes ont tenté de forcer les barrages de police. » | Par Actu France Soir | Samedi 15 Octobre 2011

Monday, October 10, 2011

Provocations salafistes en Tunisie

LE FIGARO: Des islamistes radicaux ont attaqué une télévision privée et l'université de Sousse.

Quelque 300 «barbus» ont tenté d'incendier dimanche le siège de la télévision privée Nessma à Tunis après la diffusion, vendredi soir, du film franco-iranien Persépolis suivi d'un débat sur l'intégrisme. Le patron de Nessma TV, Nabil Karoui, affirme avoir reçu également des menaces de mort.

La veille, un autre groupe d'extrémistes a pris d'assaut l'université de Sousse pour protester contre le refus d'inscrire une étudiante portant le niqab, le voile intégral. À Tunis comme à Sousse, les forces de sécurité sont intervenues massivement pour ramener le calme, usant parfois de gaz lacrymogènes. Une centaine de protestataires ont été arrêtés. Étudiants et enseignants ont signé une pétition pour exhorter le ministère de l'Éducation à maintenir sa décision d'interdire le niqab à l'université. Si le foulard islamique est très répandu en Tunisie, le port du niqab, variante de la burqa afghane, est en revanche très rare. » | Par Arielle Thedrel | Lundi 10 Octobre 2011

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Sunday, October 09, 2011

Tunisie : une télévision cible des salafistes

EUROPE 1: Quelque 300 salafistes ont tenté d'incendier dimanche le siège de la télévision privée Nessma à Tunis après la diffusion vendredi soir du film franco-iranien Persepolis et d'un débat sur l'intégrisme religieux, a-t-on appris auprès de la chaîne et du ministère de l'Intérieur.

Le président de Nessma, Nebil Karoui, a indiqué que sa chaîne avait reçu des menaces de mort après la diffusion vendredi soir du film d'animation de Marjane Satrapi "Persepolis", qui décrit le régime iranien de Khomeiny à travers les yeux d'une petite fille. » | Europe1.fr avec AFP | Dimanche 09 Octobre 2011

Thursday, October 06, 2011

Un proche du clan Ben Ali a été arrêté à Rome

TRIBUNE DE GENÈVE: L'arrestation de Moez Trabelsi est la première arrestation à l'étranger d'un proche du clan Ben Ali depuis la fuite le 14 janvier de l'ex-président après 23 ans d'un pouvoir sans partage.

Le neveu de Leïla Trabelsi, l'épouse du président tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali, a été arrêté ce jeudi à Rome sur instruction d'Interpol, a indiqué le ministère tunisien de la Justice.

Il s'agit de la première arrestation à l'étranger d'un proche du clan Ben Ali depuis la fuite le 14 janvier de l'ex-président après 23 ans d'un pouvoir sans partage.

Moez Trabelsi est l'objet d'un mandat d'amener émis par la justice tunisienne. Interpol a fait procéder à son arrestation jeudi vers 3H (2H GMT) à Rome, a déclaré le porte-parole du ministère Kadhem Zine El Abidine.

L'organisation policière internationale a émis une notice rouge pour le jeune homme poursuivi dans plusieurs affaires de corruption et soupçonné de blanchiment d'argent, a-t-il précisé. » | AFP | Jeudi 06 Octobre 2011

Saturday, October 01, 2011

Tunisie - Top départ d'une campagne électorale historique

LE POINT: Les Tunisiens sont appelés à élire le 23 octobre une assemblée constituante chargée de rédiger une nouvelle Constitution.

Le compte à rebours pour l'élection du 23 octobre en Tunisie a commencé samedi avec le lancement officiel de la campagne électorale, à laquelle participent des dizaines de partis et de formations, une première historique après des décennies de dictature et de parti unique. Premier pays du "printemps arabe", la Tunisie sera aussi la première à se rendre aux urnes pour élire une assemblée constituante neuf mois après la chute du régime de Zine el-Abidine Ben Ali, chassé du pouvoir le 14 janvier par un soulèvement populaire.

"Rendez-vous avec l'histoire", "Dernière ligne droite", titraient samedi les quotidiens francophones pour saluer l'entrée officielle du pays en campagne, dans une atmosphère effervescente. À Tunis, dès le matin, des militants et sympathisants se sont attelés à coller des portraits des têtes de liste sur les panneaux muraux réservés à la campagne officielle, et de nombreux passants s'arrêtaient pour détailler les listes en lice. » | Source AFP | Samedi 01 Octobre 2011

Monday, September 19, 2011

Onze millions placés chez HSBC Genève par un proche du clan Ben Ali

TRIBUNE DE GENÈVE: Malgré la loi sur le blanchiment d’argent, Belhassen Trabelsi, beau-frère du président déchu, détient 11 millions de francs sur un compte de la HSBC Private Bank à Genève.

Belhassen Trabelsi, le beau-frère du président déchu tunisien Ben Ali, dispose d'un compte à la HSBC Private Bank installée à Genève. La coquette somme de 11 millions de francs dort ainsi sur les bords du Léman, informe la TSR. Cela malgré la loi sur le blanchiment d'argent et l'ordonnance délivrée par le Conseil fédéral au lendemain de la chute de Ben Ali. Celle-ci a demandé aux banques de geler immédiatement les fonds de 40 personnalités tunisiennes, dont ceux de l'intéressé. » | Anne-Elisabeth Celton | Lundi 19 Septembre 2011

Thursday, June 16, 2011

Ben Ali risque la peine de mort

FRANCE SOIR: L'ex président tunisien, Zine el Abidine ben Ali sera jugé, à partir de lundi prochain, par contumace pour deux des 93 chefs d'accusations pour lesquels il est poursuivi. Il risque en tout, de cinq ans de prison à la peine de mort.

Le Premier ministre de transition, Béji Caïd Essebsi, l’a annoncé mardi : l’ancien raïs, qui s'est enfui sous la pression de la rue, sera jugé par contumace « par des tribunaux militaire et civil », a-t-il précisé lors d'une interview accordée à al-Jazeera. En tout, pas moins de 93 chefs d'accusations allant de l'homicide volontaire, du blanchiment d'argent, au complot contre la sécurité de l'état. » | Par Actu France Soir | Mercredi 15 Juin 2011