La chef de la diplomatie australienne, Julia Bishop, s'est déclarée "consternée" par la condamnation lundi en Égypte à sept ans de prison d'un journaliste australien de la chaîne qatarie Al Jazeera, accusé avec deux confrères de soutenir les Frères musulmans. » | Source AFP | lundi 23 juin 2014
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Monday, June 23, 2014
Égypte : l'Australie "consternée" par la condamnation d'un journaliste australien
La chef de la diplomatie australienne, Julia Bishop, s'est déclarée "consternée" par la condamnation lundi en Égypte à sept ans de prison d'un journaliste australien de la chaîne qatarie Al Jazeera, accusé avec deux confrères de soutenir les Frères musulmans. » | Source AFP | lundi 23 juin 2014
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Thursday, December 15, 2011
FRANCE SOIR: Selon une idée en vogue, le “printemps arabe” aurait consacré la “démocratie musulmane” et devrait balayer à la fois les tyrans corrompus et les terroristes islamistes, dont la violence ne serait qu’une “réaction” aux dictatures militaires. Or cette vision qui présente les "révolutions arabes" comme un bloc unique et idyllique est selon nous fausse. Car ce “printemps arabe”, initié par des jeunes libéraux épris de liberté, de dignité et de laïcité, a vite débouché sur un “hiver islamiste”. » | lundi 12 décembre 2011
Friday, November 18, 2011
LE FIGARO: Plus de 50.000 Egyptiens se sont réunis vendredi sur la place Tahrir, au Caire, pour exiger que les militaires transfèrent rapidement le pouvoir.
«Protéger la démocratie et le transfert du pouvoir». Tel était le thème de la manifestation organisée vendredi par une quarantaine d'associations et partis politiques. A quelques jours des élections législatives du 28 novembre, l'appel a été entendu par les Egyptiens. Ils étaient au moins 50.000, peut-être plus, venus de tout le pays, à manifester sur la place Tahrir, au Caire. » | Par lefigaro.fr | vendredi 18 novembre 2011
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Monday, April 26, 2010
THE TELEGRAPH: One of Egypt's most powerful businessmen has denied murdering his Lebanese pop singer lover in a case that has caused fascination across the Middle East.
Hisham Talaat Moustafa appeared in court along with one of his employees, Mohsen el-Sukkari, a former state security officer, who police say slit the throat of Suzanne Tamim in her Dubai apartment.
"It didn't happen. None of that happened," Mr Moustafa, dressed in white prison clothes, told the court from the black cage in which the men were held.
The two men have already been sentenced to hang by a court in Cairo, but a retrial was ordered by an appeal judge citing legal irregularities in the lower court.
The judge said defence requests went ignored in the trial and Mr Sukkari was first questioned in the absence of a lawyer.
The trial was postponed to Wednesday to allow the defence to review evidence. >>> Samer al-Atrush in Cairo | Monday, April 26, 2010
Related / Verbunden:
FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG: Ägypten: Millionär soll wegen Mordes hingerichtet werden >>> dpa | Donnerstag, 21. Mai 2009
Monday, October 26, 2009
LE FIGARO: Longtemps permissif, le gouvernement cherche la bonne tactique afin d'endiguer l'engouement pour le voile.
Une déclaration de guerre. Pour une partie de la société égyptienne, c'est ainsi qu'a été perçue la décision du cheikh d'al-Azhar, Mohammed Tantaoui, de contraindre une fillette de 12 ans à retirer son niqab lors d'une récente inspection d'une école. Depuis, la polémique fait rage entre opposants et partisans du voile intégral. Peu répandu il y a une dizaine d'années, le niqab s'est banalisé sous l'influence, notamment, des travailleurs égyptiens rentrant du Golfe imprégnés des valeurs wahhabites saoudiennes, mais aussi du boom des chaînes satellitaires religieuses, en particulier salafistes. Selon une étude officielle publiée l'été dernier, près de deux Égyptiennes sur dix le porteraient désormais, surtout dans les campagnes.
L'État égyptien, qui a d'abord laissé faire, semble décidé à s'attaquer au signe extérieur le plus visible d'une certaine radicalisation de la société. Après plusieurs escarmouches dans les cités universitaires ou les hôpitaux publics, il a donc envoyé au feu le cheikh d'al-Azhar, dont l'institution, la plus prestigieuse du monde sunnite, se veut la vitrine d'un islam modéré, mais dont le crédit personnel pâtit d'être nommé par le président de la République. «Le port du niqab en présence de femmes est un genre de rigorisme rejeté par la charia islamique», a affirmé le grand imam, précisant que son interdiction se limiterait aux établissements d'al-Azhar «réservés aux filles et où l'enseignement est assuré par des femmes». Il reste donc autorisé dans les écoles mixtes.
En avançant l'argument religieux, l'État sait qu'il s'aventure en terrain dangereux. En 2007, le Tribunal administratif suprême a en effet désavoué l'université américaine du Caire, qui avait fermé ses portes aux monaqqabates ( porteuses du voile intégral). Dans un verdict alambiqué, la justice a estimé que le niqab n'était certes pas une obligation religieuse, mais que son port étant permis, il n'était pas possible de l'interdire… Ce qui n'a pas dissuadé le ministre de l'Enseignement supérieur d'emboîter le pas du cheikh d'al-Azhar en bannissant à son tour par décret le niqab des cités universitaires. Alors que des dizaines de monaqqabates manifestaient contre cette décision, notamment à l'université du Caire, les Frères musulmans ont demandé le retrait du décret et le renvoi du cheikh d'al-Azhar. «Le niqab est une vertu, comment peut-on condamner la vertu ?», a argumenté Hamdi Hassan, porte-parole de la confrérie au Parlement. L'argument hygiéniste >>> Tangi Salaün au Caire | Jeudi 22 Octobre 2009
Tuesday, February 24, 2009
LE FIGARO: La police a annoncé, lundi, l'arrestation de trois suspects après l'attentat du Caire, sans préciser quelles charges pèsent contre eux.
C'est sans doute par le plus triste des hasards que les jeunes Français originaires de Levallois ont été frappés par le terrorisme dimanche soir alors qu'ils s'apprêtaient à acheter quelques souvenirs dans le souk du Khan el-Khalili, l'un des lieux les plus touristiques du Caire, où défilent chaque jour des milliers d'étrangers. Des interrogations subsistaient lundi sur les circonstances précises de l'attentat. Selon la police égyptienne, la bombe - un engin artisanal rempli de morceaux de métal et de clous - était dissimulée sous un banc sur le parvis de la mosquée al-Hussein, principal lieu saint de l'islam chiite au Caire. Mais, d'après plusieurs témoignages, elle aurait au contraire été lancée depuis le toit de l'hôtel al-Hussein, un petit établissement populaire planté à la lisière du souk, sur les touristes déambulant en contrebas. Dans un cas comme dans l'autre, souligne-t-on de source diplomatique, il apparaît peu probable que les ressortissants français aient été délibérément visés.
Des sources policières égyptiennes ont annoncé lundi l'arrestation de trois, voire cinq «suspects», sans préciser quelles charges pèsent contre eux. Il s'agirait notamment de deux femmes portant le niqab (voile intégral) et d'un jeune homme qui aurait été interpellé alors qu'il fuyait précipitamment les lieux. Des informations prises avec prudence par les spécialistes, qui rappellent les méthodes d'arrestations massives généralement employées par les services de sécurité égyptiens : après l'attentat contre la station balnéaire de Taba, en 2004, près de 3 000 personnes avaient par exemple été arrêtées dans le Sinaï. >>> Le Caire, Tangi Salaün | Lundi 23 Février 2009
The Dawning of a New Dark Age (Broché) >>>
The Dawning of a New Dark Age (Relié) >>>
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