Manifestation monstre au Yémen et violences dans l'est
TRIBUNE DE GENÈVE: Au Yémen une manifestation monstre à Sanaa, nommée «vendredi de la dernière chance» demandait toujours le départ du président. Des heurts violents ont eu lieu dans l’est du pays.

Vingt soldats yéménites ont été tués ces dernières 24 heures dans des attaques attribuées à une tribu ainsi qu’à Al-Qaïda, selon des militaires. Sanaa, la capitale, a connu vendredi le plus gros rassemblement de manifestants depuis le début de la contestation.

La foule s’étendait sur environ quatre kilomètres au centre de Sanaa. La manifestation a pour nom «vendredi de la dernière chance». Les manifestants réclament toujours le départ immédiat du président Saleh. Des responsables du mouvement ont appelé à une grève générale samedi.

Des forces de l’armée et la police étaient déployées en nombre vendredi à Sanaa pour empêcher des heurts entre les partisans du président Saleh et les manifestants qui exigent sa démission.
M. Saleh s’est adressé à ses partisans. Il a répété qu’il ne lâcherait pas le pouvoir avant l’expiration de son mandat en 2013. » | ATS / REUTERS / AFP | Vendredi 22 Avril 2011

Nouvelles accusations à l'encontre de Liès Hebbadj
Lies Hebbadj, 35 ans, né à Alger et arrivé en France à l'âge de deux ans, aurait obtenu la nationalité française il y a une dizaine d'années par mariage. Photo : Le Figaro
LE FIGARO: Brice Hortefeux a indiqué que le père de la femme verbalisée pour conduite en niqab aurait contacté la gendarmerie pour des violences présumées sur sa fille.

Une affaire encore loin d'être terminée. Brice Hortefeux a assuré mardi que l'affaire Liès Hebbadj, conjoint de la femme verbalisée pour conduite en niqab, irait «jusqu'à son terme» et a fait savoir que le père de cette dernière avait contacté la gendarmerie pour des violences présumées sur sa fille. Il aurait, à cet effet, déposé lundi un «renseignement» (proche de la main courante) à la brigade de gendarmerie de Vieillevigne (Loire-Atlantique). >>> Par Flore Galaud | Mercredi 28 Avril 2010

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Grèce: "Nous voulons vivre et non survivre"
leJDD.fr: Pas frais, pas frais du tout. Il faut dire que la nuit a été courte pour Andreas, Kostas, Manos et Netalie. Mines défaites, vêtements en vrac, piercings en berne, le quatuor ne baisse pourtant pas les bras. En ce matin de sixième jour de lutte, ces desperados s'affairent encore à fabriquer des armes de fortune pour se" protéger" des assauts de la police.

Le petit groupe a une mission, depuis la mort d'Alexis Gregopoulos, 15 ans, tué par la police dans le quartier d'Exarchia, à Athènes, il y a une semaine : occuper l'Ecole polytechnique. "C'est le plus grand moment de révolte depuis mai 68, s'enflamme Andreas, 26 ans, étudiant en droit. D'ailleurs, on espère que notre combat va se propager en France et dans d'autres capitales européennes." En attendant, le groupe squatte le laboratoire qui sert à la fabrication de maquettes pour les étudiants en architecture. Le lieu a été classiquement saccagé et chacun y est allé de son tag ou graffiti, afin de marquer son passage. En cette fin de matinée blême, à l'aide de portes de placards et de gros fils électriques, les quatre lascars se concentrent sur la fabrication artisanale de boucliers qui serviront tout autant à l'attaque qu'à la défense, face aux forces de l'ordre. >>> Par Karen Lajon, à Athènes | Dimanche 14 Décembre 2008

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Des bouteilles d'acide jetées dans un centre commercial à Hong-Kong
TRIBUNE DE GENÈVE: DRAME | Près de cinquante personnes ont été blessées samedi à Hong Kong par le jet dans un centre commercial bondé de deux bouteilles contenant un acide liquide, a rapporté la police. Celle-ci cherche à savoir s'il s'agit d'un acte volontaire. >>> ATS | Dimanche 14 Décembre 2008

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Peres tente de calmer des violences entre Juifs et Arabes
LE FIGARO: Dans la petite ville de Saint Jean d'Acre, en Israël, communautés juives et arabes s'affrontent depuis jeudi dernier. 700 policiers sont toujours en état d'alerte.

«On a toujours vécu en bonne entente, mais je crois que cette fois c'est terminé», lâche une habitante de Saint-Jean d'Acre. Cette petite ville d'Israël est le théâtre d'affrontements entre Juifs et Arabes depuis bientôt cinq jours. Le président israélien Shimon Peres s'est rendu lundi dans la ville pour s'entretenir avec les différentes parties afin d'appeler à la tolérance.«Nous sommes appelés à vivre côte à côte, et un avenir brillant attend Saint-Jean d'Acre» a-t-il martelé.

Et d'ajouter : «J'ai été surpris de l'ampleur des appels à la coexistence pacifique émis par les dirigeants des deux bords». Il a aussi rendu hommage à la police «qui a dû empêcher l'extension des violences, tout en évitant de faire de victimes». 700 policiers sont toujours déployés sur place, alors que la tension est toujours palpable, malgré un retour au calme dimanche soir. Depuis le début des émeutes, 54 personnes des deux bords ont été arrêtées pour atteinte à l'ordre public et douze sont encore détenues.

Saint-Jean d'Acre, ville de 52.000 habitants de Galilée, qui fut la capitale des Croisés, est composée à un tiers d'Arabes. Les deux communautés cohabitent depuis toujours dans le calme dans des quartiers distincts. Mais dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, cette cohabitation a volé en éclat. Peres tente de calmer des violences entre Juifs et Arabes >>> L.D. (lefigaro.fr) avec AFP | 13.10.2008

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"Liban: les combats meurtriers se poursuivent"
LE FIGARO: Alors que les affrontements entre l'armée libanaise et des militants extrémistes ont repris ce matin au nord du pays, un attentat a frappé la capitale.

C'est le premier incident du genre à Beyrouth depuis plusieurs mois. Dimanche, peu avant minuit, une Libanaise de 63 ans a été tuée et dix autres personnes blessées par l’explosion d’un engin piégé dans le quartier chrétien d'Achrafié. "Il s'agit d'un attentat terroriste qui vise à faire peur à la population et à déstabiliser la sécurité au Liban", a déclaré un officier de police. "La charge explosive placée dans une voiture garée dans un parking jouxtant un centre commercial pesait environ 40 kg et a provoqué un cratère de 1,5 mètre de profondeur et de 3 mètres de diamètre", a ajouté ce policier. Après Tripoli, la violence gagne Beyrouth (encore)

THE AUSTRALIAN:
Australians urged to avoid Lebanese fighting

BBC:
Lebanon clashes’ kill civilians

WATCH BBC VIDEO:
Fresh fighting in Lebanon

Mark Alexander