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Friday, January 10, 2020

Divorce à Buckingham entre la famille royale et le couple Harry-Meghan


LE MONDE – ÉDITORIAL : La décision du prince et de son épouse de se mettre en retrait de la vie publique illustre les difficultés de la famille royale à renvoyer d’elle une image modernisée.

Editorial du « Monde ».
La famille royale britannique joue un tel rôle dans la cohésion du Royaume-Uni, tient une telle place dans le cœur des Britanniques et dans le soft power de leur pays sur la scène internationale, que les états d’âme et les bisbilles des Windsor ne peuvent être considérés comme des vétilles. La décision, annoncée mercredi 8 janvier par Harry, deuxième fils de Charles, l’héritier de la couronne, et par son épouse, Meghan, de cesser de participer aux événements publics, principale activité des membres de la famille royale, jette le trouble à Londres. » | LeMonde | vendredi 10 janvier 2020

Tuesday, August 11, 2015

Un prince saoudien s'intéresse à la villa de Berlusconi


TRIBUNE DE GENÈVE: Selon la presse, Silvio Berlusconi en aurait demandé 500 millions d'euros au prince saoudien Mohammed bin Nayef, héritier du trône d'Arabie saoudite.

La famille royale saoudienne pourrait racheter la luxueuse villa de 2.500 m2 de Silvio Berlusconi en Sardaigne, où l'ancien chef du gouvernement italien a reçu chefs d'Etat et demoiselles peu vêtues, selon les médias italiens.

La «villa Certosa» - une trentaine de chambres, un amphithéâtre, un volcan artificiel, sept piscines, une grotte semi-souterraine, des courts de tennis et un parc de 120 hectares composé de plantes et de fleurs rares - est située sur la Costa Smeralda, la partie «chic» de l'île sarde.

C'est dans cet immense domaine que, du temps où il dirigeait le gouvernement italien, le milliardaire recevait Tony Blair, George W. Bush ou Vladimir Poutine. Il y a aussi été photographié en compagnie de jeunes femmes aux seins nus. » | afp/Newsnet | lundi 10 août 2015

CORRIERE DELLA SERA: Saudi Prince Interested in Berlusconi’s Villa Certosa »

CORRIERE DELLA SERA: Berlusconi mostra Villa Certosa E arriva l’offerta del principe saudita: L’ex premier ha mostrato il complesso all’erede al trono di re Salman. La richiesta è di 500 milioni. Mohammed bin Nayaef potrebbe aver trattato per conto del sovrano » | di Alberto Pinna | Venerdì 7 agosto 2015

Thursday, March 17, 2011

L'angoisse du prince héritier libyen en exil à Londres

LE FIGARO: Petit-fils du roi Idriss Ier, renversé par le colonel Kadhafi en 1968, le prince héritier Mohammed al-Sanusi vit à Londres depuis 1988.

«Quand j'ai vu le drapeau de la monarchie brandi par les insurgés de Libye, je me suis senti immensément heureux et fier.» Ce drapeau rouge, noir et vert frappé de l'étoile et du croissant, c'est le sien. Mohammed al-Sanusi est l'héritier du trône libyen. Petit-fils du roi Idriss Ier, renversé par le colonel Kadhafi en 1968, il vit en exil à Londres depuis 1988. Il veut toutefois garder la tête froide: «Ces drapeaux sont d'abord les emblèmes de la liberté. Les gens avaient caché ces drapeaux pendant quarante ans; ils les ressortent pour montrer qu'ils veulent renouer avec leur histoire.» Et avec le roi? «Les Libyens choisiront, répond-il prudemment. Ce que je crois, c'est que la Libye est promise à un brillant avenir, avec ou sans la monarchie.»

Mais les nouvelles sont mauvaises, et on n'en est pas là: «Aujourd'hui j'ai un seul message à faire passer. Il faut envoyer de l'aide humanitaire, instituer immédiatement une zone d'exclusion aérienne et bombarder les forces spéciales de Kadhafi, qui terrorisent la population.» Les camps des forces de sécurité, épine dorsale du régime, «doivent être frappés», insiste-t-il avec l'obstination du désespoir. Il se dit prêt à aller en Chine convaincre Pékin et ne comprend pas la «lenteur de la communauté internationale» à l'exception du président français, qui a reconnu le Conseil national de Benghazi comme seul représentant de la Libye: «Jamais nous n'oublierons ce que le président Sarkozy a fait.» » | Par Pierre Prier | Mercredi 16 Mars 2011

Vidéo et liens en relation avec cet article »

Wednesday, February 10, 2010

La princesse saoudienne qui défend la cause des femmes

LE FIGARO: Rencontre exclusive avec la fille préférée du roi Abdallah, et son atout pour faire bouger la société.

Elle avait précisé : pas de photo. Pour sa première interview à un journal occidental, Son Altesse royale la princesse Adelah bint Abdallah sait jusqu'où elle peut s'aventurer. Si des présentatrices au visage découvert apparaissent quotidiennement sur les chaînes saoudiennes, la fille préférée du roi Abdallah ne peut se permettre de transgresser les «traditions familiales» même si elle n'y verrait personnellement aucun inconvénient. Elle a pourtant accepté, pour la première fois, de recevoir un journaliste en tête à tête, et chez elle. C'est déjà un grand pas, dans un pays où l'on peut condamner une femme au fouet pour s'être simplement trouvée en compagnie d'un homme étranger à sa famille.

La princesse accueille simplement le visiteur dans sa maison de Riyad, une vaste villa que l'on ne saurait qualifier de palais. Pas de protocole. Adelah bint Abdallah, une grande et jolie femme, tend la main en souriant au seuil d'un salon aux meubles modernes, métal et cuir. Elle porte une jupe longue en cuir noir, une veste courte en velours vert sur un chemisier de soie grège, un foulard en fine mousseline posé sur les cheveux. «Je le mets quand je suis en représentation officielle», explique-t-elle. On est loin du niqab, la tenue noire couvrant entièrement le visage, courante dans les rues saoudiennes.

En plein accord avec son père, Adelah bint Abdallah s'est créé une mission bien à elle dans la famille royale, faire avancer la cause des femmes dans un pays encore très traditionnel. L'establishment religieux ne voit pas cela d'un très bon œil. Mais avec la légitimité de son rang et l'appui personnel de son père, la princesse se sent libre d'exprimer des convictions qui pourront sans doute choquer plus d'un religieux, sans parler des islamistes locaux.

Le voile complet ? En Arabie saoudite comme en France, il devrait s'agir d'un choix personnel. La mixité, déjà en vigueur dans les hôpitaux, où des femmes médecins traitent des patients masculins, et vice-versa ? Elle devrait être étendue à toute la société. L'âge du mariage ? Il faut fixer un minimum, dit la princesse, qui prend spontanément la défense de la «fillette de Boureïda», une histoire qui divise les Saoudiens, celle d'une gamine de 12 ans qui a épousé un homme de 80 ans (lire encadré). 50 % des diplômés sont des filles >>> D’envoyé spécial du Figaro à Riyad, Pierre Prier | Mercredi 10 Février 2010

LE FIGARO: «Nombre de lois doivent être changées» : INTERVIEW - Dans son premier entrerien avec un journal occidental, la fille du roi Abdallah évoque ses «combats» pour faire bouger la société saoudienne. >>> Propos recueillis à Riyad par Pierre Prier | Mardi 09 Février 2010

Tuesday, August 18, 2009

Les secrets posthumes de la reine mère bientôt publiés

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«Queen Mum» en avril 1960 pour ses 60 ans. Derrière le sourire légendaire, le vrai personnage de­meurait encore largement méconnu. Crédits photo : Le Figaro

LE FIGARO: Un an avant sa mort, la reine Élisabeth avait livré sa vision sur la Seconde Guerre mondiale, Margaret Thatcher et l'affaire Diana. Sortie du livre le 17 septembre.

La reine mère parle. Et la Grande-Bretagne tout entière attend avec impatience le livre à paraître dans un mois. Un an avant sa mort en 2002, à l'âge de 101 ans, la reine consort Élisabeth, qui fut l'épouse du roi George VI, avait enregistré des heures de conversation avec un vieil ami, sir Eric Anderson, l'ancien professeur du prince Charles. Une démarche tout à fait inhabituelle dans une famille régnante dont les membres s'expriment le moins possible. Élisabeth n'avait donné qu'une interview dans sa vie, avant son mariage avec George VI. L'entourage et le gouvernement furent horrifiés, et elle ne parla plus jamais à la presse. Ce qui rend encore plus surprenant le choix, par la famille royale, du journaliste chargé d'écrire la biographie officielle de la reine mère. William Shawcross, professionnel réputé, est connu pour ses livres riches en révélations sur Kissinger et la guerre secrète de Nixon au Cambodge.

Élevée par une gouvernante française

Non seulement Shawcross a eu accès aux enregistrements, mais son livre est aussi fondé sur des entretiens avec la reine Élisabeth II et le prince Charles. L'occasion d'éclairer un mystère. Personnage adoré de ses sujets, la reine mère, la «Queen Mum» comme on la surnommait, régnait sur les cœurs sans rien faire d'autre que sourire (une innovation qu'elle apporta à sa nouvelle famille, où ne l'on desserrait pas les dents sur les photos), de porter des chapeaux géants sur des robes pastel à froufrous, et de tenir l'alcool comme un matelot, qualité toujours appréciée outre-manche. >>> Pierre Prier | Jeudi 06 Août 2009