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Thursday, March 17, 2011

L'angoisse du prince héritier libyen en exil à Londres

LE FIGARO: Petit-fils du roi Idriss Ier, renversé par le colonel Kadhafi en 1968, le prince héritier Mohammed al-Sanusi vit à Londres depuis 1988.

«Quand j'ai vu le drapeau de la monarchie brandi par les insurgés de Libye, je me suis senti immensément heureux et fier.» Ce drapeau rouge, noir et vert frappé de l'étoile et du croissant, c'est le sien. Mohammed al-Sanusi est l'héritier du trône libyen. Petit-fils du roi Idriss Ier, renversé par le colonel Kadhafi en 1968, il vit en exil à Londres depuis 1988. Il veut toutefois garder la tête froide: «Ces drapeaux sont d'abord les emblèmes de la liberté. Les gens avaient caché ces drapeaux pendant quarante ans; ils les ressortent pour montrer qu'ils veulent renouer avec leur histoire.» Et avec le roi? «Les Libyens choisiront, répond-il prudemment. Ce que je crois, c'est que la Libye est promise à un brillant avenir, avec ou sans la monarchie.»

Mais les nouvelles sont mauvaises, et on n'en est pas là: «Aujourd'hui j'ai un seul message à faire passer. Il faut envoyer de l'aide humanitaire, instituer immédiatement une zone d'exclusion aérienne et bombarder les forces spéciales de Kadhafi, qui terrorisent la population.» Les camps des forces de sécurité, épine dorsale du régime, «doivent être frappés», insiste-t-il avec l'obstination du désespoir. Il se dit prêt à aller en Chine convaincre Pékin et ne comprend pas la «lenteur de la communauté internationale» à l'exception du président français, qui a reconnu le Conseil national de Benghazi comme seul représentant de la Libye: «Jamais nous n'oublierons ce que le président Sarkozy a fait.» » | Par Pierre Prier | Mercredi 16 Mars 2011

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Monday, August 31, 2009

40 Jahre Gaddafi: Der «verrückte Hund» feiert seine Revolution

24 MINUTEN ONLINE: Vor 40 Jahren putschte sich Muammar al-Gaddafi in Libyen an die Macht. Lange war der ebenso brutale wie bizarre Diktator isoliert, doch nun sitzt er fester im Sattel denn je. Dafür sprechen auch die Heimholung des Lockerbie-Attentäters und der Kniefall der Schweiz.

Als amtierender Vorsitzender der Afrikanischen Union sonnt sich der meist in quietschbunte Gewänder oder Uniformen gekleidete libysche Staatschef derzeit in der Rolle des «Königs von Afrika». Am 1. September sollen zudem die Feierlichkeiten zum «40. Jahrestag der Revolution» ihren Höhepunkt erreichen. Gaddafi, Jahrgang 1942, hatte 1969 gemeinsam mit einer Gruppe von Offizieren in einem unblutigen Putsch den betagten König Idris I. entmachtet. Seither steuert der Beduinensohn die Geschicke des Landes.

Viele Beobachter erstaunt es, dass sich Gaddafi so lange an der Spitze halten konnte. Seine zwischen Aggressivität und Scheckbuchdiplomatie schwankende Aussenpolitik und die von ihm eingeführte «direkte Volksdemokratie» haben dafür gesorgt, dass der Lebensstandard vieler Libyer heute gering ist, obwohl das Land über grosse Energievorkommen verfügt.

Doch Kritik am autokratischen Führungsstil von «Bruder Führer» hört man höchstens von einem Dutzend libyscher Oppositioneller, die im Exil leben. Parteien sind in Libyen verboten, hunderte Regimegegner sitzen im Gefängnis, Menschenrechtsorganisationen sprechen von Folter und Verschwundenen. Die Medien werden vom Staat kontrolliert. Vorliebe für grosse Auftritte >>> pbl/sda | Samstag, 29. August 2009