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Tuesday, November 17, 2009

Obama Fails to Convince China’s Ruling Élite

THE TELEGRAPH: America and China have been forced to agree to disagree on a wide range of issues following several hours of talks between US president Barack Obama and his Chinese counterpart Hu Jintao in Beijing.

Despite reaffirming the importance of deeper US-China co-operation to world peace and stability, the two sides were unable to disguise the deep differences that separate them on trade, security, climate change and human rights.

Speaking after the talks which formed the centrepiece of Mr Obama's five day tour of Asia, the two presidents laid out their separate positions on key issues during a press conference at which no questions were allowed.

Trade protectionism was high on the agenda with the US and China currently embroiled in its worst round of trade spats since China entered the World Trade Organisation in 2002.

"I stressed to President Obama that under the current circumstances our two countries need to oppose and reject protectionism in all its manifestations in an even stronger stance," Mr Hu said, in a thinly veiled attack on recent US trade measures against Chinese goods.

On Monday a poll by the CNN news network found that more than 70 per cent of Americans viewed China as a threat to the US, putting further domestic pressure on Mr Obama to protect US industries from cheap Chinese imports.

Mr Hu studiously avoided mention of China's currency, which the International Monetary Fund has warned is undervalued, but was prodded firmly on the long-standing issue of contention by Mr Obama. China: talks between Barack Obama and Hu Jintao yield few agreements >>> Peter Foster in Beijing | Tuesday, November 17, 2009

Monday, September 21, 2009

Folle semaine pour Obama

leJDD.fr: Proche-Orient, Iran, Afghanistan, réchauffement climatique et régulation financière mondiale… Barack Obama s'apprête à vivre une semaine à forts risques diplomatiques.

Fragilisé sur le plan intérieur – en grande partie en raison de l'opposition à sa réforme de l'assurance-maladie – Barack Obama entame une semaine diplomatique cruciale. Le programme est chargé: assemblée générale des Nations unies, rencontres bilatérales, sommet exceptionnel du Conseil de sécurité et G20 de Pittsburgh. Près d'un an après sa victoire du 4 novembre – et après ses nombreux discours marquants sur la politique étrangère des Etats-Unis, dont celui prononcé au Caire le 4 juin dernier -, le démocrate est attendu au tournant. S'il a, semble-t-il, réussi à restaurer l'image des Etats-Unis dans le monde, plutôt désastreuse après les deux mandatures de George W. Bush, il peine à concrétiser ses efforts.

Outre-Atlantique, les médias ne l'ont d'ailleurs pas épargné. Dans son édition dominicale, le New York Times estime ainsi que la "bonne volonté" du président américain n'a, pour l'heure, donné que "peu de résultats en politique étrangère". Et de dresser la (longue) liste des déconvenues: les pays européens n'ont pas cédé à la demande du président d'envoyer davantage de troupes en Afghanistan, Israël a refusé un compromis sur les colonies, la Corée du Nord a défié Washington en procédant à un essai nucléaire, le Japon a élu un parti "moins ami" des Etats-Unis, Cuba a peu libéralisé son système au regard des concessions faites ces dernières semaines par l'administration Obama, l'Inde et la Chine résistent toujours sur le plan climatique et enfin, la Russie rejette de nouvelles sanctions contre l'Iran.

Dans les travées des Nations unies à New York, puis à Pittsburgh à l'occasion du sommet du G20, Barack Obama va donc tenter de renverser la tendance. Il compte pour cela sur la première bonne nouvelle: Mahmoud Abbas et Benjamin Netanyahou ont accepté de se rencontrer, en sa présence, mardi, à New York. L'administration Obama veut y voir une occasion de relancer le dialogue au Proche-Orient, objectif central de la mandature démocrate. Reste que les observateurs attendent peu de cette rencontre, alors même que l'émissaire américain dans la région, George Mitchell, n'a pas réussi à obtenir un gel durable de la colonisation israélienne. Convaincre lors d'entretiens bilatéraux >>> Marianne Enault, leJDD.fr | Lundi 21 Septembre 2009

Thursday, September 03, 2009

Moyen-Orient: Ahmadinejad, un peu plus seul

leJDD.fr: En Iran, Mahmoud Ahmadinejad rencontre des difficultés pour obtenir la confiance de son cabinet. Plusieurs noms pourraient être retoqués par le Parlement.

Après la rue, Mahmoud Ahmadinejad doit affronter le Parlement (le Majlis). Le président de la République islamique, dont la réélection le 12 juin dernier avait jeté une partie de la population dans la rue, a choisi les 21 membres de son cabinet. Mais comme le veut le système iranien, chacun des ministres doit désormais être approuvé par le Parlement. Pour Mahmoud Ahmadinejad, c'est ici que les choses se compliquent. Ici aussi où ressurgissent les tensions à la tête de la République islamique, voire au sein même du clergé chiite. Censée être une formalité – les conservateurs dominent le Majlis - la nomination du cabinet s'éternise. Le Parlement examine mercredi, pour la quatrième journée consécutive, sa composition, notamment les candidats proposés pour les postes sensibles de l'Intérieur et du Pétrole. Le vote de confiance pourrait toutefois intervenir dans la soirée ou jeudi matin. Mais certains candidats pourraient toutefois passé à la trappe. Pour diverses raisons.

Des élus ultraconservateurs voient notamment d'un mauvais œil le choix de trois femmes, une première depuis la révolution islamique de 1979. Et ce, bien que celles-ci ne soient pas connues pour leur ouverture. "L'islam respecte la femme. Mais cela ne veut pas dire qu'on doit leur laisser des positions sociales importantes", a ainsi estimé l'ayatollah Ahmad Khatami. Autre choix contesté, celui de Kamran Daneshjou pour le portefeuille du ministère des Sciences, de la Recherche et des Technologies. Vice-ministre de l'Intérieur sous "Ahmadinejad I", il était en charge de l'organisation de la présidentielle du 12 juin. Or, plusieurs élus estiment que choisir cet homme - alors que le résultat de l'élection est toujours controversé et que l'opposition n'a pas renoncé à se faire entendre - ne participe pas à l'apaisement. D'autres, la frange la plus "libérale" des conservateurs, dénoncent le choix de Heydar Moslehi pour le ministère des Renseignements, soulignant son "passé douteux". L'homme est l'ancien représentant du Guide suprême auprès des bassidjis, le bras armé des Gardiens de la révolution. Ahmadinejad lâché par le Guide? >>> Marianne Enault, leJDD.fr | Mercredi 02 Septembre 2009