LE POINT: L'un des principaux opposants au président Mahmoud Ahmadinejad, le réformateur Mehdi Karoubi, a reconnu, pour la première fois lundi, le résultat de l'élection du 12 juin. Ses déclarations semblent ouvrir la voie à un apaisement de la crise politique qui secoue l'Iran depuis sept mois. "Je continue à croire que l'élection (présidentielle) a été marquée de fraudes massives, mais puisque le Guide (de la République islamique Ali Khamenei) l'a validée, je crois que M. Ahmadinejad est le chef du gouvernement, c'est-à-dire le président" de l'Iran, a déclaré Mehdi Karoubi, dans une réponse transmise par son fils Hossein Karoubi à une question de l'Agence France-Presse. >>> AFP | Lundi 25 Janvier 2010
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Monday, January 25, 2010
LE POINT: L'un des principaux opposants au président Mahmoud Ahmadinejad, le réformateur Mehdi Karoubi, a reconnu, pour la première fois lundi, le résultat de l'élection du 12 juin. Ses déclarations semblent ouvrir la voie à un apaisement de la crise politique qui secoue l'Iran depuis sept mois. "Je continue à croire que l'élection (présidentielle) a été marquée de fraudes massives, mais puisque le Guide (de la République islamique Ali Khamenei) l'a validée, je crois que M. Ahmadinejad est le chef du gouvernement, c'est-à-dire le président" de l'Iran, a déclaré Mehdi Karoubi, dans une réponse transmise par son fils Hossein Karoubi à une question de l'Agence France-Presse. >>> AFP | Lundi 25 Janvier 2010
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Saturday, January 09, 2010
TIMES ONLINE: Iran’s most outspoken opposition leader has had a narrow escape after his car was hit by bullets as he fled from a mob of government supporters.
Mehdi Karroubi’s armoured car was hit at least twice as it pulled away from the angry crowd, breaking the front and back windows. Mr Karroubi was unhurt.
The shooting was an ominous development in the seven months of internal strife that have engulfed Iran since the hotly disputed presidential election in June that handed victory to President Ahmadinejad.
Mr Karroubi, 72, has been attacked with bricks and teargas before but never with bullets, and in recent days the regime has sharply increased its efforts to crush a resurgent opposition. It has fired on demonstrators and staged rallies that have demanded the execution of Mr Karroubi and Mir Hossein Mousavi, the other leader of the so-called Green Movement. >>> Martin Fletcher | Friday, January 08, 2010
Friday, December 18, 2009
BBC: The Iranian government is being kept in power by force and will not last its four-year term, one of the opposition presidential candidates has predicted.
Opposition member Mehdi Karoubi said the government faced pressure from members of parliament, the Iranian public and the rest of the world.
Speaking to the BBC in Tehran, he repeated allegations over the abuse of anti-government protesters in prison.
President Mahmoud Ahmadinejad was re-elected in disputed elections in June.
"From the first day the election result came out I was convinced that Mr Ahmadinejad would not survive the full four years of his term," Mr Karoubi said.
"Even within the last six months, the government has only been kept in power by force."
Widespread protests erupted in Iran after the election, with hundreds of anti-government demonstrators arrested.
In a rare interview with a foreign broadcaster, Mr Karoubi told the BBC that heavy-handed treatment by the authorities had been counter-productive.
"At the beginning of the movement, it was just a protest against the election, we didn't recognise it as a serious election.
"The government's response, the crackdown, has not calmed things down at all. In fact, it's just made the chanting louder. It's just increased the people's demands."
He stood by his allegations that opposition activists have been raped in detention - a charge vehemently denied by authorities.
He said he was not afraid of being prosecuted over the claims as threatened by several government officials. Read further (with BBC video) >>> | Friday, December 18, 2009
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Wednesday, August 26, 2009
LE TEMPS: Plusieurs récits révèlent la violence de la répression, au moment où les «cerveaux» des manifestations post-électorales comparaissent devant le tribunal révolutionnaire
Il préfère taire son nom. Pourtant, il veut témoigner, malgré les risques de représailles. «En prison, ils m’ont ligoté les mains et les pieds, ils m’ont battu à mort, puis ils m’ont fait quelque chose qui est un péché même pour les apostats», confie le jeune homme, en allusion au viol subi lors de ses interrogatoires derrière les barreaux de la prison de Kahrizak, au sud de Téhéran. Publié en début de semaine par Etemad e Melli, le site internet de Mehdi Karoubi, candidat malchanceux à l’élection présidentielle, le récit détaillé de la descente aux enfers de ce manifestant vient confirmer la violence de la répression post-électorale. Il montre, aussi, la volonté des durs du régime d’étouffer ces diverses affaires de sévices. Pas plus tard qu’hier, un membre d’une commission d’enquête du parlement a même déclaré «infondé» ce genre de révélations. >>> Delphine Minoui | Mercredi26 Août 2009
Saturday, August 22, 2009
TIMES ONLINE: The 15-year-old boy sits weeping in a safehouse in central Iran, broken in body and spirit. Reza will not go outside — he is terrified of being left alone. He says he wants to end his life and it is not hard to understand why: for daring to wear the green wristband of Iran’s opposition he was locked up for 20 days, beaten, raped repeatedly and subjected to the Abu Ghraib-style sexual humiliations and abuse for which the Iranian regime denounced the United States.
“My life is over. I don’t think I can ever recover,” he said, as he recounted his experiences to The Times — on condition that his identity not be revealed. A doctor who is treating him, at great risk to herself, confirmed that he is suicidal, and bears the appalling injuries consistent with his story. The family is desperate, and is exploring ways of fleeing Iran.
Reza is living proof of the charges levelled by Mehdi Karoubi, one of the opposition’s leaders, that prison officials are systematically raping both male and female detainees to break their wills. The regime has accused Mr Karoubi of helping Iran’s enemies by spreading lies and has threatened to arrest him.
The boy’s treatment also shows just how far a regime that claims to champion Islamic values is prepared to go to suppress millions of its own citizens who claim that President Ahmadinejad’s re-election was rigged. >>> Homa Homayoun | Saturday, August 22, 2009
Tuesday, August 18, 2009
LE POINT: L'ancien président réformateur Mohammad Khatami et l'ex-candidat réformateur à la présidentielle Mehdi Karoubi, ont rejoint le "Chemin vert de l'espoir", mouvement récemment lancé par l'un des chefs de file de l'opposition, Mir Hossein Moussavi, selon l'agence Ilna. "Le conseil central du Chemin vert de l'espoir sera formé par un petit groupe de personnes, de cinq à six, parmi lesquelles MM. Khatami et Karoubi", a expliqué Alireza Beheshti, un collaborateur de M. Moussavi, cité par Ilna.
Ce mouvement a été lancé pour poursuivre la contestation de la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad, a rapporté dimanche le quotidien réformateur Etemad Melli. "Le Chemin vert de l'espoir est constitué pour défendre les demandes légitimes du peuple et l'obtention de ses droits", a expliqué Mir Hossein Moussavi lors d'une réunion, à une date non précisée, avec des membres de l'Association des médecins islamiques, selon le journal. >>> AFP | Mardi 18 Août 2009
Sunday, August 09, 2009
LE FIGARO: Un haut responsable de l'armée idéologique du régime iranien appelle à juger les candidats de l'opposition et l'ancien président réformateur Mohammad Khatami, accusés d'avoir fomenté un complot contre le pouvoir.
L'Iran n'en a pas fini avec les procès contre les opposants. Dimanche, un haut responsable des Gardiens de la révolution s'en est pris nommément aux deux candidats de l'opposition, Mir Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi, et à l'ancien président réformateur Mohammad Khatami. Yadwollah Javani, chef du bureau politique de cette force d'élite du régime, accuse les trois hommes d'avoir participé à un complot qui visait à orchestrer une «révolution de velours» contre la République islamique.
«Quel est le rôle de Khatami, Moussavi et Karoubi dans ce coup d'Etat ?», a-t-il lancé. «S'ils en sont les instigateurs, et c'est le cas, les responsables de la justice et de la sécurité doivent les arrêter, les juger et les punir pour éteindre les feux de ce complot», affirme Yadwollah Javani dans un article publié dans Sobhe Sadegh, l'hebdomadaire du bureau politique des Gardiens de la révolution. Khatami, Moussavi et Karoubi ont tous les trois demandé l'annulation de la présidentielle du 12 juin, qui a conduit à la réélection de Mahmoud Ahmadinejad à la tête du pays. >>> B.F. (lefigaro.fr) avec agences | Dimanche 09 Août 2009
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