LE FIGARO: La situation de Valérie Trierweiler fascine les médias internationaux.
Discrète, mais pas invisible. Pour ses premiers pas de «First Girl Friend», Valérie Trierweiler est restée aussi loin que possible de la politique française. Quelques images seulement de son séjour aux États-Unis, mais pas de commentaires. «Elle ne voulait pas parasiter le premier déplacement du président», explique-t-on à l'Élysée. Et puis, fait-on comprendre, ce n'est pas toujours simple pour l'ancienne journaliste passée de l'autre côté du miroir. À l'ambassade de France à Washington, vendredi, elle avait refusé de répondre aux sollicitations des reporters. » | Par Nicolas Barotte, envoyé du Figaro spécial à Chicago | lundi 21 mai 2012