Le pape en remet une couche sur l'homosexualité
TRIBUNE DE GENÈVE: SOCIÉTÉ | Benoît XVI a dénoncé lundi les lois qui, selon lui, aboutissent à nier la différence entre les sexes. Cette intervention du pape fait suite à l'adoption par le Portugal d'un texte autorisant le mariage homosexuel.

Lors de sa traditionnelle audience de début d'année au corps diplomatique accrédité auprès du Vatican, Benoît XVI a qualifié d'«attaque» envers ce que Dieu a créé, les «lois ou des projets qui, au nom de la lutte contre la discrimination, portent atteinte au fondement biologique de la différence entre les sexes». >>> AFP | Lundi 11 Janvier 2010

Pope Slams Gay Marriage as 'Attack' on Creation
THE SYDNEY MORNING HERALD: Pope Benedict XVI has called laws ignoring the difference between the sexes an "attack" on creation just days after Portugal moved to legalise gay marriage.

Creatures, including humans, "can be protected or endangered", the Pope, 82, told the Vatican diplomatic corps in a traditional January address focusing mainly on environmental issues.

"One such attack comes from laws or proposals which, in the name of fighting discrimination, strike at the biological basis of the difference between the sexes," he said, citing "certain countries in Europe or North and South America". >>> AFP | Tuesday, January 12, 2010

LE MONDE: Le pape dénonce les lois qui, selon lui, nient la différence entre les sexes: L ors de sa traditionnelle audience de début d'année au corps diplomatique accrédité auprès du Vatican, Benoît XVI a qualifié, lundi 11 janvier, d'"attaque" envers ce que Dieu a créé, les "lois ou des projets qui, au nom de la lutte contre la discrimination, portent atteinte au fondement biologique de la différence entre les sexes". >>> LEMONDE.FR avec AFP | Lundi 11 Janvier 2010

Iran : des médecins dénoncent la terreur dans les hôpitaux
LE FIGARO: De passage à Paris, ils dénoncent le climat de terreur qui sévit dans les hôpitaux où ont été transportés, ces dernières semaines, les blessés des manifestations anti-Ahmadinejad.

Ils en ont trop vu. Par peur de représailles, ils ont gardé le silence. Mais de passage en France pour quelques jours, ils veulent briser le mur de la peur. À tout prix. «À Téhéran, nous sommes les témoins impuissants de véritables crimes contre l'humanité», s'insurge un des deux médecins iraniens, rencontrés ce week-end à Paris, et qui préfère garder l'anonymat pour des raisons de sécurité. «Depuis le début des manifestations anti-Ahmadinejad, dit-il, des miliciens et des agents de la sécurité en civil ont instauré une politique de la terreur dans les hôpitaux. Ils y mènent une traque sans merci contre les blessés.»«Tout a débuté le samedi 13 juin - le premier jour de la contestation contre les résultats de l'élection. Ils ont commencé à demander la liste des admis à la réception des hôpitaux qui étaient situés à proximité des manifestations», raconte le médecin. Objectif à peine voilé : «identifier les protestataires blessés, pour pouvoir ensuite les poursuivre en justice, en les accusant d'avoir perturbé l'ordre public», précise-t-il. >>> Delphine Minoui | Lundi 06 Juillet 2009

John McCain dénonce le triomphalisme d'Obama
Photo grâce au Figaro
LE FIGARO: Le candidat républicain attaque sans relâche pour faire mentir les sondages qui le donnent toujours derrière Obama. Mais moins loin.

Dans une semaine et un jour, les jeux seront faits. La nervosité est perceptible chez les électeurs démocrates qui n'osent encore croire à la victoire de leur favori. «On y avait cru les deux dernières fois avec Gore et Kerry. Les républicains vont tout faire pour créer des problèmes aux urnes le jour du vote, comme on l'a vu en Floride en 2000 et dans l'Ohio en 2004», dit Ann, une New-Yorkaise dont les craintes sont partagées par de nombreux partisans de Barack Obama. Au retour d'une visite éclair à sa grand-mère mourante à Hawaï, le candidat démocrate a mis en garde ses troupes dans les trois États de l'Ouest où il s'est arrêté pour tenter de faire définitivement pencher, de son côté, une balance traditionnellement favorable aux républicains.

«Nous allons devoir nous battre chaque jour qui nous reste, nous ne pouvons nous relâcher», a répété Barack Obama dans ses meetings à Reno, dans le Nevada, et au Nouveau-Mexique avant de gagner le Colorado. Ces trois États représentent globalement dix-neuf grands électeurs qui pourraient compenser une défaite en Floride ou dans l'Ohio, l'un des grands États clés avec la Pennsylvanie. À égalité avec McCain dans les sondages en Floride, Obama fera campagne mercredi à Orlando en compagnie de Bill Clinton. L'ancien président fera sa première apparition au côté de l'ex-rival de son épouse, qu'il avait sérieusement égratigné pendant les primaires. S'il est un État qui lui semble promis mais qu'Obama ne prend pas pour acquis, c'est la Pennsylvanie. Il sera aujourd'hui à Pittsburgh, où le racisme latent chez certains cols bleus est difficilement mesurable dans les sondages, puis dans le comté conservateur de Chester près de Philadelphie. >>> Jean-Louis Turlin | 27.10.2008

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