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Monday, May 07, 2012

Nicolas Sarkozy arrête définitivement la politique

LE FIGARO: Le président sortant Nicolas Sarkozy a confirmé lundi aux poids lourds de la majorité qu'il quittait la vie politique et livré son regard sur sa défaite.

De l'émotion. De la gravité aussi. Nicolas Sarkozy a reçu son comité de campagne lundi à 14 heures, à l'Élysée. Une vingtaine de personnes, dont François Fillon, Jean-François Copé, et les représentants des différentes sensibilités, ainsi que des ministres et ses principaux collaborateurs, dont sa plume Henri Guaino. Le président sortant les a reçus à l'heure dite. La réunion a duré une heure. Fatigué, le teint gris et les traits marqués, Sarkozy a toutefois fait bonne figure en se montrant calme et serein, au lendemain d'une défaite à laquelle il a cru jusqu'au bout pouvoir échapper. Il a une nouvelle fois confirmé qu'il arrêtait la politique: «Une page se tourne pour moi, a-t-il confié. Je ne serai pas candidat aux législatives, ni aux élections à venir.» Il a ajouté, dans un sourire: «Soyez rassurés, je renouvellerai ma carte (de l'UMP) et je payerai ma cotisation. Mais je quitte l'opérationnel.» » | Par Solenn de Royer | lundi 07 mai 2012

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Sarkozy is quitting politics for good. He loves life too much to be bitter. He’d leave tomorrow if he could, but he has to respect tradition. The French falling out of love with him, his personality, his politics will be worse for him than his divorce from Cécilia. Carla will welcome his withdrawal from political life. »

Monday, September 19, 2011

L'acte de contrition de DSK fait écho à celui de Bill Clinton

LE MONDE: Les deux affaires sont très différentes mais les actes de contrition télévisuelle se ressemblent étrangement. Dimanche 18 septembre au soir, à peine terminée l'intervention télévisée de Dominique Strauss-Kahn sur le plateau du 20 heures de TF1, beaucoup de commentateurs l'ont déjà relevé : un certain nombre d'éléments de langage employés par l'ancien patron du FMI semblaient faire écho à l'intervention de l'ancien président américain, Bill Clinton, le 17 août 1998.


Ce soir-là, l'ancien président démocrate était venu s'expliquer à la télévision, face caméra et devant des millions d'Américains, sur sa relation avec Monica Lewinsky. L'"affaire Lewinsky" – ou le "Monicagate" comme on l'appelait déjà à l'époque –, avait éclaté sept mois auparavant aux Etats-Unis. A cette époque, des rumeurs affirment que Bill Clinton aurait eu, entre 1995 et 1997, des rapports intimes avec une stagiaire de la Maison Blanche, Monica Lewinsky. Le 21 janvier 1998, devant un grand jury et alors qu'il était sous serment, M. Clinton nie les faits.

Mais, le 28 juillet 1998, le procureur en charge de l'enquête, Kenneth Starr, obtient les aveux de Monica Lewinsky en échange de son immunité. En l'espace de quelques jours, l'étau se resserre autour de Bill Clinton, qui se voit obligé de révisersa stratégie de communication : le 17 août, il s'adresse directement à la Nation pour reconnaître des relations sexuelles avec Monica Lewinsky.
Il est important de noter que l'"affaire Lewinsky", à la différence de l'"affaire DSK" ne comporte aucun volet pénal et qu'il n'y a jamais été question de relation sexuelle contrainte. En ceci, les deux affaires diffèrent complètement ; mais dans les deux cas, les principaux intéressés ont été amenés à faire une acte de repentir public et télévisuel. Dimanche soir, Dominique Strauss-Kahn a ainsi utilisé certaines expressions relevant du champ lexical de la moralité qui rappellent le discours prononcé par Bill Clinton, 13 ans plus tôt.

La déclaration de Dominique Strauss-Kahn, le 18 septembre 2011


Lire le reste de l'article » | LEMONDE.FR | Lundi 19 Septembre 2011

Saturday, February 20, 2010

Rachida Dati veut être au côté de Nicolas Sarkozy en 2012

LE FIGARO: L'ancienne garde des Sceaux multiplie les déplacements en France et à l'étranger. L'occasion de vérifier sa popularité.

«Pour moi, l'ambition n'est pas un gros mot, ce n'est pas un tabou.» Ces mots, prononcés jeudi soir à Londres devant une centaine d'expatriés militants UMP, sont ceux de Rachida Dati. Six mois après son départ forcé du gouvernement, l'ancienne ministre de la Justice regarde devant elle. Et elle peut savourer une victoire : même «exilée» à Strasbourg, elle n'est pas sortie des écrans radar. Toujours aussi présente, toujours aussi demandée, elle multiplie les déplacements en France et à l'étranger. Et remplit les salles. «Alain Juppé et Xavier Bertrand sont les derniers à être venus. Ils n'ont pas eu plus de monde que Rachida Dati. En fait, elle a fait mieux qu'eux», glisse un adhérent UMP. Pour les régionales, elle ira à Lyon, Avignon ou Chalon-sur-Saône, la ville de sa jeunesse. D'autres meetings sont programmés dans le Centre, en Poitou-Charentes, en Paca… «Il y aura du monde», promet-elle crânement. >>> Par Anne Rovan | Vendredi 19 Février 2010

Friday, May 18, 2007

La vie brillante de politique de Sarkozy en France

François Fillon et sa femme galloise, Pénélope:

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Photo de M et Mme Fillon grâce aux Google Images (France)
Mark Alexander