LE FIGARO : Les États-Unis ont déployé dans les Caraïbes le plus grand porte-avions du monde, accompagné d’une flotte de navires de guerre et d’avions de chasse pour mener des opérations antidrogue.
Six compagnies aériennes ont annulé samedi leurs liaisons avec le Venezuela, après que les États-Unis ont averti l'aviation civile d'une « augmentation de l'activité militaire » dans le cadre du déploiement de forces américaines dans les Caraïbes, a indiqué à l'AFP le syndicat des compagnies aériennes. » | Par Le Figaro avec AFP | samedi 22 novembre 2025
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Saturday, November 22, 2025
Pourquoi 40% des jeunes femmes américaines envisagent de quitter le pays : un sondage qui révèle un profond malaise
MADAME FIGARO : Ce récent sondage, publié le jeudi 13 novembre, met en lumière le malaise des citoyennes américaines face à la politique conservatrice de Donald Trump.
Aux États-Unis, la politique du président Donald Trump ne plaît pas à tout le monde. C’est du moins ce que démontrent les chiffres d’un nouveau sondage Gallup, publié le jeudi 13 novembre, affirmant que 40% des Américaines âgées entre 15 et 44 ans souhaiteraient quitter définitivement le territoire si elles en avaient la possibilité. Réalisée entre le 14 juin et le 16 juillet dernier, cette enquête a été effectuée sur un échantillon de 1000 personnes. Ce chiffre record jure avec l’état d’esprit de leurs homologues masculins. En effet, seulement 19% des hommes déclarent quant à eux vouloir fuir le pays. » | Par Léa Mabilon | mardi 18 novembre 2025
Aux États-Unis, la politique du président Donald Trump ne plaît pas à tout le monde. C’est du moins ce que démontrent les chiffres d’un nouveau sondage Gallup, publié le jeudi 13 novembre, affirmant que 40% des Américaines âgées entre 15 et 44 ans souhaiteraient quitter définitivement le territoire si elles en avaient la possibilité. Réalisée entre le 14 juin et le 16 juillet dernier, cette enquête a été effectuée sur un échantillon de 1000 personnes. Ce chiffre record jure avec l’état d’esprit de leurs homologues masculins. En effet, seulement 19% des hommes déclarent quant à eux vouloir fuir le pays. » | Par Léa Mabilon | mardi 18 novembre 2025
«Je n’exclus pas la possibilité d’envoyer des troupes» : Donald Trump poursuit sa stratégie d’intimidation face au Venezuela
LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - La guerre contre le narcotrafic lancée fin août par Donald Trump dans les Caraïbes s’accompagne d’une intense opération de déstabilisation contre le président vénézuélien Nicolás Maduro.
«Nous devons simplement nous occuper du Venezuela», a déclaré, sibyllin, le président des États-Unis lundi 17 octobre, dans un contexte de recrudescence des tensions avec Caracas et d’accentuation de la pression américaine sur le régime chaviste. Depuis la fin du mois d’août, la guerre lancée par Donald Trump contre le trafic de drogue dans les Caraïbes - dont les frappes menées sur des embarcations accusées sans preuves de transporter de la drogue ont fait au moins 83 morts -, s’accompagne d’une opération de déstabilisation du pouvoir tenu d’une main de fer par le président socialiste Nicolás Maduro depuis près de treize années et que Washington accuse d’être à la tête d’un cartel criminel.
«À un moment donné, je vais lui parler», a déclaré Donald Trump en début de semaine après avoir multiplié les réunions avec ses conseillers à ce sujet. «Celui qui veut parler avec le Venezuela, on parlera avec lui en tête-à-tête. Sans aucun problème», lui a répondu le leader du Parti socialiste unifié (PSUV). Au même moment, le plus grand porte-avions au monde, l’USS Gérald R. Ford, arrivait dans les Caraïbes pour rejoindre la zone d’opération de la 4e Flotte américaine dans le cadre de l’opération Southern Spear, «Lance du Sud». Ce sont désormais 15.000 soldats américains qui sont déployés dans la région, du jamais vu depuis la crise des missiles à Cuba en 1961 : une dizaine de navires, un bâtiment d’assaut amphibie et son détachement expéditionnaire de Marines, un croiseur lance-missiles, des destroyers, un sous-marin d’attaques, une escadrille de chasseurs-bombardiers F-35B... De son côté, le Venezuela mobilise ses troupes qui se tiennent prêtes. » | Par Victor Mérat |samedi 22 novembre 2025
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«Nous devons simplement nous occuper du Venezuela», a déclaré, sibyllin, le président des États-Unis lundi 17 octobre, dans un contexte de recrudescence des tensions avec Caracas et d’accentuation de la pression américaine sur le régime chaviste. Depuis la fin du mois d’août, la guerre lancée par Donald Trump contre le trafic de drogue dans les Caraïbes - dont les frappes menées sur des embarcations accusées sans preuves de transporter de la drogue ont fait au moins 83 morts -, s’accompagne d’une opération de déstabilisation du pouvoir tenu d’une main de fer par le président socialiste Nicolás Maduro depuis près de treize années et que Washington accuse d’être à la tête d’un cartel criminel.
«À un moment donné, je vais lui parler», a déclaré Donald Trump en début de semaine après avoir multiplié les réunions avec ses conseillers à ce sujet. «Celui qui veut parler avec le Venezuela, on parlera avec lui en tête-à-tête. Sans aucun problème», lui a répondu le leader du Parti socialiste unifié (PSUV). Au même moment, le plus grand porte-avions au monde, l’USS Gérald R. Ford, arrivait dans les Caraïbes pour rejoindre la zone d’opération de la 4e Flotte américaine dans le cadre de l’opération Southern Spear, «Lance du Sud». Ce sont désormais 15.000 soldats américains qui sont déployés dans la région, du jamais vu depuis la crise des missiles à Cuba en 1961 : une dizaine de navires, un bâtiment d’assaut amphibie et son détachement expéditionnaire de Marines, un croiseur lance-missiles, des destroyers, un sous-marin d’attaques, une escadrille de chasseurs-bombardiers F-35B... De son côté, le Venezuela mobilise ses troupes qui se tiennent prêtes. » | Par Victor Mérat |samedi 22 novembre 2025
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Wednesday, November 19, 2025
États-Unis : JD Vance condamné pour avoir menacé de mort... JD Vance, le vice-président
LE FIGARO : Un homme du Michigan portant le même nom que le vice-président des États-Unis a été condamné lundi pour avoir proféré des menaces de mort contre Donald Trump et JD Vance sur les réseaux sociaux.
Un Américain de 67 ans répondant au nom de JD Vance a été condamné lundi à deux ans de prison par un tribunal du Michigan pour avoir menacé de tuer Donald Trump, le vice-président JD Vance et l’un des enfants du président des États-Unis sur le réseau social Bluesky. L’affaire a pris une tournure ironique du fait que le condamné partage les mêmes initiales et le même patronyme que le vice-président qu’il menaçait. » | Par Ségolène Forgar | mercredi 19 novembre 2025
Un Américain de 67 ans répondant au nom de JD Vance a été condamné lundi à deux ans de prison par un tribunal du Michigan pour avoir menacé de tuer Donald Trump, le vice-président JD Vance et l’un des enfants du président des États-Unis sur le réseau social Bluesky. L’affaire a pris une tournure ironique du fait que le condamné partage les mêmes initiales et le même patronyme que le vice-président qu’il menaçait. » | Par Ségolène Forgar | mercredi 19 novembre 2025
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Tuesday, November 11, 2025
Venezuela: Caracas annonce un déploiement militaire «massif» face à «l'impérialisme» américain
LE FIGARO : Le Venezuela dispose de «force et de pouvoir» pour répondre aux États-Unis, a assuré Nicolas Maduro, alors que de nombreux navires américains sont présents dans les Caraïbes.
L'armée vénézuélienne a annoncé mardi un déploiement «massif» dans tout le pays pour répondre à l'«impérialisme» des États-Unis, dont les opérations militaires antidrogue dans les Caraïbes et le Pacifique recevront le renfort d'un porte-avions dans les jours qui viennent.
Depuis août, Washington maintient dans les Caraïbes une présence militaire avec notamment une demi-douzaine de navires de guerre, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue à destination des États-Unis. Vingt frappes aériennes contre des embarcations présentées comme transportant de la drogue ont entraîné la mort d'au moins 76 personnes au large des côtes vénézuéliennes. » | Par Le Figaro avec AFP | mardi 11 novembre 2025
L'armée vénézuélienne a annoncé mardi un déploiement «massif» dans tout le pays pour répondre à l'«impérialisme» des États-Unis, dont les opérations militaires antidrogue dans les Caraïbes et le Pacifique recevront le renfort d'un porte-avions dans les jours qui viennent.
Depuis août, Washington maintient dans les Caraïbes une présence militaire avec notamment une demi-douzaine de navires de guerre, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue à destination des États-Unis. Vingt frappes aériennes contre des embarcations présentées comme transportant de la drogue ont entraîné la mort d'au moins 76 personnes au large des côtes vénézuéliennes. » | Par Le Figaro avec AFP | mardi 11 novembre 2025
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Saturday, November 08, 2025
Une vague de froid historique menace les États-Unis
LE FIGARO : Une vague de froid arctique pourrait battre des records datant du XIXe siècle. Plus de 155 millions d’Américains devraient subir des températures glaciales jusqu’à mercredi.
Le mercure pourrait descendre sous les -7°C en Alabama et dans le Mississippi. Cette masse d’air arctique, décrite par les météorologues comme «la plus froide de la planète depuis un certain temps», déferlera ce week-end aux États-Unis sur les Grandes Plaines et le Midwest, avant d’atteindre la côte Est lundi. Au total, 155 millions de personnes dans les États contigus subiront des températures glaciales jusqu’à mercredi, comme le rapporte le Washington Post . » | Par Ségolène Forgar | samedi 8 novembre 2025
Le mercure pourrait descendre sous les -7°C en Alabama et dans le Mississippi. Cette masse d’air arctique, décrite par les météorologues comme «la plus froide de la planète depuis un certain temps», déferlera ce week-end aux États-Unis sur les Grandes Plaines et le Midwest, avant d’atteindre la côte Est lundi. Au total, 155 millions de personnes dans les États contigus subiront des températures glaciales jusqu’à mercredi, comme le rapporte le Washington Post . » | Par Ségolène Forgar | samedi 8 novembre 2025
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Saturday, October 25, 2025
«Ce sera certainement la débandade» : au Venezuela, l’armée en alerte après l’annonce de l’arrivée de troupes américaines à Trinité-et-Tobago
LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - Cet État des Caraïbes, situé à quelques kilomètres du Venezuela, fait trembler le pays dirigé par Nicolás Maduro, particulièrement dans les cercles militaires.
« Des clowns, ce sont des clowns ! » Edgar Morillo, contramiral vénézuélien à la retraite, ne mâche pas ses mots pour qualifier les militaires de son pays, lui qui considère le plan de défense nationale « Indépendance 200 » comme « un spectacle de propagande destiné aux réseaux sociaux ».
Développé par les autorités au pouvoir depuis l’arrivée des navires américains en mer des Caraïbes, ce plan se divise en 4 phases. D’abord le recrutement de miliciens, un corps de l’armée vénézuélienne composé de civils, ensuite un «déploiement défensif» et un «entraînement territorial» des troupes, puis une phase de «lutte non armée», soit «le développement de la conscience révolutionnaire, bolivarienne et chaviste» et enfin, la dernière étape, celle de la lutte armée, «si nécessaire», précise le ministère de la Défense dans ses publications en ligne. » | Par Alice Campaignolle | samedi 25 octobre 2025
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« Des clowns, ce sont des clowns ! » Edgar Morillo, contramiral vénézuélien à la retraite, ne mâche pas ses mots pour qualifier les militaires de son pays, lui qui considère le plan de défense nationale « Indépendance 200 » comme « un spectacle de propagande destiné aux réseaux sociaux ».
Développé par les autorités au pouvoir depuis l’arrivée des navires américains en mer des Caraïbes, ce plan se divise en 4 phases. D’abord le recrutement de miliciens, un corps de l’armée vénézuélienne composé de civils, ensuite un «déploiement défensif» et un «entraînement territorial» des troupes, puis une phase de «lutte non armée», soit «le développement de la conscience révolutionnaire, bolivarienne et chaviste» et enfin, la dernière étape, celle de la lutte armée, «si nécessaire», précise le ministère de la Défense dans ses publications en ligne. » | Par Alice Campaignolle | samedi 25 octobre 2025
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Fake news sur Brigitte Macron : l’itinéraire d’une sidérante théorie du complot qui a conquis l’Amérique
LE FIGARO : ENQUÊTE - La rumeur selon laquelle l’épouse d’Emmanuel Macron serait née homme n’a fait qu’enfler depuis quatre ans. Jusqu’à atteindre les plus influentes sphères conspirationnistes, outre-Atlantique. Un procès se tient à Paris lundi et mardi.
«Je risquerais toute ma réputation professionnelle sur le fait que Brigitte Macron est en réalité un homme.» Le 11 mars 2024, ce qui n’était qu’une obscure théorie du complot, relayée dans des boucles Telegram et groupes Facebook français de «réinformation», a embrasé le web mondial. La rumeur sur la transidentité de la Première dame de France est devenue globale à cause de ce tweet de Candace Owens, une influenceuse suivie par une dizaine de millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Cette femme de 36 ans, connue pour ses penchants conspirationnistes, ses prises de position antisémites et prorusses, a exploité le filon jusqu’à l’épuisement. Elle a publié une série de podcasts en huit épisodes, baptisée «Becoming Brigitte» (Devenir Brigitte, NDLR), dans laquelle elle affirme, entre autres assertions loufoques, que l’épouse du président Macron serait en réalité Jean-Michel Trogneux, son frère né en 1945. » | Par Etienne Jacob | samedi 25 octobre 2025
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«Je risquerais toute ma réputation professionnelle sur le fait que Brigitte Macron est en réalité un homme.» Le 11 mars 2024, ce qui n’était qu’une obscure théorie du complot, relayée dans des boucles Telegram et groupes Facebook français de «réinformation», a embrasé le web mondial. La rumeur sur la transidentité de la Première dame de France est devenue globale à cause de ce tweet de Candace Owens, une influenceuse suivie par une dizaine de millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Cette femme de 36 ans, connue pour ses penchants conspirationnistes, ses prises de position antisémites et prorusses, a exploité le filon jusqu’à l’épuisement. Elle a publié une série de podcasts en huit épisodes, baptisée «Becoming Brigitte» (Devenir Brigitte, NDLR), dans laquelle elle affirme, entre autres assertions loufoques, que l’épouse du président Macron serait en réalité Jean-Michel Trogneux, son frère né en 1945. » | Par Etienne Jacob | samedi 25 octobre 2025
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Saturday, October 18, 2025
«No Kings», le mouvement de mobilisation anti-Trump, se mobilise à nouveau ce samedi
LE FIGARO : Plus de 2700 rassemblements sont prévus dans les grandes villes américaines, comme dans des bourgades d’États républicains, ainsi qu’à proximité de la résidence du président en Floride, où Donald Trump passe le week-end.
Depuis plusieurs mois, aux Etats-Unis, les fervents opposants à la politique jugée «autoritaire» de Donald Trump cherchent à se faire entendre. Une forme de résistance se forme à travers des manifestations organisées dans tout le pays, et qui se démarquent par le nombre de participants. Plus de cinq millions de personnes se sont déjà rassemblées en juin dernier, lors de plus de 2100 mobilisations, selon les organisateurs. Ce mouvement qui prend de l’ampleur a un nom : «No Kings», «Pas de Rois» en français. «Le président pense que son pouvoir est absolu. Mais en Amérique, nous n’avons pas de rois et nous ne céderons pas face au chaos, à la corruption et à la cruauté», affiche comme mot d’ordre les instigateurs sur leur site internet. » | Par Clara Hidalgo avec AFP agence | samedi 18 octobre 2025
Depuis plusieurs mois, aux Etats-Unis, les fervents opposants à la politique jugée «autoritaire» de Donald Trump cherchent à se faire entendre. Une forme de résistance se forme à travers des manifestations organisées dans tout le pays, et qui se démarquent par le nombre de participants. Plus de cinq millions de personnes se sont déjà rassemblées en juin dernier, lors de plus de 2100 mobilisations, selon les organisateurs. Ce mouvement qui prend de l’ampleur a un nom : «No Kings», «Pas de Rois» en français. «Le président pense que son pouvoir est absolu. Mais en Amérique, nous n’avons pas de rois et nous ne céderons pas face au chaos, à la corruption et à la cruauté», affiche comme mot d’ordre les instigateurs sur leur site internet. » | Par Clara Hidalgo avec AFP agence | samedi 18 octobre 2025
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Quand les Américains renouent avec le rêve de la French Riviera et achètent en masse sur la Côte d’Azur
LE FIGARO : DÉCRYPTAGE - Dans certains réseaux immobiliers, ces acheteurs représentent désormais plus d’un quart des ventes. Certains fuient Trump, mais beaucoup sont attirés par des prix imbattables par rapport aux États-Unis.
Depuis son jardin sur les hauteurs de Grasse où il voit les collines verdoyantes se jeter dans la Méditerranée, Larry* (le prénom a été changé) savoure cette fin d’après-midi. C’est l’heure de l’apéritif. Un bon moment pour déguster un verre de rosé frais, tout en jetant un œil sur son téléphone aux infos qui lui proviennent des États-Unis, bousculés par le shutdown, ce bras de fer budgétaire entre les Républicains et les Démocrates. « Cela fait du bien d’être loin du chaos, c’est reposant », souffle, entre deux tartines de tapenade, cet ancien patron américain d’une entreprise de tech.
Une déclaration qui peut étonner alors que la France traverse une crise politique. Mais tout est une question de point de vue. L’an dernier, il a acheté avec sa femme cette villa contemporaine de 250 m2. Le prix ? Pas moins de deux millions d’euros. C’est à ce tarif que le couple, amoureux de la France, a réalisé son rêve. Larry et sa femme, qui vivent près de Boston la majeure partie de l’année, souhaitent désormais passer plusieurs mois par an sur la Côte d’Azur. « Ici j’aime le climat, j’aime la nourriture, j’aime la façon d’être des gens aussi, appuie Larry. Ce que j’aime moins, c’est qu’à un moment il faut rentrer à la maison ». » | Par Jorge Carasso | samedi 18 octobre 2025
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Depuis son jardin sur les hauteurs de Grasse où il voit les collines verdoyantes se jeter dans la Méditerranée, Larry* (le prénom a été changé) savoure cette fin d’après-midi. C’est l’heure de l’apéritif. Un bon moment pour déguster un verre de rosé frais, tout en jetant un œil sur son téléphone aux infos qui lui proviennent des États-Unis, bousculés par le shutdown, ce bras de fer budgétaire entre les Républicains et les Démocrates. « Cela fait du bien d’être loin du chaos, c’est reposant », souffle, entre deux tartines de tapenade, cet ancien patron américain d’une entreprise de tech.
Une déclaration qui peut étonner alors que la France traverse une crise politique. Mais tout est une question de point de vue. L’an dernier, il a acheté avec sa femme cette villa contemporaine de 250 m2. Le prix ? Pas moins de deux millions d’euros. C’est à ce tarif que le couple, amoureux de la France, a réalisé son rêve. Larry et sa femme, qui vivent près de Boston la majeure partie de l’année, souhaitent désormais passer plusieurs mois par an sur la Côte d’Azur. « Ici j’aime le climat, j’aime la nourriture, j’aime la façon d’être des gens aussi, appuie Larry. Ce que j’aime moins, c’est qu’à un moment il faut rentrer à la maison ». » | Par Jorge Carasso | samedi 18 octobre 2025
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Wednesday, October 08, 2025
États-Unis : la Garde nationale pourrait être déployée à Memphis vendredi
LE FIGARO : Cette opération s’inscrit dans la stratégie de Donald Trump d’envoyer des forces fédérales dans les villes démocrates pour lutter contre la «criminalité».
Des gardes nationaux seront «peut-être» déployés d'ici vendredi à Memphis, une ville démocrate dans l'État républicain du Tennessee (sud), a indiqué mardi la chef de la police locale, au cours d'une réunion du conseil municipal. «Quelques membres de la Garde nationale sont déjà à Memphis (...) mais peut-être le 10 octobre, d'ici quelques jours, nous verrons le premier groupe de gardes nationaux arriver en ville», a précisé Cerelyn Davis.
Le président Donald Trump avait signé le 15 septembre l'ordre de déploiement de militaires de la Garde nationale à Memphis, dans le cadre de sa lutte contre la «criminalité» qui cible des grandes villes américaines dirigées par des opposants démocrates. Cette opération «comprendra la Garde nationale, le FBI» et d'autres agences fédérales, avait précisé Donald Trump. Un total de 700 hommes sont censés être déployés. » | Par Le Figaro avec AFP | mercredi 8 octobre 2025
Des gardes nationaux seront «peut-être» déployés d'ici vendredi à Memphis, une ville démocrate dans l'État républicain du Tennessee (sud), a indiqué mardi la chef de la police locale, au cours d'une réunion du conseil municipal. «Quelques membres de la Garde nationale sont déjà à Memphis (...) mais peut-être le 10 octobre, d'ici quelques jours, nous verrons le premier groupe de gardes nationaux arriver en ville», a précisé Cerelyn Davis.
Le président Donald Trump avait signé le 15 septembre l'ordre de déploiement de militaires de la Garde nationale à Memphis, dans le cadre de sa lutte contre la «criminalité» qui cible des grandes villes américaines dirigées par des opposants démocrates. Cette opération «comprendra la Garde nationale, le FBI» et d'autres agences fédérales, avait précisé Donald Trump. Un total de 700 hommes sont censés être déployés. » | Par Le Figaro avec AFP | mercredi 8 octobre 2025
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Tuesday, October 07, 2025
États-Unis : la Cour suprême réexamine ce vendredi l’interdiction des «thérapies de conversion» pour mineurs
LE FIGARO : Le recours d’une psychologue chrétienne du Colorado contre l’interdiction des thérapies de conversion pour mineurs doit être examiné ce mardi. Une décision qui pourrait transformer la protection des jeunes LGBTQ+ dans plus d’une vingtaine d’États.
Les droits LGBTQ+ sont une nouvelle fois menacés aux États-Unis. La Cour suprême a accepté d’examiner ce mardi 7 octobre un recours contre une loi du Colorado interdisant, depuis 2019, les « thérapies de conversion » . Ces pratiques, plébiscitées par certains courants conservateurs et religieux, visent à «guérir» les mineurs homosexuels en modifiant leur orientation sexuelle et inciter les enfants transgenres à s’identifier au sexe qui leur a été assigné à la naissance. Parfois extrêmement violentes, elles ont été assimilées à «un acte de torture» par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies nie en 2020. Les personnes qui y sont soumises peuvent en garder de lourdes séquelles, tomber en dépression, voire se suicider. » | Par Louise Dugast | mardi 7 octobre 2025
Les droits LGBTQ+ sont une nouvelle fois menacés aux États-Unis. La Cour suprême a accepté d’examiner ce mardi 7 octobre un recours contre une loi du Colorado interdisant, depuis 2019, les « thérapies de conversion » . Ces pratiques, plébiscitées par certains courants conservateurs et religieux, visent à «guérir» les mineurs homosexuels en modifiant leur orientation sexuelle et inciter les enfants transgenres à s’identifier au sexe qui leur a été assigné à la naissance. Parfois extrêmement violentes, elles ont été assimilées à «un acte de torture» par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies nie en 2020. Les personnes qui y sont soumises peuvent en garder de lourdes séquelles, tomber en dépression, voire se suicider. » | Par Louise Dugast | mardi 7 octobre 2025
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Saturday, October 04, 2025
«Le Christ ou le chaos» : aux États-Unis, derrière le pasteur Douglas Wilson, l’essor du nationalisme chrétien
LE FIGARO : Longtemps figure marginale des milieux évangéliques, l’homme incarne aujourd’hui la montée de cette idéologie protéiforme mais structurante de la sphère MAGA.
En 2007, le magazine Christianity Today publiait un échange épistolaire entre deux hommes sur le débat suivant : « Le christianisme est-il bon pour le monde ? » D’un côté, Christopher Hitchens, célèbre écrivain de gauche passé à droite, antithéiste convaincu et connu pour ses joutes verbales avec différentes personnalités religieuses. De l’autre, Douglas Wilson, pasteur de Christ Church, église située dans la ville de Moscou, en Idaho. Le succès et la popularité de l’échange amenèrent les deux hommes à se rencontrer pour une tournée de débats aux États-Unis, documentée dans un film intitulé Collision, sorti en 2009 – deux ans avant la mort de Hitchens.
Deux décennies plus tard, ce n’est pas un magazine religieux qui s’intéresse à Douglas Wilson, mais les grands médias nationaux, dont The Wall Street Journal. La semaine dernière, le deuxième quotidien américain consacrait à ce pasteur de l’Idaho un grand article : « Douglas Wilson souhaite que les États-Unis deviennent une république chrétienne. Et la sphère MAGA l’écoute. » Une consécration pour cet homme de 71 ans, qui a passé le plus clair de sa vie à la marge des mouvements conservateurs et religieux de son pays. Lui-même fils de pasteur, Wilson devait partir dans le Wyoming après avoir fini son service militaire, pour suivre les traces de son père et ouvrir une librairie. Le destin et l’amour l’ont fait rester à Moscou, Idaho, où ses parents s’étaient installés dans les années 1960. » | Par Vincent Jolly, pour Le Figaro Magazine | samedi 4 octobre 2025
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En 2007, le magazine Christianity Today publiait un échange épistolaire entre deux hommes sur le débat suivant : « Le christianisme est-il bon pour le monde ? » D’un côté, Christopher Hitchens, célèbre écrivain de gauche passé à droite, antithéiste convaincu et connu pour ses joutes verbales avec différentes personnalités religieuses. De l’autre, Douglas Wilson, pasteur de Christ Church, église située dans la ville de Moscou, en Idaho. Le succès et la popularité de l’échange amenèrent les deux hommes à se rencontrer pour une tournée de débats aux États-Unis, documentée dans un film intitulé Collision, sorti en 2009 – deux ans avant la mort de Hitchens.
Deux décennies plus tard, ce n’est pas un magazine religieux qui s’intéresse à Douglas Wilson, mais les grands médias nationaux, dont The Wall Street Journal. La semaine dernière, le deuxième quotidien américain consacrait à ce pasteur de l’Idaho un grand article : « Douglas Wilson souhaite que les États-Unis deviennent une république chrétienne. Et la sphère MAGA l’écoute. » Une consécration pour cet homme de 71 ans, qui a passé le plus clair de sa vie à la marge des mouvements conservateurs et religieux de son pays. Lui-même fils de pasteur, Wilson devait partir dans le Wyoming après avoir fini son service militaire, pour suivre les traces de son père et ouvrir une librairie. Le destin et l’amour l’ont fait rester à Moscou, Idaho, où ses parents s’étaient installés dans les années 1960. » | Par Vincent Jolly, pour Le Figaro Magazine | samedi 4 octobre 2025
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Thursday, October 02, 2025
Le Venezuela affirme que des avions de chasse américains ont «osé s'approcher des côtes»
LE FIGARO : La tension continue de monter entre les deux pays, quelques jours après que le président vénézuélien Nicolás Maduro s’est dit prêt à décréter l’état d’urgence sur tout le territoire.
Cinq avions de chasse américains «ont osé s'approcher» des côtes du Venezuela, a dénoncé jeudi le ministre de la Défense, alors que la tension est élevée entre les deux pays après le déploiement par Washington de navires de guerre au large du pays caribéen.
«L'impérialisme nord-américain a osé s'approcher des côtes vénézuéliennes», a déclaré Vladimir Padrino dans une allocution à la télévision d'État. «Le Système de défense aérienne du Venezuela» a détecté cinq «avions de combat», a-t-il dit sans plus de précisions. » | Par Le Figaro avec AFP | jeudi 2 octobre 2025
Cinq avions de chasse américains «ont osé s'approcher» des côtes du Venezuela, a dénoncé jeudi le ministre de la Défense, alors que la tension est élevée entre les deux pays après le déploiement par Washington de navires de guerre au large du pays caribéen.
«L'impérialisme nord-américain a osé s'approcher des côtes vénézuéliennes», a déclaré Vladimir Padrino dans une allocution à la télévision d'État. «Le Système de défense aérienne du Venezuela» a détecté cinq «avions de combat», a-t-il dit sans plus de précisions. » | Par Le Figaro avec AFP | jeudi 2 octobre 2025
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Tuesday, September 30, 2025
Venezuela : Maduro prêt à décréter l’état d’urgence en cas d’«agression» des États-Unis, selon sa vice-présidente
LE FIGARO : Alors que l’escalade des tensions se poursuit entre Nicolás Maduro et Donald Trump, Delcy Rodríguez a pris la parole ce lundi.
Le président vénézuélien Nicolás Maduro est prêt à décréter l’état d’urgence sur tout le territoire en cas d’«agression» des États-Unis qui ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes, a annoncé lundi la vice-présidente Delcy Rodriguez. «Le président a signé le décret sur les troubles extérieurs», a déclaré Mme Rodriguez lors d’une cérémonie avec le corps diplomatique. Ce décret «confère des pouvoirs spéciaux au chef de l’État pour agir en matière de défense et de sécurité» si les États-Unis «osent agresser notre patrie», a-t-elle ajouté. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 29 septembre 2025
Le président vénézuélien Nicolás Maduro est prêt à décréter l’état d’urgence sur tout le territoire en cas d’«agression» des États-Unis qui ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes, a annoncé lundi la vice-présidente Delcy Rodriguez. «Le président a signé le décret sur les troubles extérieurs», a déclaré Mme Rodriguez lors d’une cérémonie avec le corps diplomatique. Ce décret «confère des pouvoirs spéciaux au chef de l’État pour agir en matière de défense et de sécurité» si les États-Unis «osent agresser notre patrie», a-t-elle ajouté. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 29 septembre 2025
Tuesday, September 23, 2025
«Le régime de Maduro n’est pas légitime» : la Maison-Blanche rejette l'offre de dialogue du Venezuela
LE FIGARO : Les États-Unis accusent Nicolás Maduro de liens avec le narcotrafic et refusent son offre de dialogue.
La Maison-Blanche a rejeté lundi l'offre de dialogue du président Nicolás Maduro à son homologue Donald Trump, alors que les États-Unis mènent des opérations antidrogue au large des côtes vénézuéliennes jugées comme «une menace» par Caracas.
Les chefs de l'opposition vénézuélienne ont ce même jour soutenu le déploiement américain, l'estimant «nécessaire pour démanteler la structure criminelle qui reste le seul obstacle au rétablissement de la souveraineté populaire au Venezuela», selon l'ex-candidat à la présidentielle, Edmundo Gonzalez Urrutia. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 22 septembre 2025
La Maison-Blanche a rejeté lundi l'offre de dialogue du président Nicolás Maduro à son homologue Donald Trump, alors que les États-Unis mènent des opérations antidrogue au large des côtes vénézuéliennes jugées comme «une menace» par Caracas.
Les chefs de l'opposition vénézuélienne ont ce même jour soutenu le déploiement américain, l'estimant «nécessaire pour démanteler la structure criminelle qui reste le seul obstacle au rétablissement de la souveraineté populaire au Venezuela», selon l'ex-candidat à la présidentielle, Edmundo Gonzalez Urrutia. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 22 septembre 2025
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Monday, September 22, 2025
Une Américaine qui accusait Joe Biden d'agression sexuelle a été naturalisée par Vladimir Poutine
LE FIGARO : Vladimir Poutine a signé un décret ce lundi pour faire de Tara Reade une citoyenne russe.
Tara Reade, une Américaine qui avait durant la campagne électorale de 2020 accusé Joe Biden d'une agression sexuelle remontant aux années 1990, a reçu lundi la nationalité russe, selon un décret signé par le président Vladimir Poutine. D'après ce texte publié sur le site des informations juridiques officielles, «Mc Cabe Alexandra Tara, née le 26 février 1964», est désormais russe.
Selon la presse américaine, Tara Reade avait changé de nom en 1998 et pris celui d'Alexandra Mc Cabe pour se protéger de son ex-mari, qu'elle accusait de violences conjugales. Début 2020, elle avait affirmé que Joe Biden, alors candidat à l'élection présidentielle, l'avait agressée sexuellement dans un couloir du Congrès américain en 1993, lorsqu'il était sénateur et qu'elle travaillait pour lui. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 22 septembre 2025
Tara Reade, une Américaine qui avait durant la campagne électorale de 2020 accusé Joe Biden d'une agression sexuelle remontant aux années 1990, a reçu lundi la nationalité russe, selon un décret signé par le président Vladimir Poutine. D'après ce texte publié sur le site des informations juridiques officielles, «Mc Cabe Alexandra Tara, née le 26 février 1964», est désormais russe.
Selon la presse américaine, Tara Reade avait changé de nom en 1998 et pris celui d'Alexandra Mc Cabe pour se protéger de son ex-mari, qu'elle accusait de violences conjugales. Début 2020, elle avait affirmé que Joe Biden, alors candidat à l'élection présidentielle, l'avait agressée sexuellement dans un couloir du Congrès américain en 1993, lorsqu'il était sénateur et qu'elle travaillait pour lui. » | Par Le Figaro avec AFP | lundi 22 septembre 2025
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« J’aime mon pays mais je ne le reconnais pas » : Angelina Jolie s’inquiète de l’état de la liberté d’expression aux États-Unis
LE FIGARO : Depuis le Festival international du film de Saint-Sébastien, l’actrice dépeint un tableau assez sombre de la situation politique américaine. Tout en faisant preuve de prudence dans ses déclarations.
Il a fallu dix longues secondes à l’actrice pour trouver les bons mots. Ceux qu’elle estime appropriés pour dépeindre la situation politique aux États-Unis. De passage au Festival international du film de Saint-Sébastien, au Pays basque espagnol, Angelina Jolie a été invitée à commenter l’actualité américaine. Plus précisément, le débat soulevé par le récent licenciement de l’animateur vedette Jimmy Kimmel.
À la journaliste espagnole qui l’interroge sur sa position « d’artiste » face à ces atteintes supposées au droit fondamental de la liberté d’expression, l’actrice concède sa perplexité. « C’est évidemment une question très difficile, commence-t-elle. Je vais dire simplement que j’aime mon pays, mais que je ne le reconnais pas en ce moment ». » | Par Benjamin Puech | lundi 22 septembre 2025
Á lire aussi en anglais :
Angelina Jolie says ‘I don’t recognise my country’ now amid threats to freedom of speech in US: Oscar winner’s comments come days after suspension of Jimmy Kimmel by ABC and Disney, a decision heavily criticised by major stars including Pedro Pascal and Olivia Rodrigo »
Il a fallu dix longues secondes à l’actrice pour trouver les bons mots. Ceux qu’elle estime appropriés pour dépeindre la situation politique aux États-Unis. De passage au Festival international du film de Saint-Sébastien, au Pays basque espagnol, Angelina Jolie a été invitée à commenter l’actualité américaine. Plus précisément, le débat soulevé par le récent licenciement de l’animateur vedette Jimmy Kimmel.
À la journaliste espagnole qui l’interroge sur sa position « d’artiste » face à ces atteintes supposées au droit fondamental de la liberté d’expression, l’actrice concède sa perplexité. « C’est évidemment une question très difficile, commence-t-elle. Je vais dire simplement que j’aime mon pays, mais que je ne le reconnais pas en ce moment ». » | Par Benjamin Puech | lundi 22 septembre 2025
Á lire aussi en anglais :
Angelina Jolie says ‘I don’t recognise my country’ now amid threats to freedom of speech in US: Oscar winner’s comments come days after suspension of Jimmy Kimmel by ABC and Disney, a decision heavily criticised by major stars including Pedro Pascal and Olivia Rodrigo »
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Saturday, September 20, 2025
Venezuela : pour le ministre de la Défense, le déploiement militaire américain dans les Caraïbes est «une guerre non déclarée»
LE FIGARO : Vladimir Padrino Lopez estime que les États-Unis ont «exécuté» des personnes en ciblant des narcotrafiquants dans la mer des Caraïbes.
Le ministre de la Défense vénézuélien Vladimir Padrino Lopez a affirmé vendredi que le déploiement militaire américain dans les Caraïbes, officiellement pour une opération antidrogue, et les frappes sur des bateaux de trafiquants présumés étaient «une guerre non déclarée».
«C'est une guerre non déclarée, et vous voyez déjà comment des personnes, qu'elles soient ou non des narcotrafiquants, ont été exécutées dans la mer des Caraïbes. Exécutées, sans droit à la défense», a affirmé le général Padrino Lopez lors d'un exercice militaire retransmis à la télévision publique. » | Par Le Figaro avec AFP | vendredi 19 septembre 2025
Maduro Calls U.S. Attack on Boat ‘A Heinous Crime.’ Then Trump Announces Another.: The Venezuela leader, Nicolás Maduro, said that the Trump administration was trying to start a war in the Caribbean. »
En español:
Maduro califica de ‘crimen alevoso’ el ataque estadounidense contra una embarcación, mientras Trump anuncia otro: El dirigente venezolano, Nicolás Maduro, dijo que el ataque del 2 de septiembre, en el que murieron 11 personas, violó las leyes estadounidenses e internacionales. »
Le ministre de la Défense vénézuélien Vladimir Padrino Lopez a affirmé vendredi que le déploiement militaire américain dans les Caraïbes, officiellement pour une opération antidrogue, et les frappes sur des bateaux de trafiquants présumés étaient «une guerre non déclarée».
«C'est une guerre non déclarée, et vous voyez déjà comment des personnes, qu'elles soient ou non des narcotrafiquants, ont été exécutées dans la mer des Caraïbes. Exécutées, sans droit à la défense», a affirmé le général Padrino Lopez lors d'un exercice militaire retransmis à la télévision publique. » | Par Le Figaro avec AFP | vendredi 19 septembre 2025
Maduro Calls U.S. Attack on Boat ‘A Heinous Crime.’ Then Trump Announces Another.: The Venezuela leader, Nicolás Maduro, said that the Trump administration was trying to start a war in the Caribbean. »
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Maduro califica de ‘crimen alevoso’ el ataque estadounidense contra una embarcación, mientras Trump anuncia otro: El dirigente venezolano, Nicolás Maduro, dijo que el ataque del 2 de septiembre, en el que murieron 11 personas, violó las leyes estadounidenses e internacionales. »
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Thursday, September 18, 2025
«Ennemi de certains à droite et héros improbable à gauche» : qui est Jimmy Kimmel, animateur anti-Trump privé de télé après sa sortie sur Charlie Kirk ?
LE FIGARO : PORTRAIT - L’émission culte de l’un des visages les plus célèbres de l’Amérique a été supprimée de l’antenne pour «une durée indéterminée» après qu’il a critiqué l’attitude de la droite républicaine concernant le meurtrier de Charlie Kirk.
De toute façon, «Kimmel n’a AUCUN talent», sanctionne, narquois, Donald Trump sur Truth Social. Le président américain a des raisons de se réjouir : l’animateur star Jimmy Kimmel, avec lequel il s’écharpe violemment à coups de publications incendiaires sur les réseaux sociaux depuis plusieurs années, a vu mercredi soir son émission «Jimmy Kimmel Live» suspendue pour une durée «indéterminée», selon une annonce de la chaîne américaine ABC.
L’humoriste vedette de 57 ans, dont l’émission proposait un regard humoristique sur l’actualité cinq fois par semaine, s’était fendu lundi de propos critiquant la droite américaine concernant le meurtrier de l’influenceur Charlie Kirk. «Nous avons atteint de nouveaux sommets ce week-end, avec la clique MAGA qui s’efforce désespérément de présenter ce jeune qui a assassiné Charlie Kirk comme quelqu’un d’autre qu’un des leurs et qui fait tout son possible pour en tirer un avantage politique», avait tancé l’Américain. » | Par Jeanne Durieux | jeudi 18 septembre 2025
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De toute façon, «Kimmel n’a AUCUN talent», sanctionne, narquois, Donald Trump sur Truth Social. Le président américain a des raisons de se réjouir : l’animateur star Jimmy Kimmel, avec lequel il s’écharpe violemment à coups de publications incendiaires sur les réseaux sociaux depuis plusieurs années, a vu mercredi soir son émission «Jimmy Kimmel Live» suspendue pour une durée «indéterminée», selon une annonce de la chaîne américaine ABC.
L’humoriste vedette de 57 ans, dont l’émission proposait un regard humoristique sur l’actualité cinq fois par semaine, s’était fendu lundi de propos critiquant la droite américaine concernant le meurtrier de l’influenceur Charlie Kirk. «Nous avons atteint de nouveaux sommets ce week-end, avec la clique MAGA qui s’efforce désespérément de présenter ce jeune qui a assassiné Charlie Kirk comme quelqu’un d’autre qu’un des leurs et qui fait tout son possible pour en tirer un avantage politique», avait tancé l’Américain. » | Par Jeanne Durieux | jeudi 18 septembre 2025
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