La Commission européenne souhaite que la Suisse participe à l'avenir à la clé de répartition permanente des réfugiés, en tant qu'Etat associé aux accords de Dublin. Mais un flou subsiste sur cette «obligation».
Dans sa proposition, adoptée jeudi par le Parlement européen, la Commission européenne prévoit de créer un mécanisme de répartition permanent et contraignant. Le texte fait référence à l'accord de Dublin passé avec quatre pays non-membres de l'UE, soit la Suisse, l'Islande, la Norvège et le Liechtenstein. » | jeudi 9 septembre 2015