THE GUARDIAN: As rate reaches double digits, Stuart Rose calls lack of government action to shield households ‘horrifying’
The veteran retailer Stuart Rose has urged the government to do more to shield the poorest from double-digit inflation, describing the lack of action as “horrifying”, with a prime minister “on shore leave” leaving a situation where “nobody is in charge”.
Responding to July’s 10.1% headline rate, the Conservative peer and Asda chair said: “We have been very, very slow in recognising this train coming down the tunnel and it’s run quite a lot of people over and we now have to deal with the aftermath.”
Attacking a lack of leadership while Boris Johnson is away on holiday, he said: “We’ve got to have some action. The captain of the ship is on shore leave, right, nobody’s in charge at the moment.”
Lord Rose, who is a former boss of Marks & Spencer, said action was needed to kill “pernicious” inflation, which he said “erodes wealth over time”. He dismissed claims by the Tory leadership candidate Liz Truss’s camp that it would be possible for the UK to grow its way out of the crisis. » | Joanna Partridge | Wednesday, August 17, 2022
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Wednesday, August 17, 2022
Monday, February 04, 2008
LE MONDE: Dans son roman Sybil, Benjamin Disraeli, premier ministre de la reine Victoria, avait condamné la coupure du royaume en "deux nations entre lesquelles il n'y a ni relation ni sympathie... les riches et les pauvres". Ce thème, récurrent sous le gouvernement Thatcher (1979-1990), est redevenu d'actualité.
"En trente-cinq années de métier dans la distribution, je n'ai jamais vu de disparités aussi grandes : à Londres et dans le Sud, les nantis s'enrichissent, dans le reste du pays, les gens s'appauvrissent. Je ne reconnais plus le Royaume-Uni" : directeur général des grands magasins Marks & Spencer, Stuart Rose a repris à son compte la remarque de Disraeli. Malgré la baisse du nombre de touristes américains et japonais ou le ralentissement économique, lors des fêtes de fin d'année, les ventes de M & S ont explosé à Londres et dans les comtés voisins. En revanche, le chiffre d'affaires de l'enseigne dans le nord de l'Angleterre et en Ecosse a fortement diminué.
Lacunes du système éducatif
Dans la foulée, un rapport de l'institut des études fiscales, Institute for Fiscal Studies, confirme le fossé grandissant entre les riches et le reste de la population depuis l'arrivée au pouvoir du Labour, en 1997. Les 47 000 contribuables gagnant plus de 350 000 livres brut par an vivent dans leur quasi-totalité à Londres.
A l'évidence, cet écart régional est fécondé par le formidable essor des services, en particulier financiers, dans la capitale britannique. A l'exception des multinationales, pharmacie, défense, aéronautique etc., l'industrie britannique installée dans le vieux Pays noir, a souffert des délocalisations et de la concurrence étrangère, sans parler de la fermeté jusqu'il y a peu de la livre sterling.
Le Nord est pénalisé par une infrastructure de transports inférieure et les lacunes du système éducatif d'Etat. Tandis que les rémunérations s'envolent dans le tertiaire, les ouvriers et employés voient leurs revenus amputés par la hausse de la fiscalité indirecte et l'inflation. Cette situation contrastée est aussi patente dans les régions rurales du Sud-Ouest. Le retour des deux "nations" britanniques : la riche et la pauvre >>>
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