LE FIGARO: L'Administration pénitentiaire et les services de renseignement s'inquiètent aujourd'hui du comportement des prisonniers les plus extrémistes qui, comme ce fut le cas d'un Merah, évitent tout signe ostentatoire pour mieux tromper la surveillance des autorités.
Après le 11 septembre 2001, les spécialistes de l'antiterrorisme inventèrent la «théorie du bon voisin» pour décrire la stratégie des kamikazes qui s'étaient fondus dans la société américaine avant de commettre leurs attentats. La comparaison, toutes proportions gardées, vaut pour la... Cet article est réservé aux abonnés : Se connecter [€] » | Par Marie-Amélie Lombard | jeudi 01 novembre 2012
