LE MONDE: De gauche à droite, et avant même que l'identité du ou des coupables soit connue, toute la classe politique a dénoncé l'incendie volontaire du siège de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo le jour où sortait un numéro spécial rebaptisé Charia Hebdo.
Le premier ministre, François Fillon, a fait part de son "indignation" : "La liberté d'expression est une valeur inaliénable de notre démocratie et toute atteinte à la liberté de la presse doit être condamnée avec la plus grande fermeté. Aucune cause ne saurait justifier une action violente", affirme dans un communiqué M. Fillon. » | LEMONDE.FR | mercredi 02 novembre 2011