Friday, March 26, 2010

Vatican Denies Pope Was Involved in Sex Abuse Cover Up

THE TELEGRAPH: The Vatican has denied claims that Pope Benedict XVI failed to defrock a US priest who was accused of molesting up to 200 deaf boys over several years.

A Vatican newspaper editorial said the claims were an "ignoble" attack on the Pope and that there was no "cover-up", the BBC reports.

Archbishops had complained about Fr Lawrence Murphy in the 1990s to a Vatican office led by the future pope, but apparently received no response.

But the Pope's spokesman defended him, saying the Vatican department which the future pontiff was in charge of had not been informed of these latest allegations until 1996 - 20 years after the priest's victims first informed the police. >>> | Friday, March 26, 2010

Related:

THE NEW YORK TIMES: Vatican Declined to Defrock U.S. Priest Who Abused Boys >>> Laurie Goodstein | Wednesday, March 24, 2010

Pédophilie: le pape au cœur du scandale

LE TEMPS: Joseph Ratzinger, lorsqu’il était cardinal, n’a pris aucune sanction contre un prêtre américain ayant avoué quelque 200 abus sexuels sur des enfants sourds

Le scandale des abus sexuels éclabousse toujours davantage le sommet de l’Eglise. Le New York Times a révélé, preuves à l’appui, que Joseph Ratzinger, alors qu’il était en charge de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), n’a pas relevé de ses fonctions un prêtre américain qui avait commis des abus sexuels sur au moins 200 enfants malentendants. Et cela bien qu’un évêque ait personnellement adressé au futur pape un courrier en 1996 présentant la gravité des faits. Courrier auquel Joseph Ratzinger n’aurait jamais répondu. En revanche, il a été sensible à une lettre du prêtre abuseur, qui l’implorait de le laisser en paix.

Le New York Times a eu accès à des documents confidentiels grâce à deux avocats, Jeff Anderson et Mike Finnegan, représentant cinq hommes qui ont intenté quatre actions en justice contre l’archidiocèse de Milwaukee, où se sont déroulés les abus. Ces documents comprennent la correspondance entre différents évêques et le Vatican, les déclarations sous serment des victimes, les notes écrites d’un expert des troubles sexuels ayant examiné le prêtre abuseur, ainsi que les notes d’une rencontre finale au Vatican concernant ce cas. >>> Patricia Briel | Vendredi 26 Mars 2010